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Attaques d’ours mortelles au Japon : l’armée déployée pour stopper le carnage



Attaques d’ours mortelles au Japon : l’armée déployée pour stopper le carnage

Confrontées à une recrudescence d’attaques d’ours, les autorités japonaises envisagent une intervention militaire. Le nombre de victimes atteint un niveau record, dépassant les statistiques de l’année précédente.

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#japon #ours #attaque

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50 Comments

  5. @dadjiadussart9326 on

    C'est ça de bousiller leur territoire.
    Et alors quoi comme on détruit les territoires les animaux de plus en plus. On va faire quoi massacrer toutes les autres espèces ? Au lieu de nous remettre en question ?

  10. @Scario45 on

    On ajoute à ça qu'au Japon ils n'ont particulièrement la culture des armes et de l'autodéfense j'ai l'impression comme c'est le cas chez nous et effectivement c'est compliqué d'espérer tracer une frontière claire entre le territoire des mammifères sauvages et les zones humaines.

    Le même problème se pose chez eux avec le sanglier il me semble, c'est pas juste un problème d'ours

  16. @LePianisteMasque on

    Merci ChatTTP (cf texte ci-dessous). Tout ça pour dire que même avec une population bien moins nombreuse et donc beaucoup plus d'espace pour la faune, les attaques d'ours pouvait être meurtrière au Japon. Arrêtez donc avec votre propagande sur le réchauffement climatique responsable de tout, vous saoulez.

    ————–
    L’histoire du Japon compte plusieurs attaques d’ours particulièrement tragiques, surtout dans les régions sauvages du nord.

    La plus célèbre reste l’incident de Sankebetsu, survenu en décembre 1915 à Hokkaidō, lorsque l’ours brun nommé Kesagake fit irruption dans un village et tua sept personnes, dont des femmes et des enfants. Cet épisode demeure la pire attaque d’ours jamais enregistrée dans le pays.

    Trois ans plus tard, en 1918, une autre attaque survint dans la région de Yūbari (Hokkaidō) : un ours brun tua quatre membres d’une famille de bûcherons avant d’être abattu.

    En 1923, à Asahikawa, un ours affamé fit trois victimes dans une ferme isolée, confirmant la dangerosité croissante des ours bruns pendant la colonisation d’Hokkaidō.

    Plus récemment, en 2016, dans la préfecture d’Akita (nord de Honshū), une série d’attaques d’ours noirs fit quatre morts parmi des cueilleurs de bambous, marquant le retour d’incidents graves liés à la raréfaction de la nourriture en montagne.

    Ces événements, rares mais violents, rappellent combien la cohabitation entre l’homme et l’ours a toujours été fragile dans les régions les plus reculées du Japon

  22. @preda666 on

    J'avais découvert l'existence des ours japonais grâce à Food Wars (oui je suis un homme de culture 😏).
    Me semble que c'est surtout sur l'île d'Okaido où ta des ours brun qui se rapproche de ceux qu'ils ont au Canada et au USA que c'est hyper dangereux. Bref, pas assez de nourriture pour eux, pas grave, une partie crèvera de faim et s'auto regulera comme la nature la décidé depuis des millions d'années.

  23. @didiermunier1239 on

    Alors, un petit tutoriel, en cas d’attaque d’ours: vous enfoncez fermement vos pouces dans les yeux de l’animal !( c’est pareil pour les attaques de crocodiles où de requins !)
    Didier ( ça marche pas à tous les coups !)

  24. @willmorgane6249 on

    Et pourquoi le gouvernement ne libèrent pas quelques milliers de proies dans les montagnes comme ça les ours pourront retourner dans leurs habitats la ou il y aura de la nourriture. 🤔

  29. @jchar8895 on

    Il faut absolument envoyer nos écolos au Japon, se rendre compte de la férocité de ces animaux. Eux qui n'ont vu des ours que par l'intermédiaire d'un dessin animé….

  32. @Vagabond-92 on

    En fait le problème c'est l'homme pas l'ours, on empiète sur leurs territoires ensuite on les liquides, on a pas compris que sans la nature ya plus d'hommes.

  33. @Madurk69 on

    Rien avoir avec l'espace naturel, ni le manque de nourriture, la majorité du Japon est vide, c'est des campagnes, des montagnes. Les populations se concentrent en ville. Les ours ont énormément d'espace, beaucoup trop, la nourriture est abondante et donc ils se reproduisent… Mais comme ils sont fainéants ils se rapprochent des humains, là où ils n'ont pas besoin de chasser car il y a les poubelles entre autres.

  36. @lefweakshow871 on

    J'ai rejoint un groupe de Matagi à Yamagata.
    Ca ne sert à rien de les relâcher. Les ours qui descendent en ville ont connu la facilité de trouver des calories et du sucré dans la nourriture humaine, et surtout la facilité déconcertante de s'en procurer, là où les forêts japonaises s'appauvrissent d'année en année. Sur le long terme, il faut déboiser les forêts de cèdres artificielles qui ont été plantées après guerre et qui appauvrissent les sols et prennent de la place, pour les remplacer par les arbres nourriciers qu'on a coupés des siècles auparavant pour y planter du cèdre. Entre temps, il y a un véritable problème de surpopulation d'ours et un danger critique pour les populations des campagnes; donc un besoin de retourner aux pratiques des ancêtres = chasser l'ours pour le manger. La semaine dernière avec mes collègues matagi on a fait un brulis de cèdres sur le terrain privé d'un ami. On compte y planter des hêtres, les ours adorent ça

  41. @oli1311 on

    Reportage débile et le commentaire encore plus !
    Pas de chasse = augmentation de la population point !
    On aura bientot pareil dans les Pyrénées
    Faudra pas venir pleurer âpres.