Explosion de la dette publique : La France plus dangereuse que les États-Unis et le Japon !
Bonjour à toutes et à tous et ravi de vous retrouver malgré la canicule. Nous sommes évidemment toujours là pour vous, pour vous parler d’économie justement comme il fait chaud et bien voilà, ça y est, nous mettons le t-shirt France, ce n’est pas sérieux. Ça y est, il est distribué dans toute la France au travers évidemment du site marktoiti.com. Donc n’hésitez pas, on est déjà à quasiment 200 t-shirts livrés à travers la France. Merci beaucoup, vous êtes formidable. Alors pourquoi nous faisons ça ? tout simplement pour dire à nos dirigeants “Stop, ça suffit de faire n’importe quoi, ça suffit de ne pas être sérieux. Il faut être sérieux, faire preuve de bon sens et notamment sur la dette publique qui continue d’exploser. Les chiffres de l’INC viennent de sortir sur le premier trimestre 2025 et évidemment comme on s’y attendait, la dette publique française a battu un nouveau record historique. Est-ce que c’est grave ?” Oui, bien sûr, c’est grave. Certains me disent oui mais bon au Japon, aux États-Unis, c’est pire et cetera. Alors justement, ça sera la question de cette vidéo, l’une des grandes questions. Est-ce que ce qui se passe en France est plus dangereux qu’aux États-Unis ou au Japon ? La réponse, évidemment, je vous la donne. Elle est positive. Oui, c’est bien plus dangereux, bien plus grave. On va voir dans le détail tout à l’heure pourquoi avec bien sûr les graphiques réalisés sans trucage. Il y aura également la question de la semaine là aussi, vous avez été très nombreux à me parler de l’euro-dollar. C’est vrai que l’euro monte, le dollar donc baisse, on est à 118 dollars pour 1 €. Est-ce que ça va durer ? Grande question, ça sera la question de la semaine. On y répondra et bien sûr, on terminera comme d’habitude avec la bonne nouvelle de la semaine. Il y en a une, c’est quasiment la même que la semaine dernière mais on verra, c’est assez important tout de même pour les perspectives notamment en terme d’inflation. Alors, on commence tout de suite parce qu’il y a beaucoup de choses à dire, beaucoup de graphiques à regarder, beaucoup de chiffres à commenter avec donc ce graphique assez incroyable. Alors, je préfère vous prévenir, c’est un graphique un peu dur à supporter mais vous le connaissez déjà parce que malheureusement et bien de trimestre en trimestre, il ne cesse d’augmenter. C’est un petit peu comme la tyrolienne ceux qui souviennent, je crois que c’était le juste prix à l’époque où globalement il y avait ensuite le le tyrolien qui s’effondrait. On monte, on monte et un jour et un jour évidemment ça va complètement s’effondrer. Voilà donc cette dette publique de la France 3346,8 milliards d’euros au 1er trimestre 2025. C’est incroyable. Depuis le début 2020, 958,4 milliards d’euros d’augmentation. Les chiffres sont complètement fous, hein, bien entendu, avec parallèlement depuis 2017, depuis l’arrivée de monsieur Macron à l’Élysée, quasiment 1100 milliards d’augmentation de la dette publique. Encore une fois, ce n’est pas sérieux. Il faut vraiment que nous réagissions. Ce qui me rend fou pour tout vous dire, c’est que personne ne réagit. On trouve ça tout à fait normal. Même les marchés finalement, les taux d’inté un petit peu monté autour des 3,3 % sur le taux 10 ans. Rien de grave. On pense que tout ça est tout à fait normal. Motion de censure, la réforme des retraites et cetera. Non, tout va bien dans le meilleur des mondes en fait. Bon, on se prépare je pense pour la rentrée qui risque d’être extrêmement compliqué. Pourquoi c’est grave justement d’avoir cette augmentation de la dette publique ? À la rigueur, si cette dette publique se traduisait par une croissance plus forte, on pourrait dire, ce n’est pas grave, finalement, c’est notre modèle de croissance, tout va bien. Mais malheureusement, ce n’est pas le cas. Plus cette dette augmente, moins la richesse que nous créons en France augmente. C’est ça le drame. Et regardez bien, ces chiffres font vraiment froid dans le dos. Vous voyez ici donc l’évolution comparée du PIB en France, donc augmenter de l’inflation, ce qu’on appelle le PIB en valeur et donc de la dette publique. Donc la dette publique, c’est la courbe rouge. La dette donc le PIB en valeur, c’est la courbe bleue. On voit que en 1996-97, il y avait un écart l’avantage du PIB. Alors on dit oui mais le PIB c’est un un flux de revenu effectivement alors que la dette c’est un stock de dette. Mais tout de même à l’époque voyez on avait plus justement de revenus que de dette avec le temps tout en 20 comme disait Léoferé mais oui ça continue malheureusement on a cette situation de drame où nous avons cette dette qui augmente beaucoup plus vite que le PIB. Regardez bien les chiffres. Donc depuis euh la fin 2019 jusqu’au prer trimestre 2025, la dette publique française a augmenté, on l’a vu tout à l’heure, 958,4 milliards d’euros. Mais sur la même période, le PIB en valeur, le PIB donc français a augmenté de l’inflation, a augmenté de 500,8 milliards d’euros, chiffre bien sûr de l’INC. Ce qui veut dire qu’il manque 457,6 milliards d’euros. quasiment 460 milliards d’euros ont disparu. C’est-à-dire que la dette augmenté mais ça ne s’est pas traduit par une augmentation de notre richesse. Donc ça veut dire énormément hein de gaspillage et c’est ça qui fait froid dans le dos. Et parallèlement quand on dit que cette dette publique ne coûte rien, quand on voit que sur 15 ans la charge d’intérêt de la dette avoisine les 1000 milliards d’euros rendez-vous compte complètement jeté par les fenêtres. Encore une fois, c’est un drame. Ce qui est encore plus dramatique, c’est que cet écart entre la croissance de la dette et la croissance du PIB ne cesse de se creuser depuis des années et depuis des décennies. Regardez bien ce graphique depuis 2007. Vous vous souvenez 2007 c’était soi-disant l’année de la rupture et ben là aussi ça fait froid dans le dos. Voilà l’augmentation de la dette publique donc du 1er trimestre 2007 au 1er trimestre 2025 + 168,9 %. chiffre de l’INCZ incroyable évidemment ça s’est aggravé ces dernières années he bien entendu mais sur la même période de combien a augmenté le PIB en valeur ça veut dire la richesse que nous créons en France augmenter de l’inflation regardez bien 568 % du simple au triple ça veut dire que la dette publique a augmenté trois fois plus que le PIB ce n’est évidemment pas sérieux c’est extrêmement dangereux alors on va me dire oui mais bon on ne pouvait pas faire autrement tous les pays ont fait la même chose. C’est absolument faux. La plupart des pays ont une augmentation, donc un écart beaucoup moins élevé. Il y a même des pays qui ont une dette qui augmente moins que le PIB et notamment nos voisins allemands. Regardez bien ces chiffres. Alors encore une fois, regardez bien le graphique d’avant hein, 168,9 % sur la date BIC. Le même graphique donc depuis 2007 en Allemagne 66,6 % d’augmentation. Alors on n pas encore le premier trimestre 2025 mais tout de même voyez 67 % il y a 100 points d’écart pour faire simple. Et sur la même période, le PIB en valeur, la courbe bleue a augmenté de 74,9 %. Ce qui veut dire que là, ça marche. Le PB en valeur, la richesse concré augmenté de l’inflation a augmenté plus que la dette publique. Donc là, ça peut se comprendre, ça peut s’accepter finalement mais nous malheureusement on dérape complètement avec donc un ratio d’aide publique par rapport au PIB, donc qui évidemment était monté à quasiment 120 % pendant le corona mais c un petit peu particulier. Après ça s’est réduile tout à fait logiquement mais là ça repart à la hausse. Vous voyez que il y a aucunement l’intention de nos dirigeants de réduire évidemment cette dette par rapport à notre PIB. On est maintenant à 114 %. Regardez les chiffres. On était à 65,5 % en 2007, 98,2 en 2019, 117 donc en 2021. Après évidemment logiquement ça baisse 109,8 en 4e trimestre 2023 et là on repart à 114 %. Encore une fois, ce sont nos dirigeants qui ont laissé faire, voir qui ont été volontaires dans cette augmentation de cette dette publique qui encore une fois ne génère pas d’activité, ne génère pas de croissance. Alors, autre question que vous que vous me posez souvent, vous me dites “Oui, mais d’où vient cette dette ?” Bah, elle n’est pas tombée du ciel. N’oublions pas que la dette c’est le cumul des déficits publics et comme nous le dernier excédent public remonte à 1974 je monte parfois ce graphique he c’est ici le petit truc bleu là 1974 dernier excédent depuis que des déficit regarde bien ce drame que des déficits he c’est les bâtonnés le dernier étant cette année avec au moins 6 % de difficult par rapport au PIB et donc mécaniquement bah voilà le cumul des bâtonnet bleu vous voyez que en 1974 on avait une dette publique qui était donc inférieur à 20 %. Et puis voilà, là aussi avec le temps tout s’en va comme on le dit. Et donc nous avons aujourd’hui 114 %, on sera bientôt à 116 % d’ici la fin de l’année 2025. chiffre du FMI que tout le monde d’ailleurs corrobor ce qui veut me dire que la situation est dramatique. Si on regarde sur la même période ce qui s’est passé par exemple en Allemagne, enfin un plus moins puisqueévidemment il y a eu la réunification 91 et bien les Allemands ont su faire des excédents publics. Voyez de 2012 à 2019 par exemple ou encore en 2017. Voilà. Donc faire des excédents publics, c’est possible. Il suffit d’en avoir la volonté. Le courage aussi c’est sûr. Mais avant tout la volonté. Si on lâche complètement les données publics, on va sait ce qui se passe aujourd’hui nos dirigeants qui ont disant tout va bien, tout est sous contrôle, l’État Pat et cetera. Bref, on voit bien les dégâts que cela se traduit. Alors, comment maintenant se réparti cette dette publique en France ? Là aussi, chiffre du 1er trimestre 2025. Donc, on retrouve ce chiffre 3345,8 milliards d’euros de dette publique. Donc, l’essentiel de cette dette vient évidemment de l’État. Voilà, l’État à lui seul à 2723,7 milliards d’euros de dette publique, ça veut dire 81,4 % du total. Et depuis euh la fin 2019, cette dette publique de l’État, donc un immen de l’État, augmenté de 42,5 %. Là, on a les fameux Zodac, hein, organisme d’administration centrale, donc 69,7 milliards. Ensuite, on a administration publique locale donc 262,5 milliards, 7,8 % du total. que ça augmente quand même seulement de 26 %. Par contre, dette sociale 289,9 milliards d’euros, donc 8,7 % du total mais ça augmente de 49 % depuis donc la fin 2019. Donc ça montre bien que malheureusement cette dette publique se généralise. C’est toujours l’État évidemment qui centralise l’essentiel de cette dette plus en plus l’administration sociale. Ça veut dire qu’il va falloir là aussi faire des efforts, mieux gérer he dépenses publiques, mieux gérer nos dépenses sociales et surtout nos dépenses de fonctionnement, ne l’oublions pas, qui représentent plus de 32 % des dépenses publiques. C’est là où il faut faire évidemment des efforts. Ça augmenté de 95 milliards d’euros depuis 2021. ce n’est plus possible. Et donc vous voyez, la France évidemment est toujours numéro 3 de l’Union européenne en terme de dette publique par rapport au PIB. Alors là, ça c’est le chiffre du 4e trimestre puisquon a’ pas encore les chiffres du premier trimestre 2025 pour tous les pays de l’Union de l’Union européenne. Quand on les aura, évidemment, je vous en parlerai. Donc là, on est à 114 %. Vous voyez que l’Italie, l’écart se resserrent avec l’Italie. Bon, la Grèce est encore loin bien entendu, mais néanmoins, n’oublions pas que la France est l’un des pays qui a le plus augmenté son ratio d’aide publique par rapport au PIB. Donc là, on était à 14,8 points de PIB euh fin 2024. On est bientôt donc à plus de 15 et demi points de PIB. C’est énorme évidemment, sachant que d’autres pays ont réduit ont réduit leur dettes publiques, la Grèce, euh le Portugal évidemment fortement et d’autres pays l’ont augmenté de façon très modérée. Donc voilà, le drame aujourd’hui, c’est que la France dérape complètement sur sa dette publique et malheureusement rien n’est fait. Alors, c’est vrai que quand on regarde sur longue période, on l’a vu tout à l’heure, mais si on regarde pendant les différents présidents, premier ministres et cetera que nous avons eu en France, ben à chaque fois, on augmente cette dette publique. Voyez donc la courbe rouge, c’est la dette publique par rapport au PIB. Vient, encore une fois, on revient, on était à moins de 20 % dans les années 75. Jiscar, ça a un petit peu augmenté. Après Méran, évidemment, voilà, c’était la la flambée. Jospin Chirac, ça augmenté mais un petit peu moins. Il y avait notamment la révolution internet, ça a permis de calmer le jeu à l’époque. Sarkozi, Hollande, Macron. Voilà, ce sont évidemment les trois champions évidemment de l’augmentation de notre dette publique avec une mention spéciale pour Macron dernièrement. C’est vrai que là, rien n’est fait et puis ça ne s’arrête pas hein. Puis de façon tout à fait tranquille, j’ai envie de dire. Tant que lesanges de notation ne dégradent pas la note de la France, évidemment, rien ne se passe mais ça va arriver inévitablement à la rentrée. C’est une question de semaine globalement, surtout si il y a donc une motion de censure qui sera certainement pas votée aujourd’hui mais plutôt je dirais à la rentrée avec parallèlement donc de nouvelles élections législatives et même s’il y a si ça tient encore comme le budget 2026 va être très compliqué à mener pour réduire donc justement ce déficit public à ce moment-là là je pense que les agences de notation n’auront pas le choix. Elles devront dégrader fortement la note de la France. Et le problème c’est que plus cette dette augmente la courbe rouge, plus la croissance qu’on pourrait appeler structurel, ça veut dire la croissance qui s’obtient lors d’un fonctionnement normal de l’économie. Voyez, on était à 4,5 % les années 70-80, on est maintenant autour des 1 %. Donc ça reste extrêmement faible, voit plutôt autour des 0,9 %. Donc ce qui veut dire que voilà, plus j’augmente ma dette, plus ma croissance baisse. Donc ça ne marche pas. Ça ne marche plus. Tous les pays dans le monde l’ont compris, sauf nous malheureusement. Et le drame, c’est qu’on regarde cette dette publique par rapport au PIB. Voyez, une sorte de d’abus de langage que le PIB, c’est toute l’économie. C’est pas que le public, c’est également le privé. Si maintenant on regarde la dette publique par rapport euh ben aux recettes publiques, une sorte de chiffre d’affaires entre guillemets de la puissance publique, alors là regardez bien, nous sommes à 223 % de dette publique par rapport aux recettes publiques. Donc voilà, imaginez une entreprise donc surendetté à 223 %, c’est évidemment particulièrement dramatique. Et si on regarde là aussi au niveau national, on regarde toute la dette publique et privée, même ça par rapport au PIB. Là aussi, on est autour des 400 % de dettes globales. Donc ça veut bien dire que on est surendetté. Donc tant qu’effectivement cette dette génère de l’activité économique, on arrive à rembourser les intérêts de la dette. Ça passe. Malheureusement depuis 2007. Juste pour rembourser les intérêts de la dette, il faut encore s’endetter. C’est ce qu’on appelle la bulle de la dette qui ne cesse de s’accroître. Pour l’instant, il y a pas encore de sanction mais on voit que les taux d’intérêt augmenteent hein. Donc certainement, on va débourser 70 milliards d’euros juste pour payer les intérêts de la dette. 100 milliards d’euros très rapidement. Vous voyez que ça dérape complètement et il n’y a plus de contrôle. C’est ça qui est extrêmement dangereux. Donc si vous voulez regarder maintenant les tristes performances, je dirais de de la France malgré l’augmentation de cette dette. Voilà les chiffres hein. Donc du de 2007 au 1er trimestre 2025, datte publique augmenté donc de quasiment 170 %. Regardez bien le la dette publique par habitant. aussi on en parle pas beaucoup mais on est à 140,5 % d’augmentation hein depuis 2000 2025 ce qui veut dire 48765 € par français de dette publique. Merci l’état. Est-ce que dire c’est dès qu’un bébé né, il y en a de moins en moins certes, mais quand même il n avec quasiment 49000 € de dette publique pour lui. Voilà. Ben il qui devra rembourser évidemment en partie avec bien entendu surtout les intérêts qui vont continuer là aussi d’augmenter dette publique par rapport au PIB. Donc euh on l’a vu 48,5 points d’augmentation au total depuis 2007. Donc on est donc à 114 % on l’a vu tout à l’heure par rapport au PIB. Regardez bien encore une fois si cette date publique a explosé le PIB en valeur n’augmenté que de 56,8 % et parallèlement le PIB par habitant en valeur a augmenté de 41,1 %. Ça c’est quand même assez incroyable. La dette publique par habitant a augmenté de 140 % depuis 2007 alors que le PIB par habitant en valeur donc avec l’inflation a augmenté de seulement 41 %. Voyez a 100 points d’écart, c’est évidemment énorme aujourd’hui. Voilà 43000 € de PIB par habitant sur une année bien entendu. Voilà 100 points d’écart entre l’augmentation de la dette par habitant et la richesse qu’on crée par habitant. Ce n’est plus possible. Ce n’est pas sérieux bien entendu mais ce n’est plus possible. de continuer ainsi. Alors évidemment certains me disent “Oui, mais bon, au Japon, c’est encore pire.” Donc, arrêtez de nous parler de la France parce que la dette publique au Japon est bien plus élevée. Alors, justement, regardons ce qui se passe au Japon. Voilà. Donc, en 2025, dette publique par rapport au PIB, voyez qu’on est à 234 %. Ça a d’ailleurs baissé par rapport au quasiment 250 % qu’on avait il y a quelques années. Alors qu’en France, ça continue d’augmenter, hein. Donc, on est quand même bon 116 %. Je vous rappelle queévidemment si on ajoute le hors bilan, on est à 7500 milliards d’euros hein de de dette publique. Donc c’est quand même bien plus élevé. Mais bon, admettons, on va prendre les normes que nous regardons avec l’INC. Donc c’est ça qui est intéressant, c’est de voir la variation donc depuis 1980. Donc cette dette, ce ratio dette publique par rapport au PIB a fait x 4,9 au Japon alors que chez nous en France, il a fait x 5,5. Dire que l’augmentation est bien plus forte évidemment. Donc les Japonais qui ont connu une déflation, qui connu une crise extrêmement grave évidemment donc ont abusé de cette dette. Mais finalement chez nous par rapport à notre PIB, elle a plus augmenté qu’au Japon. Donc ça c’est un premier point. Deuxème point très important le poids des dépenses publiques par rapport au PB. Et là ça va vous surprendre. Regardez bien en France. Alors chiffre harmonisé évidemment par le FMI comme ça il y a pas de trucage encore une fois 57,3 % en 2025 dépenses publique par rapport au PIB en France. Ça sera même d’ailleurs certainement 58 mais bon admettons, au Japon, c’est seulement 39,6 % du PIB. C’est dire que j’ai envie de dire, ils ont encore de la marge finalement parce qu’ils ont beaucoup moins de dépenses publiques par rapport à nous et donc également moins d’impôts. C’est ce qui fait que globalement une situation sur le Japon qui permet de continuer malgré tout et c’est ça qui est particulièrement dangereux pour nous. Alors d’un autre côté, ça nous dit queon a peut-être aussi des moyens de la réduire parce qu’on peut réduire nos dépenses publiques. Mais pour ça, il faut évidemment avoir encore une fois la volonté et le courage politique. Deuxième enjeu, le taux de chômage. Au taux de chômage, il y a beaucoup d’emplois à vie comme vous le savez, pas que dans la fonction publique, mais dans beaucoup de grandes entreprises. Donc ce taux de chômage se maintient à 2,5 % alors que chez nous, il est actuellement autour des 7,7 %. Je pense qu’il sera même à 9 % d’ici la fin 2025. Donc ça effectivement, c’est aussi une clé de différence. C’est-à-dire que finalement au Japon euh cette dette réussit à générer un peu de croissance, un chômage faible, ce qui malheureusement n’est pas le cas chez nous. 4e point, qu’est-ce qui sauve le Japon ? Et bien, c’est essentiellement ses efforts de recherche développement, son innovation malgré la baisse de la population donc japonaise, malgré cette dette publique, les Japonais continuent d’investir dans l’innovation, dans la recherche développement. Voyez, c’est toujours 3,3 % de leur PIB alors que chez nous, c’est 2,2 %. dire bon l’écart c’est pas énorme. Oui mais bon sur 20 ans cet écart ça s’appelle évidemment un retard technologique. Japon les Japonais ont également notamment beaucoup investi dans tout ce qui est robotique. Mais néanmoins le problème c’est là on a une situation un petit peu délicate pour nous. C’est ce que dit le général de Gaul en son temps hein. Il disait des chercheurs qui cherchent on en trouve. Des chercheurs qui trouvent on en cherche. Évidemment vous la connaissez. C’est tout le problème c’est que on a une recherche appliquée insuffisante. On a beaucoup de recherches fondamentales. Très bien. On a parmi les meilleurs chercheurs du monde tant mieux. Sauf quand il s’agit de d’appliquer cette recherche à l’entreprise, ben là c’est beaucoup plus compliqué. D’ailleurs, pour les entreprises qui font de l’innovation, je vous conseille de faire faire votre innovation avec vos clients pour savoir justement ce qu’ils veulent parce que si on fait de la recherche juste pour se faire plaisir, ça ne servira pas à grand-chose. Donc c’est là tout le problème, c’est qu’il n’y a pas assez de pont entre la recherche fondamentale et la recherche appliquée. Et on voit qu’on a raté malheureusement toutes les dernières révolutions technologiques, que ça soit dans l’énergie, l’agroalimentaire, le tout ce qui est voiture électrique également par exemple, tout ce qui est numérique bien entendu, ça commencé par l’internet, le numérique maintenant l’IA, la robotique et cetera et que la France malheureusement est très loin alors que on a la capacité justement d’y arriver mais malheureusement ben ce n’est pas le cas. Et regardez bien dernière ligne, c’est nos amis chinois qui ont bien compris, c’est devenu la deuxème puissance mondiale en valeur absolue en RD derrière les Américains et dans les énergies renouvelables. C’est même la première puissance en recherche développement donc en valeur absolue, c’est la Chine devant même les Américains. Donc on comprend bien que ben on a cette situation où malheureusement bah la France innove insuffisamment et donc ne ne joue pas l’avenir finalement. donc n’a pas assez de croissance notamment dans les secteurs porteurs et ce qui fait que malheureusement ben cette fameuse startup nation c’était beaucoup je dirais du marketing mais très peu de concret c’est ce qui aujourd’hui nous coûte évidemment très cher. Alors pour terminer plus fondamentalement qu’est-ce qui fait la grande différence entre la situation française et japonaise ? En fait il y a trois grandes différences déterminantes he qui je dirais qui qui terminent le tout et qui nous montrent que la situation de la dette publique française est bien plus dangereuse au Japon même si le niveau par rapport au PIB est plus élevé au Japon. Voilà, ces trois raisons. D’abord, les Japonais sont en excédent permanent de la balance courante 4,8 % de leur PIB en 2024, 3 % moyenne depuis 2000. Alors que nous, malheureusement, on a un déficit de nos balances courante, hein. Euh, ça veut dire les échanges commerciaux avec les services et les flux de transfert. Vous voyez, on est en déficit de 03 % chaque année, donc depuis 2000 en moyenne. Ça veut dire qu’on a besoin du reste du monde pour financer justement nos dérapages, pas que notre dette publique, mais également nos nos déficits euh extérieurs. Deuxième grande différence, on en parlait tout à l’heure, la charge d’intérêt de la dette. C’est à peu près 0,5 % du PIB japonais. Même si les taux d’intérêt ont un petit peu augmenté au Japon, ils sont encore loin ce qui se passe chez nous. Donc ça reste jouable. Par contre chez nous la charge d’intérêt de la dette c’est 2,4 % de notre PIB qu’on va devoir trouver et donc ben jeté par les fenêtres puisque c’est évidemment ces charges de la dette, ça profite à ceux qui détiennent notre dette mais ça profite pas malheureusement à l’économie française notamment au ménages et aux entreprises. Et puis enfin dernier point peut-être le plus important à peu près 98 % de la dette publique japonaise est détenue par des Japonais. Donc ils ont cette épargne captive. Donc finalement, quoi qu’il arrive, qu’elle soit le niveau de la dette, c’est les Japonais eux-mêmes qui financent leur dette alors que chez nous, 54 % de notre dette publique est détenu par des étrangers, par des nonrésidents. Alors évidemment, jusqu’à encore quelques années, la Banque de France nous le disait hein, le le détail euh de ces non-résidents. Maintenant, on nous le dit plus. On sait que c’est 54 %. Les dernières estimations qu’on avait, c’était la moitié de 54 %, ce sont des Européens et l’autre moitié, c’est partagé entre les États-Unis, la Chine, les pays du golf. Mais on ne sait pas comment ça évolué dernièrement. Il y a une sorte d’omerta assez incroyable et donc peut-être qu’on peut comprendre également certaines accointance entre les dirigeants français et d’autres pays parce que justement peut-être que la part de notre dette détenue par des pays qui sont pas forcément amis évidemment pose problème. Donc ça ça sera surveillé. Je je ne peux pas donner des c’est parce que je n’ai pas les chiffres encore une fois officiels et je ne parlerai que de chiffres officiels mais voilà, j’ai des petites inquiétudes là aussi malheureusement sur notre indépendance pour l’avenir parce que plus évidemment des États étrangers surtout s’ils ne sont pas forcément amicaux et bien détiennent notre dette. Plus nous sommes en danger, plus nous perdons notre indépendance et plus la France évidemment bah devient le vassal d’autres pays. C’est ça qui est extrêmement dangereux. il faudra le surveiller et je je je demande officiellement que la Banque de France nous donne le détail de ces chiffres aujourd’hui que nous sachions qui détient notre dette justement pour mieux comprendre ce qui est en train de nous arriver en France et éventuellement pour bah que nos dirigeants prennent leur responsabilité qu’il nous rendent des comptes là aussi ce qui serait particulièrement déterminant. Alors bon, ça c’est pour le cas japonais maintenant pour le cas américain parce qu’évidemment on me dit oui mais aux États-Unis aussi ça va mal les sites public annuel voyez on est à 1360 milliards de dollars donc depuis 2009 en moyenne et donc 7,4 % du PIB dette publique 37045 milliards de dollars donc 123 % du PIB vous savez que là au jour le jour il y a la il y a a il y a la cloque comme on dit he de la montre he qui qui nous un comptage seconde après seconde ça existe aussi en France Mais on a ça également aux États-Unis. Donc voyez 30 juin, on est à 37045 milliards de dollars, 123 % du PIB. Dette totale, c’est un peu comme chez nous, 400 % du PIB, donc public et privé. Puis bien sûr difficile d’abances courante, c’est bien plus que bien plus évé que nous. On est à 3,9 % du PIB. Le dernier excédent remonte à 1991. Donc on va dire voilà les Américains eux ils vont mal quand même he c’est c’est à peu près la même situation que chez nous. Mais il y a une différence, il y a deux grandes différences. La première c’est que cette dette génère de la croissance. C’est-à-dire que chez nous cette dette c’est beaucoup évidemment on l’évoquait des dépenses de fonctionnement, on paye le les intérêts de la dette. Donc aux États-Unis, ça génère de la croissance, ça génère de l’investissement. Deuxième grosse différence, c’est que effectivement les Américains ont l’avantage du dollar. C’est-à-dire que le dollar, même s’il baisse, on en parla tout à l’heure, et bien c’est toujours entre 62 et 65 % des réserves de change dans le monde alors que l’euro c’est que 20 % des réserves de change dans le monde évidemment. Donc grâce à cela, il y a une demande mondiale de dollars qui fait que ben quoi qu’il arrive, j’ai envie de dire, quoi qu’il en coûte, c’est le reste du monde qui finance cette dette publique américaine. Vous voyz que le dollar c’est encore 50 % des transactions dans le monde. Donc les Américains, c’est que enfin les États-Unis, c’est que 11 % du commerce mondial. Ce qui veut dire que les deux tiers du commerce en dollar ne sont pas américains. Encore une fois, il y a cette demande mondiale de dollar qui fait que bah finalement bah il faut recycler, ça a été les pétrodollars, après les signes au dollars avec la Chine. Et bien donc ces pays-là justement bah comme ils ont des excédents en dollars, ben ils achètent des bons du trésor américain, ils sont un petit peu obligés. Ce qui donc finance le site extérieur américain et finance également la dette publique américaine sans difficulté. le jour où ça ceci va s’arrêter où donc le dollar ne sera plus le benchmark comme on dit en anglais la référence. Alors évidemment ça va s’effondrer comme un château de cartes mais c’était pas encore le cas. D’ailleurs, c’est pourquoi Trump fait tout ça pour justement maintenir le dollar. Il prend un risque lorsque le dollar baisse parce que ça pourrait justement réduire la l’importance du dollar sur la scène internationale. Donc là il prend un risque quand même assez élevé. Il y a un avantage de court terme parce que si le dollar baisse, ça soutient les exportations mais à long terme si le dollar n’est plus cette référence ça peut poser problème. Le seul avantage des États-Unis, c’est que les Chinois donc ils sont le les seuls concurrents aux États-Unis, hein, et avec le Yan, puisque l’euro n’aura pas les moyens de concurrencer le dollar, bien pour avoir pour concurrencer le dollar, il faudrait un Yan fort. Sauf que les Chinois, s’il y a un an fort, ils n’auront plus d’excédents commerciaux comme aujourd’hui. Donc c’est pourquoi les Américains sont assez tranquilles pendant une bonne dizaine d’années. et le jour où effectivement le yan sera fort et bien là le dollar risque de tomber de son pédestal et là ce sera particulièrement dangereux. Donc en plus comme je l’évoqué à l’instant cette dette publique aux États-Unis génère de la croissance. Donc là on voit bien l’écart de variation du PIB donc hors inflation de 95 à 2024. On est à quasiment donc à 109 % de hausse aux États-Unis alors qu’on a 55 % de hausse dans la en France et 53,4 % dans la zone eure. Donc voilà hein, c’est à peu près du 5 au double hein, du simple au double tout simplement. Ce qui veut bien dire qu’on a une situation aujourd’hui où ben cette dette génère de la croissance. Encore une fois, c’est ça la clé. Si ma dette génère de la croissance, ce qui me permet notamment de payer mes intérêts de la dette sans difficulté, ça passe. Ce qui malheureusement n’est plus le casino. Donc voilà pourquoi la situation française est bien plus compliquée que ce qui se passe au Japon, aux États-Unis. Alors cerise empoisonnée sur le gâteau à l’arsenque hein, j’ai envie de dire pour nous les français mais voilà quand on regarde le PIB par habitant à prix constant voilà depuis les années 90 plus 72 % d’augmentation aux États-Unis 52,8 % au Royaume-Uni, 45 % en Allemagne et seulement 41,8 % en France. C’est ça le drame. On l’évoquait tout à l’heure c’est chiffre du FMI. Ben, on est en train de s’apauvrir hein. La France qui était 11e du monde he dans les années 90 en terme de PIB par habitant. On est maintenant 25e. Donc c’est ça qui est extrêmement dangereux. On nous sommes déclassés dans le mauvais sens du terme. Et donc ce qui veut dire que malheureusement cette dette et bien casse l’activité économique comme on l’a vu tout à l’heure. Et si on regarde le match États-Unis France, regardez bien ça c’est quand même ça fait beaucoup de peine. En 1980 en terme de PIB par habitant la France était donc 11e du monde et les Américains 12e. En 90 on se maintient 12e. Les Américains reviennent à la 10e place. En 2000, il passe, on voit l’importance de la révolution internet, il passe à la 5e place, nous on tombe à la 22e place et aujourd’hui donc son toujours 5e et nous on est 24e, ça c’était en 2024, on sera autour peut-être la 25e place en 2025 selon le FMI. Donc on se rend bien compte que malheureusement ça devient extrêmement dangereux pour nous et donc c’est ce qui fait que cette augmentation de la dette publique est bien plus grave aux en France que aux États-Unis et au Japon. Et dernier point tout à l’heure, on a regardé le match des la dépense publique par rapport au Pays-Bas entre la France et le Japon. C’est pareil avec les États-Unis, voyez, ils sont autour des 37 %, donc on est à plus de 57 % et même l’Argentine, vous voyez, qui a baissé d’ailleurs, j’en parlerai dans bientôt dans une vidéo, l’Argentine qui finalement a réduit ses dépenses publiques et a généré une croissance plus forte, a réussi à casser les aspirales inflationnistes. Donc ça veut dire que c’est possible encore. Faut-il avoir le courage là aussi ce que nous n’avons plus malheureusement en France, on ne sait plus justement, on a plus de courage, on a plus de volonté. Finalement, et c’est ça qui fait quand même très peur. Du moins pas nous hein, les Français au sens lar, nous avons cette volonté mais les dirigeants sont complètement je dirais à la ramasse comme on dit et ils ne veulent plus sauver l’économie française. Donc quand on me dit mais soyez notre ministre de l’économie, moi ça serait avec plaisir bien entendu mais seulement si on me laisse sauver l’économie française et ça pour l’instant je ne suis pas sûr qu’on me laisse y arriver. Alors bon, dernier point, on l’avait évoqué donc au début la question de la semaine avec 7 euro dollars assez incroyable 18 dollars pour l’UR. Regardez, on était à quasiment un contre un il y a quelques quelques mois 18 dollars pour 1 € évidemment entre tempemps monsieur Trump est passé par là, il nous a dit “Je veux un dollar faible.” C’est ce qui s’est produit évidemment et ça fonctionne bien. Le problème, c’est que c’est en complet décalage par rapport à la réalité économique et financière. Et si on regarde d’abord les le différentiel de taux d’intérêt, États-Unis, on est à 4,50 en Europ écart évidemment qui est énorme, donc qui était à l’avantage du dollar. Donc aujourd’hui, on devrait normalement s’endetter en euros à 215 pour placer instantanément en dollar à 450, ce qu’on appelle le carry trade. On ne le fait pas. Donc ce qui veut dire que là aussi, on a des craintes sur l’avenir en terme de dollar par rapport à ce que pourra dire Donald Trump. Mais encore une fois, c’est complètement décalé par rapport à la réalité. Même si vous regardez des écarts de taux d’intérêt des obligations d’État. Donc là, on a ce qui se passe en Allemagne, hein, c’est le marché un peu directeur de la zone euro, 2,5 %, on est à 4,2 % aux États-Unis et que là aussi, on a un écart de quasiment 2 points qui est donc énorme et donc qui montre bien que bah, il y a pas de raison d’avoir un euro si fort par rapport au dollars, sauf une volonté politique euh de Donald Trump. Et enfin, dernier point, et bien, on a toujours le match de la croissance. Les indicateurs avancés le montrent. Alors, on a déjà une croissance plus forte aux États-Unis que dans la zone euro ces dernières années et ça va continuer en 2025. Vous voyez que là, on est sur des niveaux d’indicateur de directeur d’achat autour des 528 donc aux États-Unis à 50,2 dans la zone euro. Donc il y a bien la stagnation chez nous et la croissance soutenue aux États-Unis. Si en plus à la rentrée de septembre, on a une crise en France, ce qui me paraît inévitable, on comprend bien que là aussi l’euro devra baisser fortement. Donc soyons extrêmement prudents. L’euro pourrait même monter un 20 dollars pour un euro disons-le hein, en fonction des déclarations de Donald Trump. Par contre, à la rentrée, ça sera euh je dirais euh l’effet boomerang et l’euro baissera très fortement. Pour terminer, évidemment, comme d’habitude, la bonne nouvelle de la semaine, elle à peu près semblable à celle de la semaine dernière, sauf que ça continue, c’est-à-dire que les prix du pétrole continuent de baisser. On est à 66 dollars le baril de Brain depuis le 29 juin. Donc tant mieux évidemment, ça veut dire que ça va réduire l’inflation. Donc là, on est monté à 78 dollars. La nouveauté, c’est que l’indicateur CRB de toutes les matières premières également a baissé. Donc là, on le voit, ça a baissé de 4,8 % entre le 20 et le 30 juin. Donc c’est quand même assez net, même si évidemment depuis 2024, on a une augmentation de 15,1 % et de 173 % donc depuis 2020. Bon, c’est logique mais néanmoins, on se rend compte que ça se calme sur les cours des matières premières et ça qui est un petit peu dommage pour nous les français, notamment sur les prix du gaz qui vont augmenter, c’est le consommateur qui va payer alors que les les cours internationaux sont en train de baisser. Donc c’est ça qui est un petit peu rageant, c’est quand il a une hausse des prix. Alors là, ça se répercute à la hausse que ça sur les prix euh du pétrole, les prix de l’essence ou ou les prix du gaz ou autres ou les prix de l’alimentation. Et puis quand ça baisse, voyez quand ça baisse, ben là on a pas de répercussion. Donc c’est quand même bien dommage. Espérons que là aussi évidemment ça va changer. Et bon, dernière bonne nouvelle évidemment, merci encore pour ce succès du t-shirt. Alors, il y a eu des petits petite retard à l’allumage, j’ai envie de dire, au niveau des livraisons. Donc, ça se passe en point relais parce que Chronopost en fait, c’est c’est eux qui passent qui le font, je le dis, sans faire de pub. prenez des frais énormes pour livrer à domicile. Donc c’est en point relais finalement c’est vraiment assez incroyable. C’est pas du tout mon métier hein, ni de vendre des t-shirts ni de faire de la livraison. Et je remercie les équipes de Offset et Next série graphique qui m’ont beaucoup aidé. C’est eux qui se chargent justement d’envoyer les t-shirts. Voilà, ils arrivent he donc ne vous inquiétez pas, vous les aurez en temps et en heure parce que il fait chaud justement. Donc c’est l’occasion d’être en t-shirt. D’ailleurs, je vais pas tarder à enlever la veste parce que là je avec cette canicule, on transpire. Donc merci encore une fois de votre fidélité. Merci pour vos pouces vers le haut, pour vos likes, pour vos commentaires vraiment formidable. C’est vraiment très très sympathique. Voilà, je je ça me fait chaud au cœur à chaque fois, je le dis. Donc, continuez, j’y réponds au maximum. Je réponds vraiment à tous ces messages parce que c’est important justement de bah d’alimenter entre guillemets cette flamme. Ça me donne aussi le courage de continuer. C’est vrai que j’ai petits problèmes en ce moment, je vous je bon, je vous en parlerai plus tard. Je vous l’ai promis donc je le ferai un jour mais je veux que ça soit stabilisé avant de d’en parler. Mais c’est vrai que ça c’est incroyable. Mais bon, néanmoins, on garde le moral, on garde l’espoir, on garde la force et c’est grâce à vous. Donc merci encore pour vos likes, pour vos abonnements, pour faire abonner autour de vous, c’est très important pour vos abonnements également premium, il y en a de plus en plus là aussi ça se passe. Donc vous m’envoyez donc vous abonnez premium sur le sur YouTube, vous envoyez un mail sur marctati.com. Donc vous pouvez également vous abonner à la newsletter donc sur macrochip.com et aussi faites très attention, il y a énormément je subis une attaque incroyable organisé, je dis bien organisé à leur par qui c’est compliqué de le savoir avec certitude mais néanmoins, elle est vraiment organisé cette attaque donc sur des sites sur les réseaux sociaux pour me dire “Oui voilà Marc Plati conseille d’acheter tel ou tel produit”. Non, je ne fais jamais ça. Donc euh signaler, bloquer toutes ces personnes, ça soit tous les réseaux sociaux sont concernés he tous he vraiment que ça soit Facebook ou Twitter, YouTube, YouTube, je crois pas, mais euh quoi queon sait jamais, euh WhatsApp également, euh Instagram, même des réseaux que je suis pas dessus, c’est ils en profitent. Donc il faut vraiment les bloquer, les signaler et j’espère qu’on va là aussi pouvoir les éradiquer complètement. Donc merci encore pour tout, vous êtes vraiment formidable. Voilà, je vous le dis, je vous aime. Merci encore. Bonne continuation.
Les trimestres se suivent et se ressemblent pour la dette publique française. En effet, comme cela s’observe de façon continue depuis 2008, cette dernière a atteint un nouveau record historique au premier trimestre 2025. Ainsi, en augmentant de 40,51 milliards d’euros en un seul trimestre (soit + 1,2 %), elle atteint désormais le montant astronomique de 3 345,8 milliards d’euros. Depuis le début 2020, la dette publique française a explosé de 958,4 milliards d’euros. Or, sur cette même période, le PIB en valeur (c’est-à-dire augmenté de l’inflation) a progressé de 500,8 milliards d’euros. Oui, vous ne rêvez pas : il manque 457,6 milliards d’euros…
Dans ce triste contexte, de nombreuses questions se posent :
Pourquoi une telle augmentation ?
Combien de temps cela peut-il durer ?
Quelles conséquences pour l’économie française ? Les citoyens et les entreprises ?
Combien cela coûte-t-il aux contribuables ?
La France fait-il pire que ses voisins européens ?
La situation est-elle plus grave en France qu’au Japon ?
Est-elle également plus dangereuse qu’aux Etats-Unis ?
Quand et comment cette situation va se terminer ?
Question de la semaine : Pourquoi le dollar continue de se déprécier face à l’euro (1,18 : au plus haut depuis septembre 2021) ?
Quelle est la bonne nouvelle de la semaine ?
Réponses à toutes ces questions et à bien d’autres dans cette vidéo, graphiques et tableaux explicites, pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui…
24 Comments
Au Japon c'est peut-être pire mais nous on est en France , donc ……
Marc l’éco c’est comme Lavoisier ! Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. L’argent a disparu pour nous et les graphiques sont effrayants. Toutefois cet argent a bien été utilisé par une certaine population. Nous voyons bien que nous avançons avec des crises provoquées. Que celles ci nous appauvrissent. Virus/vaccin, guerres, climat. L’on retrouve en sortie toujours les mêmes. Et ceux qui payent (Nicolas) ne peuvent plus vivre. Il s’agit donc que les médias main stream commencent à faire leur boulot. Pour secouer les derniers mous du bulbe.
Merci pour ce que vous faites car c’est courageux.
Et nous, nous avons une dette envers vous ! Et on n'a pas l'intention de la rembourser !
est-ce que ça va finir avec le FMI ? effarant , on fait comme si tout était normal. Plus on attend pire ce sera
La dette est volontaire pour nous rendre ESCLAVE, nous affaiblir et justifier le vol fiscal communiste . Ça été écrit il y’a très longtemps.
Comme on dit : parlez à un mur, celui ci vous écoutera. Les politiques sont sourds et les hauts fonctionnaires laissent pourrir la situation depuis 50 ans voire plus.
Les japonais,leurs entreprises ont énormément de cash flow ( cf investissements Warren Buffet) ,ils sont propriétaires de leurs dettes ET énormément d'entreprises ET patrimoine à l'extérieur,donc ils sont excédentaires si l'ont tient compte du ratio revenus excédentaires/ dépenses intérieures !
Comment un chercheur du CNRS qui travaille 35:h Par semaine Va faire un pont de 70h pour faire de la recherche appliquée ! Non mais !
C'est anonyme Marc..la dette française passe une sorte de chambre de compensation au Luxembourg ET on ne sait pas qui l'a détient!
Merci encore Marc pour la qualité de votre travail exposé qui comme à votre habitude est clair, précis et surtout pertinent face à la décadence de la France. Moi aussi, je suis intéressé par le détail des pays qui détiennent notre dette. Cela expliquera forcément la position politique de notre cher, mais néanmoins nul de président….. Continuez Svp !!!
Voilà ce qui arrive lorsque l'on est gouverné par des corrompus et que les mougeons trouvent ça très bien!
Vous êtes formidable, votre place est au gouvernement pour sauvé notre pays.
Partagé
L'effondrement est voulu
Macron execute le plan
Mr Touati, venez expliquer au cercle des économistes à Aix-en-Provence ce weekend ce qui se passe. Venez expliquer à tout ces escrocs, ces barbots ce qui faut faire !! Je viens vous récupérer en taxi à la gare tgv d'Aix si vous le souhaitez.
Je pense avoir la solution, si on mettait un coup d'effaceur et qu'on signait tous ensemble un document qu'on a effacé la dette et qu'on repartait de 0 ? 😅
M. Touati,vous nous dites souvent que vous discutez avec des politiques.Y en a t'il certains qui vous demandent des conseils et avez-vous l'impression que certains seraient prêts à appliquer vos solutions,ou c'est vraiment sans espoir et il ne nous reste plus qu'à quitter le titanic avant le naufrage.
Puisque personne ne veut virer macron et son gouvernement, il a toute les libertés pour continuer à détruire la France.
Normal, les entreprises, le commerce et l'artisanat sont poussés à la faillite ou à la délocalisation et, ça ne risque pas de s'améliorer, puisque à cause du PPE3, le prix de l'énergie va doubler. Ils pensent à augmenter les taxes et impôts, donc, le peu de créateurs de richesses vont disparaître, surtout ne pas oublier le MERCOSUR qui vient d'être finaliser, l'agriculture va disparaître également. les foyers vont beaucoup moins consommer. Soit ils sont idiots, soit ils le font exprès pour détruire la France!
La pauvreté pour tous brought to you by tiny hats the deep haters of believers
Est ce que nos dirigeants sont de vrais incompétents ? Et pourquoi Monsieur Macron a été appelé le Mozart de finance ???
Merci 🙏
Bravo à vous, soyons fort la France s'est toujours relevée…
J'ai lu 2008 de Pierre Jovanovic,il n'approuve pas trop M Touati.