SMART BOURSE – Marchés : les records sont faits pour être battus

Trois invités avec nous chaque soir pour décrypter les mouvements de la planète marché Florent Martini est à nos côté directeur de la gestion chez Trento H7 management bonsoir Florent bonsoir merci d’être là merci à Franck dixm de nous accompagner également bonsoir Fran bonsoir vous êtes directeur de gestion obligataire d’alliance Global Investors

Et Alexandre drabovic directeur des investissements d’indosues weals management et également avec nous bonsoir Alexandre bonsoir rig ravi de vous retrouver on va parler de cette ambiance je le disais constructive hein sur les actifs risqués sur les marchés action avec des records battus quasiment tous les jours mais un mot de la toile

De fond macro peut-être Alexandre pour commencer commence à avoir une vision assez précise de la dynamique de la conjoncture au premier trimestre notamment aux États-Unis on a eu encore le dernier rapport sur l’inflation le rapport sur l’emploi on aura les ventes au détail devant nous pour mesurer un

Peu la santé du consommateur américain est-ce qu’on reste dans un schéma de croissance résiliente mais des inflationnistes oui je pense que c’est vraiment l’environnement actuel à se propose ce qu’on peut dire sur la croissante non seulement elle a été résiliante mais elle a plutôt surpris un mentre reprise

Voon alà pour tous les économiste qui depuis un an nous disait la récession va venir et c’est pour bientôt voilà le chiffre était que l’Ane dernière avait quand même 584 économistes qui avaient prévu une récession en 2024 et ça ça explique finalement comment tout le monde s’est trompé et pourquoi les investisseurs ont

Retourné finalement leur vers sur la sur la croissance il faut s’en féliciter c’est plutôt une bonne nouvelle nous-même et très récemment par exemple chez INDs on a révisé notre prévision de croissance pour le PIB américain de 1 % on est passé à 2,3 % on l’a fait en une

Seule fois donc on voit bien que il faut il faut réaliser qu’il y a cette insolence de l’économie américaine il faut prendre acte c’est une bonne nouvelle en tout cas les marchés le voit également cette fois-ci une bonne nouvelle et réellement une bonne nouvelle pour les actifs financier les

Scénario macro parce que vous le disez on a une décru de l’inflation on est à 10 % à une certaine époque on va débattre aujourd’hui et oui effectivement le chiffre hier était pas la décru ne se fait pas aussi vite qu’on l’attendait mais je note quand même que

L’inflation cœur qui a fait peur le mois dernier finalement elle a baissé un tout petit peu à 3,8 mais c’est quand même le plus bas depuis mai 2021 donc c’est pas si mal ce qu’on voit dans ce chiffre d’inflation est-ce qui je pense est rassurant pour le marché qui s’est

Inquiété de la petite bosse du mois de juanier en disant ah ça sera pas aussi linéaire compenser peut-être qu’on va avoir une partie de l’inflation et notamment c’est des services qui va qu’on ne maîtrise pas et que la f n’arrive pas à dégonfler on s’aperçoit qu’à l’intérieur des services on a une

Grande partie qui est en décru et ce qui reste en fait qui peut préoccuper c’est la partie dite logement alors c’est une spécificité américaine on retrouve pas cette mesure de l’inflation des loyers et notamment quelle serait l’inflation de votre loyer quand vous êtes propriétaire qui est une mesure

Spécifique américaine qui ne paye pas de loyer par principe le propriétaire hein c’est là où il y a quelque chose d’assez fantasmagorique dans cette voilà mais si vous envez en fait ces notion alors ça p 100 % du CPI c’est ça cette toute cette composante logement he ouais c’est ça

Mais si vous enlevez en fait ce que pawell regarde le super corps ouais et bien là la vcru est toujours bien enclenchée et c’est plutôt rassurant en tout cas ça va toujours dans le sens où la banque centrale américaine pourra baisser cet haau un peu plus tard que

Prévu l’année dernière on était plutôt tout le temps à dire plus haut pour pour plus longtemps cette année c’est plus bas mais plus tard est-ce qu’on est dans cet équilibre effectivement où euh la croissance peut se poursuivre avec en parallèle une mécanique de désinflation quand bien même elle serait

Peut-être un peu plus lente et une banque centrale américaine qui serait en position de recalibrer le réglage de sa politique monétaire à un moment cette année peut-être à partir du mois de juin est-ce que ce calendrier tient toujours la route Franck oui pour nous oui mais j’ajouterai juste un point en terme de

Panorama macroéconomique et quelque chose quand même d’assez frappant c’est cette divergence cette différence de positionnement dans le cycle macro entre les États-Unis et la zone euro donc les États-Unis sont en phase de ralentissement avec une économie qui reste extrêmement résiliante on l’a vu he un marché de l’emploi qui est enfin

Avec des créations d’emploi qui sont toujours importante et on est pas très loin encore du plein emploi aux États-Unis alors que l’activité en zone euro a touché un point bas fin 2023 donc on a un décalage cyclique là qui est intéressant parce qu’il ne se il ne se

Lit pas à travers la corrélation qu’on a sur les marchés de taux sur les 20 dernières années on n jamais vu une corrélation aussi forte entre le marché des Treasuries donc les emprunts d’État Américains et les empreunts d’État en zone euro donc le bound grosso modo c’est intéressant c’est intéressant

Parce que ça crée des opportunités en fait il y a vraiment des des positionnements là qui notamment en duration de positionnement sur le C des taux qui peuvent être mis à profit pour bénéficier de ce décalage conjoncturel alors maintenant sur le calendrier donc l’inflation fait la résistance c’est vraiment l’enseignement qu’on a des

Derniers chiffres c’est absolument évident mais la Big Picture c’est qu’on reste dans un environnement désinflationniste donc maintenant ce que ce il a pas de renversement de cette situation non non non non non non surtout aux États-Unis enfin aux États-Unis on a des gains de productivité euh un peu supérieur à 1 %

Donc c’est vrai qu’il a il y a toujours ce thème des salaires et donc le prix des services le prix des services est encore trop élevé pour la banque centrale mais finalement cette hausse de salaire elle est aussi absorbée par ses gains de productivité donc on n pas du

Un pour un entre Haus et salairire et coût du travail grosse différence avec la zone euro et c’est c’est là le point de vigilance en fait pour la Banque centrale européenne mais pour la Fed alors c’est vrai qu’elle n’a pas aujourd’hui les arguments pour justifier

Une BAE de t elle a un double mandat la fin un plein emploi et stabilité des prix plein emploi on y est presque donc en fait elle va se focaliser uniquement sur l’inflation elle n’a pas baissé ses taux pour soutenir la croissance la croissance va bien et sur l’inflation c’est vrai que

Aujourd’hui rien ne presse rien ne presse pour la Fed pour agir mais enfin ils ont envoyé aussi quelques signaux et le calendrier de juin nous paraître raisonnable cette situation qu’on décrit Florent on va en venir quand même au marché au marché boursierers visiblement pour les equi en tout cas pour les

Actions c’est la situation je dire idéale alors peut-être que pour le marché obligataire il y a quelques ajustements encore devant nous en terme de calendrier de nombre de baisse de taux et cetera mais pour les marchés action j’allais dire c’est plus le sujet ouais c’est plus sujet et puis

Effectivement il y a eu certains moments où c’est on s’est inquiété de cette réaccélération potentielle de l’inflation s moi ce que je lis au travers des résultats des entreprises et des discours des entreprises c’est que c tré accélération de l’inflation il me semble qu’il y a deux tendances sous-jacentes

Assez fortes qui vont la caper la première et du coup je partage laave de Fran c’est aux États-Unis notamment le fait que la productivité accélère et plus vite que les salaires réels et je crois que ça c’est quelque chose qui va continuer à accélérer parce que l’intelligence artificielle arrive et que j’entends

Beaucoup de dirigeants d’entreprise en parler euh j’ai donc vous croyez vraiment un cycle je pense on je pense qu’on est sur la sur la on est sur grand de Lan put être beaucoup plus ça peut être beaucoup plus je pense qu’on est au départ et qu’on est vraiment sur une

Rampe de lancement la semaine dernière le patron di BM qui disait voilà mes équipes marketing pour faire une campagne publicitaire avant aujourd’hui ils utilisent les outils d’Adobe avant c’était de semaines maintenant c’est 2 jours les dev les développeurs qui utilisent cilot de Microsoft on a les

Premers retours c’est 50 % de gain de productivité si je sors un peu de la techno les les avocats qui utilisent l’xis de chez rilex c’est plusieurs heures gagnées par jour dans leur recherche juridique et ça je crois que c’est un phénomène qu’il faut pas

Prendre à la légère je pense que ça va se diffuser dans beaucoup de secteurs et donc cette productivité là je la vois continuer à accélérer aux États-Unis le deuxième point la deuxème tendance de fond sous-jacente c’est que les entreprises elles ont toujours du mal à continuer à augmenter les prix ça ça

Continue notamment dans la Food c’est compliqué nestley a fait sa publication ouais euh bon c’est 0 % de croissance des volumes et ça ça fait plusieurs trimestres que ça dure et puis le corollaire de ça c’est que je vois des gardes de prix qui se réinstallent un

Petit peu partout euh donc on le voit dans le retail la semaine dernière il y enfin hier pardon il y avait col qui a publié donc un gros retailer US qui disait voilà les discountes c’est plus saisonniers maintenant c’est tous les mois h euh on le voit dans la logistique on le

Voit dans donc il y a vraiment une stratégie prix des entreprises qui a changé une stratégie prix qui est en train de changer dans l’automobile ça ça se voit très bien dans certaines parties de l’industrie ça se voit et même dans la techno alors dans cet environnement

On disait on est dans une économie d’abonnement de S et cetera il y a des stratégies de prix qui se mettent en place je crois que le plus emblématique c’est Alibaba qui a coupé ses prix sur le clot de 50 % il y a quelques semaines

Il y a une petite guerre entre Amazon Web Services et Microsoft sur le St cage de données et là on a eu la fin des publications sur tout l’environnement de cybersécurité la semaine dernière et donc il y a un des leaders mondiaux de la cyberécurité qui s’appelle Palo Alto

Qui a complètement changé sa stratégie de prix parce que aujourd’hui les clients ce qu’il veulent c’est avoir une plateforme complète avec tous les modules de cybersécurité et il y a d’autres acteurs qui ça l’ont senti avant un acteurs comme crossrike notamment et pour attirer les clients qui sont pas full

Palo Alto dans leur offre ils ont dit bon voilà les modules qui vous manquent on vous les offre pendant 18 mois donc voilà moi je pense qu’il y a deux tendances sousjacentes qui sont très fortes vont caper cette cette cette inflation cette réaccélération potentielle dans le contexte où on a des

Taux qui sont encore en territoire restrictif avec le calendrier électoral qu’on connaît je suis assez d’accord avec avec les deux autres interlocuteur pour dire que le mois de juin ça me semble assez raisonnable pour une première baisse de taux c’est très am américain ce que décrit Florent là gain

De productivité des stratégies prix d’entreprise qui qui évoluent où est-ce que c’est quelque chose qu’on peut retrouver en Europe également à un moment on en discutait avant l’émission mais dans la dernière conférence de presse de Christine Lagarde la semaine dernière elle émet l’hypothèse que oui les salaires vont devoir baisser un

Petit peu mais que à côté de ça le staff de la BCE imagine que on va connaître un regain de productivité également en zone euro peut-être pas de l’ampleur des États-Unis mais quand même quelque chose et que les stratégies prix des entreprises vont évoluer également et qu’une partie des coûts salariau sera

Absorbé désormais par les marges et les profits des entreprises plutôt que d’être repassé sans arrêt au client final al c’est une nipesse forte de la part de la Banque centrale européenne parce pour l’Europe c’est des hypothèses fragiles fortes en ambiuse ambitieuse ouais ambitieuse parce que enfin on est en gain de productivité

Négative donc on est oui par voil en zone euro d’ peu près 1 % donc et c’est pour ça que la la Banque centrale européenne est si est si nerveuse sur cette question des salaires et ça justifie d’ailleurs sa prudence extrême extrême parce que la décélération de

L’inflation on la voit quand même on la voit dans les chiffres c’est assez clair mais sur les salaires il y a cet indicateur des salaires négociés que la Banque centrale européenne suit d’extrêmement près donc au 4e trimestre c’est un indicateur trimestriel he au 4e trimestre on avait plus 4,5 % contre

Plus 4,7 % au trimestre précédent 3è Triest 2023 donc on est OK sur une tendance euh positive mais on est beaucoup trop et c’est et ce chiffre d’indicateur négocié au premier trimestre 2024 sera disponible en mai et c’est ça qui justifie en fait l’attentisme de la Banque centrale européenne alors peut-être qu’il

Reviendront dessus hein ils ont toute l’attitude pour revenir dessus peut-être avec plus de données et on a vu notamment que François villeroî de Gal donc le gouverneur de la BAN gvernur de la Banque de France était quand même très très optimiste en en donnant un calendrier euh printemps en FA en disant

Que la réunion de juin de la BCE est encore incluse dans le dans le printemps oui c’est du 21 mars au 21 juin voilà donc il a un peu de télégraphier ré B de la BCE en juin début juinouais euh gardez la parole Franck et puis réaction aussi d’Alexandre qu’est-ce qui se passe

Après la première baisse de taux moi ça ça m’intéresse le timing le timing c’est important ça détermine quand même une partie du du du chemin et du de du chemin de de baisse des taux qui vient ensuite mais oui comment les banques centrales communiquent une fois que la

Première baisse de taux est délivrée sachant que c’est déjà un un une communication qui est pas évidente aujourd’hui aux États-Unis certains membres de la fête s’inquiètent que la baisse de taux envoie un signal presque trop positif pour des investisseurs et des acteurs économiques qui seraient prêt à repartir de l’avant à l’assaut de

La croissance des investissements et cetera peut-être un peu trop vite trop fort quoi oui non mais ça ça c’est le sujet enfin il y a une très très bonne nouvelle donc dans la deème partie de 2023 c’est que les banques centrales ont atteint le pic dans ça déjà ça ça a

Changé complètement le panorama et ça générit d’ailleurs un rally sur tau qui était très excessif mais on voit l’impact que ça sur les marchés la première base de Tau ça va être pareil ça va être la piqûure de rappel qu’on entre réellement dans un cycle et on sait que ce cite est extrêmement

Favorable aux actifs de taux et aux actifs risqués également enfin ça ça ça va ça va ça va soutenir les valorisations des action des spread et cetera mais oui après toute la question ça va être le calendrier le timing et il y a des vraies questions structurelles en fait hein quand vous regardez

L’économie américaine on en discute beaucoup avec nos économies chez alliance lovic sub que vous connaissez ouais euh lui parle de mutation de l’économie américaine qui euh qui encaisse de plus en plus de chocs d’offre euh qui subit une réelle mutation sur le marché du travail avec un déficit en

Fait euh de main- d’œuvre et de manœuvre qualifié donc et avec la perspective des élections américaines notamment peut-être la perspective d’une administration Trump 2.0 on peut s’interroger aussi sur l’impact des nouvelles mesures que cette administration pourra prendre et si on prend pourgent comptant le programme qui est d’ors et déjà disponible ça massiflationistei

Clairement c’est extrêmement inflationiste donc ça ça veut dire effectivement c’est tarif pour tout le monde et on compense par des baisses d’impôts pour les ménages américains quoi voilà c’est ça donc beaucoup de questions beaucoup beaucoup de questions mais ça c’est pas la question du jour c’est une question qu’on commencera à se

Poser sans doute dans dans quelques semaines quelques mois je pense que l’autre point avir en tête sur le jour où on va commencer à baisser les taux c’est où va aller la liquidité on parle beaucoup de macroéconomie he c’est c’est très important mais je pense que l’un

Des facteurs des fois qu’on a tendance à un petit peu sous-estimer c’est où va aller un petit peu l’argent je vous rappelle que l’année dernière il y a eu 1300 milliards de dollars qui se sont dévers dans les fonds monétaires aux États-Unis ça rapporte du 5 % ouis

Demain les taux baissent les j ne voit pas encore vous ê rémun à 5 demain ça va à 4 ou à 3 bah on est vous dites ben peut-être que finalement bah 5 % c’était bien 3 % c’est pas terrible le SMP il fait 25 % de performance j’ai peut-être

Un petit peu réalloué sur les actions donc même le 5 % aujourd’hui rémunéré du stock de 7000 milliards de dollars de Fond Monétaire rien que ça c’est 350 milliards potentiel alors que l’année dernière les les actions n’avent enregistré que 170 milliards de souscription vous voyez bien que cet

Effet finalement liquidité peut avoir un effet encore sur les valorisations et la performance du marché mais le déclencheur ça va être aussi la bais tau c’est typiquement ce qui fait peur à un banquier central américain comme Raphaël Bostick ou ou comme ceux qui qui plaident plutôt pour une Fed qui

Resterait peut-être en statu quo plus longtemps que ce qu’on imagine l’effet de marché l’effet de marché déjà depuis 4 mois la détente des conditions financières est quand même puissante oui même un soutien pour la croissance et aussi peut-être pour la résilience de l’inflation mais demain avec une baisse

De taux raphaë Bosti qui parle de le le risque d’une exbérance refouler des investisseurs on attend la première baisse de taux pour repartir quo il faut il faut toujours quelqu’un aussi pour être un peu jus de P tempérer communation ê évidente oui mais d’ailleurs je rappelle que depuis 3 mois

Les banques centrales n’ont fait que tempérer les attentes de marché on attendait cette baisse de taux quand on a commencé l’année si à 3 mois en arrière on m’avait dit on aura pas ba mais ou TR tout le monde aurait dit mon dieu c’est la fin du monde pour les

Actions le SM en hausse encore de 10 % donc finidalement la Fed le pilote relativement bien après son mandat c’est pas non plus d’avoir des taux réels beaucoup trop restrictifs l’ aujourd’hui quelque part les taux réels ils sont trop élevés elle veut pas non plus à un

Moment donné casser la machine c’est pas son mandat donc accompagner finalement avec la baisse de Tau qui ne sera pour moi c’est une normalisation on n’est pas là à baisser comme devrait le faire peut-être la ce qui est plutôt ici en mode donc ça pour fa très progressivement c’est pas obligé on n

Pas obligé d’avoir des baisses de Tau à chaque meeting ça peut être c’est ça c’est ça moins linéire que ça d’une C faire du du 3 xis 50 BP dans l’urgence d’ailleurs si elle faisait TR xis 50 BP il y aurait un problème donc aujourd’hui si elle peut le faire de manière

Linéaire et finalement que le marché l’accompagne et puis on voit bah ça fait baisser aussi un petit peu la volatilité du marché obligataire ça bouge encore beaucoup sur obligataire mais on a moins la volatilité qu’on a pu le connaître le le dernier h chui qu mesurez la volité

Par et sur les TR améain la volatilité est pratiquement deux fois supérieure à celle du SP donc finalement le risque il est où ou pour des gérants un peu systématiques ou des portefeuilles équilibrés effectivement c’est une vraie question à se poser la volatilité est beaucoup plus faible depuis un moment sur les marchés

Action que sur les marchés obligataires parlons des marchés action du coup Flor comment vous regardez la situation actuelle donc je le disais bon c’est 17 records en 11 semaines pour le SNP 500 alors évidemment quand on est au sommet on peut on peut battre de nombreuses fois des

Records la question étant est-ce que les records sont faits pour être battus et est-ce qu’on est encore dans une ambiance qui où le potentiel plein des marchés action a pas été totalement atteint la question qui se pose clairement c’est est-ce qu’on est en euphorie est-ce qu’on est en bulle

Est-ce que les marchés sont trop concentrés j’ai beaucoup entendu parler de ça euh moi je signale juste que la les indices sont faits comme ça en fait un indice c’est on fait rentrer les gagnants on fait sortir les perdants et on fait pas de rebalancement en pondération donc si

Vous avez plus grosse capies qui monte c’est sûr qu’ell prennent plus de place il avait une étude de Goldman qui était assez intéressante qui disait que effectivement on av deux fois été concentré autant concentré sur le SNP dans l’histoire mais avec des valorisations qui étaient deux fois plus élevé

Qu’aujourd’hui et du coup voilà moi je vois je vais plus parler de dispersion ce qui est plutôt positif à mon avis puisque je vois que le marché est toujours très discriminant dans son approche alors on le voit en surface sur les magnificent 7 NVIDIA Tesla c’est le

Grand mais quand on creuse un petit peu il y a de la disparion un peu partout dans un d’un point de vue factoriel si on regardez les cycliques vous avez les financières la construction qui sont favorisé de l’autre l’énergie les ressources de base la chimie marcher on

Veut toujours pas dans les défensive la santé ça c’est bien pour nous va beaucoup mieux de l’autre côté vous avez les staples le retail tout ça qui est toujours mis de côté si je veis au sein des secteurs vous avez aussi de la dispersion intrasectorielle dans l’industrie il y a

Des valeurs qui qui cochent un peu toutes les cases qui sont à la fois exposées sur le renouvellement des infrastructures aux US avec les benomic mais qui profitent également de tendan très fortte comme la transition énergétique la croissance sur les Data Center qui sont extrêmement consommateurs en énergie et qui

Fournissent beaucoup de chaleur donc toutes les toutes les entreprises qui font de la de l’optimisation énergétique ça marche bien de l’autre côté vous avez tout ce qui est machinerie industrielle qui est en assez net ralentissement et même si je descends dans les sous-segments euh donc j’ai parlé de la

Cybersécurité tout à l’heure il y a du trick eff fait euh et alors le seul endroit où j’ai vu un peu d’exagération c’est sur les semi-conducteurs où le marché jusqu’à il y a quelques semaines faisait vraiment le tri entre voilà lia l’inrastructure sait pourquoi ça marchait de l’autre côté tout ce qui

Était autoindustrie c’était un peu moins favorisé là ces derniers temps il a un peu embarqué tout le monde euh moi il y a un il y a un indicateur que j’aime bien c’est le taux de participation que je que je surveille euh sur les semis on

Est arrivé à 50 % d’entreprise qui se comportaiit mieux que leur indice de référence ou que leur secteur euh moi sur cet indicateur là quand j’arrive à 35 déjà c’est prendu donc voilà on a embarqué vraiment tout le monde d’ donc un peu une petite euphorie passagère

Donc là il y a une participation très très large vous dites finalement à la trop large pour être justifié lar pour pour pour pour que ça continue si vous donc je ça m’étonne pas si vous voulez si à un moment donné il y a des mouvements de normalisation euh les

Valorisations se sont un petit peu emballé sur les semis et puis j’ai vu des petites pointes de d’exagération sur certains endroits nous on a participé à la IPO de arm ouais donc on est rentré progressivement pour 1 % du fond il y a quelques semaines le titre a publié Il

Il a doublé en 3 jours ça c’est pas des comportements normaux voilà donc donc il y a des poches comme ça vous quand vous faites une analyse même granulaire du marché il y a pas de bulle générale sur lestif action problème exactement le problème viendra le jour

Où tout monte à la même vitesse là ça deviendra compliqué là pour l’instant le marché est encore discriminant donc on reste constructif bon sur la question de la bulle puisque c’est la question qu’il faut poser Alexandre qu’est-ce que vous dites est-ce qu’il a là aussi des des

Des poches de surchauffe bien ident i à surveiller est-ce que il y a le risque d’un oilement plus général et puis c’est toujours la même question je rappelle que la bulle. comom explose en mars 2000 mais que de 95 ou 97 à 2000 ça ne fait

Que monter quoi non je pense que le contexte franchement il est alors oui c’est un parallèle qui est facile à utiliser maintenant les conditions sont quand même très différente d’une part on n’est pas dans un cycle où la fê a baissé ses taux enfin c’est pas la fête qui déclencher cette bulle aujourd’hui

Donc là le déclencheur bah quelque part ça t aussi l’intelligence artificielle on a remonté les taux quand même on soir donc on pas dire que c’est ça qui crée une bulle je reviens à ce qui était dit sur les valorisations on est deux fois moins cher aujourd’hui quand même en

Valorisation si on prend les valorisations des 10 plus grosses capitulations boursières aux États-Unis effectivement sur les de années à venir elles sont à 27 fois on est loin des 50 ou des 80 qu’on a connu dans les dans dans les était à 100 pe en 2000 quoi

Voilà et puis et puis surtout moi pour moi la grand différence aujourd’hui c’est que vous avez des sociétés qui sont extrêmement profitables hein les les les moi je lesappelle les ST fantastiques en fait elles ont quand même des enfin elles ont des taux de croissant de vente quatre fois supérieur

Au reste de la côte et elles ont des marges deux fois supérieur au reste de la côte donc ce n’est pas abérrent de les payer un peu plus cher finalement il y a un peu le phénomène de rareté et et cette croissance elle est délivrer tous les trimestres c’est l’inverse de ce

Qu’on pensait sur la croissance américaine qui devrait aller en récession tous les trimestres même une boîte comme Nidia qui est suivie par les meilleurs analystes du monde et capable de vous sortir résultat et de surprendre toute la code et de prendre 270 milliards de capis en une séance c’est

Absolument inédit donc géris tant mieux c’est pas une situation de bulle à ce stade il faut être vigilant évidemment au niveau stopaking c’est plutôt une bonne nouvelle aussi pour des gérants qui sont capables effectivement d’aller trouver des dossiers spécifiques et des pépites par ailleurs je pense que

L’exemple qui était donné sur un est est un bon exemple mais aujourd’hui on a quand même une petite diffusion he en train de s’opérer sur le marché maintenant il y a la discrimination au sein des des se fantastiques peut-être que demain on les rappellera ce que nous on appelait à l’époque les quat

Fantastiques oui c’est ça oui le nombre se réduit un peu à vitesse grandv he voilà mais ça veut dire que par ailleurs il a il y a une diffusion le SP 500 là sur un mois il fait 5 % et le ce qu’on appelle le SMP

Et colw celui qui est qui n’est pas pondéré de la capitalisation et bien il fait également même un peu plus que 5 % donc ça c’est plutôt une bonne nouvelle ça veut dire que quelque part on a un petit peu norm tion qui qui s c’est

Plutôt ça et du coup vous êtes sorti d’ARM quand ça va trop vite il faut que le risque management so soit bien bien resserré est-ce que sur des marchés de crédit ou obligataire est-ce qu’on trouve également des phénomènes un peu de de surchauffe en regardant peut-être les spread je sais pas le américain

C’est c’est quoi prè 300 point de base de spread aujourd’hui fr oui oui mais on peu près le même phénomène quand vous regardez les les performan en fait depuis le début de l’année les seules performances positives vous les avez sur les marchés du crédit highield ouais la première performance d’ailleurs c’est le

Plus proche du comportement des marchés actions si je dis les choses un peu simplement c’est l’actif risqué dans les marchés de crédit quoiement le high yield en Asie c’est plus de 5 % de performance sur l’indice depuis le début de l’année c’est énorme ça a été très vite la chute avait été monstrueuse

Aussi he on avait perdu plus de 30 % sur les de dernières années donc c’était quand même ass cruel le ail américain s’est très bien comporté aussi un peu plus de 1 % de performance pour le ail en zone euro donc c’est bien enfin si on

Fait 1 % de de performance en 2 mois 3 mois c’est plutôt pas mal sur le bigetire par contre c’est vrai que les indices larges euro agrgate us agrégate sont négatifs en performance absolue alors pas beaucoup hein c’est du 05 08 mais mais ça ça traduit quand même cette

Espèce de correction et cette cette volatilité aussi qu’on a eu sur les taux parce que les taux effectivement sont l’actif justement euh c’est ça qui price les anticipations des banques centrales et là-dessus c’est vrai qu’on a été tellement dans l’excès en fin d’année qu’on a un peu souffert

En ce début d’année mais enfin soyons positifs ça redonne aussi de la valeur Oui oui bien sûr en fait on avait très peur de de ce qu’on a vu en fin d’année parce que une telle performance aussi concentrée en 2 mois euh on se disait bon qu’est-ce qu’on qu’est-ce qu’on peut

Dire no CLI qui ont peut-être raté cou é es passé de 5 à moins de 4 peut-être sur le 10 ans américain c’est ça oui c’est ça ou on é à 510 390ouou c’est ça sur ouais 120 BP de de d’amplitude sur le plus haut plus bas en 2 mois donc c’est

C’est gros quoi c’est c’est important donc enfin la bonne nouvelle c’est que les les marchés de Tau sont redevenus investissant d’accord et là chaque correction qu’on a sur de l’obligataire américain sans risque c’est c’est une occasion de remettre pour des des des clients par exemple qui qui aurait raté

Prend points d’entrée en fait on est très très confortable avec aujourd’hui les antiations de marché sur le calendrier banque centrale ça c’est clé parce que c’est ça qui génère la la volatilité donc après il faut aller chercher des stratégies de caris pas évident dans des courbes inversés d’où

L’intérêt du crédit et d’où l’appétit sur le crédit aussi he parce que cette performance ça s’est pas faite dans le vide il y a eu un appétit mais phénoménal sur les spread oui oui puis quand on voit le primaire aussi ça donne des indications quand même plus de 30 %

D’émission primaire par rapport à la même période l’an dernier Alexandre je voyais réagir oui alors je je je rejoins sur le fait effectivement que les coupes d’intérêts étant inversé il y a une opportunité effectivement sur l’obligataire je vois nous en ban privée les les clients recherchent du rendement

Et il est certain que d’avoir des courbes obligataires inversé vous permet d’aller capter du rendement sur des parties 3 5 ans et éviter la duration longue qui est trop sensible finalement à la volatilité qui est trop élevé moi pour moi l’une des éigmes encore c’est finalement le point d’équilibre des taux

Long les taux américains effectivement ils varient entre entre 4 et 420 actuellement la vraie question c’est comment ce niveau peut continuer à être maintenu on a une réaccélération économique on a quand même un trésor américain qui va devoir beaucoup émettre fort à parier que si on va sur une année électorale et

Deux candidats de toute façon vont aller en surencherre à celui qui va rallanger le plus d’argent donc un déficit potentiellement américain encore plus élevé on crée 1000 milliards de dettes américaines supplémentaair tous les 6 mois à ce rythme là on va êre à 35000 milliards au mois de juin donc un moment

Donné quelqu’un va devoir acheter cette dette en face les investisseurs aujourd’hui sont beaucoup plus sensibles à la rémunération que vous leur donner fort parier donc cette volatilité sur le long en tout cas va continuer et que le point d’équilibre en tout cas pour moi sur les taux long terme américain on y

Est pas encore oui puis en plus une stratégie du Trésor qui a été quand même démettre massivement sur du très court en réduisant un peu la taille des émissions longues voire très longues donc il a un moment il va falloir quand même que que les prix de terme ça juste

Aussi peut-être à d’autres programmes d’émission ils vont pas pouvoir émettre que du tbills pendant pendant toute la vie quoi ce sera un peu compliqué Franck oui sur le risque Trump c’est ça non mais pour reir là-dessus en fait c’est exactement notre analyse le le premier facteur de risque dans nos portefeuilles

Obligataires aujourd’hui c’est le positionnement sur le comp des tau la duration vient en 5e ou 6e position d’accord c’est absolument donc il y a la valeur sur ce qu’on appelle le Bell donc le ventre de le ventre mou de la la courbe des taux euh sur la partie Action comment on

Gère alors ou comment on profite de la dispersion du coup pour reprendre votre votre votre analyse FL j’imagine qu’il faut d’une manière ou d’une autre être présent sur la tech américaine en tout cas ce que la ce qui est tiré ou tracté par la tech américaine comment on s’expose à cette thématique là

Aujourd’hui et qu’est-ce qu’on a envie d’avoir en plus à côté ou en face s’il faut se couvrir contre un risque à un moment peut-être de surchauffe ça va pas vous surprendre mais je va vous parler de santé parce que voilà et et PU pour diversifier c’est bien nous en plus on s’attache à

Avoir une volatilité assez faible sur le fond Trento santé donc euh et puis voilà bon il y a le risque électoral américain qui nous semble assez contenu on voit pas Biden aller beaucoup plus loin de que ce qu’il a déjà fait sur la santé not on va pas se refaire l’épisode Hary

Clinton disons qu’il a déjà fait beaucoup de choses il a annoncé la pendant sa candidature actuelle encore des choses euh et pour que ça se réalise bon déjà il faudrait qu’il soit élu il faudrait qu’il ait un sweep démocrate d’accord donc quand même beaucoup de

S et de l’autre côté si on a un Trump je rappelle que quand Trump a é donc la menace est toujours récurrente pour la santé à chaque élection américaine mais vous dites elle est peut-être un peu moins forte un peu moins forte parce que voilà il a fait il a déjà fait beaucoup

De choses et de l’autre côté on a un Trump qui je le rappelle la santé est un des meilleurs performeur sectoriel quand Trump é lu il y a quelques années et puis voilà sinon sur la santé ben vous savez que le secteur a pas très bien marché l’année

Dernière et voilà il y a des à part nouveau nordisque et l effectivement c’est le reste a plutôt directé ça été les deux arbres qui ont caché la forêt notamment ces deux acteurs là ont complètement disrupté la mettec l’équipement médical on est revenu sur des niveaux de valorisation très

Intéressant malgré le fait qu’il a déjà eu un petit rebond il y a des niveaux de procéd qui revient à la normale des effets covid qui sont un pe peu nettoyés ça se voit également sur tout ce qui est life science tout ce qui est outil à destination des laboratoires organises

De recherche externalisé où là aussi il y a des effets covid qui ont été nettoyés il y a un bom d’activité qui arrive et puis là aussi l’intelligence artificielle qui est là qui va augmenter le nombre de découvertes de molécules qui va raccourcir les procédure entre chaque phase de développement d’un

Médicament et ça c’est typiquement un secteur où les les les effets fusion des nouveaux outils Ia va se matérialiser et peut-être même déjà en train de se matérialiser alors sur la découverte des molécules ça se voit pas encore parce que faire un médicament ça prend beaucoup de temps mais oui effectivement

C’est quelque chose qu’on peut commencer à anticiper mais il y a des choses comme le diagnostic par exemple l’imagerie médicale est très intéressante puisque ça se ça se porte très bien au deep learning le Deep learning a commencé à prendre de la reconnaissance de chiff de lettres et l’imagerie médicale se porte

Très bien au deep learning et donc il y a des des entreprises qui commenent déjà a profité de ça ça mais oui l’intelligence artificielle va se diffuser dans la santé et c’est pas moi qui le dis c’est Nvidia qui disait que son premier client final sera le secteur de la ah oui voilà

C’est son ça va être son premier marché adressable en client final ouis oui qui sera intermédié par d’autres acteurs sera intermédié par d’autres acteurs on verra si Nvidia devient à un moment une boîte vraiment B2C ou s’il reste effectivement à fournir des des grands groupes comme ceux qui fournissent

Aujourd’hui comment on se diversifie comment on gère le risque de concentration dans dans les marchés quand on réfléchit en matière d’allocation globale Alexandre bah écoutez pour nous aujourd’hui c’est un petit peu trouver des poches de valeur dans dans d’autres marchés difficile en fait de de pas rester investir sur sur

Les marchés américains après c’est comment on va le compléter nous notre choixjourhui c’est plutôt les actions émergentes au sens large pour faire simple vous avez une décotte de 50 % en terme de valorisation mais vous avez une croissance des profits attendu de plus de 50 % supérieur par rapport à l’indice

Américain et et puis surtout un marché qui est un petit peu déserté par les par les investisseurs institutionnels c’est vrai que la Chine a fait beaucoup de mal aux émergents finalement c’est elle qui a embarqué toute la côte à la baisse beaucoup de gens aujourd’hui même raisonnent en fait sur les indices

Émergents exchine B bien sûr pour pour le sort des benchmark il se dire bon prend plus en considération si jamais ça rebondit comme ça je l’ai pas dans mon indice personne va me dire que j’ai loupé le train enfin néanmoins on prend on prend on discuté tout à l’heure de

L’Inde vous regardez le poids de l’Inde a été multiplié par 5 en 5 ans il est pas encore tout à fait au même niveau que la Chine mais il s’en rapproche donc on a un marché émergent global qui devient beaucoup plus diversifié avec des poches où on trouve des dossiers

Très intéressants pour passer par exemple à dans le semiconducteur Taiwan des valeurs incroyable en Corée en ce moment on a non seulement un marché qui se porte bien et moi ce que ce qu’on a bien aujourdhui par exemple en Corée c’est que vous avez une réforme de la

Gouvernance des entreprises pas tout à fait ce qu’a fait le Japon avec abenomix à partir de 2013 mais pas loin de façon un petit peu inciter les entreprises à faire du du rachat d’action à payer plus de dividendes et arrêter de faire des des des des des investissements croisés

Entre elles et ça ça peut être un libérateur de valeur donc on voit que dans les March émerg en tout cas pour nous on retrouve en fait pas mal de d’histoires spécifiques pays au sein de la zone émergente qu’on a bien complété dans les portefeuill vous voyez de la valeur dans les

Émergences sur le plan obligataire aussi oui absolument oui oui ça c’est un thème c’est un thème majeur enfin historiquement le signal he pour la date émergente c’est le sommet sur la la hausse des taux des B directeur Fedou donc à plus ou moins 3 mois c’est c’est

Le signal qui a toujours marché et fondamentalement c’est des pays qui ont des enfin évidemment il faut être extrêmement sélectif he parce que c’est un ensemble vaste mais vous avez des excédents primaires vous avez donc des des positions même budgétaires qui sont meilleur que les positions budgétaires en moyenne des pays développés notamment

La zone il y a 10 ans et plus c’était les les cinq fragiles hein c’était on parlait des pays fragiles émergents des pays en crise en déficit jumeaux et cetera ces situationsl banciell ont beaucoup changé absolument et en terme de diversification obligataire donc je parlais de cette corréation extrême en

Terme de d’emprunt d’État donc là il y a des opportunités qui se créent mais sur les devises également regardez la la volatilité la volatilité sur les devises majeures est pratiquement à son plus bas historique là aussi il y a des choses à faire parce queil y a des décalages

Conjoncturels il y a des stratégies de bque centrale différent donc on est long Yenne par exemple on est long couronne norvégienne euh on fund ça avec un peu d’euros et un peu de dollars mais il y a pas mal de choses à faire ouis long Yenne parce que

La Banque du Japon va sortir des taux négatifs oui ça on y croit beaucoup et il y a eu un rapport là sur les salaires NG au qui est extrm posi c’est exactement ce que voulait en fait la Banque du Japon donc fait il y a des banques centrales qui veulent pas

D’inflation mais a la Banque du Japon qui veut de l’inflation et de l’inflation sa un P plus 25s qu’attend ou oui mais même en zone euro on partait et même on est parti d’une séquence qui s’appelait la stagnation séculaire la grande modération et cetera où on était les

Économie éta à la recherche d’inflation pendant pendant 10 ans le Japon sortir des négatif est-ce que ça peut entamer la bonne marche du marché action japonais Alexandre ou est-ce que ça peut je sais pas créer une impulsion supplémentaire pour les actions japonaises qui ont comblé un gap de 34 ans

Enfin j’étais allé au Japon la première fois en 1990 donc je n’ai connu queun marché qui a baé pendant 25 ans bon c’est plutôt une bonne nouvelle j’aurais une vu un peut un peu plus nuancé en fait sur la sortie de la Banque du Japon des taux négatifs je

Pense qu’honnêtement elle va passer de -01 à 0on est-ce que c’est un gros move je ne pense pas que c’est un changement de donne non je pense que la Banque du Japon peut être très patiente elle l’a dit à plusieurs reprises je ne pense pas qu’elle va s’embarquer dans une série de

Remontée de taux euh elle a vraiment cette volonté de s’assurer que l’inflation soit bien maintenant persistante elle n’est pas encore convaincu on a des bons signaux maintenant ce qui veut dire que dans cet environnement effectivement ben c’est plutôt positif pour les actions japonaises je suis pas convaincu que

Aujourd’hui il ne faut pas er couvrir le risque de de change dit autrement le yen peut continuer à rester faible dans son environnement et et acheter les actions japonaises il faut prendre la décision également de se couvrir ou pas si vous ne couvrez pas votre dev votre risque de

Devise finalement l’année dernière les actions européennes faisait mieux que les actions japonaises donc effectivement sur la sur la performance en faitqu ah c’est génial mais quand vous êtes en euro vous la ramenez dans votre performance dans votre devise donc il faut faire deux choix il faut la

Direction du marché et la décision sur sur la sur la vous dites sur le yen c’est pas évident qu’on ait un mouvement de réappréciation du yen qui soit majeur je pense que la réappréciation du yen si elle devait venir le déclencheur ne sera pas la remontée des taux de la Banque du

Japon ça serait plus soit si on un choc sur les marchés parce qu’en général c’est une divise de refuge ou bien parce que on a côté américain une baisse plus prononcée des taux et le différencié les taux devient un peu moins favorable pour les investisseurs en en en dollar bon

Bah quelques réponses la semaine prochaine puisqu’on aura et la réunion de la Banque du Japon 18 et 19 mars et la réunion de la Réserve fédérale américaine 19 et 20 mars prochain je rappelle au passage un décalage de seulement 5 he avec la côteest des États-Unis hein donc ça nous réduit un

Petit peu le le le lag entre les décisions américaines la publication des statistiques l’ouverture du marché américain et et nous en France l’ouverture est donc à 14h30 désormais et à 21h pour la clôture pendant les prochaines semaines merci beaucoup messieurs merci d’avoir été les invités de planè marché ce soir Fran Dixmier

Alliance Global Investors alexandreabovic indosues Wealth Management et Flor Martini Trent management

Mercredi 13 mars 2024, SMART BOURSE reçoit Alexandre Drabowicz (Directeur des investissements, Indosuez Wealth Management) , Florent Martini (Directeur de gestion, Trecento AM) et Franck Dixmier (Directeur mondial des gestions obligataires, Allianz GI)