Présidentielle en Russie : une économie russe invincible ? • FRANCE 24

Présidentielle en Russie : une économie russe invincible ? • FRANCE 24

Bonjour et bienvenue dans la semaine de l’écho sans surprise Vladimir Poutine a été réélu président de la Fédération de Russie une élection condamnée par l’Union européenne qui impose de nouvelles sanctions en réponse à la mort de l’opposant alexel Navalny 2 ans après le début de l’invasion de l’Ukraine ces

Sanctions sont-elles vraiment utiles et efficaces élément de réponse dans un instant malgré la guerre et les sanctions aux occidental l’homme fort du kremelin se targue d’un bilan économique flatteur comment expliquer la résilience de l’économie russe cette croissance tirée par l’effort de guerre est-elle durable enfin comment financer l’aide à

L’Ukraine ce jeudi les chefs d’États européens étaient réunis en sommet à Bruxelles ils ont mis en avant une solution utiliser les bénéfices provenant des avoirs gelés de la Russie est-ce légal faut-il craindre des mesures de rétorsion reportage et analyse à suivre et pour en parler je suis entouré

De Pascal directrice générale de la Fondation Robert Schuman Carl grecou économiste au CPI co-auteur de la note Russie sanctions occidental et échappatoire oriental David ulliivan envoyé spécial pour la mise en œuvre des des sanctions de l’Union européenne à la Commission et Alexandre katb économiste et président du cabinet multiolarity

Report bonjour à tous les quatre et merci d’avoir accepté notre invitation en réponse à la mort d’alexay navelny l’Union européenne a adopté de nouvelles sanctions cette fois elle cible une trentaine de responsables russes malgré plusieurs vagues de sanctions l’économie russe semble tenir le choc les précisions de nos confrères de France

2 gaz pétrole les sanctions devaient asphyxier la Russie mais 2 ans plus tard Moscou revendique une croissance insolente plus 3,6 % en 2023 et Vladimir Poutine dearguer l’Occident l’année dernière notre croissance était plus rapide que celle des autres économies du monde alors les sanctions ont-elles porté leurs fruits

Moscou en tout cas n’a pas vraiment connu de pénurie dans les rayons la plupart des marques occidentales ont tout simplement été remplacé au contraire il y a même plus de trucs qu’avant moi certains vêtements me manqu les marques de luxe qu’on [Musique] plus le luxe l’un des secteurs frappés

Par les sanctions mais c’est loin d’être le seul premier visé le gaz russe 15 milliards d’euros d’export l’année qui a précédé la guerre principalement vers l’Europe via d’énormes gazoduc l’UE fait alors une croix sur une partie de ses importations la Russie se tourne vers d’autres marchés par la mer mais

L’argent du gaz est presque divisé par de côté pétrole en revanche la Chine et l’Inde ont parfaitement remplacé les clients européens l’Inde en a même tiré profit raffinant le pétrole russe pour le revendre à ses clients de l’Ouest en s’appuyant sur ses partenaires la Russie parvient ainsi a contourner les

Sanctions le kirgisistan par exemple impimporté 5000 voitures coréennes avant la guerre il en a acheté 10 fois plus l’année dernière pour les réacheminer vers la Russie à partir du moment la Corée exporte ses véhicules les les acquéreurs de ces véhicules sont libres de d’en disposer comme il ve il faudrait

Que ces payslà créent des sanctions secondaires et pour l’instant c’est là où ça c’est là où ça bloque des sanctions contournées mais qui ont tout de même pénaliser l’économie russe il a été plus difficile plus coûteux plus long pour les entreprise russe de s’approvisionner dans des composants qui

Étaient sanctionnés par les les pays occidentaux et comme elle n’a pas nécessairement l’industrie capable de se substituer à tout ce qu’elle importe et bien nécessairement ça train de l’inflation ce début d’année les prix dans les supermarchés russes ont grimpés en moyenne de 7 % sur an David au suulliivan avant d’aborder

La question du contournement des sanctions ce lundi l’Union européenne a décidé d’imposer de nouvelles mesures à une trentaine de responsables leurs avoirs seront gelés ils ne pourront plus se rendre sur le territoire de l’Union Européenne cibler ces personnalités en quoi est efficace c’est-à-dire que c’est une réaction notamment par rapport à la mort

De de Monsieur Navalny et et et et et de la situation extrêmement préoccupante en en en Russie le fait de sanctionner des individus envoie un signal clair empêche les les gens de voyager et et rend généralement plus difficile la vue la la vie des gens impliqués dans les

Décisions du R régime Poutine mais le plus important pour notre reportage aujourd’hui c’est bien sûr les sanctions économiques et et leur impact considérable on va y venir mais précisément c’est de nombreuses personnes depuis le début du conflit et même depuis 2014 ont été visé par des par des sanctions selon le le magazine

Forbes la Russie contterait 110 milliardaires c’est 22 de plus qu’en 2022 parmi parmi eux certains ont repris pour une bouchée de pain les actifs des groupes occidentaux sur le départ daville au Sullivan c’est oligarques profitent donc de la situation ces sanctions sont-elles contre-productives ils sont certainement pas contreproductif les les sanctions

Sur les individus ont un impact mais je reviens sur le fait que les vraies sanctions c’est l’impact sur l’économie russe sur l’accès de la Russie à la technologie avancée et sur la capacité de de la Russie de financer et de de soutenir cette guerre et et là-dessus n

Nos sanctions ont un impact considérable mais pour l’ on voit bien que les sanctions elles n’ont pas Taris ni les recettes issues du gaz du pétrole ni déstabiliser le rouble elles n’ont pas permis de non plus de de stopper la guerre on peut quand même se poser la question de leur

Utilité c’est il faut voir ça comme un un crevais en lente plutôt que qu’un pneu éclaté c’est-à-dire mais si vous regardez le revenu de l’État russe il il manque 400 milliards d’euros qui qui existeraiit sans les sanctions euh le revenu sur le pétrole est et à baissé de

30 % le marché de travail continue des difficultés considérables du à l’immigration des plus talentueux et un problème créé pour pour pour l’autre marché de travail par par la la consruption des gens dans l’armée l’investissement est très faible et il y a une canniabilisation de l’économie russe prenant de l’argent sur les

Secteurs productifs tels que les soins de santé la sécurité sociale l’éducation la recherche et en et en versant ça sur le militaire ce qui donne des chiffres de croissance impressionnant pour cette année mais comme le dit votre titre c’est pas du tout soutenable et l’économie russe est en est en grande

Difficulté en réalité Alexandre catab est-ce que vous partagez cette analyse non je je je ne crois pas qu’on qu’on puisse dire que l’économie russe est en grande difficulté hein quand on voit tous les indicateurs qui ont été évoqué que ce soit les revenus m déménages qui

Ont augmenté de 20 % en termes réels c’est-à-dire corriger de l’inflation quand on voit que le taux de chômage se maintient à un niveau extrêmement faible euh et que certains secteurs ont connu un boom de de productivité et d’investissement qui était sans précédent dans l’histoire post-soviétique du pays euh alors oui

Les les sanctions en fait ont eu un impact sur les les les revenus de de l’État russe mais ces revenus étaient gérés de manière très précautionneuse avant l’éclatement de de cette guerre et donc l’État russe avait finalement les moyens et s’était préparé à ce genre d’éventualités notamment à travers des

Des fonds souverains qui ont été mis en place et qui ont permis de financer l’effort de guerre est-ce que sur le long terme c’est ces sanctions vont amoindrir le potentiel productif de la Russie ça reste à voir mais en revanche ce qu’on observe c’est que sur le court

Terme elles ont plutôt dopé et stimulé certains secteurs industriel qui étaient en quasi stagnation ou en déclin avant la guerre on va parler de de de la durabilité pas de de de cette économie russe mais ce que j’aimerais vous poser comme question David suliivan c’est que plusieurs analyses de données maritimes

Douanières ont démontré qu’il y avait un contournement massif de ces de ces sanctions est-ce que vous diriez qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure c’est-à-dire et bien de de cibler les pays-tiers qui permettent ce contournement mais nous le faisons déjà nous avons surtout nous nous sommes concentrés sur le contournement des

Sanctions ce qui concerne les technologie avancée et dans nos discussions avec les pays de l’Asie centrale du caucas la Turquie la Serbie les irats on a réussi à à considérablement diminuer le contournement qui existait auparavant donc y compris la possibilité de de lister certaines entreprises dans dans ces pays qui qui contribuent au

Contournement donc je pense que c’est une dosage à trouver entre la négociation la discussion et la possib possibilité de de pénaliser certaines industries qui qui continuent à à contourner les sanctions alors effectivement vous dites le 3è paquet de mesures il visait des entreprises chinoises turques indiennes qui sont

Accusé de fournir au crremelin des technologies militaires est-ce que d’autres entreprises vont suivre est-ce que je pense notamment à la Turquie qui est dans une situation bien particulière puisque c’est un pays qui ne condamne pas la guerre mais qui et qui qui pardon qui condamne la guerre mais qui

N’applique pas les sanctions qui importe du gaz russe du charbon R et qui exporte précisément des microprocesseurs des composants et autres pièces est-ce que et bien l’Union européenne envisage de les de les sanctionner ou de sanctionner des entreprises turques comme l’ont fait d’ailleurs les États-Unis mais nous nous avons toujours

Cette possibilité nous sommes en pleine discussion avec la Turquie qui s’est engagé à à réduire considérablement le contournement qui existe notamment dans les technologies avancées on attend de voir les les chiffres et les résultats de ces efforts mais comme je vous ai dit on a toujours la possibilité et on va

Continuer à l’utiliser de sanctionner les entreprises que nous identifions comme faisant partie d’un circuit de circonvention que ça soit en Turquie que ça soit ailleurs comme vous avez dit en Chine en Kazakhstan donc nous nous nous nous nous travaillons activement sur une liste de cibles possibles au cas où les

Interventions gouvernementales ne donne pas le le résultat souhaité et concernant on l’ vu dans dans le reportage que le pays a contourné les S en achetant et en déployant une une flotte fantôme les les sanctions qui qui concernne le pétrole que peut faire l’E europeope face à ces navires

Fantômes c’est-à-dire que nous avons déjà limité la possibilité de vendre des navires aux sociétés russes engagé dans cette activité les les États-Unis notamment et et le Royaume-Uni commencent maintenant à sanctionner les vaisseaux individuels et je vois que plusieurs pays notamment l’Inde commence à hésiter à à à à avoir

À faire avec ces vaisseaux il y a un gros problème écologique et un risque d’un grosse d’un gros accident écologique si un une de ces navires euh euh a un problème sur la côte d’un pays parce que l’assurance pour pour ces vaisseaux est loin d’être testé et donc

Je pense que nous avons déjà euh considérablement réduit l’activité de ces navires et et je constate qu’il y a maintenant on écart de 19 dollars entre le prix du pétrole mondial et le prix du pétrole russe donc la la Russie obtien déjà moins de de de retour s

Exportations qui qui qui n’auraiit été pas le cas avant vous David suivan vous avez mentionné l’Inde qui raffine le pétrole russe pour le revendre en Occident même question que faire face à un tel contournement mais c’est pas un contournement il faut se rappeler que nous n’avons pas banni ou ou ou

Sanctionné l’ exportation du pétrole russe nous avons simplement conditionné cela au au euh au respect d’un prix inférieur au au prix mondial c’est-à-dire un cap sur le sur le prix l’Inde respecte cela après ils font un raffinement et il nous l’exportent mais ils sont press à dire

Que c’est eux qui font les bénéfices et pas pas l’économie russe car grecou malgré les sanctions la Russie continue de de bénéficier de la rente liée au pétrole et au gaz la Russie s’est trouvé de nouveaux clients en Inde en Turquie ou en Chine est-ce que c’est c’est suffisant pour alors le

Prix est moindre on l’a dit est-ce que c’est suffisant pour remplacer ses anciens clients alors c’est une question qui se c’est une question qui se pose he contte tenu notamment du de la barrière pour les pour le prix le fameux price price cap l’Inde et la Chine fournissent des alternatives significatives qui ont

Permis de rediriger les flux qui venaient autre fois vers les pays européens vers vers ces pays-là qui par la suite rexporte certes le il y a une barrière sur le niveau du prix ce qui permet à la Russie d’engranger moins de revenus mais quand même la Russie continue à dégager des profits

Significatifs h Pascal Joannin ce recentrage de la Russie on va dire vers l’Asie est-ce que est-ce que ça vous inquiète euh non parce que de toutes les façons dans la relation qui est en train de s’établir avec la Chine la Russie et j’allais dire le le junior partner et

Moi de de là où je suis je vois ça comme plutôt une vassalisation de la Russie vis-à-vis de la Chine qui de toutes les façons utilise aujourd’hui la Russie parce qu’elle en a besoin mais qui la laissera tomber le jour où ses intérêts ne ne rencontreront plus ceux de la

Russie alors vous par pardon vous parlez de la Chine mais il y a aussi la Syrie l’ je parle de la Chine là je parle de la Chine parce que on a quand même et d’ailleurs on publie une étude là-dessus lundi sur les les les les les liens

Russaux parce comme vous avez plus l’Ouest qui est votre partenaire et qui est vous allez regarder ailleurs alors on peut toujours parler de la Syrie de de d’un certain nombre d’États mais ils ont été obligés de regarder plutôt vers la Chine la Chine qui voilà et donc cette cette cette relation Russie

Chine vous montrez là actuellement à l’image XI et Poutine elle se fait un petit peu j’allais dire à l’avantage de la Chine et la Chine qui a des problèmes de croissance hein qui a des problèmes de de d’exportation qui a des problèmes un certain nombre de choses euh joue

Aujourd’hui le jeu de la Russie mais elle n’a pas envie de se couper de l’Europe parce que l’Europe c’est un grand marché parce que c’est aussi un client rich et cetera donc pour l’instant elle elle est dans une position où elle elle elle donne le sentiment de soutenir la Russie mais pas

Jusqu’à ce que ça soit le baiser qui tue donc je suis pas certain que Poutine trouve en dehors de l’Europe et et et s’il trouve plus la Chine l’Inde joue un jeu qui lui est personnel mais qui est aussi il faut voir ça avec la diichotomie in Chine qui est très forte

Et cetera et puis vous avez des sanction qui bon on parle de l’État bon alors l’État russe faut quand même se méfier de ce que c’est vous avez quand même des sanctions qui touchent beaucoup d’oligarques qui se retrouvent aujourd’hui privé de leur joujou de leur possibilité de venir passer des vacances

En Europe d’avoir en effet leur leurs avoirs si ça dure trop longtemps est-ce que ces oligarques qui soutiennent le régime vont pas le trouver un petit peu aigre ils vont pas demander un peu des comptes parce que le régime de Poutine ne tient aussi parce qu’il a le soutien

En effet d’un certain nombre de gens mais si ces gens ne veulent plus le soutenir parce qu’ils perdent un petit peu beaucoup donc je dirais que c’est pas un jeu à somme nul pour l’instant l’efficacité comme l’a dit David suulivan c’est pas un pneu éclaté on s’arrête brusquement c’est quelque chose

Qui a une durée et le choix qu’a fait la la Russie d’agretter l’Ukraine et donc de se couper dans une partie de certains de ces clients les meilleurs fatalement ça va lui ça lui pose des problèmes alors peut-être pas aussi grand qu’on espérait au départ est-ce qu’on a sous-estimé justement la

Capacité économique de la Russie bah la Russie aujourd’hui enfin bon un autre un autre excusez-moi c’est un pays qui a besoin d’armes où est-ce qu’elle se fournit elle se fournit auprès de la Corée du Nord bon ben la Coré du Nord problème c’est dir qu’il y a un problème

Aussi dans la dans dans dans dans dans le complexe militaro industriel russe de ne pas avoir la capacité en propre quand bien même ils auraient anticipé l’attaque russe de pouvoir bénéficier en effet de toutes les armes dont ils ont besoin Alexandre katb euh moi je sur le

Volet militaire je suis pas sûr que si en France demain il y avait une guerre on a tous les stocks de munition nécessaire mais bon ça c’est un autre débat par contre euh ce ce qu’ ce qu’on observe c’est effectivement comme ça a été dit une réorientation vers euh vers

L’est vers la Chine notamment c’est vrai que la Russie est un partenaire junior dans cette dans cette coalition dans cette alliance mais mais quelque part elle est lucide là-dessus elle est très lucide sur ce positionnement et d’un autre côté elle sait que la Chine a besoin d’elle pourquoi parce que la

Chine aujourd’hui se sont menacé à si de toutes part elle aussi demain peut-être ce serait ce sera la Chine la prochaine sur la liste des sanctions occidentales s’il y a un conflit à Taïwan ou autre et donc la Chine est très très contente d’avoir un interground eurasiatique avec avec la Russie qui lui

Procure ses matières premières notamment si les routes maritimes étaient coupées donc c’est une c’est une interdépendance entre ces deux pays qui savent très bien euh jouer leur jeu et là où je suis euh d’accord avec Pascal Johann c’est que euh ces alliances peuvent se se renverser à un moment donné mais

Peut-être parce que justement aux États-Unis si on est à l’élection de Donald Trump imaginant demain euh celui-ci va va se rapprocher de la Russie pour justement l’éloigner de la Chine et donc euh là en fait ça sera un renversement de tendance comme ça a été le cas plusieurs fois euh depuis la la

Seconde Guerre mondiale euh euh malgré les sanctions on a vu que la ville de Moscou dans le reportage elle n’a pas connu de pénurie les marques occidentales ont disparu mais elles ont elles ont été remplacées par d’autres Carles grecou finalement est-ce que ça n’est pas l’Inde la Turquie la Chine on

Vient d’en parler qui qui profite de ce retrait occidental alors tout à fait la Chine l’Inde la Turquie et plus de plusieurs pays de d’Europe d’Asie centrale et du et du caucas tire un certain bénéfice au passage donc serce que parler par les mécanismees de de contournement ou tout simplement en

Substituant leur production nationale au au produits européens est-ce que ces nouveaux fournisseurs compensent-il en partie ou complètement les importations européennes les anciennes importations européennes alors c’est là il faut nuancer un peu plus les choses de sur le cadre d’analyse des de l’efficacité des sanctions déjà nuancer l’objectif des

Sanctions ça a été rappelé par Madame Joanin euh les sanctions de manière très prosaïque visait à frapper la Russie au portefeuille donc alourdir considérablement l’efft de guerre et nuire à sa capacité industrielle en lien avec sa capacité militaire faut également nuancer euh l’analyse de l’efficacité de ces sanctionsl pour certains produits les sanctions

Sont très efficaces et le restaurant c’est notamment le cas pour les tous les différents produits qui portent sur la navigation aérienne et spaciale où là les pays occidentaux sont en position de monopole la Chine n’arrive pas à compenser la Chine même dans son secteur aéronautique dépend des pays européens

Des pays occidentaux mais pour d’autres produits naturellement la les sanctions sont moins efficaces mais on quand même un coout donc oui c’est toujours plus cher et c’est toujours plus cher donc l’effet initial des des sanctions n’est pas là n’est pas intégralement là où on l’attendait mais il existe quand même il

Est beaucoup plus F dans l’économie russe alors ce vendredi la Commission européenne a proposé de taxer certaines importations agricoles russes et biélorusses le but c’est de limiter les revenus de Moscou rassurer les agriculteurs européens sans perturber l’approvisionnement mondial Alexandre katb est de nature a fragilisé la Russie

Et la Biélorussie écoutez je crois que c’est des sanctions qui sont relativement symboliques parce que ces exportations avait déjà énormément baissé depuis depuis 2 ans ça représente 1 % des importations de blé de l’Union européenne donc c’est c’est relativement négligeable en revanche ce qui a très fortement augmenté c’est les

Importations de céréales européennes depuis l’Ukraine donc s’il y a des manifestations de d’agriculteurs dans différents pays de l’Union européenne y compris en Pologne et d’autres pays frontaliers c’est plutôt lié aux importations depuis l’Ukraine voilà ça c’est sur le plan économique après sur le plan politique je comprends que c’est

Une mesure qui a été prise euh dans le cadre de ce processus de de sanction David au syllivan peut-être une une réaction sur cet effet collatéral hein de ces de ces euh euh céréales ukrainiennes qui euh sont importées massivement vers l’Union européenne massivement je sais pas est-ce que cela a vraiment perturbé les

Marchés c’est une question à poser mais euh nous sommes en train de voir comment on peut mieux gérer ça pour éviter des des des grandes perturbations euh mais il faut dire que c’est une une une source de revenu important pour les Ukrainiennes qui qui qui souffrent énormément sur sur d’autres fronts donc

C’est aussi une certaine marque de solidarité mais c’est vrai dans la mesure où cela perturbe nos marchés et crée des difficultés pour les agriculteurs il faut y faire attention et il faut y remédier mais je je pense que je veux revenir quand même sur sur le point fondamental en Russie les

Revenus baissent les dépenses militaires augmentent ils sont obligés de puiser sur les ressources dans les domaines productif que ça soit la sécurité sociale que ça soit la la l’argent réservé pour pour pour les les choses importantes teles que l’éducation et et les soins de santé et et l’inflation augmente le taux

D’intérêt est 16 % euh donc vraiment objectivement regarder cette économie il est difficile de dire que qu’elle est qu’elle est en bon état et que elle qu’elle ne va pas vers une crise tôt tard peut-être plutôt tard que tôt mais c’est pour moi presque inévitable vu la direction on va

Précisément regarder ces chiffres on en vient à notre deuxième partie alors qu’il a remporté un 5è mandat vadimir Poutine place une grande partie de l’économie du pays sur le pied de guerre de quoi relancer la machine les précisions de nos confrères de France 2 ne semble jamais à cours de munition

Sur le front la Russie tire chaque jour 4 à 5 fois plus que l’Ukraine et malgré les pertes le rythme ne ralentit pas et pour cause Vladimir Poutine a tourné toute l’économie russe vers la guerre selon le kremelin 30 % des dépenses fédérales sont désormais consacrés à

L’industrie de défense soit 7,5 % du PIB russe ce jour-là le président visite la plus grande usine de char du pays nous sommes un des premiers à avoir mis en place le travail 24 he sur 24 on a augmenté la production et on est prêt à tenir à ce rythme tant qu’il

Faudra nous avons une armée de travailleurs rien qu’au cours des 18 derniers mois 520000 nouveaux postes ont été créés dans l’industrie de la défense plus d’un demi million de nouveaux emplois l’effort de guerre se fait à marche forcée ce décret a été publié en août 2022 désormais dans l’industrie de

Défense les employeurs peuvent faire travailler leurs salariés sans leur consentement pour des heures supplémentaires quel que soit le jour de l’année pour attirer toujours plus de main d’œuvre les salaires des ouvriers ont drastiquement augmenté ce sont les gagnants de cette économie de guerre dis-moi combien tu gagnes environ 3000 €

La production de certaines armes a été multipliée par 10 en 2 ans selon les services de renseignement de l’OTAN la Russie a la capacité de sortir 3 millions de munitions d’artillerie par an l’Europe et les États-Unis eux ne peuvent ensemble en fournir qu’1,2 million maximum à Kief mais difficile de

Savoir combien de temps la Russie va pouvoir tenir ainsi les contraintes liées à la disponibilité la mainœuvre mais aussi à la disponib de des matières premières vont se faire sentir à un moment ou un autre sur sur ces industries aussi d’après les dernières estimations cet effort de guerre reste aujourd’hui

Insuffisant pour permettre à l’armée russe de prendre un avantage décisif dans le conflit on poursuit avec les chiffres après une année de récession en 2022 le kremelin revendique 3,6 % de croissance l’an passé le Fond Monétaire International par lui de 3 % et un demi-point devant les États-Unis et six

Fois la croissance européenne pour 2024 le FMI a relevé sa prévision pour la Russie à 2,6 % là où l’Union européenne plafonnerait à 0,9 %. David silivan Vladimir Poutine a-t-il raison la Russie croit plus vite que l’Europe qui souffre on le sait he de la hausse des prix de

L’énergie et d’un marasme industriel l’Europe a-t-elle perdu la bataille économique absolument pas il faut on peut toujours choisir ses chiffres quand on veut décréer une économie et c’est vrai le taux de croissance en Russie et et ce qu’elle est euh mais euh il faut voir ce qui est derrière c’est

Insoutenable ce ce qui ce c’est les dépenses militaires qui qui prennent la place qui poussent cette augmentation mais il puisent sur les ressources dans d’autres domaines qui sont le secteur productif qui sont la base d’une économie du futur et et c’est ça qui rende cette croissance à mon avis

Insoutenable je je répète il faut regarder les chiffres de base de l’économie et ils sont tous en très mauvais état donc les seuls chiffres de croissance ne démandent pas du tout le vrai impact des sanctions ni le vrai état de l’économie russe et je pense queondd on on va parler notamment

D’autres chiffres après je voudrais faire réagir nos économistes cette croissance qu’on a vu qui est basé notamment sur les revenus pétroliers ou sur la la relance de la machine militaire est-ce qu’elle est durable viableut faut dire que cette croissance de 3 % déjà ça c’est ça vient après une

Année de de décroissance donc c’est normal qui est un rebond personne ne pensait que ce rebond allait être aussi important mais ça c’est le résultat effectivement des dépenses comparé avec une situation européenne qui n’est pas pas facile en ce moment et on pense notamment à l’Allemagne qui est le la

Locomotive européenne finalement pour des raisons assez différente parce que en en Russie il y a eu C ces dépenses publiques qui ont été mises en place justement pour contrer l’effet récessioniste des sanctions et c’est ça qui a permis de relever l’économie russe sauf que ça a recréé de l’inflation

La banque centrale de Russie a été obligée de remonter ses taux de manière assez significative en 2023 et l’inflation recule mais un rythme qui est encore insuffisant donc on peut pas dire que l’économie russe est aux Zénit et on peut effectivement anticiper un retournement vers peut-être

Vers une récession dans les dans les les mois et les semestres à venir mais elle part d’une base relativement solide en terme de de chômage et en terme de de revenus des ménages car grecou peut-être une une réaction làdsus et et peut-être aussi est-ce que la Russie elle néglige

Par la même d’autres d’autres secteurs est-ce qu’elle ne diversifie pas assez son économie alors c’est là tout tout l’enjeu mais je voudrais d’abord rebondir sur le sur la comparaison pays européens et et Russie c’est complètement aberérrant parce que on on peut pas comparer les régimes de croissance d’un pays en développement et

Les régimes de croissance d’un pays avancé un pays un pays en développement ou un pays émergent à nécessairement structurellement un taux de croissance qui doit être beaucoup plus important et c’est là en réalité le nœud de la question à court terme on peut avoir tous les chiffres qu’on veut on ne

Pourra rien dire ou alors une chose est son contraire ce ce qui va compter c’est la dynamique de la croissance de la Russie à long terme est-ce que dans le long terme la Russie va dévier de sa trajectoire de croissance d’avant la guerre on a déjà des chiffres le FMI

Avance pour 2023 un écart de croissance de 4,9 % à l’horizon 2026 ce sera 7 % mais ces chiffres sont déjà bien importantsin mais ce qu’il faut prendre c’est l’effet cumulé donc d’ici entre 2022 et 2026 en cumulé on est entre 25 et 30 % de régime de croissance de

Croissance en moins donc c’est un effet significatif et tout l’enjeu dans le long terme pour la Russie pour éviter ce décrochage là sera justement d’investir dans les secteurs productifs pour recréer de la richesse doper un peu les facteurs de croissance endogène et est-ce qu’elle peut se passer des technologies occidentale c’est mais

C’est difficile pour elle c’est difficile pour elle parce qu’elle atisé enfin elle avait tomisé sur ce qui était l’énergie alors c’est vrai que c’est un immense pays avec énormément de ressources et qu’on se dit que malgré ça elle a pas plus parce que c’est c’est ça aussi le la réalité de l’économie russe

C’est que avec tout ce qu’elle a en richesse de sous-sol or avec le choix de l’économie sur bon centré sur l’énergie et les problèmes qui sont en effet les sanctions et puis aujourd’hui les dépenses militaires on a en effet un un un un miroir qui est un peu biaisé et

Qui ne donne pas une juste réalité et puis bon on a on a la production en effet de ces armes qui est parce qu’il y a l’économie de guerre faut bien là aujourd’hui on a l’impression que sur le terrain c’est un peu gelé les avancées militaires sont vraiment réduite à por

Congru on a l’impression que et l’armée ukrainienne et l’armée russe sont en train de reconstituer leurs forces pour être prêt après après l’hiver à investir le terrain mais on voit bien qu’ils ont fait un effort de de de de de de production ceci étant dit dans le dernier classement et pour la première

Fois ils étaient numéro 2 en exportation on voit bien que les sanctions leur effet puisque ils se sont fait doubler par la France sur le podium pour l’année 2023 selon l’institut de Stockholm qui est suédois et qui n’est pas critiable sur ce SPL vous aviez commencé à mentionner tout à l’heure d’autres

Points noirs de l’économie russe vous avez parlé de l’inflation il y a aussi les taux d’emprunt qui sont élevés 16% sont élevés autour de de 16 % aujourd’hui mais c’est deux fois l’objectif de la Banque centrale russe oui tout à fait parce qu’il y a eu cette

Remontée de l’inflation en 2023 donc on peut dire que l’économie russe est aujourd’hui dans une situation de de surchauffe elle est probablement au-dessus de son potentiel productif là où en revanche il y a des des points positifs qui sont insuffisamment soulignés c’est que ces dépenses notamment dans le secteur militaire ont

Eu aussi un impact dans l’industrie au-delà du seul secteur militaire est-ce que cet impact est durable et est-ce qu’il va permettre de renverser une tendance qui était celle de de déclin de l’industrie russe depuis 20 ans ça c’est quelque chose qui sera intéressant de de de noter même si derrière effectivement

Il y a ce poids des sanctions et de tout les de tout cet environnement négatif qui peut aussi peser sur cette économie il y a un autre risque peut-être que vous n’avez pas mentionné c’est la pénurie de main d’œuvre avec une démographie déclinante la fuite des cerveaux à l’étranger ou la fuite des

Bras sur le sur le front est-ce que finalement la la démographie ça n’est pas le talon d’achile de la Russie alors la démographie c’est une force qui joue vraiment dans dans le long terme à court terme je pense que la Russie on l’a déjà vu elle réussi à trouver de la main

D’œuvre à envoyer sur le front donc je pense qu’elle pourra quand même puiser dans un stock de personnes sans emploi pour pour ses besoins industriels donc voà on a vu que tous les indicateurs n’étaient pas n’était pas ouvert utiliser les bénéfices provenant des avoirs gelés de la Russie dans l’Union

Européenne pour armer l’Ukraine les dirigeants européens il sont favorables quels montants sont en jeu et avec quelle conséquence les précisions d’Alexandra quarini et Elisa Herbet des armes pour l’Ukraine grâce à de l’argent russe c’est le plan présenté par l’Union européenne ce mercredi la proposition soumise aux États-membres utiliser les bénéfices générés par les

Avoirs russes j’espère que nous pourrons bientôt parvenir à un accord et transformer les billets de banque en armes car vos soldats ne se battent pas avec des billets de banque après l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par Moscou en 2022 ce sont près de 20 milliards d’euros d’actifs de

La Banque centrale russe qui ont été gelés des avoirs aujourd’hui détenus dans différentes monnaie de l’Union européenne le montant total qui pourra servir à l’Ukraine dépendra des taux d’intérêt mondiaux mais selon les premiers calculs il devrait avoisiner les 3 milliards d’euros par an sur cette somme 90 % serviront à acheter des armes

Et les 10 % restants à redresser et reconstruire le pays le Premier ministre ukrainien a exprimé sa gratitude mais en demande davantage nous insistons sur la confiscation totale ou l’utilisation de tous les avoirs gelés je veux dire l’ensemble des avoirs russes gelés la Russie n’a pas tardé à

Réagir c’est du banditisme pur et simple du vol ces actions constitu une violation flagrante et sans précédent des normes internationales fondamentales Moscou menace l’Union européenne de poursuite judiciaire sur des décennies si le projet est approuvé mais pas de quoi inquiéter les responsables européens pour qui le plan est juridiquement

Sûr David Ivan première question saisir les intérêts des avoir russes est-ce que c’est légal ah on ne vous on ne vous entend plus ah ça y est on vous entend allez-y ah excusez-moi est-ce que c’est légal je vous repose la question oui vous m’entendez très bien ok oui parce que on parle actuellement

Des des bénéfices artificiels qui qui ont été accrus sur les sur les sécurités russes tenu par une société en Belgique donc c’est c’est des de argent qui qui qui n’est pas de toute façon qui n’appartiennent pas aux Russes c’est des des bénéfices artificiels c’est quoi des bénéfices artificiel pardon c’est-à-dire

C’est c’eston c’est un peu compliqué à expliquer mais c’est pas les intérêts c’est c’est le le fait que avoir des des sécurité qui qui qui qui vient à l’échéance qui sont réinvestis et la société qui gère ça fait des bénéfices à côté et donc c’est cet argent là que

Nous puisons dans dans les cas actuel choses autre question c’est quoi ça quoi faire du du capital et et d’ailleurs c’est 210 210 milliards en Europe mais c’est 300 milliards globalement y compris aux États-Unis au Japon et ailleurs et et ça c’est une une toute autre question don la question juridique

Est beaucoup plus difficile mais pour la le le l’argent en question nous n’avons aucune doute sur sur la la la légalité de l’action et sur l’importance de donner cet argent rapidement aux Ukrainiens qui ont surtout besoin d’armes et d’assistance militaire immédiatement pour autant un Moscou a immédiatement protesté en menaçant

L’Europe de représaill David Ivan à quoi faut-il s’attendre j’ai aucune idée le représaille c’est déjà la guerre donc je pense que c’est pas étonnant qu’il réagisse de cette façon mais l’important c’est que nous puissions faciliter la livraison d’armement rapidement à l’Ukraine qui en a impérativement besoin avec tout ce qu’il souffre tous les

Jours al cat je je vous voyais réagir oui non je pense que David aussvan a a raison sur le caractère légal de ces de ces actions parce qu’en effet ce sont des des des profits réalisés par une société privée en l’occurrence Euroclear sur ces avoirs qui ont été placés sous

Séquestre maintenant si on va au-delà et qu’on qu’on s’attaque au capital ou au principal de ces avoirs c’est c’est une une autre discussion par parce que là ça veut dire quelque part mais c’est d’autres sommes déjà c’est d’autres sommes et puis surtout ça veut dire quelque part que ça ça équivaudrait à un

Défaut de certains pays européens sur leur leur dett vis-à-vis de la Russie parce que ces ces avoirs sont en grande partie des obligations de l’État allemand de l’État français et d’autres États européens et donc là il pourrait y avoir une bataille juridique effectivement engagé par la la Russie auprès des juridictions internationales

Pour contester ce qui s’apparenterit euh à un défaut ou à une confiscation euh de ces de ces avoirs qui est en fait illégal euh du du du sur le sur le plan du droit international et David suliivan parmi les représailles est-ce qu’on peut imaginer une une reprise en main à bon

Compte des des actifs qui ont été laissés les des entreprises par exemple européennes qui euh euh dont dont les dirigeants ont dû partir mais la la Russie euh fait cela déjà hein il rendre il rendre presque il donc c’est c’est déjà un un jeu qui qu’est-ce que ça vous

Inspire parce que on a appris selon l’agence Reuters que des des des modèles SUV de de de de Peugeot ont été enfin de de Citroën en l’occurrence continue de sortir de de l’usine de la banlieu de de de de Moscou de Kaloua et ce malgré et bien l’arrêt de la production des

Citroënes en Russie et ce sont des modèles qui seraient fabriqués à partir de kit venant de de donongfeng l’ancien partenaire chinois de Peugeot Citroën stellantis dit qu’il n’est pas au courant qu’est-ce que ça vous inspire et est-ce que c’est un autre type d’importation parallèle contre lesquels finalement les sanctions ne peuvent pas

Grand-chose bon ça démandte que que la Russie n n’est pas un pays de droit c’est-à-dire que de toute façon nous sommes dans une situation où la Russie ne respecte plus le droit international et et donc il faut il faut s’attendre à ce type d’activité c’est ce que je veux

Dire c’est sur vraiment l’efficacité des sanctions puisqu’il y a eu des précédents en Iran on a vu des voitures Peugeot qui continu être à être produite après le le départ du constructeur est-ce que bah finalement si on si on regarde pas seulement le cas de la Russie mais les sanctions vers d’autres

Pays on pense à l’Iran à la Corée du Nord est-ce que finalement c’est efficace non mais je pense que il y a toujours des exemples des des des des effets pervers mais il faut toujours regarder l’impact global sur sur et l’effet des sanctions et l’objectif que nous recherchons donc c’est comme le

Contournement je je dis toujours il y aura toujours du contournement dès qu’il y a des sanctions l’important c’est de le rendre plus difficile plus plus cher et plus compliqué de de faire le contournement et c’est ça que nous faisons tous les jours pour assurer un meilleur impact mais il y aura toujours

Des effets un peu peu vers et des résultat non directement souhaité mais c’est c’est c’est le prix à payer pour imposer des sanctions euh en retour d’une agression et et d’une d’une comportement tout à fait inacceptable donc il faut il faut accepter aussi que nous nous allons certainement aussi

Payer un prix en partie pour pour cet effort mais on restera sur sur ce mot de la fin et on vous réinvitera pour tirer un bilan de de ces sanctions et peut-être des mesures de rétorsion prises par Moscou en tout cas merci beaucoup à tous les quatre d’avoir

Accepté notre invitation merci à vous de nous avoir suivi l’information continue sur France [Musique] 24

Sans surprise, Vladimir Poutine a été réélu président de la Fédération de Russie. Une élection condamnée par l’Union européenne, qui impose de nouvelles sanctions, en réponse à la mort de l’opposant Alexeï Navalny. Deux ans après le début de l’invasion de l’Ukraine, ces sanctions sont-elles vraiment utiles et efficaces ?

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