SMART BOURSE – Taux : et si la FED retardait encore ses baisses ?
Trois invités avec nous chaque soir pour décrypter les mouvements de la planète marché olivier ringjard est avec nous directeur des investissement de nefl OBC bonsoir Olivier bonsoir merci d’être là merci à Andrew et terington de nous accompagner également bonsoir Andre vous êtes le responsable de la gestion
Diversifiée d’xa im et Julien Moutier à nos côté également bonsoir Julien ravi de vous êtes directeur des gestions obligataires de group ama Asset Management il y a encore à peine 2 mois le marché les investisseur estimit qu’on aurait peut-être jusqu’à 7p baisses de taux de la Réserve fédérale américaine en 2024
Julien quelques semaines après certains imaginent que la Fed ne baissera pas ces taux cette année c’est le call qui a été fait vendredi par le chef économiste d’Apollo global management grande firme de private equity c’est un chef économiste respecté à Wall Street sa parole porte thorston slock un ancien du
FMI il dit que la croissance est trop forte pour permettre à la fête de baisser cette cette année ces taux ces taux directeur et je sais que chez Groupama Asset Management pour ça que je vous lance là-dessus vous êtes pas très loin de l’idée et du CO fait par
Thorsten slock oui tout à fait j’avou je vous remercie c’est vrai qu’il y a de mois quand on s’était vu la situation était un peu différente on faisait figure de challenger par rapport à des anticipations de marché en effet qui étaient bah très accommodantes qui prévoyaent en effet euh cette baisse de
Taux sur sur l’année euh aux États-Unis notamment un peu moins en zone euro et voilà et depuis euh fort de chiffres qui montre finalement un un un bottoming ou en tout cas un redémarrage aussi potentiellement de l’activité industrielle manufacturière on a également eu bah pas mal de manquers
Centraux hein aux États-Unis mais aussi en en zone euro euh qui ont un peu rétropédalé euh euh ou qui en tout cas sont intervenus pour essayer de euh de bah de de limiter justement ces anticipations de baisse de taux dans le marché les jugeant comme trop
Accommodantes et et et et joue un peu à l’encontre de ce que la les les banques centrales sont en train d’essayer de faire c’estàdire calmer la surchauffe voilà donc on a eu pas mal de de banquiers centraux Isabelle Schnabel notamment en zone euro et puis aux États-Unis aussi beaucoup de membres du
Boord qui ont été très vocaux pour voilà ils sont fait entendre afin de de permettre au marché de refluer un petit peu sur ces anticipations de cut pour revenir un peu plus sur notre scénario ouais qu’est-ce qu’il a un bon équilibre aujourd’hui pour vous en terme d’anticipation de baisse de taux parce
Que passer de 7 c’était consensus à zéro qui un scénario all dire de de de pour l’instant hors consensus ça paraît quand même extrême ouais bah quel quel est le bon équilibre c’est c’est une question intéressante que qui revient à finalement à trouver le tau neutre
Sur T neutre sur l’ sur donc neutre sur le sur l’activité économique alors ce neutre il y en a certains qui disent qu’on s’en aperçoit toujours quand on l’a dépassé c’est qu’on est soit trop trop trop dur avec la politique monétaire soit au contraire trop accommodant Jérôme Powell en 2018 s’est
Posé la question dans un speech euh c’est inspirant voilà de d’études d’études académiques faites aux États-Unis et la conclusion c’était finalement dans un univers incertain on peut dire qu’on y est et bien finalement le la politique monétaire amené doit être progressive euh elle doit être donc
À la fois euh comment dire les légère en terme d’impact hein donc la méthode des petits pas ce qu’il appelit les petits pas donc et et surtout il faut pas préempter également ce que sera le marché du travail en en actant d’un déséquilibre potentiellement voilà des une évolution à venir et plutôt partir
De la réalité du taux de de chômage et donc on voit bien qu’on est plutôt en réaction plutôt qu’en que que que que sur un caractère proactif en fait vis-à-vis de la politique monétaire ouais on garde l’idée quand même qu’il y aura des baisses de taux de la Fed cette
Année ou pas alors du coup oui alors cette année en tout cas ce que Price aujourd’hui les les investisseurs c’est à peu près tro entre trois et quatre baisses de taux mais ce qui est intéressant au-delà du pricing de de de baisse de taux c’est que finalement les
Dots donc la la somme des banqu Centro américains sur leurs anticipations les économistes et les investisseurs donc déduit du marché et bien convergeent actuellement donc ça c’est assez intéressant parce que ça il y a longtemps que ça n’était pas arrivé on avait en eff faet cette baisse de
Taux il y a encore pas si longtemps là où nous chez groupe nous étions à à potentiellement une à deux baisses de taux cette année et aujourd’hui on voit bien globalement ce consensus entre les différents acteurs converg donc pour l’instant oui on pense qu’on peut avoir une fenêtre de tir avant les les
Élections l’approche des élections on sait que ce sera un peu plus compliqué la Réserve fédérale devant rester indépendant an et ne doit pas peser sur le résultat de de l’élection et donc s’efforcera de ne pas agir massivement en tout cas à l’approche des élections donc on a peut-être une fenêtre de tir
Qui pour l’instant dans le marché est anticipé autour du mois de juillet voilà sur un premier c que vous inspire androu ce déjà ce repricing de marché hein qui s’est fait j’allais dire presque dans le calme alors ça un peu corrigé sur les marchés obligataires mais sur les
Marchés d’actifs risqués ça s’est fait sans impact et l’idée que peut-être la Fed ne serait pas en position de Baer comme le marché l’imagine à compter du mois de mai ou du mois de juin par exemple bon je crois que ce qu’on devrait identifier d’abord c’est pourquoi ils vont baisser les taux ou
Pas et donc c’est une normalisation après une période de mouvement qui était pas du tout légère il il a fait tout à fait le contraire mais il était obligé c’est vrai je trouve bah c’est plutôt l’excès c’était la fin de l’année dernière où on avait un mouvement suite à suite à la publication
Des fameuses dot plot euh c’était un mouvement en excès parce que le marché était mal positionné et parce qu’il y avait pas très il y avait pas beaucoup de profondeur dans le marché en fin d’année je trouve donc le 3 à 7 qu’on a eu comme chemin a été un
Peu excessif bon et je crois que les preuve c’est que ça a été dénoué pas avec une totale absence de volatilité sur le pricing de des obligations ce qui est très bien ça c’est maintenant ça c’est fait maintenant ça va être un petit peu plus intéressant parce que à partir d’aujourd’hui chaque repricing
D’une baisse ou autre ou pas ça avir un effet d’un petit choc sur le marchéprend ça c’est ça c’est plutôt notre position on avait on avait jamais Cheam évoluer à plus loin que trois trois baisses trois baisses qui est une mais on parle des baisses c’est une normalisation c’est juste une r
Recalibration de désinflation qu’on a déjà constaté c’est vrai que on a eu un peu de choc sur les les prix de la consommation les prix de production le les chiffres d’emploi qui étit plus fort mais au contraire de ça on avait des des ventes au détail qui étaient pas
Terribles et les prévisions dans les diffusions qui sont quand même un peu plus à calmer quoi ouais un des arguments de torston slock je le cite à nouveau c’est de dire que alors il y a le le le les effets d’inertie dans l’économie mais il y a aussi l’effet de
Marché et que depuis décembre l’effet de marché a été très puissant alimenté notamment par le discours de Jérôme Poel à l’époque hein qui signalait explicitement la fin des baisses de taux et qui ouvrait la discussion sur des baisses de taux pour 2024 et que ce ventpteur venant du marché bah
Entretient de la croissance dans l’économie réelle encore un peu plus que ce qu’on pouvait imaginer donc il y en a presque un cercle vertueux ou vicieux j’en sais rien à quel moment ça devient un cercle vicieux mais ces effets de marché ils vont se retrouver aussi dans
La croissance américaine que ce soit le FED ou le BC ou le bog ils sont contents quand le marché font le travail pour eux ouais par contre aujourd’hui c’est peut-être un petit peu peu trop loin et donc ça incite effectivement ce que ce qu’il ne veut pas voir c’est trop de
Croissance c’est une infflation qui qui se résudre nettement au-delà de de le de leur cible et aujourd’hui à court terme ou ou sur les 6 mois on est dans dans un endroit un interessage qui est en douceur mais les derniers chiffres dans l’ensemble sont inquiétants donc qu’est-ce qui est inquiétant que à
L’instard de ce qu’on a vécu l’été dernier où euh en fait faut bah c’est c’est c’est rien de nouveau ça fait la 7e fois depuis le début de cette série de Hauses des taux des banques centrales que on sait que le marché quelque part s’est trompé ouais mais c’est trompé
C’est une équ c’est une pondération des vues c’est pas tout c’est pas vraiment c’est pas aussi précis qu’on voit le plus précis que peut-être c’est ce qu’on voit sur les do plots et là on devrait être très attentif aux prochaines réunion à savoir comment ils sont distribués ouais on verra si le le
Graphique de point effectivement les projections des des banquiers C américains ont évolué depuis décembre dernier la projection médiane donnait trois baisse de taux pour 2024 comment vous regardez ce moment macro Olivier et sur le plan des marchés ben la conséquence de cette idée de de croissance encore vigoureuse aux
États-Unis qui a été de voir encore une fois des marchés actions déconnectés de la situation des marchés obligataires sur le sur le scénario macro ce que l’on dit depuis plusieurs mois c’est que vous avez trois scénarios qui sont sur la table et les marchés vont vraisemblablement évoluer avec ces
Trois scénarios donc no lending soft lending hard lending donc 2022 2022 début 2023 tout le monde était sur le Hard landing fin 2023 tout le monde a basculé sur le soft landing d’où le rally que l’on a eu sur l’ensemble des classes d’actifs et aujourd’hui on est
Toujours sur le soft lending avec un petit courant no lending qui est en train de qui est en train de de monter et alimenter par une croissance américaine qui se tient à peu près par des chiffres d’inflation cœur qui ralentissse mais pas aussi rapidement peut-être qu’escomter à la fois aux
États-Unis et en Europe Europe et par un secteur manufacturier qui redonne des signes de vie et qui alimente des spéculations selon lequel une réaccélération du secteur manufacturier alimenterait quelques tension inflationniste au cours des des prochains mois il a une petite difficulté par rapport à ce sujet du NO
Lending c’est sa définition est-ce que no lending ça signifie pas d’atterrissage de la croissance est-ce que no lending ça signifie une inflation plus plus importante et si vous considérez que le lending signifie une inflation plus importante se pose potentiellement la question de savoir comment les banques centrales réagissent à cette potentielleé accélération de
L’inflation vont-elles durcir de nouveau et ça ça serait un élément plutôt mauvais pour les actifs risqués ce serait un vrai contrepied là ça serait un contrepied ça serait un vrai un joli contrepied un nouveau mais après tout on en a eu un en 2023 lorsque les investisseurs considéraent plutôt le
Scénario de de de hard Ling ouis en début d’année ou au contraire vont-elles laisser filer l’inflation en faisant évoluer tranquillement leur cible d’inflation sujet dont on parlait il y a de ça quelques quelques trimestres donc on est dans ce on est dans ces dans dans cette on reste confronté à ces trois
Scénarios et nous pensons que sur les 18 mois à venir on restera très probablement avec ces trois scénari et avec des probabilités qui évolueront après pour revenir à la deuxième partie de votre question sur sur les marchés sur la partie obligataire on a sans doute un un un
Reflux de en en ce début d’année par rapport à ce qui s’est passé en fin d’année dernière où on a été beaucoup trop loin trop vite dans la perspective d’une baisse de taux et sur la partie action on est toujours dans la même dynamique depuis le mois de novembre avec une
Surperformance de la de de de la croissance et pour l’instant les résultats qu’on qu’on a vu publier là justifient effectivement en partie en tout cas la performance des marchés action et les niveaux de de prix de valorisation qui ont été atteints alors quand on regarde la la dynamique des
Marchés aujourd’hui on beaucoup font référence à ce qui s’est passé à la fin des années 90 début des années 2000 pourquoi parce que quand vous regardez aujourd’hui c’estes marchés d’action si on se concentre sur le marché américain on voit bien que le standard 1 pour 500
Depuis le début de l’année est à plus que le standard pour 500 éip pendéré est à 4 que les petites et moyennes capilol 2000 est à + 2 + 2 et demi si vous regardez sur 1 an vous avez le standard 1 pour 500 qui est à quasiment +
30 le le standard pour 500 éip pendér qui est plutôt à + 12 et les petites capies qui sont à plus + 10 donc ça ressemble assez furieusement à ce qui s’est passé à la fin des années 90 début des années 2000 où le standard 1 pour
500 avait largement fait mieux que un standard 1 pour 500 éci pondéré ou que un RUL un RUL 2000 ça c’est la dynamique de marché quand vous regardez les valorisations si vous prenez le PE médian des 10 plus grandes capitalisations du marché américain vous êtes aujourd’hui à 29 ouais ok en 2000
Vous étiez à 45 je crois si vous regardez pour les sets magnifiques c’est moins de 302 pe quoi si vous regardez le price suring ratio des 490 autres on est aujourd’hui autour de 18 19 fois les bénéfices en 2000 on était à 18 fois les bénéfices d’accord donc on a une une
Dynamique aujourd’hui qui ressemble vraiment à ce qui s’est passé en 2000 alors peut-elle perdurer euh oui on peut aller plus loin en terme de valorisation la question que les investisseurs doivent se poser c’est qu’est-ce qui pourrait remettre en cause la dynamique de marché que l’on observe sur les
Actions est-ce que ça sera un signal de la part des banques centrales est-ce que ça sera un signal macro aut que celui anticipé pour l’instant par les investisseurs est-ce que ça sera un signal micro venant pourquoi pas de Nvidia voilà voilà les questions qu’on va auquel nousous serons confrontés
Probablement au cours des prochains mois où est-ce que vous voyez les limites dans ce schéma de marché Andrew tout à l’heure vous disiez passer de 7 à TR baisses de taux ça s’est fait sans volatilité parce que on était dans quelque chose d’excessif s’il faut
Passer de 3-0 ou en tout cas s’il faut maintenant effacer encore des baisses de taux là il y aura des impacts ça veut dire qu’il y a quand même une limite dans ce schéma good news is good news quoi h ça serait pas forcément négatif pour les actions dans le moyen terme
Dans l’ensemble euh il y a certaines parties de marché qu”s ont besoin de voir des baisses des taux pour peut-être justifier les valorisations actuelles ça peut être un petit peu chouté pendant un peu de temps mais ça serait sur les durations que ça va se ressentir c’est
C’est sûr pour nous aujourd’hui la le le soi-disant atterrissage en douceur la piste d’ terissage ça c’est un petit je peux retrécer il y a un peu plus de de place des deux côtés mais lequel il est dominant effectivement on est presque à dire que le le le le sans inéressage et
Une réaccélération de de l’économie américaine est en vue euh pas forcément le même cas en Europe je sa que vous avez cité tout à l’heure une amélioration des des des sondages en Europe mais on reste encore en berne donc mais pour les US c’est c’est plus une question de duration maintenant non
Ce qui va être compliqué à à digérer ouais j’entends euh et et l’idée que l’idée d’une olending c’est comment dire c’est une idée de marché parce que je sais que les gens de marché on peut vivre dans notre petit monde c’est o où est-ce qu’il y a une réalité pour Main
Street c’est une c’est une réalité pour Wall Street ça c’est sûr pour Main Street c’est une réalité aujourd’hui parce que le chômage resque très faible l’emploi a ét encore à à des niveau casier record on a des renégociations salariales et ça c’est quelque chose sur lequel à la fois Monsieur Poel ou madame
La garde a mis beaucoup de de référen dessus il faut qu’il voit ça en ralentiss avant qu’ils auraient la capacité de normaliser de le premier pas de normalisation sans cela je vois mal on avait cité madame Schnabel en fait elle avait en 3 mois elle a dit un peu les deux choses elle
Était cité d’une manière très accommodant en fin d’année ce qui a doné un boost sur le le les obligations européenes elle est beaucoup plus dur récemment et euh et ça c’est ça c’est le ner de la guerre HM aujourd’hui c’est l’évolution salariale parce que le dans
Ce qu’on a vu sur la le les les les indices de prix aux États-Unis le super corore c’est les services qui tient aussi avec l’immobilier mais c’est les services c’est les salaires ce sont des salaires et ça c’est euh ça c’est le nerf de la guerre et on va voir pourquoi
Beaucoup de monde avait passé déjà sur joint c’est qu’ ils vont avoir suffisment d’information en juin pour prendre une décision quel qu’elle soitc même s’ils ont vu quelques signaux comme elle avait dit la garde elle cité ENF d’anné il y avait certains indicateurs qui se calm mais leur propres indicateur
In house qu’ils ont créé euxmême de modèle pour moi elle est encore en croissante ou ou bien sûr oui oui puis manque peut-être aussi de profondeur de données en Europe sur les salaires pour avoir peut-être une comment dire une prise de décision optimale de la part de la Banque centrale européenne justement
Dans le le le match fit BCE Julien encore une fois je je je reste dans cette idée qui est le momentum du moment que la Fed pourrait peut-être encore décaler ses ses baisses de taux ou en faire moins que ce que le marché anticipe est-ce que c’est un schéma qui
Peut convenir également à la Banque centrale européenne alors je dirais que ça pose la question de la déconnexion en fait entre la Banque centrale européenne et la banque centrale américaine je pense que la Banque centrale européenne encore une fois elle peut avoir une fenêtre pour commencer à à à gérer cet
Atterrissage de sa politique monétaire euh est qu’il faut avoir en tête aussi je pense c’est que une première baisse de taux ne veut pas dire que on rentre dans un cycle agressif de baisse de taux encore une fois euh faudra l’expliquer hein parce que ça le marché quand il
Voit une première baisse de taux lui il voit tout seul qui arrive derrière mais d’ailleurs ils ont fait voilà suite au discours de Powell il y a eu il y a eu tout un un sujet d’explication de texte autour de cela qui a permis d’ailleurs de repriser sur les anticipations de de
De baisse de taux et mais on voit bien que les banques centrales aujourd’hui sont plutôt là à essayer de ménager les perspectives de baisse de taux plutôt qu’à dire au contraire qu’on va freiner les hausses de taux voyz c’est que c’est toujours plus agréable pour les actifs risqués notamment d’être dans un
Scénario où ok on va baisser les taux on va cter on va avoir une politique monétaire qui sera plus accommodante alors elle sera peut-être moins qu’anticipée reste en effet dans une politique monétaire accommodante et pour revenir sur ce que sur ce que ce que dis en effet moi je pense que le risque
Qu’on pourrait avoir à un moment c’est si les marchés financiers venit à anticiper non plus des baisses de taux mais voir plus de baisses de taux du tout voire des hausses de taux là en effet on aurait un impact sur bah tout d’abord les actif à duration mais
Aussi on est plus vers de l’accommodant on va vers quelque chose de flat un peu plus restrictif et donc là pour le coup ça changerait la donne alors le problème c’est qu’aujourd’hui comme on est data deppendent on voit bien qu’on a une volatilité assez forte sur les indicateur macro on parlait des salaires
En effet les salaires sont regardés de très près et pour répondre à la question US versus Europe bah ce qu’on voit c’est que on a des marchés de l’emploi aux US et en Europe qui sont tendus voir quand on regarde les indicateurs de salaire produits par indid ce sur quoi la BCE
S’appuie ils ont fait référenceou bien s alors sur des données trimestrielles je pense que quand on regarde les données mensuelles on voit que ça ne baisse plus mais que c’est en train de redémarrer depuis octobre on est revenu à 4% de croissance des salaires en zone euro madame Lagarde l’ gentiment occulté lors
De son dernier discours ça tr TR dans son s bon mais en tout cas on voit bien que ça y est les salaires sont en train de repartir le manufacturier repart il y a bien qu’en Allemagne qu’on reste dépressif sur le manufacturier mais pour des raisons liées aux exports notamment
Vis-à-vis de la Chine mais quand on ge les données endogènes manufacturières au sein de la zone euro on le voit sur les périphériques d’ailleurs ça tient on a des on a enfin ça tient ça rebondit même je dirais on rebondit au-delà de 50 pour certains pays alors en France en Italie
On est toujours en dessous de 50 en Espagne on est passé a-udessus de 50 sur le sur l’indice PMI donc qui matérialise le la zone d’expansion hein au-delà des au-delà des 50 et le momentum en France et en Italie encore une fois est positif donc voilà on a des indicateurs je
Dirais cycliques manufacturiers qui sont plutôt positif à un moment où en effet les services eu sont restés euh sont restés extrêmement tendus et notamment en raison des salaires qui qui resté assez élevé où les renégociations se faisaient sur des rythmes assez élevés h et ça peut on peut avoir un effet de
Compensation au moment où on aimerait voir la partie service s’affaiblir un peu avoir le manufacturer qui prendrait la relève ça ça participe justement de ce scénar d’atterrissage en douceur pas que pour les États-Unis hein pour l’ensemble de l’économie mondiale bah oui le souci qu’on va voir c’est qu’aujourd’hui enfin à l’origine on
Avait une inflation tiré par l’offre c’està-dire qu’on avait une offre qui était fortement réduit des ruptures de chaînes de production aujourd’hui on arrive plutôt à une inflation tirée par la demande c’est très clair on a plus de rupture de chaîne d’approvisionnement ou beaucoup moins beaucoup moins de sujets
Sur ces sur de de de voilà de ou de de rupture de chaînes de de de fabrication et et donc c’est réellement cette demande cette demande qui se maintient même sur l’aspect même sur l’univers industriel et manufacturier qui se maintient en fait on a une baisse de l’activité manufacturière parce qu’on a
Déstocké mais la demande est toujours là la demande du consommateur des investisseurs est toujours présente et on voit sur les indicateurs avancés que là actuellement et bien c ces indicateurs montrent un redémarrage de l’activité est-ce que tout ça appelle quand même l’idée d’une d’une rotation je reprenais enfin je reprends les les
Les comparaisons que vous faisiez 90 ou 1090 2000 par rapport à aujourd’hui le fait que effectivement ce soit des performances très concentrées le SNP 500 fait mieux que le SNP pondéré et cetera et cetera est-ce qu’on peut imaginer quand même que ces écarts viennent à se se réduire partant d’une
Situation cyclique qui peut s’améliorer ici et là Olivier ouis c’est ce qu’on pouvait déjà se dire en ce début d’année pour l’instant ça pour l’instant ça se passe pas on conserve on conserve la même hiérarchie que celle constaté l’année dernière en terme de croissance versus value grande cap versus PE CAPI États-Unis versus
Reste du monde en particulier émergent et on voit pas on voit pas cette cette cette rotation se matérialiser la question qu’on doit alors se poser c’est qu’est-ce qui ferait que on aurait cette cette rotation qui se matérialiserait et pour vous ça vient d’un accident sur la partie sur la partie tech quoi pas
Forcément pas pas nécessairement ça vient ça vient ça viendrait plutôt d’un assouplissement Moné ire en particulier du du côté des États-Unis qui alimenterait un assouplissement des conditions financières pour les marchés pour les marchés émergents au sens large qui permettrai un retour de la liquidité du côté des petites et moyennes
Capitalisation et qui permettrait alors à cette à ces sous-classes d’actifs de surperformer les grands les grands indices mais pour l’instant ce n’est pas du tout ce qui se passe d’un point de vue macro he puisqu’on est en train de revenir sur le pricing très agressif que l’on avait sur la politique sur la
Politique monétaire donc ça c’est un premier c’est un premier scénario le deuxième scénario c’est qu’on est comme vous le dites un accident sur la tech ouais avec tout d’un coup une correction assez assez prononcé de l’univers de la tech alimenté soit par un ralentissement économique que personne n’envisage
Aujourd’hui soit par un début de déception sur l’intelligence artificielle euh après une une vague d’euphorie qui a été en particulier matérialisée avec le titre Nvidia j’étais en train de regarder mais seul Nvidia monte aujourd’hui au au sein du groupe des7 quasiment non mais il y avait aujourd’hui il y a plus qu’envilia oui
Oui qui est sur des niveaux de nouveau de surachat donc effectivement il y a un il y a un engouement à momentum qui est extrêmement puissant sur cette sur cette thématique et qui qui qui reste très puissant maintenant depuis depuis que moi en terme de risque management comment on se couvre je évidemment
L’idée pas de d’abandonner la tech américaine j’imagine il faut être investi sur la tech américaine mais qu’est-ce qu’on qu’est-ce qu’on met en face dans un portefeuille alors nous ce que l’on ce que l’on a fait c’est qu’on vient de prendre quelques profits sur la tech en considérant que on avait eu un
Une progression très substantielle de ce de ce secteur au cours des derniers mois que c’était on revenait sur des niveaux de valorisation un peu tendu on retrouve quasiment les niveaux de valorisation que l’on a eu fin 2021 et donc face à face à ces niveaux de valorisation et
Face à une évolution potentielle des des scénarios entre ce soft lending et ce no lending on a décidé de réduire un peu le notre exposition au au secteur technologique tout en restant présent tout en continuant de surpondérer mais on essaie de faire en sorte que notre pondération sur ce secteur ne deviennent
Pas trop trop trop important donc voilà c’est un él c’est un élé de gestion du risque de gestion du risque et de de gestion de la position sur ce secteur est-ce que le risque peut revenir par le secteur bancaire américain par exemple Andrew on a des taux qui sont plus
Élevés aujourd’hui qu’il ne l’était il y a 1 an il y a 1 an c’était quasiment jour pour jour j’ai plus la date précise en tête mais on avait l’événement SVB suivi en Europe par Crédit Suisse voilà même si les deux affaires sont peut-être distinctes on reparle aujourd’hui des
Community Banks américaines des banques régionales c’est New York community Bank qui perd encore d’ailleurs plus de 10 % je crois aujourd’hui après 25 vendredi et toute une kiriade une cascade de petite banque que personne ne connaît pour dire les choses qui qui se font un peu massacrer sur les marchés financiers
C’est plutôt une question de confiance SVB personne n avait parlé c’était le deuxième plus gros faillite dans l’histoire américain et il y en a eu donc aujourd’hui en New York community Bank en fait c’est mauvaise gestion c’est manque de de de réglementation manque de suivi on croyait que jusqu’à
La semaine dernière c’était juste une manque de communication de leur part quand ils avaient augmenté leur capital en achetant un deuxième banque et donc ils sont parti sur un autre niveau de réglementation la réalité maintenant qu’on sache on le sait depuis la fin de la semaine dernière c’est que ils voulit
Pas en parler parce qu’ils ont des problèmes internes de de de suivi de risque est-ce que ça devrait refléter ailleurs dans le dans le dans le dans le secteur je n’en sais rien je crois pas c’est pas notre analyse notre analyse c’est plus qu’il y a des risques liés à l’immobilier professionnelle qui
Aujourd’hui a une valorisation qui pèse sur les bilan des banques si jamais il y a une correction qui qui va être d à la suivi des d’US des taux déjà euou donc je crois que on peut pas infliger sur le secteur banc américain le même regard
Qu’on a sur NYCB qu’on a aujourd’hui euh et j’espère que non surtout parce que ça peut avoir des conséquences euh de pour l’ensemble l’économie du du plus bas aux États-Unis mais il y a pas de ce qui se passe sur New York community Bank ne
Génère pas de de stress ou il y a pas de diffusion du stress au-delà de ce segment de marché et de ces sujets identifiés aujourd’hui pour l’instant non et c’est intéressant parce que tu as cité torsenslock qui est éminence extraordinaire notre industrie mais juste il y a 3 semaines il avait déjà
Publié de recherches approfondies sur le secteur bancire américain surtout la concentration du risqu des des des prêts séux oui commercial real estate qui sont concentrés sur les plus petits banques ouais là ça c’est ça c’est un problème peut-être pas tout de suite et peut-être le Fed va prendre ça en compte sur leur
Politique d’assouplissement à venir mais je suis pas sûr que ça serait suffisant dans un premier temps donc nous aujourd’hui nous préférons le secteur bancaire européen ah ah le secteur américain large je parle pas de de des des des grosses capies mais je crois qu’il y a des arguments un peu plus
Intéressants plus solide plus solide fondamentalement sol peut-être pas en Allemagne ouais c’est c’est un autre non ben non c’est toujours un peu les mêm ben c’est toujours un peu les mêmes Usual Suspect hein dans ces affaires là d’immobilier d’exposition à l’immobilier américain juste qui est intéressant on en parlera demain avec des spécialistes
Du secteur bancaire mais 1 an après SVB le secteur bancaire européens avec les grandes banques européennes est toujours moins valorisé que le secteur des banques régionales américaines quand même non mais il y a quand même deux deux marchés quoi c’est vraiment je trouve que en terme de dans l’ensemble les les les investissements
En Europe par les étrangers restent en berneououi chaque secteur en Europe est moins bien valorisé que le même seeur aux États-Unis je suis d’accord mais c’est vrai que là par rapport aux banqu régionales américaine c’est quand même ça montre quand même une décote de valorisation importante pour nos banques
À nous qui ont parfaitement bien résisté à tous les effets de marché qu’on a pu connaître depuis de ou 3 ans sur la partie crédit taux et et le marché primaire Julien qu’est-ce qu’on peut dire de la dynamique aujourd’hui avec destailes des missions spectaculair hein mais est-ce que les refinancements des
États et des entreprises se déroulent correctement à ce stade et pour l’instant oui ça se passe plutôt bien ça se passe plutôt bien on voit que on a ce qu’on appelle les bat to cover hein donc c’est le l’ensemble la masse des intentions par rapport à au volume émis par un
Émetteur qui sont toujours sur des plus hauts sur le secteur corporate notamment sur la sur la partie la plus risquée pourtant he le high yield les haut rendements depuis le début de l’année on est sur des des des ce qu’on appelle donc des bit cover de TR à 5 fois c’està
Dire qu’en moyenne les investisseurs ont demandé TR à 5 fois ce que l’émetteur voulait proposer au marché donc c’est plutôt voilà encore une fois un exemple de ou un facteur en tout cas de d’attractivité hein une preuve d’attractivité du secteur aux yeux des des investisseurs il faut dire que
Depuis le début de l’année on a eu à peu près un peu plus de 8 milliards de ce qu’on appelle d’in flow donc de d’investissement dans les dans les fonds d’investissement de qualité investment grade CR he plus de 3 milliards sur du ouais on voit que les flux d’investissements sont
MIF il y a du cash ça investi sur le sur le crédit que ce soit l’Investment grade ou le highield ce cash il faut l’investir les gérant et bien vont au primaire pour investir ce cash en en portefeuille et donc ça donne ceses ses intérêts ce qu’on appelle donc ces bit
To cover qui sont assez agressif et et donc ça se fait à des prix tout à fait raisonnables pour les metteurs même si on nemprunte plus évidemment au taux zéro ou négatif hein mais ça ça reste un cûp de financement raisonnable pour des émetteurs ouais tout à fait mais
J’allais y venir c’est vrai que on a à la fois il y a des émetteurs qui qui viennent sur financer à bon compte parce que début d’année ils arrivaient après une phase de baisse de taux et de resserrement de ces écarts de rendement he ce qu’on appelle les spread donc il
Se refinançaient à moindre coût par rapport à ce qu’ils avaient pu connaître les mois les trimestres précédents euh et donc ils sont arrivés sur le marché pour se refinancer un moment où les flux étaient fort donc il y av une demande en face qui jusqu’à présent est là depuis
Le début de l’année mais également l’année dernière donc on a plutôt un un contexte assez vertueux sur les sur les émissions primaires ce qui permet notamment aux émetteurs à haut rendement de refinancer ces fameux murs de refinance ement dont on parle depuis longtemps à 2025 mais surtout à 2026
Donc là ça y est 2025 c’est refinancé c’est réglé là on entame 2026 et on voit des émetteurs comme tui par exemple le célèbre groupe de de tourisme allemand venir pour 300 millions à 6 et demi 6 3/4 et finalement émettre 500 millions à des conditions bien plus favorables
Autour de 6. 125 de mémoire voilà donc ça montre bien l’appétit du marché pour ces papiers et donc la facilité qu’on aujourd’hui les éms à se refinancer et à refinancer des dettes jusqu’à de la 2026 on a du Kiloutou par exemple et Tom Europe he deur à orendement sur le
Marché européen qui sont fininancés qui ont refinancé 2 ans avant les tombé là récemment leur leur leur dettes donc c’est et pour les États et pour les états ça se passe plutôt bien aussi en tout cas en zone euro ça se passe très bien pas de sujet on a également des
Taux d’intention de B to cover qui sont assez agressifs on a eu des tests aux États-Unis un peu délicats notamment l’année dernière on en avait parlé au mois de janvier en août on a eu une 30 ans qui a eu du mal à se placer c était compliqué ça avait occasionné des
Mouvements de tension sur les taux euh plus récemment on a une 20 ans également qui a étaé un petit peu chahuté est-ce qu’on avait vu d’ailleurs à l’époque he après l’été c’est le Trésor américain mais qui avait bifurqué sur des sur ce qu’on appelle les Treasury bills sont
Des dettes plus courtes euh qui se placent plus facilement il y a beaucoup plus de liquidité sur ce secteurlà donc ils avaient bifurqué du long vers du très court bon bah aujourd’hui euh cette année en 2024 ils vont devoir refinancer ce qui arrive à échéance plus les les
Les les papiers courts qu’ils ont dû les mettre c’est une stratégie effectivement qui aura des conséquences quand même d’un refinancement accéléré du d’un besoin de refinancement accéléré du du Trésor américain le crédit en terme d’investissement ça reste un un sweet spot où on trouve quand même encore du du rendement intéressant un risque
Reward intéressant on est correctement payé pour attendre dans cet univers là aujourd’hui Olivier les primes de sont un peu tendu quand même mais c’est une classe d’actif qu’on continue à regarder nous sur la sphère obligataire au sens large on est on est neutre d’accord nos allocations au cours de l’année fin 22
23 début début début 23 et on reste neutre sur cette sur cette classe d’actif et à l’intérieur effectivement on a de la diversification entre état obligation investment grade et et un peu de et un peu de higheld et je pense pas qu’on va faire beaucoup évoluer cette allocation obligataire au cours des au
Cours des prochaines des prochaines semaine quand on regarde quand on revient nos scénarios MACR on a aujourd’hui une allocation notutre action neutre obligation dans un scénario de s lending ce qui nous ferait bouger nos allocations désormais c’est l’évolution de ces de notre conviction sur est-ce qu’on va sur un scénario
Est-ce qu’on revient sur un scénario de Hard landing ou au contraire est-ce que le scénario de no landing dont devient central quoi devient devient central et s’ devient central combien comment devient-il central mais pour l’instant on essaie d’avoir une allocation très équilibrée et très diversifiée entre les différentes classes actif le crédit
Comment vous regardez cette classe d’actif dans une gestion diversifiée enreou c’est un c’est un bon endroit où il faut être aujourd’hui il faut pas s’en privé faut pas s’en priver dans la construction de portefeuille mais nous n’avons plus d’appétit pour AUG non nous avons nous avons dans l’ensemble plutôt réduit nos expositions
Euh vers la nature vers la neutralité mais ça veut dire qu’on reste exposé on est investi on est confortable avec le perspective court court terme euh mais les niveaux ne sont plus allchant h donc on va pas augmenter sur ces niveaul il y a plus les points d’entrée qu’on a pu avoir il
Y a 3 4 mois en arrière la demande est extraordinaire ouais je me demande toujours si les gens ils demandent C s’il veut pas vraiment deux mais ils ont peur de pas avoir donc ils demandent C pour avoir deux c’est c’est un peu le jeu je crois qu’il y a un peu de
Réglementation là-dessus mais ça fait partie du ouais non mais on peut se laisser porter enfin maintenant voilà ceux qui on le macro rest porteur la croissance au étatunis elle est autour de 3 % il est positif en Europe pas super positif mais les choses il sont en train de
S’améliorer très bien c’est un peu cher pour le pour le le stade du cycle mais on garde ce qu’on a mais on avait réduit auparavantend je comprends ça pe ça pose la question de l’approche en terme de gestion la gestion B hold est peut-être moins intéressante maintenant qu’une
Gestion flexible sur le crédit Julien ouais clairement clairement par qu’il faut je pense qu’il faut profiter aujourd’hui du regain de volatilité qu’on a globalement sur les sur les pricing de marché que ce soit les taux ou les spreads de crédit on a également une différence on le voit bien de de
Valorisation entre des actifs à Ha rendement par exemple à yield issu de d’émetteurs industriels ou des actifs également à Ha rendement de type hybride hein les les dettes hybrides émises par les entreprises qui aujourd’hui sont en retard de valorisation par rapport eu au highield corporate alors voilà ces deux
Actifs crédit ont tous les deux performé mais on voit qu’on a un peu de retard de la de hybride versus le haeld donc je dirais que en effet il y a matière à avoir une allocation active sur le sur le marché du crédit et puis encore une fois les trois facteurs principaux qui
Décident finalement du pricing du marché du crédit sont en soutien les flux l’aspect financier je dirais lié au au mouvement à la volatilité sur les taux on disait qu’elle était basse en effet depuis début de l’année elle elle est plutôt faible et puis on a une convergence aujourd’hui des anticipations sur les
Sur les politiques monétaire donc ça ça va participer à calmer un peu la volatilité sur les taux donc les flux la volatilité sur les taux et puis l’environnement économique comme on le disait qui est plutôt porteur donc nous on est plutôt favorable au marché du crédit chez group Asset Management qu’on
Surpondère dans dans nos portefeuilles encore un mot pour finir peut-être du Japon oui c’est l’occasion quand même d’en redire un mot on en parle beaucoup quand même en 2023 24 du du Japon Nik il a plus de 40000 points est-ce que est-ce que directement ou moins directement
C’est une histoire qu’on a envie de continuer d’accompagner Olivier alors nous on est neutre sur le Japon donc on l’ on on l’accompagne vous êtes agressivement neutre on est très agressivement neutre une position de G en ce début en ce début d’année et quand on regarde l’histoire du Japon évidemment on a
L’illusion l’illusion de la dépréciation de la devise quand même he puisque sur 2 ans vous retirez à peu près 30 points de performance quand même donc c’est un élément à avoir à l’esprit et quand vous réfléchissez en euro regardez ce que sur les deux dernières années il vaait mieux
Avoir du marché américain ou du marché européen que que du Japon que du Japon sur 2 ans sur 1 an c’est un peu différent ce qui montre que depuis quelques mois il y a une dynamique un peu plus positive sur le marché japonais et qui tient sans doute à deux histoires
La première histoire c’est qu’on a une dynamique de croissance des résultats des entreprises qui est relativement positive et qui est quand on regarde sur 1 an on a une dynamique de croissance bénéficiaire qui est plus positive que celle que l’on a aux États-Unis ou encore en Europe et dans les pays
Émergents et puis la deuxième le le deuxième facteur de soutien c’est vraisemblablement les flux des acheteurs internationaux qui permettent de soutenir ce marché japonais maintenant lorsqu’on regarde les fondamentaux la croissance économique japonaise se tient mais il n’y a rien de très flamboyant quand on regarde les valorisation on est
Aujourd’hui sur un pe moyen autour de 16 fois les les bénéfices c’est les ement au-dessus de la moyenne de long terme qui est plutôt à 15 fois les bénéfices donc c’est la raison pour laquelle on est à l’aise avec cette position agressif ou oui sur le sur le Japon et
Qu’il est vraisemblable qu’on a aille pas au au pour des prochains mois un mot du Japon enrou je sais pas c’est une histoire qui vous intéresse si je mets ma casquette de d’allocateur d’actif très bon diversification ouais exposition sur un secteur de value qui performe ou à nulle part ailleurs au
Monde le value performe mais je crois que ce qu’il faut tenir on a on est exposé au Japon euh on a pris le la devise dans l’autre sens est-ce qu’on est arrivé au fin du mouvement à la fin du mouvement quand on a un banque centrale qui cherche exclusivement de
Générer de l’inflation et l’inflation positive c’est bon pour les actions bah on va on va pas le vendre mais après il faut chercher contre quoi on aimerait la prendre en valeur relative je crois que c’est plutôt les questions aujourd’hui euh et vu le vu le voyage l’aventure de
De Yen qu’on a fait aujourd’hui probablement sans j oui c’est ça plus besoin de couvrir contre la B on est à 150 dollarien aujourd’hui donc c’est peut-être la la limite haute 150 155 la bog peut intervenir quoi il y a aussi ce phénomène qui peut jouer merci à vous
Trois merci d’avoir été les invités marché ce soir andro terrington Act AX Olivier rard neflis OBC et Julien Moutier groupe ama Asset Management
Lundi 4 mars 2024, SMART BOURSE reçoit Andrew Etherington (Head of Multi-Asset Total Return, AXA IM) , Julien Moutier (Directeur des Gestions Obligataires, Groupama AM) et Olivier Raingeard (Directeur des investissements, Neuflize OBC)