Le pouvoir des banques | Le Japon contrôlé depuis l’ombre ?

Ceci est un film sur le pouvoir des banques centrales. Les banques centrales ont le pouvoir de créer les changes économiques, politiques et social. Voici comment il procède. Perlarbourg 7 décembre 1941. [Musique] [Musique] Imperial army. Les princesen les banques centrales et la transformation de l’économie. [Musique] I to the of [Musique] [Musique] [Musique] l’occupation américaine. Nous arriverons à Yokoama à 9h30. Le débarquement aura lieu selon le programme. [Musique] Le général Douglas Macarthur arriva à l’aérodrome naval de Astugi près de Yokoama le 30 août 1945. À sa sortie de l’avion et s’arrêta en haut des escaliers, mis la main dans sa poche, serra les mâchoires autour de sa pipe et regarda les terres conquises. Cette pause fut répétée plusieurs fois sous différents angles pour que la presse puisse avoir une photo descente. La démocratie devait être inculquée au peuple japonais même s’il n’en avait jamais entendu parler. Notre problème est le cerveau dans la tête des Japonais. Ces cerveaux comme les nôtres peuvent faire de bons ou de mauvais choix. Tout dépend des idées placées à l’intérieur. [Musique] Les pièces de théâtre Kabuki joué par des samoura loyal furent interdits ou censurés comme les livres et les films sur les bombardements de Hiroshima et Nagasake. Les dessins satiriques de Macarthure et la mention de la saensure de l’occupation était interdite. La commission vous déclare coupable et vous condamne à la peine de mort par pendaison. Yamashita remercia la commission pour l’impartialité de son procès. Le général Tojo, le premier ministre pendant la guerre du Pacifique, remarqua pendant son procès : “Aucun de ces Japonais n’osera agir contre la volonté de l’empereur.” L’interrogatoire fut bientôt terminé et une semaine plus tard, Tojo déclara que l’empereur avait toujours voulu la paix. Le général Hideki Tojo assuma la responsabilité officielle du déroulement de la guerre et fit tout son possible pour disculper son empereur. [Musique] Arthur remarquera plus tard au Sénat des États-Unis que quant à la civilisation moderne, les Japonais avaient 12 ans d’âge. [Musique] Vous vous intéressez à l’inconnu, au mystère, à l’inexplicable. Vous êtes là pour ça. Quand la guerre termina, le bilan des prêts des banques s’est détérioré. Le capital détenu par la banque était surtout des obligations de guerre et des prêts à des entreprises détruites. Le secteur banquier était en quasi faillite. Ce problème fut résolu par la banque de Japon. Tout ce qu’il y avait à faire, c’était d’acheter les mauvais papiers du secteur banquier avec de nouvelles réserves et leur donner une bonne somme pour le capital, souvent sans valeur. Les deux premiers gouverneurs de la banque centrale de la prégerre furent nommés par l’occupation des États-Unis. Et Kichi Araki fut nommé le premier gouverneur de la Banque de Japon après la guerre. Mais peu de temps après, il a été inculpé de crimes de guerre par des procureurs et dû se résigner. En 1951, après une amnistie générale des crimes de guerre présumé occupant des fonctions publiques, il devint ambassadeur des États-Unis. À son retour de son poste d’ambassadeur en 1954, Hary fut nommé gouverneur de la banque centrale. Après l’amnistie des crimes de guerre de 1951, la plupart de la bureaucratie japonaise de l’époque de guerre fû intégrée au poste qu’elle occupait pendant la guerre, y compris les politiciens de l’époque de guerre et la plupart des bureaucrates du ministère pris en charge par la police morale. Un grand nombre d’eux se déplaça au secteur de l’éducation. Le Japon est clé pour le destin de l’extrême Orient. Pour la deuxième fois dans l’histoire, ces mots ont une réalité urgente. Pour éviter l’ajutation rurale à laquelle assista les communistes en Chine, les Américains ont redistribué la Terre en passant de grands propriétaires au locataires. L’élite capitaliste du Japon nommée Zaibatsu fut éliminée en tant que partisan de guerre et interdit d’exercer d’autres activités commerciales. Les politiques fascistes des années 30 que les bureaucrates fascistes ne purent pas exécuter pendant la guerre ont été achevés par l’occupation américaine comme la redistribution de la terre et la politique zaibatsu. Une rencontre amusante entre les Japonais-fascistes de la guerre et les nouveaux marchands américains. Les politiques de la préoccupation, la diète qui abrite le Sénatin est la chambre des représentants du Japon. Au Japon, des étudiants fanatiques et des groupes grochistes se sont manifestés violemment pour bloquer le traité de défense mutuelle avec l’Amérique. Les députés socialistes ont initié une émeut à la diète. La police a également expulsé les socialistes. [Musique] [Applaudissements] [Musique] [Applaudissements] [Musique] L’intervenant a été porté à la tribune pour rappeler à l’ordre la séance qui approuvait le traité. En 1957, l’ancien suspect de crime de guerre Kishi Nobusuke fut nommé premier ministre du Japon. Il avait été le ministre de commerce et de l’industrie du général toujours pendant la guerre et ses responsabilité varie entre munition et esclavage. Pendant queAlbert Spear, ministre de l’économie de guerre de Hitler, était à la prision de Spandaou à Berlin, son collègue japonais était premier ministre de son pays. Kichi devent un défenseur de la démocratie après la guerre, mais avant et pendant la guerre, il s’est considéré un socialiste national. Avec l’argent des syndicats de crime, des entreprises industrielles et les caisses noires de la CIA, Cashi transforma le parti libéral démocrate en une puissante machine politique. Au Japon, de nombreux dirigeants économiques et politiques parmi les plus importants de l’après-guerre venaient d’un groupe élite de bureaucrates de l’époque de guerre, les mêmes personnes qui avaient lancé le Japon à la guerre. Le Parti libéral démocrate est resté au pouvoir pendant presque 40 ans. Bienvenue en japonais pour ces soldats américains. Après un tour de service à la Corée, ils rentrent à leur base au Japon où ils seront stationnés comme troupe d’occupation. Comment rentreront-ils ? Comment sont-ils accueillis par la population dont ils occupent les terres ? Ils ne sont pas des chefs de guerre, des antagonistes ou des hommes dont nous nous méfions et redoutons, mais des amis. [Musique] Le système de l’économie de guerre. [Musique] Le ministre des finances avait siège dans le quartier central de Shioda Tokyo. Le ministère contrôlait plusieurs aspects de la vie au Japon. Le ministre des finances était très important. La Banque du Japon devait lui faire des rapports. Les fonctionnaires de ce ministère suscita des esclamations d’admiration et de respect. Les anciens bureaucrates obtenaient des postes influents comme chef d’institution publique et privé. [Musique] Mais le ministère n’avait pas de contrôle sur un secteur. La quantité de création de crédit, ces allocations étaient décidé par la banque centrale japonaise, la banque du Japon. La Banque du Japon annonça qu’il gérait les politiques monétaires par le biais des taux d’intérêt. Elle permettait au ministre des finances de gérer ses politiques de taux d’intérêt. La règle adoptée ne suivait pas les taux d’intérêt, le prix de l’argent mais la quantité de l’argent. Window Widens. Les banques centrales imposent aux banques commerciales des quotas de croissance et d’allocation du crédit. La Banque du Japon indiqué aux banques combien elles devront prêter au cours du prochain trimestre et à quel secteur de l’économie ? C’est le contrôle du crédit. La Banque du Japon voyait des instructions tous les trimestres sur la valeur des crédits et à quel secteurs industriels il devaient être attribués. Tous les crédits étaient divisés en secteur et sous-secteur et les emprunteurs à grande échelle devaient être classé. [Musique] la banque du Japon imposé à qui les banques pouvaient accorder les crédits et décider les projets à réaliser. [Musique] C’était le système de l’économie de guerre adapté à la production des biens de consommation. [Musique] Les 95 millions d’habitants du Japon ont des revenus nationaux similaires à ceux des États-Unis et des nation les plus prospères de l’Europe occidentale. Ce n’était pas un système adéquat pour le capitalisme. Cela a créé beaucoup de richesse pour la population. La distribution des revenus et de la de la richesse était similaire. La croissance et la qualité de vie augmentai rapidement. Rien qu’en 1959, l’économie s’est développé un 17 %. Le résultat du système de l’économie de guerre provoqua une compétition entre les secteurs industriels pour les parts de marché. Les entreprises luttaient jusqu’à la faite pour gagner la part du marché. Ce phénomène fut nommé compétition excessive. La solution fut la création explicite ou implicite des entent dans le secteur banquier. Le window fut le mécanisme des contrôles des ententes. Grâce à la banque du Japon qui pouvait imposer le nombre et les valeurs des crédits, le classement des banques resta pendant l’après-gerre, sauf après une fusion. Un banquier admett que la window guidance les avait sauvé de rivaliser jusqu’au Harquiri. L’économie de guerre et le commerce international. Le déficit de la balance actuelle des États-Unis atteint son niveau le plus élevé depuis 9 ans. Cette hausse a surpris les économistes pendant que les ententes contrôlaient la compétition au Japon, il pas de limite dans les marchés internationaux. Les entreprises japonaises dominaient bientôt plusieurs marchés du monde. En Amérique, des congrès ont été organisés sous le titre les leçons de la productivité japonaise. [Musique] Les principales théories économiques indiquent que seulement les libres marchés atteignent le succès. Mais le Japon a réussi à être la deuxème puissance mondiale en quelques dessinées sans compter sur la main invisible des libres marchés. [Musique] L’économie de l’après-guerre du Japon fut une économie de guerre totalement mobilisée dont la production changea des armes aux biens de consommation. [Musique] Il est préférable pour la Banque du Japon de ne pas attirer l’attention et de rester silencieuse comme la forêt d’un sanctuaire rural. Isato Isimada, 18e gouverneur de la Banque du Japon. La Banque du Japon se présentait comme la champagne des livre marché et le window guidance devint une honte. Soit les publications officielles ont tomis de le mentionner où elles ont minimisé son rôle en nom volontaire le contrôle des crédits. Quand le ministère des finances se renseignait sur la création de crédit et les politiques d’allocation de la Banque du Japon, le personnel de la Banque a engagé un dialogue complexe rempli de jargon pour faire en sorte que le processus paraisse impénétrable. En novembre 1965, le premier groupe de liens du gouvernement japonais apparut au marché. À ce moment-là, la Banque du Japon n’a plus de force quand les politiciens voulaient dépenser plus car ils exerçaient cette même pression sur le ministre des finances. Le ministre se trouvait alors face à une augmentation constante de la dette nationale. Les banquiers centraux appellent à la réforme. [Musique] Les années 80 donnent une époque de dérégulation financière. La plupart des pays industrialisés levèrent les restrictions d’un mouvement du capital. Au Japon, Tadashi Sasaki, un ancient gouverneur de la Banque du Japon, présentant un plan de 5 ans pour la transformation, libéralisation de l’économie japonaise. Puis en 1986, le groupe consultatif sur restructuration économique dirigé par Auro Maekawa, un autre ancien gouverneur de la Banque du Japon, proposa un plan de réforme économique de 10 ans visant à améliorer la qualité de vie des Japonais comparable à celle des pays occidentaux. Ce plan déclara : “Le moment est venu pour le Japon d’opérer une transformation historique de ses politiques traditionnel en matière de gestion de l’économie, du mode de vie. Il ne peut y avoir de développement ultérieur pour le Japon sans cette transformation. Le rapport vu comme une liste de souhaits par les négociateurs américains commençait avec des appels pour une réforme administrative et l’abolition des pouvoirs bureaucratiques. L’objectif était la transformation de leur sable du corps politique, l’abolition du système de l’économie de guerre et l’introduction d’une économie de libre marché américaine. Les membres du groupe consultatif qui étaient en total désaccord furent relevés de leur poste. Les rapports à la presse étaient très critiqués. La nature radicale du plan était reconnue et semblait bien trop ambitieuse. Elle appelait une révolution de tout le système économique, politique et social du Japon. [Musique] Même si le rapport était clair, il n’y avait pas aucune explication sur la façon d’atteindre ces objectifs. La seule piste était à l’implémentation de ces recommandations. Les politiques fiscales et monétaires ont un rôle important à jouer. [Musique] La Banque du Japon a toujours déclaré que ce système japonais devait être abandonné et qu’un système capitaliste américain devait être introduit. Si vous êtes d’accord ou pas, est une question totalement différente. La vraie question est comment le faisons-nous ? Le ministère des finances a eu le contrôle légal pendant l’après-gerre. des structures bureaucratiques, des politiques, les ententes. C’était le vieux système. L’histoire montre un système qui change si nous faisons face à une crise. La commission proposa que les politiques monétaires devaient favoriser la survenue d’une crise historique suffisamment importante pour surmonter les intérêts particuliers du ministère des finances, des politiciens, des entreprises japonaises. Tous les systèmes ont des groupes avantagés qui ne veulent pas changer. [Musique] Il n’y a pas un pays au monde qui a changé son système économique, social et politique sans éviter une crise. [Musique] La crise est ce qui persuade les citoyens et les groupes intéressés de la nécessité de changer. Comment pouvez-vous atteindre cela ? Vous avez besoin d’une crise et la meilleure façon de la créer est d’avoir une bulle car personne ne pourra vous arrêter. [Musique] Comment créer une bulle ? [Musique] La banque du Japon commença à augmenter de manière significative les quotas du près du Window Widens. Les quotas annuels moyen de croissance des prêts étaient proche du 15 % à la fin des années 80. Un banquier remarquera plus tard que pendant la bulle, il voulait augmenter une certaine quantité de crédit, mais la Banque du Japon voulait en augmenter encore plus. Les jeunes entre 20 et 30 ans avec des salaires modestes étaient capable d’acheter deux ou trois maisons. Le boom du crédit provoqua non seulement un boom immobilier, mais aussi favorisa la bourse. Entre 1985 et 1989, la bourse augmenta un 240 % et le prix du terrain un 245 %. [Musique] À la fin des années 80, la valeur d’un jardin autour du palais impérial en plein son de Tokyo valait autant que l’ensemble de la Californie. of California [Musique] Le Japon ne représente qu’une 26e partie des États-Unis et son terrain était valorisé quatre fois plus que celui-ci. [Musique] La valeur de marché d’un seul district des 23 de Tokyo, le quartier central de Shioda, dépassait la valeur du Canada tout entier. Les économistes qualifiés pour croire dans les résultats du marché essayèrent de justifier l’augmentation des prix. Certains croyaient que la raison était le manque de terrain. [Musique] De nouveaux bâtiments d’entreprise furent construits dans les quartiers d’affaires de Tokyo. Le boom du marché avait tellement augmenté qu’il y avait une peur d’une pénurie de main d’or. Les entreprises commencèrent à inviter des étudiants de dernière année d’université dans de luxueux voyages pour les inciter à signer avec eux. [Musique] Les politiciens, les entreprises et le ministère des finances étaient heureux et les impôts sur le revenu augmentaient. Tous les jours, il y avait un festival. Nous les filles, nous sortions et tout était payé par les hommes ou les patrons. Personne n’utilisait le transport public. Nous prenions un taxi pour rentrer à la maison. Avec l’augmentation du capital et des prix de la bourse, même les fabricants traditionnels ne peuvent pas résister à la tentation de s’essayer au jeu des marchés. Bientôt, ils agrandirent leur division de finances et la trésorerie pour contrôler la spéculation eux-même. Ces fonds spéculatifs d’entreprise connus comme Zai TCH utilisait des prêts pour s’engager dans la spéculation immobilière et boursière. La frénésie atteignit de telles proportions que quelques fabricants comme le fabricant d’automobile Nissan gagna plus d’argent à travers des investissements spéculatifs qu’avec la fabrication des voitures. Des milliers d’articles ont été publiés sur la miraculeuse économie du Japon. Une explication des économistes était la hausse de la productivité. Expliquer la performance impressionnante de l’économie du Japon. livres sur les techniques de gestion japonaise devinent des bestsellers internationaux. Les businessman occidentaux lisaient des traités du 17e siècle sur les stratégies des samouraï. En réalité, la performance extraordinaire du Japon des années 80 n’avait rien à voir avec des techniques. Au lieu d’être utilisé pour limiter et diriger le crédit, le window Widens créa une bulle géante. J’ai mené des recherches et interviewé des officiers et des banquiers de la Banque du Japon sur cassette. Comme résultat, la Banque du Japon a continué une supervision informelle et forcé les banques à augmenter leur prix. La Banque du Japon savait que le seul moyen pour les banques d’atteindre leur quota de prêt était de développer les prêts non productifs. Selon un banquier, il n’y a pas une demande de prix d’emprunteur à faible risque et nous voulons augmenter le quota. Le risque est pire. Un autre banquier dira “Un effet secondaire de la règle du Window Widens des augmentations des prix était que les banques les augmentaient même lorsqu’il n’y avait pas de demande. La création de mon nez est la bulle. Comme toutes les bulles, celles du Japon était alimentée par la création rapide d’argent par le système bancaire. Entre 1986 et 1989, Toshiko Fukui était le directeur du département bancaire à la Banque du Japon. Ce département s’occupait des quotas de Window Widens. Quand un journaliste demanda à Fukoui s’il avait l’intention d’arrêter les crédits bancaires, lui répondit : “Si la politique cohérente d’assouplissement monétaire se poursuit, le contrôle de la quantité des prix bancaires impliquerait une autocontradiction. Par conséquent, nous n’avons pas l’intention de mener un resserrement quantitatif. L’ajustement structurel de l’économie se poursuivant depuis longtemps. Les déséquilibres internationaux sont en cours d’être corrigé. La politique monétaire encourage ceci et nous avons donc la responsabilité de poursuivre la politique d’assouplissement monétaire aussi longtemps que possible. Il est normal que les prix bancaires augmentent. Pourquoi les banques prêtent autant ? Car elles y étaient forcées par la banque du Japon. Normalement, les banques choisissent des clients parmi un grand nombre de demandeurs de prix et on refuse un pourcentage important. Après 1987 et avant, les rôles ont changé. Les banquiers poursuivaient agressivement à des clients potentiels. Les anecdotes abandent sur les façons dont les banques sollicitaient des prix à des taux d’intérêt avantageux en poursuivant les clients comme des marchands ambulants. Les banques encouragaient l’emprunt d’argent par exemple. Quand un couple de jeunes mariés voulait acheter une maison, les banques leur offraient le double de la somme demandée. Les banquiers faisaient des estimations exagérées de la valeur du terrain dans le ratio réel de la valeur par rapport au prêt augmentait un 300 % ou plus. C’était un étrange phénomène que l’on a vite surnommer l’excès d’argent. Seuls les économistes, les analystes et ceux qui travaillaient dans les marchés financiers ou immobiliers étaient plus avisés. Ils ont rejeté ces analyses toutes simples. Le prix du terrain augmentait à cause des raisons plus compliquées que l’excès d’argent. Les individus lambda ne peuvent pas comprendre les subtilités de la technologie financière avancée. Le flux international de capitale. Quand un pays génère de grandes quantités d’argent, une partie de celui-ci se répand à l’étranger sous forme d’investissement. Le flux des capitaux japonais s’est multiplié, passant d’un afflux net de 2 milliards de dollars en 1980 à 132 milliards en 1986. Les actifs, y compris les objets d’art et les objets précieux autour du monde, devinent l’objectif des acheteurs japonais. Il y avait des achats de prestige comme le centre Rockfeller, Columbia Picture et le terrain de golf de Pep Beach. L’argent japonais acheta les 75 % de tous les bons du trésor des États-Unis au vente aux enchères de 1986. Mais ce n’est pas facile pour un pays d’imprimer de l’argent et de le dépenser autour du monde. Le Japon pouvait se le permettre car les marchés n’avaient pas d’évalué sa monnaie. La valeur de la monnaie individuelle était établie par les négociants. Si les indicateur traditionnel que les négociations observé ne capte pas l’excès de création d’argent dont la création de grandes quantités d’argent changeable contre une monnaie étrangère peut fonctionner. Le Japon fit pareil que les États-Unis dans les années 50 et 60 quand les banques américaines créèrent un excès de dollars. Les entreprises américaines utilisaient cet argent pour acheter des entreprises européennes. Alors que les États-Unis bénéficient de l’étalon hors du dollar, le Japon bénéficiait d’un excédent commercial important. Prêt non axé sur le PIB, un prix non utilisé pour la production de bien ou service. Un indicateur d’alerte précoce de l’accumulation des risques systématiques dans le système banquier et le ratio de prix pour les transactions non axées sur le PIV du total des prix. Ce ratio augmente de manière significative dans les pays qui sont ensuite frappés par une crise bancaire. C’était le même processus qui alimenta les présom du prix des maisons aux États-Unis et au Royaume-Uni entre 1980 et 2000. Le même processus qui créa les années folles et 1920. Les banques des États-Unis prêté avec des actifs collatéraux. Le principe reste le même. Comme chaque banque tenait pour acquis le prix de l’action, elles ont créé de l’argent. Avec plus d’argent sur les marchés financiers, les prix devaient augmenter. Chaque banque pensait qu’il était sûr d’accepter un certain pourcentage de la valeur des actions comme collatérales. Mais les décisions de toutes les banques ont fait sauter l’ensemble du marché. Au Japon, la richesse totale du secteur privé augmenta de 14,2 billions de yennes en 1969 à 2000 bilions en 1989. À sa première conférence de presse comme le 26e gouverneur de la Banque du Japon en 1989, Yasushimeno dira “Depuis que la précédente politique d’assouplissement monétaire a causé le problème de l’augmentation des prix des terrains, les prêts liés à l’immobilier seront désormais limités.” Il a observé la bulle, les prix ennon des actions, le fossé entre les riches et les pauvres et il a voulu y mettre un terme. Son nom est mien et il était un héros pour la presse parce qu’il luttait contre la politique monétaire. Il était gouverneur pendant l’époque de la bulle et il était en charge de créer la bulle. Le crache boursier. [Musique] [Musique] Soudainement, les prises d’action des terrains cessèrent d’augmenter. En 1990, le marché boursier diminue, un 32 %. En juillet 1991, le window with fut interdit. Ceci fut surprenant pour les officiers, la Banque du Japon. Les banquiers se sont retrouvés sans défense et protestèrent car ils ne savaient plus comment établir leur plans de prix. Avant, quand une partie voulait prêter plus, il répondait que le quota du Window complet. Il ne pouvait pas le faire. Maintenant, [Musique] les banques se rendirent compte que la plupart des 99 bilions de yens de prêts pendant la bulle pouvaient mal finir et devinrent craintives. Elles arrêtèrent leur prix au spéculateurs et les limitèrent pour le reste. C’est un Noël sombre pour le Japon. Le marché boursier a atteint son niveau le plus bas depuis 2 ans. L’effondrement d’une des entreprises les plus grandes de commerce alimentaires est la 9e faillite cette année. Plus de 5 milliards de Japonais perdirent leur emploi sans être capable d’en trouver un autre. Le suicide devint la première cause de mort entre les hommes âgés entre 20 et 44 ans. Les journaux se remplissaient d’histoires de gens qui se pendaient ou qui disparaissaient. C’était presque tous les jours. [Musique] Entre 1990 et 2003, 20012 entreprises firent faillites. Pendant la même période, le marché boursier chuta un 80 %. [Musique] Les prix des terrains dans les villes principales diminua un 84 %. Quelques économistes semblaient soulagés. La faillite était la preuve que le système économique japonais n’avait pas eu de succès finalement. En attendant, le gouverneur de la Banque du Japon, Yasushimen dit : “Grâce à cette récession, nous prenons conscience de la nécessité de mener une transformation économique. [Musique] Le sauvetage échoué. [Musique] Le ministre des finances, en croyant que les taux d’intérêt étaient le principal outil politique, fit pression sur la Bapon pour les diminuer jusqu’à ce qu’ils atteignent le 0,1 %. La plupart des économistes prédirent la récupération économique. Mais malgré les affirmations fréquentes dans la presse financière par les banques, que les taux d’intérêt bas pouvaient stimuler la croissance et que le taux d’intérêt haut pouvait la ralentir, il n’y avait pas d’évidence empirique. [Musique] Les businessmen américains et Japonais se retrouvent ici avec un appel des entreprises japonaises à diminuer le yen. Seulement 6 % des exportateurs japonais peuvent faire des bénéfices avec le dollar à moins de 100 y. En moyenne, ils auront besoin que la monnaie américaine s’élève à 117 yen pour atteindre le seuil de rentabilité. [Musique] Le ministère des finances demanda à la Banque du Japon de vendre de grandes quantités de yen et d’acheter des dollars américains afin que le taux de change du yen diminue et que les exportations reprennent. Le ministère des finances et la banque du Japon ne s’entendent pas bien. Ce qui est arrivé, c’est que la Banque du Japon a coupé court ces interventions, c’est-à-dire les interventions indiquées par le ministère des finances. Celui-ci dit à la Banque du Japon d’acheter les bons du trésor américain pour une valeur de 20 milliards. Mais la Banque du Japon utilise l’argent de l’économie pour exécuter ces achats. Les chercheurs affirmai que les interventions limitées ne fonctionnent pas. Le B est en cours de limité. C’est pour cela que le yen reste fort. [Musique] Une banque centrale peut retirer de l’argent de l’économie en vendant des actions et elle peut insuffler de l’argent dans l’économie en achetant des actions. Quand les banques centrales achètent et vendent des actions, elles augmentent ou diminuent la quantité d’argent qui circulent dans l’économie. Les officiers de la Banque du Japon ignorèrent cela et déclarèrent : “Cette transformation structurelle ou réforme peut produire des formes déflationnistes mais générera une économie beaucoup plus efficace. Les spectateurs indépendants proposèrent que la demande soit boostée par la dépense du gouvernement pour que la demande de prêt augmente également. Pendant 10 ans, le gouvernement suivit leur conseil et réussit à propulser la dette du gouvernement à des niveaux historique. Entre 1992 et 2012, 10 paquets de stimulation valorisés en 146 billions de yenn ont été distribués. Monsieur Werner est chef économiste pour l’entreprise Jardine Fleming in Tokyo. Il va nous rejoindre pour nous expliquer où se dirige l’économie japonaise. Le gouvernement dépensé avec une main en mentant l’argent dans l’économie mais la colècte de fonds s’était faite par le biais du marché. Donc le gouvernement prenait l’argent de l’économie avec l’autre main. Il n’y a pas eu d’augmentation du pouvoir d’achat total. Voilà pourquoi les dépenses n’ont pas pu avoir d’impact. En 2011, la dette du gouvernement japonais atteindra un PIB de 230 % le plus haut du monde. [Musique] Le ministère des finances n’a plus de solution. Les spectateurs commencèrent à rendre coupable le ministère de la récession et écoutèrent les voix qui affirmaient que la récession d au système économique japonais. À quel point aurait-il été difficile de résoudre les problèmes de dette et la déflation dans le secteur bancaire ? Cela n’aurait pas été si difficile. Finalement, le système financier est similaire au roman 422. Pas de croissance de prix, donc pas de croissance économique. La seule chose qui peut sortir de cet argument circulaire est une banque centrale. Son travail dans cette situation est d’imprimer de l’argent. les pouvoirs des banques centrales. Nous avons besoin de mesures plus radicales. Il y en a des douloureuses. D’autres pas, par exemple, la banque centrale pourrait acheter tous les mauvais papiers à leur valeur nominale et le Japon aurait les banques les plus puissantes. Pour sauver le secteur bancaire, une banque centrale peut acheter les mauvais actifs financiers, des banques avec du nouvel argent. en leur donnant une valeur nominale moins valorisée. C’est ce que la Banque du Japon fit après la guerre. Alternativement, l’argent pourrait être transféré aux banques en les aidant à avoir des bénéfices importants. Une façon de réussir et de coincer un marché en créant une mini bulle dans un marché concret dans lequel les banques investissent énormément en leur donnant de grands bénéfices. une technique suffisamment courante appliquée par les banques centrales pour aider leur système. D’autres techniques incluent des mesures pour entretenir les emprunteurs à risque zéro ou des modifications comptables qui améliorent leur bilan. Au Japon, les autorités et la Banque du Japon augment comme le feront les pays occidentaux 20 ans plus tard que le contribuable devrait payer la facture. En mars de l’année dernière, le gouvernement insuffla de grandes quantités d’argent dans 15 institutions financières et nous étions l’une d’elles. Ceci nous a aidé à éliminer les mauvaises dettes et booster notre capital base pour nous préparer au prê. [Musique] L’argent des impôts fut utilisé pour recapitaliser les banques, mais il n’y a aucune preuve qui indique que les contribuables ont été responsables de problèmes de banque. Pourtant, ces politiques ont probablement créé un risque moral. La masse monétaire est déterminée par l’augmentation nette de la création d’argent et par les banques et les banques centrales. Si le risque moral impose que le secteur bancaire ne doit pas être sauvé, la banque centrale peut éviter la déflation et la récession. Pour cela, la banque centrale peut augmenter la masse monétaire. Elle peut augmenter la quantité d’argent dans une économie à tout moment sans limite en achetant des actions du secteur privé et en les payant avec du nouveau crédit. La banque du Japon aurait pu acheter des immeubles et les transformer en parc. Nous avons trois problèmes. L’économie a besoin de création d’argent. Les banques ont besoin d’éliminer leur mauvaise dettes et le secteur immobilier a besoin de transaction. La solution est que la banque centrale imprime de l’argent, achète le terrain des banques et le transforme en parc. La qualité de vie au Japon s’améliorerait également. Même si la banque du Japon avait vendu ses parcs à une fraction du coût, elle aurait créé de l’argent parce que cela ne lui coûte rien de le faire. Une autre option pour insuffler de l’argent dans l’économie est l’assouplissement quantitatif. Malgré toutes ces options disponibles, la Banque du Japon refusa d’exécuter la politique pour sauver la crise. Quand j’étais à la Banque du Japon entre 1982 et 83 comme chercheur, j’étais convaincu que cette récession allait terminer très mal. Et je demandais à tous ceux qui m’écoutaient pourquoi il n’imprient pas plus d’argent. J’ai rencontré un individu qui était ouvert à ce sujet et il me dit Richard, bien sûr qu’on aurait pu imprimer de l’argent et se récupérer, mais rien n’aurait changé la structure économique du Japon. À ce moment-là, je n’étais pas prêt pour croire que la Banque du Japon prolongeait la récession afin d’obtenir des changements structurels. [Musique] Le ministre des finances, Massajuro Shiokawa a demandé à la Banque du Japon d’arrêter la déflation ou de lutter contre elle. La Banque du Japon défiait constamment le gouverneur pour créer de l’argent, pour stimuler l’économie et mettre fin à la récession. [Musique] Des fois, la Banque du Japon réduisait la quantité d’argent qui circulait, ce qui empirait la récession. [Musique] La Banque du Japon arrivait toujours à la même conclusion. La structure économique du pays était la responsable. Le personnel de la banque centrale argumenté qu’un assouplissement monétaire important pouvait être préjudiciable en provoquant un retard supplémentaire du progrès de l’ajustement structurel. Les premiers leaders japonais de l’après-guerre savaient qu’il dirigerait une économie de guerre mais décidé de ne pas en parler pour des raisons politiques. Le message de propagande de la guerre froide était que le Japon de l’après-guerre avait adopté un système économique et politique similaire aux États-Unis. En refusant de dire la vérité, les premiers leaders de l’après-gerre ont emporté leur connaissance sur les origines de l’économie miraculeuse du Japon dans la tombe. La génération des bureaucrates et politiciens qui régna entre 1980 et 90 ne comprenaient pas la raison d’être de l’économie de leur propre pays. Toute une génération d’économistes japonais a été envoyé aux États-Unis pour étudier des masters et des doctorats en économie américaine. Puisque l’économie néoclassique estime qu’il n’y a qu’un type de système économique où les libres marchés, les actionnaires et les banques centrales règnent, plusieurs économistes japonais lutaient contre les arguments des économistes américains. [Musique] la destruction du ministère des finances. [Musique] Les États-Unis et le Japon ont clôturé mardi 2 jours de négociation. La déréglementation du secteur primaire est nécessaire pour surmonter les intérêts bien ancrés des entreprises d’assurance de vie ou pas et la bureaucratie du ministère des finances. Ils doivent parvenir à un accord avant le 15 décembre où les États-Unis imposeront des sanctions commerciales. Les analyses s’attendent à la tritrisation du secteur immobilier. On vous écoute Richard Werner. Pour une titrisation correcte, nous avons besoin de déréglementation. Pour se faire, nous devons réduire le pouvoir du ministère des finances et le ministère avait des réserves. Dans les années 80, les fonctionnaires qui travaillaient pour ce ministère suscittent des exclamations d’admiration et de respect. Mais dans les années 90, les attitudes ont changé. Il n’y avait aucun doute. Le ministère des finances avait provoqué la récession. Les citoyens dégoûtés se manifestèrent face aux portes du ministère. Au début de 1998 et pour la première fois, les procureurs ont attaqué les plus importants ministères du Japon. Les banques et ses régulateurs furent fortement critiqués par leurs actions. Les scandales surlignaient les relations informel entre les officiers du ministère des finances et les banquiers. Des nombreux employés, des banques et même quelques officiers du ministère furent arrêtés emprisonnés. D’autres se suicidèrent. Masaki Shirakawa banquier central expliqua il n’est pas facile de changer le cadre institutionnel et d’inciter une réforme structurelle car cela implique les intérêts particuliers des agences économiques. Taka Yamaricishi, le gouverneur adjoint de la Banque du Japon dit “La Banque du Japon a été confrontée au dilemme que l’assouplissement monétaire produirait l’atténuation des risques immédiats, ce qui entraînerait de retarder l’adoption des solutions ultimes. Depuis le milieu des années 1990, le gouvernement commença à démonter la structure du ministère des finances. D’un autre côté, la Banque du Japon vit son influence augmenté de manière significative. Vous avez écrit récemment, il n’y a aucun doute que la Banque du Japon sera séparée du ministère des finances et deviendra indépendante, ce qui la mettra à pied d’égalité avec d’autres banques. Pourquoi êtes-vous sûr ? Le ministère des finances qui a contrôlé au moins légalement la Banque du Japon a perdu de sa crédibilité. Il a été coupable de la création de la bulle et de la longue récession entre d’autres problèmes vécus au Japon. Mais la Banque du Japon est restée à l’abri des critiques publiques et elle profite pour devenir indépendante du MOF. Merci Richard. Nous avons écouté Richard Werner, chef économiste en l’entreprise Jardine Fleming à Tokyo. Mien, peu après son départ à la retraite de son poste de gouverneur de la Banque du Japon, en 1994, commença une campagne en prononçant des discours à plusieurs associations et groupes. Il cherchait un changement de la loi de la Banque du Japon. Ces arguments servaient pour suggérer que le ministère des finances avait pressé la banque à mener des mauvaises politiques pour éviter ces problèmes dans l’avenir, elle avait besoin d’être totalement indépendante. Selon Mieno, rendre les banques centrales indépendantes aller refléter la sagesse humaine encouragée par l’histoire. En 1998, la politique monétaire a été confiée à la Banque du Japon nouvellement indépendante. Les politiciens et les économistes devraient faire pression sur la Banque du Japon pour créer plus d’argent. Beaucoup de critiques diront que c’est intervenir sur l’indépendance des banques centrales. Qu’en pensez-vous ? C’est vrai, c’est intervenir sur l’indépendance des banques centrales, mais mais nous nous en avons besoin. La transformation du système politique. [Musique] De nombreux scandales suivirent les clottements de la bulle. Ils ont renversé le système de 1955 du Parti Unique. Avant, les politiciens ne s’affrontaient pas en proposant de différentes politiques. C’était le travail des bureaucrates de créer des politiques pendant que les politiciens se concentraient sur apaiser les circonscription locales avec des projets publics. octobre 1997, pour la première fois dans l’histoire de l’après-gerre, toutes les initiatives de politique pour booster l’économie furent présenté par des politiciens au début de 2001, un nouveau type de politicien arrive au pouvoir. Le Japon a connu sa plus forte haosse ce mois-ci alors que Junichilo Koisumi est apparu comme le grand favori pour devenir le prochain premier ministre du pays. Jeirumi dev premier ministre. Il a été comparé à Margarette Tcher et à Ronald Rigan quant à sa popularité ses politiques. Son message était simple pas de reprise sans une réforme structurelle. Au sommet de Genève de 2001, il dit quelques-uns diront que la reprise est prioritaire sans réforme. Mais si l’économie se récupère, la volonté de réformer disparaîtra. C’est pour cela que je continuerai avec le plan. Pas de croissance sans réforme structurelle. Pendant 2001, ce message a été diffusé presque tous les jours sur les écrans des télévisions nationales. Les pays du sommet du G7 font pression sur le Japon pour mettre en œuvre la réforme structurelle. Des émeutes ont eu lieu en Corée et le gouvernement a décidé de mettre fin au grand conglomérat. Maintenant, il récupère leur économie. Le temps est arrivé pour le Japon de mener la réforme structurelle. [Musique] Tout le monde croit maintenant que nous avons besoin d’un changement structurel. Nous devons éliminer le style capitaliste japonais pour nous récupérer. Pourquoi ? Nous avons essayé toutes les politiques et rien à marcher. Donc le style du système économique du Japon est le coupable et nous devons nous en débarrasser. La transformation de l’économie. Le Japon modifiait son système économique vers une économie de marché à l’américaine. Le centre de l’économie devenait le marché boursier et pas les banques. Pour inciter les déposants à retirer leur argent des banques et l’investir dans le marché boursier, les réformateurs ont supprimé la garantie sur tous les dépôts banquiers tout en créant des incitations fiscales pour les investissements. Au fur et à mesure que le système capitaliste américain s’imposait, le chômage augment, les disparités de revenus et de richesses augmentaires et les taux de suicide et de crimes violents sèrent. Puis en 2002, la Banque du Japon redoubla ses efforts pour empirer les bilans banquer et imposer aux banques de saisir leurs emprunteurs. Jusqu’à ce moment, Akuo Yanagizawa, le ministre du service des finances, résista à la propion de la Banque du Japon d’insuffler l’argent des impôts aux banques, en les nationalisant, en prenant en charge leur gestion et en utilisant ce pouvoir pour faire appel à des prêts d’entreprise. Par conséquent, de nombreuses entreprises firent faillites. Premier ministre envoya à Yana Jizwa etsa par Eo Takenaka. Il était sympathisant du plan de la Banque du Japon d’augmenter les saisies des emprunteurs. Le ministre Takenaka essaie d’imposer une politique pour afflébir les bilans des banques pour les nationaliser. Takenaka nomm un groupe de travail avec deux anciens travailleurs de la Banque du Japon pour superviser les politiques des banques. Takeshi Kimura demanda immédiatement que des modifications comptables soient mises en œuvre pour dégrader les bilans des banques et rendre la nationalisation inévitable. Takuro Morinaga argumenta que le plan proposé par Takenaka n’aurait pas beaucoup de bénéficir et qu’il profitait au fond vautour des États-Unis spécialisés dans l’achat d’actifs en détresse. Ces fonds vautour se sont confrontés à la difficulté qui malgré plus de 200000 faillites, peu d’entreprises suffisamment importante pour s’intéresser à ces fonds, à les faire faillite également. Lorsque le soutien de Kimura et Fukui fut exprimé pour le plan de faillite, le premier travaillait dans une entreprise privée qui conseillait sur la sécurisation des actifs en détresse et le deuxième était un conseiller à Goldman SCH, l’un des plus grands opérateurs au monde de Font vautour. Monsieur Fikoui, Monsieur Mien et monsieur Maekawa sont quelques personnages du livre les princes du yen. Entre les années 80 et 90, ils se sont demandés le but de la politique monétaire, c’est de changer la structure économique. Comment faire avec une crise qu’ils ont déjà mené ? Je dois vous interrompre. Nous n’avons plus de temps. Je travaillais pour une des grandes banques de la ville et j’étais en charge de coopérer avec la Banque du Japon. Pendant les packs de la bulle, la Banque du Japon nous informit tous les 3 mois de combien nous devions augmenter les prix. La distribution du Window Gidence était un ordre de la Banque du Japon. La cause de la bulle était le Wind Widens ordonné par la Banque du Japon. Le département responsable des quotas du Window Widens s’appelait le département banquier. Qui était en charge ? L’homme qui dirigeait le département banquier pendant la bulle entre les années 86 à 89 était Toshioko Fukui. Monsieur Foui, l’actuel gouverneur de la Banque du Japon fut l’homme qui créa la bulle. Quand Foui arrive à être gouverneur de la bande du Japon, il dit “Tout en détruisant le modèle de forte croissance, je construis un modèle adapté à la nouvelle ère.” Si nous regardons ces objectifs, ils ont tous réussi. Détruire le ministère des finances, créer une agence de surveillance indépendante, réussir l’indépendance de la Banque du Japon en changeant sa loi et concevoir des changements dans la structure de l’économie en passant de l’industrie manufacturière au service, en s’ouvrant, en déréglementant, en libéralisant, en privatisant tout. Dans les années 20, l’économie du Japon ressemblait beaucoup à l’économie actuelle des États-Unis. Très forte compétition, recrutement et licenciement agressif, bataille d’acquisition entre grandes entreprises, peu de contrôle bureaucrate, des actionnaires puissants qui demandaient des dividendes élevées et le financement par les marchés et non par les banques. Mais pendant la prière, l’économie du Japon était le contraire. très régulé avec des ententes qui limitaient la compétition, le pouvoir des actionnaires réduit, le financement bancaire et les participations croisées. Pas de prise de contrôle et un marché de travail gelé avec l’emploi à vie et rémunération l’ancienneté. Pour en finir avec la récession et améliorer la performance, le Japon devrait passer du capitalisme allocataire au capitalisme actionnaire. Il n’est pas clair de pourquoi un pays qui a mené un excédent de balance commerciale constant a eu besoin de changer son système économique pour devenir plus compétitif. La crise de l’Asie du Sud-Est dans les années 90. Le Japon n’était pas la seule économie de haute performance qui souffrait une des plus grandes récessions depuis la grande dépression. En 1990, la devise de l’économie tigre de l’Asie du Sud-Est ne pouvait pas maintenir un taux de change fixe avec les États-Unis. Elle s’effondrai entre 60 et 80 % en un an. Les causes de ce crash remonté jusqu’à 1983. Cette année-là, la Corée du Sud, la Thaïlande, l’Indonésie imposèrent une politique de déréglementation agressive au compte du capital et établir des facilités bancaires internationales qui perment au secteur banquier et de l’entreprise d’emprunter librement de l’étranger. Une première depuis l’après-gerre. La vérité, c’est qu’il n’y avait pas de raison d’emprunter à l’étranger. Tout l’argent nécessaire pour les investissements domestiques pouvait se créer dans chaque pays. Certes, la pression de libérer le flux du capital venait de l’extérieur. Depuis le début de 1990, le FMI, l’Organisation mondiale du commerce et le trésor américain ont persuadé ces pays de permettre à leurs entreprises d’emprunter à l’étranger. argumenter que les économies néoclassiques ont prouvé que le libre marché et le mouvement libre de capital augmentaient la croissance de l’économie. Une fois que les comptes du capital ont été déréglementés, les banques centrales ont rendu plus coûteux les emprunts de leur propre monnaie nationale pour que les entreprises empreuntent de l’étranger en dollar américain. Les taux d’intérêt nationaux étaient plus haut que celui du dollar américain et le taux de change fut quasiment fixé. Le gouvernement et la banque centrale avaient dit “Nous maintiendrons le taux de change.” C’est exact. Les banques centrales de Thaïlande et d’autres pays d’Asie de l’Est avaient résisté l’ajustement du taux de change et elles ont essayé de prévenir qu’elles allaient les protéger. [Musique] Les banques centrales ont souligné qu’elles allaient maintenir le taux de change avec le dollar américain pour que les emprunteurs n’aient pas à s’inquiétés de rembourser plus dans leur monnaie nationale que ce qu’ils avaient emprunté à l’origine. Quand j’étais en Thaïlande, je suis allé directement à la banque de Thaïlande. Je leur ai demandé s’il y avait des programmes non officieux d’orientation. en matière de crédit. Ils furent surpris par la question et grâce à mes recherches au Japon, je pensais qu’il y avait peut-être quelque chose de similaire. Et un jeune qui n’était peut-être pas conscient de la politique impliquée m’a montré un schéma de planification de crédit. Les banques se virent ordonner d’augmenter les prêts, mais elles furent confrontées à une demande de prêt moins importante de la part des secteurs productifs de l’économie car elles ont bénéficié davantage pour emprunter à l’étranger. Donc, elles ont dû recourir à argumenter leur prix à des emprunteurs à haut risque. Les importations diminuèrent car les banques centrales se sont mises d’accord pour fixer leur monnaie au dollar américain. L’économie devint moins compétitive mais leur balance de compte courant se maintenaient grâce au prêts étrangers [Musique] qui compte comme exportation dans les statistiques de la balance de paiement. [Musique] Quand les spéculateurs ont commencé à vendre le bat thaïlandais, le one coréen et le ruponésien, leurs respectives banques centrales essayèrent futilement de maintenir le prix jusqu’à ce qu’ils aient dilapidé pratiquement toutes leur réserve de change. Ceci donna aux emprunteurs étrangers une grande opportunité de retirer leur monnaie au taux de change surévalué. Les banques centrales savaient que si les pays manquaient des réserves de change, elles devaient faire appel au FMI pour éviter la faillite. Si le FMI entrait en scène, les banques centrales savaient que cette institution allait leur demander que les banques centrales deviennent indépendantes. Le 16 juillet, le ministre des finances thaïlandais prit un avion à Tokyo pour demander un sauvetage financier au Japon. Le Japon avait 213 milliards de dollars américains de réserves de change plus que toutes les ressources du FMI. Ils étaient prêts à aider. Mais Washington, c’est ça l’initiative du Japon. La solution pour l’émergente crise asiatique devait venir de la part de Washington à travers le FMI. Après 2 mois d’attaque spéculative, le gouvernement thaïlandais a fait flotter le bat. Le FMI à la rescousse. Jusqu’à présent, le FMI a promis presque 120000 milliards de dollars américains aux économies de la Thaïlande, de l’Indonésie et de la Corée du Sud. Les équipes du FMI après être arrivés dans les pays en crise ont installé leur bureaux dans les banques centrales d’où ils ont dicté ce qui équivalait à des conditions de rédition. Le FMI exigea une série de politiques notamment en limitant la création de crédit par la banque centrale et les banques des changements juridiques majeurs et de fortes hausses de taux d’intérêt. Lorsque les taux d’intérêt augmentèrent, les emprunteurs à haut risque ont commencé à ne pas rembourser leur prix. Chargé avec de grandes quantités de mauvaise dettes, les systèmes bancaires de Thaïlande, Corée et Indonésie étaient quasiment faillite. Même les entreprises saines commencèrent à souffrir le resserrement du crédit. Les faillites d’entreprises se multiplièrent et le chômage atteint son niveau le plus élevé depuis 1930. Le rôle du FMI à la rescousse des pays en difficulté a fait l’objet de vif débat. Quelquesuns ont même accusé le FMI d’aggraver la crise asiatique. Même s’ils doivent saboter notre économie, ils le feront pour prouver qu’ils ont raison. Le FMI n’a pas été d’une grande aide. Le FMI connaissait très bien les conséquences de ces politiques. Dans le cas coréen, ils avaient préparé des recherches détaillées mais confidentielles pour calculer combien d’entreprises coréennes allaient faire faillite si le taux d’intérêt augmentait un 5 %. Le premier accord entre la Corée et le FMI demanda exactement une de 5 % des taux d’intérêt. Les politiques du FMI ne sont pas visées pour créer une une récupération de l’économie des pays asiatiques. Ils suivent un agenda différent pour changer le système économique, politique et social de ces pays. En fait, les accords du FMI empêchent ces pays, la Corée ou la Thaïlande, de se récupérer. Ce que vous dites est que le FMI aggrave les crises et a un agenda secret. L’agenda n’est pas si secret que ça car le FMI demande que les pays asiatiques concernés changent leur loi pour que les intérêts étrangers puisse tout acheter, des banques au terrain. De plus, les systèmes banquiers peuvent être capitalisés selon les accords du FMI en utilisant de l’argent étranger. Ce qui n’est pas nécessaire car si ces pays ont des banques centrales, elles peuvent imprimer de l’argent et recapitaliser leur système bancaire. L’agenda est clairement fait pour ouvrir l’Asie aux intérêts étrangers. Le FMI exigea que les banques en détresse ne soient pas sauvé sinon fermé et vendu comme des actif dévalorisé à de grandes banques d’investissements américains. Un point positif du cas de la Thaïlande est qu’ils vont vendre aux enchères quelques actifs majeurs de 56 entreprises financières. Les propriétaires de ces 56 entreprises devraient-ils racheter leurs actifs ? Dans la plupart des cas, les lettes d’intention dictées par le FMI stipulaient explicitement que les banques devaient être vendues à des investisseurs étrangers. J’insiste sur le fait que ces programmes de réforme sont clés pour restaurer la stabilité financière. Pour la première fois dans l’histoire, la Corée du Sud a fermé cinq banques dans le cadre de son mandat avec l’UFMI. Le nombre de banques commerciales s’est réduit comme conséquence de fermeture de fusion et d’acquisition. Maintenant, les investisseurs stratégiques étrangers sont désormais présents, ce qui constitue un changement remarquable. En Asie, la rescousse organisée par le gouvernement pour maintenir les institutions financières à flot était interdite. Mais quand une crise similaire se déclencha aux États-Unis un an après, les mêmes institutions réagirent de façon différente. Rescous de la gestion des capitaux à long terme. Les fonds spéculatifs basés dans le Connecticut qui acceptait comme client uniquement des investisseurs individuels et des institutions avait exploiter ces 5000 milliards de dollars américains dans le capital cliant plus de 25 fois en empruntant plus de 100000 milliards de dollars des banques mondiales. Quand les pertes ont menacé de miner les banques liées au prix et à la possibilité d’une crise bancaire. Se présentant, mettant en danger le système financier économique des États-Unis, la réserve fédérale organisa une entente de rescous en comptant sur Wall Street et les banques internationales pour qu’elles contribue des fonds pour éviter la faillite. Les points de vue de Washington et de New York sont plés flexibles car auprès des pays asiatiques, il n’y avait pas de rescousse pour les institutions financière. Ils ont organisé une rescousse quant à la gestion du capital à long terme et New York s’est vu menacer. Tout le contraire de ce qu’ils dirent aux pays asiatiques. Ils ont dit que l’argent public n’avait pas été utilisé pour New York. Et pourtant, la réunion a eu lieu à l’intérieur de la réserve fédérale. Pourquoi les États-Unis exigèrent de pays étrangers au nom du libre marché des règles sans avoir l’intention de les respecter à l’intérieur de ses propres frontières ? Les exemples des crises du Japon et d’Asie illustrent comment les crises peuvent être conçues pour faciliter la redistribution des propriétés économiques et imposer des changements structurels et politiques. Des événements similaires ont eu lieu dans la zone euro. La crise de la dette européenne. Les pays du bloc monétaire eur ont perdu le droit à une monnaie nationale et ont transféré ce pouvoir à la banque centrale européenne. Richard Werner est professeur à l’université de Southampton. Quel est votre conseil pour la Banque centrale européenne ? Ils se réunissent demain. Que leur diriez-vous ? Il devrait se concentrer sur la quantité de création de crédit et non pas sur les taux d’intérêt. La BCE a beaucoup à apprendre ces erreurs passées car je crois qu’ils ne sont pas concentrés assez sur la création de crédit en Espagne ou en Irlande, nous avons vu une expansion massive du crédit sous la surveillance de la BCE. Les taux d’intérêt sont les mêmes dans toute l’Eurozone, mais la quantité du cycle de crédit est très différente. Il n’y a qu’un taux d’intérêt pour toute la zone euro. Mais en 2002, la BCE a dit à la Bunders Bank de réduire sa création de crédit par le montant le plus élevé de son histoire et a dit à la banque centrale irlandaise d’imprimer de l’argent comme si demain n’existait pas. Que va-t-il se passer ? Le même taux d’intérêt, la même croissance ? Non. précession pour l’Allemagne et boom pour l’Irlande. À partir de 2004, sous la subveance de la BCE, le crédit bancaire augmenta un 20 % annuel en Irlande, en Grèce, au Portugal et en Espagne et les prix immobiliers flambèrent. Quand le crédit banquier tomba, les prix immobiliers s’effondrèrent. Les développeurs firent fight et les systèmes banquiers de l’Irlande, du Portugal, de l’Espagne et de la Grèce. devaent insolvable. La BCE aurait pu éviter ses bulles et la crise bancaire économique qui suivit, mais elle refusa jusqu’à ce que de grandes concessions politiques furent faites comme le transfert des pouvoirs fiscaux et budgétisation de chaque état souverain de l’Union européenne. En Espagne et en Grèce, le chômage des jeunes augmenta un 50 % les forçant à partir à l’étranger pour trouver du travail. Des médecins grecs pour l’éducation desquelles les contribuables grecs avaient payés travaillent désormais en Allemagne. Les délibérations de la prise de décision de la BCE sont secrètes. Essayez d’influencer la BCE à travers des débats démocratiques où des discussions interdites selon le traité de MRI. La BCE est une des organisations internationales étant au-dessus et en dehors des lois et des juridictions de toute nation individuelle. Son personnel d’encadrement possède des passeports diplomatiques et les documents à l’intérieur ne peuvent être ni cherché ni confisqué par la police. La BCE est très connue entre les économistes car elle est une des plus puissantes mais la moins transparente des banques centrales. Pourtant, son ancien président Jean-Claude Tricher considère qu’il n’y a pas de problème en déclarant que la BCE est l’une des institutions les plus transparentes au monde et a contribué à définir le progrès de la banque centrale dans ce domaine. Forum économique mondial Davos Suisse. Je m’appelle Richard Werner et je suis économiste. Ma question est pour monsieur Tricher ou dans le traité de Mastrich ou les lois de la BCE, pouvons-nous trouver que c’est le travail de la BCE de soutenir des réformes structurelles ou tout un autre programme politique ? Nous avons dit clairement que nous n’avons pas de responsabilité dans ce domaine. Nous avons une voix et nous disons ce que nous pensons. Et si nous pouvons aider en expliquant perspective au public général, l’Europe pourra s’embarquer dans cette mise en œuvre de réforme structurelle très importante avec un consensus très large sur ce point. La Commission européenne, un groupe non élu dont l’objectif est de construire les États-Unis d’Europe avec tous les attributs d’un État unifié s’intéresse à affaiblir les gouvernements individuels et à influencer les Parlements démocratiques en Europe. [Musique] Il s’avère que les preuves de l’indépendance des banques centrales sur lesquelles s’est appuyé le traité de Mastrich proviennent d’une seule étude commandée par la Commission européenne elle-même. Publié en 1992 sous le titre Un marché une monnaie, l’étude prétendait démontrer que l’indépendance des banques centrales mené à une baisse d’inflation. [Musique] James Ford, un académique d’Oxford, a prouvé que cette étude avait été manipulé pour garantir le résultat désiré. L’histoire que les banques centrales ont raconté n’est pas véridique. Il y a des preuves montrant que les banques centrales travaillent d’une façon différente à celle qu’elles voulaient nous faire croire. Dans le monde entier, les banques centrales détiennent de grands pouvoirs, peu compris. Souvent indépendantes, sans rendre de compte à personne, elles opèrent dans l’ombre, mais leurs actions nous affectent tous. Les banques centrales dans presque tout le monde ont réussi à être indépendantes et à ne pas rendre de compte à aucune institution démocratique. Et l’obligation de rendre des comptes au Parlement est généralement mineur. que ce soit la Banque du Japon, la réserve fédérale, la Banque du Royaume-Uni ou la Banque centrale européenne, les exemples de déception de la part des banques centrales àonde. En 1920, aux États-Unis, les banques étaient encouragées à créer de l’argent et de le donner au spéculateur. La dépression qui e eu lieu persuada les Américains am de la liberté qu’un système fédéral décentralisé ne pouvait fonctionner sans le contrôle national. [Musique] En 1990, les Japonais étaient persuadés que son système économique qui avait apporté prospérité, égalité devait devenir un système de libre marché. La transformation du Japon n’était pas finie quand les banques centrales frappèrent avec une attaque menée par le FMI, les économies tigre asiatiques. La présente crise de la dette européenne est un autre exemple de la déception des banques centrales. créer un consensus public sur la nécessité d’une réforme structurelle en créant délibérément une récession puis en la prolongeant inutilement doit constituer un abut de pouvoir. Les citoyens veulent-ils être manipulés d’une manière aussi coûteuse et malhonnête ? เรียน แบบ for F. Traduction de Laya Navaro Peltier. Oke. [Musique] [Musique] [Musique] [Musique]

Le pouvoir des banques – Situé dans le Japon du XXe siècle, ce documentaire explore le rôle et le pouvoir des banques centrales et la manière dont elles peuvent être utilisées pour changer les structures économiques, politiques et sociales d’un pays. Une adaptation documentaire du livre du professeur Richard Werner.

Le pouvoir des banques (2014)
Réalisateur : Michael Oswald
Scénaristes : Michael Oswald(scénario)
Stars : Andrew Piper(voix), Richard Werner(images d’archives), Noriko Yamagiwa
Genre : Documentaire, Crime
Pays : Royaume-Uni
Langue : anglais Français
Date de sortie : 5 novembre 2014 (UK)
Lieu de tournage : Japon

Scénario :
Les banques centrales sont parmi les institutions les plus secrètes et les plus incomprises au monde. Quels pouvoirs exercent-elles ? Quels intérêts servent-elles ? Comment leurs actions affectent-elles notre vie quotidienne ? En 2003, Richard Werner a publié un livre intitulé « Princes of the Yen », qui s’affranchit du jargon complexe des banquiers centraux et rend pour la première fois ce monde obscur accessible au public. Le livre est devenu un best-seller numéro un au Japon. Pourtant, plus de dix ans après sa sortie, la version anglaise en est toujours à sa première édition ! Raconté dans le contexte de l’histoire du Japon du XXe siècle, Richard Werner résout méticuleusement l’énigme des banques centrales et explique l’impact social, politique et économique de leurs actions. Ce documentaire offre au spectateur une nouvelle compréhension de l’économie et montre comment des événements qui peuvent sembler décousus dans le discours populaire sont en réalité intimement liés. « Princes of the Yen » est un documentaire indépendant et autofinancé. Il fait suite à 97% Owned, un film sur la création de l’argent et l’impact de cette création. Après avoir réalisé ce film, nous nous sommes rendu compte que nous ne comprenions pas comment les banques centrales s’inséraient dans le tableau. « Princes of the Yen » comble cette lacune, en mettant en lumière un monde caché derrière des portes closes et obscurci par un jargon complexe, un monde qui préférerait rester à l’abri des regards. Et lorsque toutes les couches sont enlevées, ce qui reste, c’est la compréhension du rôle que jouent les banques centrales en induisant et en dirigeant le changement. Un changement pour lequel elles n’ont pas de mandat.

Critiques :
« Une explication honnête, étape par étape, de la façon dont la cupidité pure travaille main dans la main sous le couvert de la pression du marché libre pour tuer tous les systèmes de régulation qui peuvent assurer une certaine prospérité pour tous et comment cela a tué l’économie du Japon. Au lieu de cela, il crée des opportunités pour quelques uns de devenir follement riches sans se soucier de ce qu’il advient de l’économie ». -Écrit par daveintro IMDb.com

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