SMART BOURSE – Emission du mercredi 13 mars
[Musique] bienvenue dans Smart bourse votre émission quotidienne sur bismart pour rester à l’écoute des marchés chaque jour du lundi au vendredi à 17h pour la grande édition si vous nous suivez en direct sur bismart TV émission que vous retrouvez chaque soir en replay sur bismart.fr ou encore en podcast sur
L’ensemble de vos plateformes préféré au sommaire de cette édition ce soir une ambiance qui reste toujours constructive sur les marchés d’action et pour les actifs risqués en général un chiffre pour caractériser cette ambiance constructive qu’on connaît depuis le début de l’année 2024 et même la fin de
L’année 2023 c’est de voir le SNP 500 l’indice large américain le baromètre mondial de la santé des marchés action américains et donc mondiaux qui a battu 17 records en 11 semaines et la série est en cours bien sûr mais ça montre bien effectivement cet appétit pour le risque aujourd’hui chez les
Investisseurs dans un contexte où les éléments d’équilibre entre croissance et inflation ne semblent plus tellement inquiéter les marché on sort d’un rapport sur l’inflation aux États-Unis qui a pu amener quelques surprises à la hausse sans remettre en question du côté des investisseurs en tout cas l’idée que
Le chemin de désinflation va pouvoir se poursuivre et que la Fed sera en capacité d’entamer des baisses de taux à compter du mois de juin prochain ce calendrier reste pour l’instant instant celui du du marché nous pourrons discuter avec nos invités dans un instant du côté des éléments techniques
On surveillera l’échéance ce vendredi échéance mensuelle sur les marchés avec l’expiration de différents produits dérivés contrat futur sur indice ou encore option sur indice des facteurs techniques peut-être qui seront à prendre en compte au cours des dernières séances de la semaine et puis dans le dernier quart d’heure de Smart bourse le
Quart d’Ur thématique nous reviendrons sur la grande étude de référence concernant les dividendes mon une étude trimestrielle qui vient parachever l’ensemble de l’année 2023 et qui signale un montant record de dividendes versé dans le monde l’an dernier à plus d’1,6 trillion de dollars plus de 85 % des sociétés qui sont
Analysés dans ce baromètre publié par Janus Anderson je le dis 85 % des sociétés ont maintenu voir augmenter leurs dividendes l’an dernier le responsable du développement de Janus Anderson pour la France Charles Henry Herman sera avec nous en plateau à 17h45 pour revenir en détail sur les derniers éléments de cette [Musique]
Étude une ambiance toujours constructive et de nouveaux records donc sur les marchés boursiers le point en ouverture de Smart bourse c’est chaque soir avec Pauline grattel le CAC vole de record en record et dépasse ainsi les 8150 points aujourd’hui la Bourse de Paris et les marchés européens profitent de la hausse d’hier
À Wall Street rappelons-le plus 1,5 % pour le Nasdaq Composite et le SNP 500 grimpait de plus de 1 % en clôture avec l’envolet d’Oracle qui publiait des résultats solides Wall Street qui ouvre sur une note un peu plus mesurée aujourd’hui avec notamment une baisse de
Nvidia de 3 % à l’ouverture et de Tesla à nouveau dégradé par un analyste le titre chute de 3,5 %. dans le même temps on note que le Bitcoin franchit de nouveaux records et atteint la barre des 73000 dollars aujourd’hui dans les infos importante du jour la plus forte hausse du jour hor
CAC est signé valourec qui prend 10 % après l’annonce de l’entrée d’Arcelor mital à son capital qui reprend les 28 % du capital que le fond américain Apollo détené Arcelor mital débourse ainsi près de 1 milliard d’euros pour cette participation chez valourec et devient donc le nouvel actionnaire de référence
BNP pariba renforce ses efforts de réduction des coûts le groupe annonce revoir à la hausse le montant de son plan de réduction des coûts sur la période 2022225 et vise un bénéfice net en hausse en 2024 le titre de la banque progresse de 3 % au cours de la séance
Dans les autres moteurs de cette séance à Paris 4re poids lourd du CAC sont à des niveaux records Hermes et Silor luxotica Air Liquide et 20 a si mais la plus grosse hausse du stock 600 elle revient à Zalando aujourd’hui plus 16 % au cours de la séance le groupe prévoit
Notamment d’augmenter sa croissance cette année le propriétaire de Zara Inditex fait état d’une augmentation de plus de 30 % de son bénéfice net au titre de l’année 2023 à 5,4 milliards d’euros c’est conforme aux attentes des analystes cette année Inditex creuse l’écart avec H&M son principal concurrent en proposant des prix encore
Moins chers le groupe récompense ses actionnaires avec une augmentation de 28 % de son dividende le titre prend 2 % à Madrid et est à son plus haut historique restons dans le prêt à porter et parlons maintenant d’Adidas qui met en garde sur une situation dégradée en Amérique du
Nord la marque de sport est en perte nette de 75 millions d’euros en 2023 loin très loin du gain de 612 millions l’année précédente et avec un chiffre d’affaires de 21,4 milliards d’euros en baisse de 5 %. le groupe annonce également des prévisions pour 2024 inférieur aux attentes le titre cède 1 %
En Allemagne du côté des indicateurs les prix à la production industrielle en zone euro pour le mois de janvier baisse plus que prévu de 3,2 % sur un mois alors que les analystes anticipai une baisse de 1,5 %. les données de décembre ont été révisées à plus 1,6 % contre 2,6
% en première lecture demain les investisseurs prendront connaissance des prix à la production industrielle et des ventes de détails pour février aux États-Unis enfin sur le plan micro les résultats d’Adobe seront publiés tendance mon ami chaque soir en ouverture de Smart bourse les infos clés du jour sur les marchés avec Pauline [Musique]
Grattel trois invités avec nous chaque soir pour décrypter les mouvements de la planète marché Florent Martini est à nos côté directeur de la gestion chez Trento H7 management bonsoir Flor merci d’être là merci à Franck dixm de nous accompagner également bonsoir Fran vous êtes directeur des gestions obligataires d’alliance Global Investors et Alexandre
Drabovic directeur des investissements d’indosues Weth management est également avec nous bonsoir Alexandre ravi de vous retrouver on va parler de cette ambiance je le disais constructive sur les actif sur les marchés action avec des records battus quasiment tous les jours mais un mot de la toile de fond macro peut-être
Alexandre pour commencer on commence à avoir une vision assez précise de la dynamique de la conjoncture au premier trimestre notamment aux États-Unis on a eu encore le dernier rapport sur l’inflation le rapport sur l’emploi on aura les ventes détail devant nous pour mesurer un peu la santé du consommateur
Américain est-ce qu’on reste dans un schéma de croissance résiliente mais des inflationnistes oui je pense que c’est vraiment l’environnement actuel à se propose ce qu’on peut dire sur la croissante non seulement elle a été résiliente mais elle a plutôt surpris à MRE reprise voilà pour tous les économistes qui depuis un an nous
Disaient la récession va venir et c’est pour bientôt VO le chifffre éit que la dernière avait quand même 584 économistes qui avaient prévu une récession en 2024 et ça ça explique finalement comment tout le monde s’est Tromp et pourquoi les investisseurs ont retourné finalement leur ver sur la sur la croissance faut
S’en féliciter c’est plutôt une bonne nouvelle nous-même et très récemment par exemple chez INDs on a révisé notre prévision de croissance pour le PIB américain de 1 % on est passé à 2,3 % on l’a fait en une seule fois donc on voit bien que il faut il faut réaliser qu’il
Y a cette insolence de l’économie américaine il faut prendre acte c’est une bonne nouvelle en tout cas les marchés le voit également cette fois-ci une bonne nouvelle et réellement une bonne nouvelle pour les actifs financiers scénario macro parce que vous le disez on a une décru de l’inflation
On est à 10 % à une certaine époque on va débattre aujourd’hui et oui effectivement le chiffre hier était pas la décrue ne se fait pas aussi vite qu’on l’attendait mais je note quand même que l’inflation cœur qui a fait peur le mois dernier finalement elle a
Baissé un tout petit peu à 3,8 mais c’est quand même le plus bas depuis mai 2021 donc c’est pas si mal ce qu’on voit dans ce chiffre d’inflation est ce qui je pense c’est rassurant pour le marché qui s’est inquiété de la petite bosse du
Mois de janvier en disant ah ça sera pas aussi linéaire componensé peut-être qu’on va avoir une partie de l’ inflation et notamment celle des services qui va qu’on ne maîtrise pas et que la Fed n’arrive pas à dégonfler on s’aperçoit qu’à l’intérieur des services on a une grande partie qui est en décru
Et ce qui reste en fait qui peut préoccuper c’est la partie dite logement alors c’est une spécificité américaine on retrouve pas cette mesure de l’inflation des loyers et notamment quelle serait l’inflation de votre loyer quand vous êtes propriétaire qui est une mesure spécifique américaine qui ne paye pas de loyer par principe le
Propriétaire hein c’est là où il y a quelque chose mais voilà mais si vous enlevez en fait ces notion alors 30 % du CPI c’est ça cette toute cette composante logement hein ouais c’est ça mais si vous enlevez en fait ce que pawell regarde le super corp ouais
Et bien là la vcu est toujours bien enclenché et c’est plutôt rassurant en tout cas ça va toujours dans le sens où la banque centrale américaine pourra baisser ses taux un peu plus tard que prévu l’année dernière on était plutôt tout le temps à dire plus haut pour pour
Plus longtemps cette année c’est plus bas mais plus tard est-ce qu’on est dans cet équilibre effectivement où la croissance peut se poursuivre avec en parallèle une mécanique de désinflation quand bien même elle serait peut-être un peu plus lente et une banque centrale américaine qui serait en position de recalibrer le
Réglage de sa politique monétaire à un moment cette année peut-être à partir du mois de juin est-ce que ce calendrier tient toujours la route Franck oui pour nous oui mais j’ajouterai juste un point en terme de Panorama macroéconomique et quelque chose quand même d’assez frappant c’est cette divergence cette
Différence de positionnement dans le cycle macro entre les États-Unis et la zone euro donc les États-Unis sont en phase de ralentissement avec une économie qui reste extrêmement résiliente on l’a vu un marché de l’emploi qui est enfin avec des créations d’emploi qui sont toujours importantes et on est pas très loin
Encore du plein emploi aux États-Unis alors que l’activité en zone euro a touché un point bas fin 2023 donc on a un décalage cyclique là qui est intéressant parce qu’il se il ne se lit pas à travers la corrélation qu’on a sur les marchés de taux sur les 20 dernières
Années on n jamais vu une corrélation aussi forte entre le marché des Treasuries donc les emprunts d’État Américains et les emprunts d’État en zone euro donc le bound grosso modo c’est intéressant c’est intéressant parce que ça crée des opportunités en fait il y a vraiment des des des positionnements là qui notamment en
Duration de positionnement sur le C des tau qui peuvent être mis à profit pour bénéficier de ce décalage conjoncturel alors maintenant sur le calendrier donc l’inflation fait la résistance c’est vraiment l’enseignement qu’on a des derniers chiffres c’est absolument évident mais la Big Picture c’est qu’on reste dans un environnement
Désinflationniste donc maintenant ce que ce qui pas de renversement de cette situation non non non non non non surtout aux États-Unis enfin aux États-Unis on a des gains de productivité un peu supérieur à 1 % donc c’est vrai qu’il a il y a toujours ce thème des salaires et donc le prix des
Services le prix des services est encore trop élevé pour la banque centrale mais finalement cette hausse de salairire elle est aussi absorbée par ses gains de productivité donc on n pas du un pour un entre Haus et salaire et coût du travail grosse différence avec la zone euro et
C’est c’est là le point de vigilance en fait pour la Banque centrale européenne mais pour la Fed alors c’est vrai qu’elle n’a pas aujourd’hui les arguments pour justifier une baisse de taux elle a un double mandat à la Fed un plein emploi et stabilité des prix plein
D’emploi on y est presque donc en fait elle va se focaliser uniquement sur l’inflation elle pas abisser ces taux pour soutenir la croissance la croissance va bien et sur l’inflation c’est vrai que aujourd’hui rien ne presse rien ne presse pour la Fed pour agir mais enfin ils ont envoyé aussi quelques signaux et
Le calendrier de juin nous paraître raisonnable cette situation qu’on décrit Florent on va envenir quand même au au marché au marché boursierers visiblement pour les éities en tout cas pour les action c’est la situation je dire idéale alors peut-être que pour le marché obligatoire il y a quelques ajustements
Encore devant nous en terme de calendrier de nombre de baisse de taux et cetera mais pour les marchés action j’allais dire c’est plus le sujet ouais c’est plus le sujet et puis effectivement il y a eu certains moments où on s’est inquiété de cette réaccélération potentielle de
L’inflation s moi ce que je lis au travers des résultats des entreprises et des discours des entreprises c’est que cette réaccélération de l’inflation il me semble qu’il y a deux tendances sousjacentes assez fortes qui vont la caper la première et du coup je partage laave de Fran c’est aux États-Unis
Notamment le fait que la productivité accélère et plus vite que les salaires réels et je crois que ça c’est quelque chose qui va continuer à accélérer parce que l’intelligence artificielle arrive et que j’entend beaucoup de dirigeants d’entreprise en parler j’ai donc vous croyez vraiment un cycle de reg de productivitéon est sur
La sur la on est de l ça peut être beaucoup plus ça peut être beaucoup plus je pense qu’on est départ et qu’on est vraiment sur une rampe de lancement la semaine dernière le patron d’bm qui disait voilà mais mes équipes marketing pour faire une campagne publicitaire avant aujourd’hui ils utilisent les outils
D’Adobe avant c’était de semaines maintenant c’est 2 jours les dev les développeurs qui utilisent cilot de Microsoft on a les premiers retours c’est 50 % de gain de productivité si je sors un peu de la techno les avocats dis Lexis de chez Relex c’est plusieurs heures gagnées par
Jour dans leur recherche juridique et ça je crois que c’est un phénomène qu’il faut pas prendre à la légère je pense que ça va se diffuser dans beaucoup de secteurs et donc cette productivité là je la vois continuer à accélérer aux États-Unis le deuxème point la deuxième tendance de fond sous-jacente c’est que
Les entreprises elles ont toujours du mal à continuer à augmenter les prix ça ça continue notamment dans la Food c’est compliqué nestley a fait sa publication ouais euh bon c’est 0 % de croissance des volumes et ça ça fait plusieurs trimestres que ça dure et puis le
Corollaire de ça c’est que je vois des gardes de prix qui se réinstallent un petit peu partout donc on le voit dans le retail la semaine dernière il y a enfin hier pardon il y avait col qui a publié donc un gros retailer US qui disait voilà les discountes c’est plus saisonnier
Maintenant c’est tous les mois euh on le voit dans la logistique on le voit dans donc il y a vraiment une stratégie prix des entreprises qui a changé là prix qui est en train de changer dans l’automobile ça ça se voit très bien dans certaines parties de
L’industrie ça se voit et même dans la techno alors dans cet environnement on disait on est dans une économie d’abonnement de SAS et cetera il y a des stratégies de prix qui se mettent en place je crois que le plus emblématique c’est Alibaba qui a coupé ses prix sur
Le clot de 50 % là il y a quelques semaines euh il y a une petite guerre entre Amazon Web Services et Microsoft sur le stockage de données euh et là on a eu la fin des publications sur tout l’environnement de cybersécurité la semaine dernière
Et donc il y a un des leaders mondiaux de la cyberécurité qui s’appelle Palo Alto qui a complètement changé sa stratégie de prix parce que aujourd’hui les clients ce qu’il veulent c’est avoir une plateforme complète avec tous les modules de cybersécurité il y a d’autres acteurs
Qui ça l’ont senti avant un acteur comme crossrike notamment et pour attirer les clients qui sont pas full Palo Alto dans leur offre ils ont dit bon voilà les modules qui vous manque on vous les offre pendant 18 mois donc voilà moi je pense qu’il y a deux tendances où qui
Sont très fortes qui vont caper cette cette cette inflation cette réaccélération potentielle dans le contexte où on a des taux qui sont encore en territoire restrictif avec le calendrier électoral qu’on connaît je suis assez d’accord avec avec les deux autres interlocuteurs pour dire que le mois de juin ça me semble assez
Raisonnable pour une première baisse de taux c’est très américain ce que décrit Florent là gain de productivité des stratégies prix d’entreprise qui qui évoluent euh où est-ce que c’est quelque chose qu’on peut retrouver en Europe également à un moment on en discutait avant l’émission mais dans la dernière conférence de presse de Christine
Lagarde la semaine dernière elle émet l’hypothèse que oui les salaires vont devoir baisser un petit peu mais que à côté de ça le staff de la BCE imagine que on va connaître un regain de productivité également en zone euro peut-être pas de l’ampleur des États-Unis mais quand même quelque chose
Et que les stratégies prix des entreprises vont évoluer également et qu’une partie des coûts salariaux sera absorbé désormais par les marges et les profits des entreprises plutôt que d’être repassé sans arrêt au client final al c’est une hypothèse forte hein de la part de la Banque centrale européenne parce que pour l’Europe c’est
Des hypothèses fragiles fortes en ambitieuse ambitieuse ouais ambitieuse parce que enfin on est en gain de productivité négative donc on est oui on par de voilà en zone euro d’à peu près – 1 % donc et c’est pour ça que la la Banque centrale européenne est si est si
Nerveuse sur cette question des salaires et ça justifie d’ailleurs sa prudence extrême extrême parce que la décélération de l’inflation on la voit quand même on la voit dans les chiffres c’est assez clair mais sur les salaires il y a cet indicateur des salaires négociés que la Banque centrale européenne suit
D’extrêmement près donc au 4e trimestre c’est un indicateur trimestriel au 4e trimestre on avait + 4,5 % contre plus 4,7 % au trimestre précédent 3è trimestre 2023 donc on est OK sur une tendance positive mais on est beaucoup trop et c’est et ce chiffre d’indicateur négé au prier trimestre 2024 sera
Disponible en mai et c’est ça qui justifie en fait l’attentisme de la Banque centrale européenne alors peut-être qu’ils reviendront dessus hein ils ont toute l’attitude pour revenir dessus peut-être avec plus de données et on a vu notamment que François villeroie de Gal donc le gouverur de la BAN de
France gouverur de la Banque de France était quand même très très optimiste en en donnant un calendrier printemps en fait en disant que la réunion de juin de la BCE et encore incluse dans le dans le printemps oui c’est du 21 mars au 21 juin voilà donc il a un peu
Télégraphiéou réun B de de la BCE en juin début juin ouais euh gardez la parole Franck et puis réaction aussi d’Alexandre qu’est-ce qui se passe après la première baisse de taux moi ça ça m’intéresse le timing le timing c’est important ça détermine quand même une
Partie du du du chemin et du de du chemin de de baisse des taux qui vient ensuite mais oui comment les banques centrale communique une fois que la première baisse de taux est délivrée sachant que c’est déjà un un une communication qui est pas évidente aujourd’hui au aux États-Unis certains
Membres de la fête s’inquiètent que la baisse de taux envoie un signal presque trop positif pour des investisseurs et des acteurs économiques qui serait prêt à repartir de l’avant à l’assaut de la croissance des investissements et cetera peut-être un peu trop vite trop fort quoi
Oui non mais ça ça c’est le sujet enfin il y a une très très bonne nouvelle donc dans la deème partie de 2023 c’est que les banques centrales ont atteint le pic dans tau ça déjà ça ça a changé complètement le panorama et ça générrait d’ailleurs un rally surau qui était très
Excessif mais on voit l’impact que ça sur les marchés la première base de Tau ça va être pareil ça va être la piqûure de rappel qu’on entre réellement dans un cycle et on sait que ce site est extrêmement favorable aux actifs de taux et aux actifs risqués également enfin ça
Ça ça va ça va ça va soutenir les valorisations des actions des spread et cetera mais oui après toute la question ça va être le calendrier le timing et il y a des vraies questions structurelle en fait he quand vous regardez l’économie américaine on en discute beaucoup avec
Nos économies che alliance bien sû que vous connaissez ou lui parle de mutation de l’économie américaine qui qui encaisse de plus en plus de choc d’offre qui subit une réelle mutation sur le marché du travail avec un déficit en fait de main d’œuvre et de main d’œuvre
Qualifié donc et avec la perspective des élections américaines notamment peut-être la perspective d’une administration Trump 2.0 on peut s’interroger aussi sur l’impact des nouvelles mesures que cette administration pourra prendre et si on prend pour aggent comptant le programme qui est d’ors et déjà disponible s absent massif c’est inflationiste quoi c’est
Clairementlationl c’est extrêmement inflationiste donc ça ça veut dire effectivement des c’est tarif pour tout le monde et on compense par des baisses d’impôts pour les ménages américains quoi voilà c’est ça donc beaucoup de questions beaucoup beaucoup de questions mais ça c’est pas la question du jour hein c’est une question qu’on commencera
À se poser sans doute dans dans quelques semaines quelques mois je pense que l’autre point vair en tête sur le jour o on va commencer à baisser les taux c’est où va aller la liquidité on parle beaucoup de macroéconomie he c’est c’est très important mais je pense que l’un
Des facteurs des fois qu’on a tendance à un petit peu sous-estimer c’est où va aller un petit peu l’argent je vous rappelle que l’année dernière il y a eu 1300 milliards de dollars qui se sont déversés dans les fonds monétaires aux États-Unis ça rapporte du 5 % ou demain
Les taux baissent les j ne voit pas encore vous êes ré à 5 demain ça va à 4 ou à 3 bah on est vous dites ben peut-être que finalement bah 5 % c’était bien 3 % c’est pas terrible le SMP il fait 25 % de performance j’ai peut-être
Un petit peu réalloué sur les actions donc même le 5 % aujourd’hui rémunéré du stock de 7000 milliards de dollars de fonds monétairees rien que ça c’est 350 milliards potentiel alors que l’anné dernière les les actions n’avaient enregistré que 170 milliards de souscription vous voyez bien que cet
Effet finalement liquidité peut avoir un effet encore sur les valorisations et la performance du marché mais le déclencheur ça va être aussi la baisse des taux c’est typiquement ce qui fait peur à un banquier central américain comme raaphael bostique ou ou comme ceux qui qui plaident plutôt pour une Fed qui
Resterait peut-être en statu quo plus longtemps que ce qu’on imagine l’effet de marché l’effet de marché déjà depuis 4 mois la détente des conditions financières est quand même puissante c’est quand même un soutien pour la croissance et aussi peut-être pour la résilience de l’inflation mais demain
Avec une baisse de taux raphaë Bosti qui parle de le le risque d’une exibérance refoulée des investisseurs on attend la première baisse de taux pour repartir quoi mais il faut il faut toujours quelqu’un aussi pour être un peu le jus de P pour tempérer comunation va être évidente oui mais d’ailleurs je rappelle
Que depuis 3 mois les banques centrales n’ont fait que tempérer les attente de marcher on attendait CP baisses de taux quand on a commencé l’année si a 3 mois en arrière on m’avait dit bah on aura pas SEP baisses de taux mais 4 ou TR tout le monde aurait dit mon dieu c’est
La fin du monde pour les actions le smpit en hausse encore de 10 % donc finidemement la Fed le pilote relativement bien après son mandat c’est pas non plus d’avoir des taux réels beaucoup trop restrictifs aujourd’hui quelque part les taux réels ils sont trop élevés elle veut pas non plus à un
Moment donné casser la machine c’est pas son mandat donc accompagn finalement avec la BAE d’Utau qui ne sera pour pour moi c’est une normalisation on n’est pas là à baisser comme devrait le faire peut-être la BCE qui est plutôt ici en mode et donc ça pr très progressivement
C’est pas obligé on n pas obligé d’avoir des baisses de T à chaque meting ça peut être c’est ça c’est ça moins linéaire que ça d’une C on va faire du du 3 xis 50 BP dans l’urgence d’ailleurs si elle faisait 3 xis 50 BP il y aura un
Problème donc aujourd’hui si peut le faire de manière linéaire et finalement que le marché l’accompagne et puis on voit bah ça fait baisser aussi un petit peu la volatilité du marché obligataire ça bouge encore beaucoup sur l’obligataire mais on a moins la volatilité qu’on a pu le connaître le le
Dernier semestre moi ce qui me choc encore aujourd’hui quand vous mesurez la volatilité par exemple d’un ets sur les tragerries Américains 10ant la volatilité est pratiquement deux fois supérieure à celle du SP donc finalement le risque il est où ou ouition pour des gérants un peu systématiques ou des portefeuilles équilibrés effectivement
C’est une vraie question à se poser la volatilité est beaucoup plus faible depuis un moment sur les marchés action que sur les marchés obligataire parlons des marchés action du coup Florent comment vous regardez la situation actuelle donc je le disais bon c’est 17 records en 11 semaines pour le SNP 500
Alors évidemment quand on est au sommet on peut on peut battre de nombreuses fois c’est pas un signal des nouveau record la question éant est-ce que les records sont faits pour être battus et est-ce qu’on est encore dans une ambiance qui euh où le potentiel plein des marchés action a pas été totalement
Atteint la question qui se pose clairement c’est est-ce qu’on est en euphorie est-ce qu’on est en bulle est-ce que les marchés sont trop concentrés j’ai beaucoup entendu parler de ça euh moi je signale juste que la les indices sont faits comme ça en fait un indice c’est on fait rentrer les
Gagnants on fait sortir les perdants et on fait pas de rebalancement en pondération donc si vous avez plus grosse capies qui monte c’est sûr qu’ell prennent plus de place avit une étude de Goldman qui était assez intéressante qui disait que effectivement on av deux fois été concentré autant concentré sur le
SNP dans l’histoire mais avec des valorisations qui étaaient deux fois plus élevé qu’aujourd’hui ou et du coup voilà moi je vois je vais plus parler de dispersion ce qui est plutôt positif à mon avis puisque je vois que le marché est toujours très discriminant dans son approche
Alors on le voit en surface sur les Magnific s NVIDIA Tesla c’est le grandc mais quand on creuse un petit peu il y a de la dispersion un peu partout dans un d’un point de vue factoriel si on regardez les cycliques vous avez les financières la construction qui sont
Favorisé de l’autre l’énergie les ressources de base la chimie marcher on veut toujours pas dans les défensives la santé ça c’est bien pour nous va beaucoup mieux de l’autre côté vous AZ les staples le retail tout ça qui est toujours mis de côt si je vais au sein des secteurs vous
Avez aussi de la dispersion intrasectorielle euh dans l’industrie il y a des valeurs qui cou qui coche un peu toutes les cases euh qui sont à la fois exposées sur le renouvellement des infrastructures aux US avec les benomic mais qui profitent également de tendances très fortes comme la transition énergétique la croissance sur
Les Data Center qui sont extrêmement consommateurs en énergie et qui fournissent beaucoup de chaleur donc toutes les toutes les entreprises qui font de la de l’optimisation énergétique ça marche bien de l’autre côté vous avez tout ce qui est machinerie industrielle qui est en assez net ralentissement et même si je descends dans les
Sous-segments donc j’ai parlé de la cybersécurité tout à l’heure il y a du tri fait et alors le seul endroit où j’ai vu un peu d’exagération c’est sur les semi-onducteurs où le marché jusqu’à il y a quelques semaines faisait vraiment le tri entre voilà lia l’inrastructure sa pourquoi ça marchait
De l’autre côté tout ce qui était autoindustrie c’était un peu moins favorisé là ces derniers temps il a un peu embarqué tout le monde euh moi il y a un il y a un indicateur que j’aime bien c’est le taux de participation que je que je surveille euh sur les semis on
Est arrivé à 50 % d’entreprises qui se comportaient mieux que leur indice de référence ou que leur secteur euh moi sur cet indicateur là quand j’arrive à 35 déjà c’est tendu donc voilà on a embarqué vraiment tout le mondeord donc un peu une petite euphorie passagère les
Donc là il y a une participation très très large vous dites finalement à lai trop large pour être justifié trop lar pour pour pour pour que ça continue clair ça m’étonne pas si vous voulez si un moment donné il y a des mouvements de normalisation euh les valorisations se
Sont un petit peu emballé sur les semis puis j’ai vu des petites pointes de d’exagération sur à certains endroits nous on a participé à Lapo de arm ouais donc on est rentré progressivement pour 1 % du fond il y a quelques semaines le titre a publié Il il a doublé en 3 jours
Ça c’est pas des comp mon normau voilà donc donc il y a des poches comme ça vous a poches mais pour l’instant c’est très isolé vous faites une analyse même granulaire du marché il y a pas de bulle générale sur les actif action problème exactement le problème viendra le jour
Où tout monte à la même vitesse là ça deviendra compliqué là pour l’instant le marché est encore discriminant donc on reste constructif bon sur la question de la bulle puisque c’est la question qu’il faut poser Alexandre qu’est-ce que vous dites est-ce qu’il y a là aussi des des
Des poches de surchauffe bien identifié à surveiller est-ce que il y a le risque d’un emboilement plus général et puis c’est toujours la même question euh je rappelle que la bulle comom explose en mars 2000 mais que de 95 ou 97 à 2000 ça ne fait monter quoi non je
Pense que le contexte franchement il est alors oui c’est un parallèle qui est facile à à utiliser maintenant les conditions sont quand même très différentes d’une part on n’est pas dans un cycle où la Fed a baissé ces taux enfin c’est c’est pas la fedte qui a déclenché cette bulle aujourd’hui donc
Là le déclencheur bah quelque part ça va être aussi l’intelligence artificielle on a remonté les taux quand même soit donc on dire que c’est ça qui crée une bulle je reviens à ce qui était dit sur les valorisations on est deux fois moins cher aujourd’hui quandême en valorisation si on prend les
Valorisations des 10 plus grosses capitulations boursières aux États-Unis effectivement sur les de années à venir elles sont à 27 fois on est loin des 50 ou des 80 qu’on a connu dans les dans dans les Ann était à 100 pe en 2000 quoi voilà et puis et puis surtout moi pour
Moi la grande différence aujourd’hui c’est que vous avez des sociétés qui sont extrêmement profitables hein les les les moi je les appelle les fantastique en fait elles ont quand même des enfin elles ont des taux de croissant de vente quatre fois supérieur au reste de la côte et elles ont des
Marges deux fois supérieur au reste de la côte donc ce n’est pas abérrent de les payer un peu plus cher finalement il y a un peu le phénomène de rareté et et cette croissance elle est délivrée tous les trimestres c’est l’inverse de ce qu’on pensait sur la croissance
Américaine qui devrait all en récession tous les trimestres même une boîte comme Nvidia qui est suivi par les meilleurs analystes du monde et capable de vous sortir résultat et de surprendre toute la côe et de prendre 170 milliards de capis en une séance c’est absolument inédit donc je DIRIS tant mieux c’est
Pas une situation de bulle à ce stade il faut être vigilant évidemment au niveau stop piaking c’est plutôt une bonne nouvelle aussi pour des gérants qui sont capables effectivement d’aller trouver des dossiers spécifiques et des pépites par ailleurs je pense que l’exemple qui était donné sur R est est un bon exemple
Mais aujourd’hui on a quand même une petite diffusion he qui est en train de s’opérer sur le marché maintenant il y a la discrimination au sein des des sets fantastiques peut-être que demain on les rappellera à ce que nous on appelait à l’époque les qu fantastiques qu oui
C’est ça oui le nombre se réduit un peu à vitesse grandv hein voilà mais ça veut dire que par ailleurs il y a il y a une diffusion le le S&P 500 là sur un mois il fait 5 % et le ce qu’on appelle le S&P et colweet celui qui est qui n’est
Pas pondéré de la capitalisation et bien il fait également même un peu plus que 5 % donc ça c’est plutôt une bonne nouvelle ça veut dire que quelque part on a un petit peu de normalisation qui qui s c’est plutôt ça et du coup vous êtes sorti
D’armm a PR on a pris les G ouais c’est ça quand ça va trop vite il faut que le risque management soit soit bien bien resserré est-ce que sur des marchés de crédit ou obligataire est-ce qu’on trouve également des phénomènes un peu de de surchauffe en regardant peut-être
Les spread je sais pas le high américain c’est c’est quoi aprè une 300 points de base de spread aujourd’hui Franck oui oui mais on a à peu près le même phénomène quand vous regardez les les performances en fait depuis le début de l’année les seules performances positives vous les avez sur les marchés
Du crédit a yield ouais la première performance d’ailleurs c’est le plus proche du comportement des marchés actions si les choses un peu simplement c’est l’actif risqué dans les marchés de crédit quoi le high yield en Asie c’est plus de 5 % de performance sur l’indice depuis le début de l’année c’est énorme
Ça a été très vite la chute avait été monstrueuse aussi hein on avait perdu plus de 30 % sur les deux dernières années donc c’était quand même assez cruel le ail américain s’est très bien comporté aussi un peu plus de 1 % de performance pour le en zone euro donc
Donc c’est bien enfin si on fait 1 % de de performance en 2 mois 3 mois c’est plutôt pas mal sur le bigataire par contre c’est vrai que les indices larges euro agrgate us agrégate sont négatifs en performance absolue al pas beaucoup he c’est du 05 08 mais mais ça ça
Traduit quand même cette espèce de correction et cette cette volatilité aussi qu’on a eu sur les taux parce que les taux effectivement sont l’actif d’ajustement c’est ça qui price les anticipations des banques centrales et là-dessus c’est vrai qu’on a été tellement dans l’excès enf fin d’année
Euh qu’on a un peu souffert en ce début d’année mais enfin soyons positif ça redonne aussi de la valeur Oui oui bien sûr en fait on avait très peur de de ce qu’on a vu en fin d’année parce que une telle performance aussi concentrée en 2 mois euh on se disait bon qu’est-ce
Qu’on qu’est-ce qu’on peut dire no clients qui ont peut-être raté coche ou passé de 5 à moins de 4 peut-être sur le 10 ans américain c’est ça hein ou c’est ça ou onta à 510 390 ououi c’est ça sur ouais 120 BP de de d’amplitude sur le
Plus haut plus bas en 2 mois donc c’est c’est gros quoi c’est c’est important donc euh enfin la bonne nouvelle c’est que les les marchés de taux sont redevenus investissant d’accord et là chaque correction qu’on a sur de l’obligataire américain sans risque c’est c’est une occasion de remettre
Pour des des des clients par exemple qui euh qui aurait raté euh prend les points d’entrée la en fait on est très très confortable avec aujourd’hui les anticipations de marché sur le calendrier banque centrale ça c’est clé parce que c’est ça qui génère la la volatilité donc après faut aller
Chercherord des stratégies de cari pas évident dans des courbes inversé d’où l’intérêt du crédit et d’où l’appétit sur le crédit aussi hein parce que cette performance ça s’est pas faite dans le vide il y a eu un appétit mais phénoménal sur les sprad ou oui oui puis
Quand on voit le primaire aussi ça donne des indications quand même plus 30 % d’émissions primaires par rapport à la même période l’an dernier Alexandre je voyaais réagir oui alors je je je rejoins sur le fait effectivement que les coupes d’intérêts étant inversé il y a une opportunité effectivement sur
L’obligataire je vois nous en ban privée les les clients recherchent du rendement et il est certain que d’avoir des courbes obligataires inversé vous permet d’aller capter du rendement sur des parties 3 5 ans et éviter la duration longue qui est trop sensible finalement à la volatilité qui est trop élevé moi
Pour moi l’une des éigmes encore c’est finalement le point d’équilibre des tau long les taux américains effectivement il varient entre entre 4 et 420 actuellement la vraie question c’est comment ce niveau peut continuer à être maintenu on a une réacc économique on a quand même un trésor américain qui va
Devoir beaucoup émettre fort par que si on va sur un année électorale et de candidat de toute façon vont aller en surencher à celui qui va rallanger le plus d’argent donc un déficit potentiellement américain encore plus élevé on crée 1000 milliards de dettes américaines supplémentaires tous les 6
Mois à ce rythme là on va être à 35000 milliards au mois de juin un moment donné quelqu’un va devoir acheter cette dette en face les investisseurs aujourd’hui sont beaucoup plus sensibles à la éération que vous leur donnez fort à parier donc cette volatilité sur le
Long en tout cas va continuer et que le point d’équilibre en tout cas pour moi sur les Tau long terme américain on y est pas encore non oui puis en plus une stratégie du Trésor qui a été quand même démettre massivement sur du très court en réduisant un peu la taille des
Émissions longues voire très longues donc il a un moment il va falloir quand même que que les prix de long terme s’ajuste aussi peut-être à d’autres programmes d’émission ils vont pas pouvoir émettre que du tbills pendant pendant toute la vie ce sera un peu compliqué Franck oui sur
Le risque Trump c’est ça non mais pour revonir là-dessus en fait c’est exactement notre analyse le le premier facteur de risque dans nos portefeuilles obligataires aujourd’hui c’est le positionnement sur le compte des taux la duration vient en 5e ou 6e position d’accord c’est absolument clé donc il y
A de la valeur sur ce qu’on appelle le Bell donc le ventre de le ventre mou de la de la courbe des taux euh sur la partie Action comment on gère alors ou comment on profite de la dispersion du coup pour reprendre votre votre vot votre analyse Flor j’imagine
Qu’il faut d’une manière ou d’une autre être présent sur la tech américaine en tout cas ce que la ce qui est tiré ou tracté par la tech américaine comment on s’expose à cette thématique là aujourd’hui et qu’est-ce qu’on a envie d’avoir en plus à côté ou en face s’il
Faut se couvrir contre un risque à un moment peut-être de surchauff ça va pas vous surprendre mais je vous parler de santé parce que c’est un des grands thèmes d’expertis de Trento bien sûr pour se diversifier c’est bien nous en plus on s’attache à avoir une volatilité
Assez faible sur le fond Trent santé donc euh et puis voilà bon il y a le risque électoral américain qui nous semble assez contenu on voit pas Biden aller beaucoup plus loin de que ce qu’il a déjà fait euh sur la santéacord on va pas se refaire le
L’épisode Hillary Clinton TW il a déà disons qu’il a déjà fait beaucoup de choses et il a annoncé la pendant sa candidature actuelle encore des choses euh et pour que ça se réalise il bon déjà il faudrait qu’il soit élu il faudrait qu’il y ait un sweep démocrate
D’accord ok donc ça quand même beaucoup de s euh et de l’autre côté si on a un Trump je rappelle que quand Trump a été donc la menace est toujours récurrente pour la santé à chaque élection américaine mais vous dites elle est peut-être un peu moins forte un peu
Moins forte parce que voilà il a fait il a déjà fait beaucoup de choses et de l’autre côté on a un Trump qui je je le rappelle la santé est un des meilleur performers sectoriel quand Trump é Luu euh il y a quelques années euh et puis
Voilà sinon sur la santé B vous savez que le le secteur a pas très bien marché l’année dernière et voilà il y a des endroit mis à part nouveau nordisque et l effectivement c’est le reste a plutôt directé ça a été les deux arbres qui ont caché la forêt notamment ces deux
Acteurs là ont complètement disrupté la Mtec l’équipement médical on est revenu sur des niveaux de valorisation très intéressant malgré le fait qu’il a déjà eu un petit rebond il y a des niveaux de procédurees qui reviennent à la normale des effets covid qui sont un petit peu
Nettoyés ça se voit également sur tout ce qui est life science tout ce qui est à destination des laboratoires organismes de recherche externalisé où là aussi il y a des effets covid qui ont été nettoyés il y a un bom d’activité qui arrive et puis là aussi l’intelligence artificielle qui est là
Qui va augmenter le nombre de découvertes de molécules qui va raccourcir les procédures entre chaque phase de développement d’un médicament qui et ça c’est typiquement un secteur où les les les effets de diffusion des nouveaux outil i va se matérialiser et peut-être même déjà en train de se
Matérialiser alors sur la couvert des molécules ça se voit pas encore parce que faire un médicament ça prend beaucoup de temps mais oui effectivement c’est quelque chose qu’on peut commencer à anticiper mais il y a des choses comme le diagnostic par exemple l’imagerie médicale est très intéressante puisque
Ça se ça se porte très bien au deep learning le Deep learning a commencé à apprendre de la reconnaissance de chifre de lettre et l’imagerie médicale se porte très bien au deep learning et donc il y a des des entreprises qui commencent déjà à profiter de ça mais oui l’intelligence artificielle va se
Diffuser dans la santé et c’est pas moi qui le dis c’est Nvidia qui disait que son premier client final sera le secteur de la ah oui voilà c’est son ça va être son premier marché adressable en client final ouis oui qui sera intermédié par d’autres acteurs sera intermédié par d’autres acteurs on
Verra si Nvidia devient à un moment une boîte vraiment B2C ou s’il reste effectivement à fournir des des grands groupes comme ceux qui le fournissent aujourd’hui comment se diversifie comment on gère le risque de concentration dans dans les marchés quand on réfléchit en matière d’allocation globale euh Alexandre bah
Écoutez pour nous aujourd’hui c’est un petit peu trouver des poches de valeur dans dans d’autres marchés difficile en fait de de pas rester investir sur sur les marchés américains après c’est comment on va le compléter euh nous notre choix aujui c’est plutôt les actions émergentes au sens large pour
Faire simple vous avez une décôte de 50 % en terme de valorisation mais vous avez une croissance des profits attendu de plus de 50 % supérieur par rapport à l’indice américain et et puis surtout euh un marché qui est un petit petit peu déserté par les par les investisseurs
Institutionnels c’est vrai que la Chine a fait beaucoup de mal aux émergents finalement c’est elle qui a embarqué toute la côte à la baisse beaucoup de gens aujourd’hui même raisonnent en fait sur les indices émergents exchin bien sûr pour pour le sortir des benchmark il se dire bon en considération si jamais
Ça rebondit comme ça je l’ai pas dans mon indice personne va me dire que j’ai loupé le train enfin néanmoins on prend on prend on discutit tout à l’heure de l’Inde vous regardez le poids de l’Inde a été multiplié par 5 en 5 ans il est
Pas encore tout à fait au même niveau que la Chine mais il s’en rapproche donc on a un marché émergent global qui devient beaucoup plus diversifié avec des poches où on trouve des dossiers très intéressants pour passer par exemple à dans le semiconducteur Taiwan des valeurs incroyables en Corée en ce
Moment on a non seulement un marché qui se porte bien et moi ce que ce qu’on aime bien aujourd’hui par exemple en Corée c’est que vous avez une réforme de la gouvernance des entreprises pas tout à fait ce qu’a fait le Japon avec abenomix à partir de 2013 mais pas loin
De façon un petit peu inciter les entreprises à faire du du rachat d’action à payer plus de dividendes et arrêter de faire des des investissements croisés entre elles et ça ça peut être un libérateur de valeur donc on voit que dans les marché émerg en tout cas pour
Nous on retrouve en fait pas mal d’histoires spécifiqu pays au sein de la zone émergente qu’on a bien complété dans les portefeuillesouis vousz de la valeur dans les émergences sur le plan obligataire aussi oui absolument oui oui ça c’est un thème c’est un thème majeur enf historiquement le signal pour la
Date émergente c’est le sommet sur la la hausse des taux des banques directeur Fed donc à plus ou moins 3 mois c’est c’est le signal qui a toujours marché et fondamentalement c’est des pays qui ont des enfin évidemment il faut être extrêmement sélectif he parce que c’est
Un ensemble vaste mais vous avez des excédents primaires vous avez donc des des positions même budgétaires qui sont meilleures que les positions budgétaire en moyenne des pays développés notamment la zone il y a 10 ans et plus c’était les les cinq fragiles hein hm hm c’était on parlait des pays fragiles émergents
Des pays en crise en déficit jumeaux et cetera ces situations là banciel ont beaucoup changé absolument et en terme de diversification obligataire donc je parlais de cette corrélation extrême en terme de d’emprunt d’État donc là il y a des opportunités qui se créent mais sur les devises également regardez la la
Volatilité la volatilité sur les devises majeur est pratiquement à son plus bas historique là aussi il y a des choses à faire parce que il y a des décalages qu’ conjoncturel il y a des stratégies de banque centrale différentes donc on est long Yenne par exemple on est long couronne norvégienne
Euh on fund ça avec un peu d’euros et un peu de dollars mais il y a pas mal de choses à faire ou long Yenne parce que la Banque du Japon va sortir des taux négatifs oui ça on y croit beaucoup il y a eu un rapport
Là sur les salaires les négociation cale au Japon bah qui est extrêmement positif c’est exactement ce que voulait en fait la Banque du Japon donc en fait il y a des banques central qui VE ve pas d’inflation mais il y a la Banque du Japon qui veut de l’inflation et de
L’inflation saine un peu pérenneou on sait plus mais ça fait 25 ans qu’elle l’attend oui ou oui mais même en zone euro on partait et même au on est parti d’une séquence qui s’appelait la stagnation séculaire la grande modération et cetera où on étai les économies étaient à la recherche
D’inflation pendant pendant 10 ans le Japon sortir des taux négatifs est-ce que ça peut entamer la bonne marche du marché action japonais Alexandre ou est-ce que ça peut je sais pas euh créer une impulsion supplémentaire pour les actions japonaises qui ont comblé un gap de 34 ans
Enfin j’étais allé au Japon la première fois en 1990 donc je n’ai connu queun marché qui a baissé pendant 25 ans euh bon c’est plutôt une bonne nouvelle j’aurais une vue un peu un peu plus nuancée en fait sur la sortie de la Banque du Japon des taux négatifs je
Pense qu’honnêtement elle va passer de -01 à z0on est-ce que c’est un gros move je ne pense pas que c’est un changement de donne non je pense que la Banque du Japon peut être très patiente elle l’a dit à plusieurs reprises je ne pense pas qu’elle va s’embarquer dans une série de
Remonté de taux euh elle a vraiment cette volonté de s’assurer que l’inflation soit bien maintenant persistante n’est pas encore convaincu on a des bons signaux maintenant ce qui veut dire que dans cet environnement effectivement ben c’est plutôt plutôt positif pour les actions japonaise je suis pas convaincu que aujourd’hui euh
Il ne faut pas ger euh couvrir le risque de de change dit autrement le yen peut continuer à rester faible dans cet environnement et et acheter les actions japonaise il faut prendre la décision également de se couvrir ou pas si vous ne couvrez pas votre dev votre risque de
Devise finalement l’année dernière les actions européennes faisaient mieux que les actions japonaises donc effectivement sur la sur la performance en fait VO la uniquement sur NCK ahoui c’est génial mais quand vous êtes en euro vous la ramenez dans votre performance dans votre devise donc il faut faire deux choix il faut la
Direction du marché et la décision sur sur la sur la vous dites sur le yen c’est pas évident qu’on ait un mouvement de réappréciation du yen qui soit majeur je pense que la réappréciation du yen si elle devait venir le déclencheur ne sera pas la remontée des taux de la Banque du
Japon ça serait plus soit si on un choc sur les marchés parce qu’en général c’est une divise de refuge ou bien parce que on a côté américain une baisse plus prononcée des taux et le différenciel des taux devient un peu moins favorable les investisseurs en en en dollar bon
Bah quelques réponses la semaine prochaine puisqu’on aura et la réunion de la Banque du Japon 18 et 19 mars et la réunion de la Réserve fédérale américaine 19 et 20 mars prochain je rappelle au passage un décalage de seulement 5h avec la côteest des États-Unis hein donc ça nous réduit un
Petit peu le le le lag entre les décisions américaines la publication des statistiques l’ouverture du marché américain et et nous en France l’ouverture est donc à 14h30 désormais et à 21h pour la clôture pendant les les prochaines semaines merci beaucoup messieurs merci d’avoir été les invités de Planète marché ce soir Franck Dixmier
Alliance Global Investors alexandreabovic indosues Wells management et Florent Martini trchento Asset Management le dernier quart d’heure de Smart bourse c’est le quart d’heure thématique le thème ce soir c’est celui des dividendes avec les résultats de l’étude trimestrielle deux références menées par Janus Anderson depuis des années maintenant chaque trimestre je le
Disais qui est le le baromètre des des des versements de dividendes dans le monde on a donc la vue du 4e trimestre et la vue de l’ensemble de l’année 2023 Charles Henry Herman est à mes côtés en plateau pour nous livrer quelques détails de cette ce baromètre directeur du développement France notamment chez
Janus Anderson bonsoir charleshenry bonsoir merci d’être là la vue global de 2023 bon on sort de la discussion de marché on parle de record partout sur les indices boursiers évidemment ça se retrouve dans la livraison les versements de dividendes mondiaux pour 2023 niveau record c’est vrai on peut
Pas le nier c’est un record cette année 2023 au niveau des versements de dividendes alors ce qui est intéressant c’est qu’il y a une très forte disparité au niveau deses dividendes au niveau des secteurs au niveau des géographies on va y venir un petit peu plus en détail ce
Qu’il y a à noter c’est que c’est un record mondial mais c’est exactement aussi un record dans de nombreux pays plus de 22 pays ont atteint leur record de dividendes sur cette année 2023 voilà alors avant de rentrer dans le détail ce que j’ faire c’est aussi jeter un œil au
Top 10 je sais pas si vous pouvez le projeter le Top 10 mais c’est assez intéressant on l’URA pas tant je vais essayer de le décrire euh la société BHP elle était en tête 2021- 2022 on voit qu’il y a un grand changement d’un point de vue sectoriel BHP on sait société
Minière a réduit énormément son dividende ce qu’on voit dans le top 10 c’est qu’aujourd’hui c’est dominé par Microsoft est-ce que ça va nous étonner pas forcément c’est une société technologie qui a bénéficié notamment de toutes les évolutions sur l’intelligence artificielle deuxème fait assez marquant deux sociétés les deux premières sociétés sont deux
Sociétés technologiques sur les meilleurs payeurs de dividendes sur cette année 2023 donc on a Microsoft et on a Apple donc de des magnificent 7 comme on appelle ça donc ça c’est une première historique des valeurs de rendement aujourd’hui he je le dis mais on en parle depuis longtemps avec vous
Ce sont des valeurs de rendement aujourd’hui voilà et et et on peut voir le changement si on souvient en fait il y a plus de 10 ans ils n’apparaissaiit pas dans ce top 10 dans ce top 15 voilà ils sont apparus la première fois c’était Microsoft en
Dans ce class voilà et ils ont monté maintenant ça fait depuis 2017 si on regarde que les deux sont dans le top 10 top 5 des meilleures dividendes donc effectivement une évolution d’un point de vue sectoriel maintenant il faut pas s’y tromper ils ont pris la place mais les
Gros poids lourds sont toujours là on va retrouver exon Mobil on va retrouver chevron en 11e position on va retrouver JP Morgan au niveau des bancaires on va retrouver China construction dans ce top 10 donc les mastodontes sont toujours là il y a eu saudiamco aussi je crois c’est
Pour l’an prochain qu’ verse le dividende voilà al un dividende exceptionnel qui a été fait en Arabie Saoudite sur une banque c’est un peu spécial c’est c’est pas encore à intégrer de manière complète dans cette étude parce que c’est une vision qui est trop courttermiste pour pouvoir avoir
Une analyse plus long terme d’ même sans ça de toute façon c’estes records en série et effectivement vous le disiez plus d’une vingtaine de pays dans le monde qui ont connu un déversement de dividend record de la part de leurs entreprises côté hein je le rappelle c’est l’univers d’analyse de cette 1800
Plus grandes entrepris c’est ça voilà très bien de repréciser un peu la l’univers d’analyse de cette cette étude de référence euh sectoriellement effectivement bah vous avez un petit peu déjà donné quelques quelques Bill la tech l’énergie les mines et puis le secteur bancaire le secteur bancaire qui
Reste dominant on le sait c’est un secteur dominant il représente 26 % des dividendes qui sont payés sur C année 2023 en terme de montant d’accord et en terme de croissance il représente la moitié de la croissance des dividendes il y a une logique derrière ça un environnement très favorable aux banques
Pour deux raisons d’abord évidemment l’augmentation des taux d’intérêts qui augmentent leur marge ça on le sait mais aussi toujours cet effet rattrapage des banques qui avaient fortement diminué leurs dividendes donc si on parle de croissance on compare deux chiffres un pourcentage et donc fortément ce rattrapage augmente euh le chiffre de la
Croissance des dividendes sur le secteur bancaire mais il n’y a pas eu que le secteur bancaire si one dans les impacts positifs euh pardon dans les impacts négatifs d’abord le secteur mini on en a parlé tout à l’heure le secteur BHP notamment BHP mais d’autres sociétés c’est la plus grosse baisse et
Finalement l’augmentation du seeur bancaire est quasiment compensée entièrement par la baisse du secteur minieraccord cette baisse représente 23 milliards sur cette année 2023 par rapport à l’année 2022 donc on voit qu’il y a eu un fort fort impact ça représente une baisse de plus de 11 %
Des dividendes qui sont versées sur le secteur minier le secteur des technologies on en a parlé c’est un secteur qui s’installe maintenant qui représente une hausse d’environ une dizaine de pour mais c’est pareil c’est un secteur qui très fort mais qui est très localisé c’est surtout sur les
États-Unis et sur la zone américaine finalement qu’on voit cette croissance on a beaucoup moins de sociétés technologiques sur les autres régions du monde enfin de manière plus globale on voit que cette croissance est très diversifiée on peut citer le secteur automobile le secteur du luxe le secteur de l’alimentation de l’ingénierie donc
Beaucoup de secteurs et finalement ça représente quoi on se dit la diversification qu’il faut t’avoir dans un portefeuille financier peut-être oui effectivement oui oui on a vu oui dans l’automobile alors il y a les dividendes il aussi les rachats d’action mais voir des boîtes automobiles qui ont lancé des
Programmes de rachat GM aux États-Unis stantis en Europe ce qu’on n’imaginait pas ou qu’on avait pas vu depuis je ne sais combien d’années en tout cas dans cette cette ampleur là sur le plan géographique est-ce qu’il y a des des éléments particulièrement notable vous disiez il y a quand même beaucoup de
Pays dans le monde qui ont connu des niveaux records de versement de dividendes oui c’est exact 86 % des entreprises dans le monde ont augmenter leurs dividendes sur l’année 2023 et finalement si on regarde du côté négatif c’est très faible il y a surtout C grosses entreprises qui ont fortement
Réduit et ça c’est à noter BHP pettrobrass Riotinto AT&T et Intel ces entreprises représentent depuis des années des mastodontes vraiment les plus gros payeurs de dividendes sur les 10 dernières années et finalement on voit que même malgré cet impact très fort des baisses des baisses très fortes on voit
Que BHP se situe toujours dans le top 10 des gros payurs dividend malgré tout ça reste des sociétés qui restent très importantes sur notre de dividendes ça c’est le premier point 22 pays je le disais tout à l’heurement qui atteignent des records sur cette année on citera les États-Unis la France l’Allemagne
L’Italie si on c maintenant un petit peu plus sur l’Europe au Royaume-Uni l’Europe a été un très gros promoteur payeur de dividende et donc de cette croissance ça représente 40 % de l’augmentation de la croissance mondiale l’Europe en elle-même en Europe les records c’est Suisse Italie Espagne Norvège France Allemagne voilà donc une
Grande partie des pays EUR qui atteignent leur record et l’ensemble des versements de dividendes c’est 300 milliards pour l’Europe h Royaume-Uni Japon malgré la faiblesse du yen représente un très fort contributeur aussi oui parce que l’étude est en dollar he c’est ça l’étude est en dollar voilà donc après c’est toujours cette
Notion de dividendes sous-jacent dividendes globaux qui prend en compte l’effet de change selon les métriques que l’on regarde les États-Unis c’est un aussi en terme de montant un fort comment une forte région qui a contribué à cette croissance mais attention en terme de pourcentage finalement ils apparaissent plus faibles puisquils sont
Au niveau de 5 % qui est une croissance de manière assez régulière sur les États-Unis les marchés émergents de leur côté euh ils ont une croissance de 8 % donc c’est très important mais il y a des grandes disparités sur les marchés émergents c’est 166 milliards les marchés émergents en terme de versement
DeLand mais attention on voit de de de fortes disparités par exemple le Brésil est négatif notamment Petrobras exactement la Chine on sait que la Chine a eu quelques difficultés notamment d’un point de vue économique en général donc même si les banques chinoises ont continué à payer des groses dividendes
Euh au niveau de des vidend des secteurs immobilier bah fortement ça a fortement baissé donc voilà différents pays différentes zones différents impacts et la France la France qui connaît également une année record qui est même leader en Europe dans le versement de dividende c’est ça charlry exactement la France
Leader avec 63 milliards une augmentation de 10,3 % par rapport à dernière donc c’est une très très forte augmentation mais on focalise beaucoup sur la France attention c’est juste devant l’Allemagne quand même l’Allemagne c’est 5 9 et quelques milliards avec une croissance de 9,6 donc oui c’est la France qui est leader
Mais on est quand même juste devant l’allemag ou alors là où c’est impressionnant en France c’est 87 % des 97 pardon% des entreprises françaises ont maintenu ou augmenté leurs dividendes en 2023 donc là on voit que c’est comment dire très très fort et finalement on pourrait se dire est-ce
Que c’est le secteur financier non pas spécifiquement en France c’est pas le secteur financier qui attiré cette croissance c’est varié sur différents secteurs notamment sur le seeur du luxe avec L’Oréal avec avec Amex mais aussi sur l’aérospatial avec Safran par exemple ou dans le génie civil avec
Vincy on voit qu’il y a plusieurs secteurs et notamment sur le secteur aussi industriel euh notamment avec ngj par exemple qui a versé un très très fort dividende exceptionnel sur cette année 2023 ça montre bien et je le dis hein c’est quand même le reflet d’une génération de cashfow qui a été
Historique de la part de ces grandes entreprises côté en France en Europe et et dans le monde he c’est bien la génération de cashfow qui permet aussi le versement de ces c’est dividend record oui c’est ce qu’on voit et c’est ce qu’on va voir dans une seconde sur
Nos prévisions pour l’année prochaine en faititeite voilà finalement il y avait quand même un pessimisme assez important l’année dernière en 2023 sur l’économie est-ce qu’on va voir un hard landing un soft lending est-ce qu’on va rentrer en en récession récession des profits c’est quand même quelque chose qu’on attendait sur les marchés et
Finalement les sociétés se sont beaucoup mieux tenu que ce que l’on attendait de manière générale ça explique potentiellement la bourse qui est très positive depuis quelques mois et bah pour les dividendes c’est pareil finalement les entreprises ont des meilleurs résultats ça veut dire que leurs cash FL sont
Meilleurs leur Cash est meilleur donc il verse plus de dividendes donc c’est ce qu’on a pu voir il y a deux phénomènes plus de dividendes qui sont payé et aussi plus de programmes de rachat d’action vous l’avez dit tout à l’heure alors le 4e trimestre c’est vraiment
Cette preuve puisque le 4e trimestre bah aujourd’hui c’est encore on a une augmentation sous-jacente de 7,2 % donc qui est supérieur finalement à la moyenne annuelle qui était de l’ordre de 5 % comme je l’ai dit tout à l’heure bon donc on verra à valider mais 24
S’annonce c’est ce que on disait tout à l’heure en bourse chaque jour un record est battu oui quand on est au sommet chaque jour positif est un nouveau record battu et donc on peut imaginer que 24 s’inscrivent dans cette lignée de 23 oui on est plutôt optimiste pour pour
L’année 2024 on on d’après nos études on pense qu’on va atteindre le chiffre de 1720 milliards de différ B dans le monde60 voilà donc c’est une hausse d’environ 5 % de manière sous-jacente 4 % de manière globale en prenant les dividendes exceptionnels et l’effet de change et on reste sur le même tendance
Que l’on a vu sur cette année finalement en terme de croissance alors d’un point de vue sectoriel évidemment va y avoir différents impacts on pense qu’effectivement les banques la croissance au niveau bancaire sera peut-être moins importante en revanche on pense que la baisse que l’on a vécu
Sur le secteur pétrolier sur le secteur minier notamment bah forcément on parle de valeur plus basse donc cette croissance ou cette décroissance va être plus faible où on va revenir peut-être vers des niveaux de croissance notamment parce que le prix des matières premières se stabilise le prix du pétrole se
Stabilise aussi voilà et puis on sait très bien aussi que les dividendes dans le temps sont nettement moins variables que les bénéfices des sociés et oui merci beaucoup un dernier point peut-être à dire le trimestre prochain ça ça va être notre étude annuelle sur le programme de rachat d’action avait
Démarrer l’année prochaine l’année dernière pardon prochain on parlera des programmes de dans le retour de cash aux actionnaires il y a la partie dividende et il y a les rachats d’action c’est déjà très comment dire très inscrit dans la logique anglosaxone américaine et en Europe de plus en plus également c’est
Ça ouais à suivre merci beaucoup Charles Charles Herman qui est avec nous pour les détails de cette étude concernant l’ensemble de l’année 2023 des versements de dividendes dans le monde Charles H Herman directeur du développement France chez Janus [Musique] Anderson
Mercredi 13 mars 2024, SMART BOURSE reçoit Florent Martini (Directeur de gestion, Trecento AM) , Franck Dixmier (Directeur mondial des gestions obligataires, Allianz GI) , Charles-Henri Herrmann (Directeur du développement France, Monaco et Benelux, Janus Henderson Investors) et Alexandre Drabowicz (Directeur des investissements, Indosuez Wealth Management)
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Si quelqu'un souhaite faire une formation sur les produits dérivés ?
Moi non.