SMART BOURSE – Emission du jeudi 14 mars

[Musique] bienvenue dans Smart bourse votre émission quotidienne sur bmart pour rester à l’écoute des marchés chaque jour du lundi au vendredi à 17h pour la grande édition si vous nous suivez en direct sur bismart TV à retrouver évidemment chaque soir en replay sur bismart.fr ou encore en podcast sur

L’ensemble de vos plateformes préféré au sommaire de cette édition ce soir les investisseurs ont pris connaissance des dernières données améric clé avant la réunion de la Réserve fédérale américaine la semaine prochaine parmi les données du jour des indices de prix à la production ou encore de vente au

Détail les prix à la production qui ont plutôt surpris à la hausse comme on l’avait vu sur les derniers rapports de prix à la consommation aux États-Unis quand les ventes au au détail elle pardon ont plutôt surpris à la baisse du côté des marchés l’ambiance reste constructive on est à la veille de

L’échéance mensuelle sur les marchés dérivés et puis dans au dernier quart d’heure de Smart bourse nous nous intéresserons à ce que nous disent les outils d’intelligence artificielle sur la situation des marchés [Musique] aujourd’hui tendance mon ami chaque soir en ouverture de Smart bourse les infosclés du jour avec Pauline grattel à

Paris la tendance est à la hausse et le CAC vol de record en record depuis quelques jours dépassant ainsi dans la journée les 8200 points portés par plusieurs valeurs à de nouveaux pics historiques Hermes Airbus Schneider électrique safran Air Liquide et ecyor luxotica le secteur du luxe en général

Progresse aujourd’hui LVMH de 1,5 % et kiring et Hermes de 2 %. du côté des indicateurs les yeux des investisseurs étaient rivés sur les États-Unis où ils ont pris connaissance des prix à la production industrielle américaine en février qui augmente de 0,6 % sur un mois contre 0,3 % en janvier le

Consensus attendait ce chiffre à 0,3 %. sur un an la hausse s’établit à 1,6 % là aussi supérieure aux attentes les ventes de détail aux États-Unis rebondissent moins fortement que prévu plus 0,6 % en février après un repli d’1,1 % le mois précédent à la une dans l’actu des

Sociétés dans le secteur de l’énergie kakr lance une OPA de 3 milliards de dollars sur nkavis qui possède plus de 80 fermes éoliennes et 200 parc solaire en Europe kakair propose 17,50 € par action soit 30 % de prime par rapport au cours de clôture encavis s’envle ainsi à

Francfort de 26 % et signe la plus forte hausse du jour au sein du stock 600 toujours dans l’énergie ngj acte sa sortie du capital de GTT ngj annonce le succès du placement par Morgan Stanley et Natixis avec un mécanisme de vente à terme de près de 2 millions d’actions

GTT Kenji d’né au prix de 137 € par action ngj conservera les 5,4 % du capital de GTT jusqu’en septembre 2025 date de débouclage prévu pour l’opération le titre de GTT est en baisse de 4 % et ngj progresse BIOMERIEUX publie des résultats en ligne avec les attentes l’entreprise

Spécialiste du diagnostic invitro fait état d’un hbit contributif en baisse de plus de 8 % en 2023 à 60 millions d’euros le chiffre d’affaires ressort en hausse de 2,4 % à 3,6 milliards d’euros en revanche le bénéfice net du groupe recule de plus de 20 % pénalisé par des amortissements et des dépréciations

D’actifs incorporels le titre de bioméeux recule de 1,5 % après cette publication demain journée d’échéan mensuell sur les marchés le contrat futur CAC 40 février expirera à 16h les investisseurs prendront connaissance de l’inflation définitive en France pour le mois de février en début d’après-midi l’indice Empire State de la fête de New

York la production industrielle ainsi que l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan sur la confiance des consommateurs américains seront publié demain tendance mon ami chaque soir en ouverture de Smart bourse les infos clés du jour sur les marchés avec PA grattel sur [Musique] bmart trois invités avec nous chaque

Soir pour décrypter les mouvements de la planète marché Alexandre teb est avec nous gérant chez somor à set management bonsoir Alexandre bonsoir Didier borovski nous accompagne également le responsable de la recherche politique macro chez Amundi Institute bonsoir Didier bonsoir et Bastien deue à nos côtés également bonsoir Bastien ravi de

Vous retrouver vous êtes responsable de stratégie et de la recherche chez CPR Asset Management je le disais en introduction on a eu les investisseurs ont pris connaissance des dernièr données américaines clé avant la réunion de la fit de la semaine prochaine Bastien quelle va être un peu la la la

Balance des risques que va observer et constater la Réserve fédérale américaine entre les données d’activité les données de prix et d’inflation et qu’est-ce qui peut bouger ou non dans le discours de la fê de la semaine prochaine une vaste question mais bon là on est obligé de reconnaître cette semaine que les

Chiffres d’inflation éta un petit peu au-dessus de ce qui était attendu hein que ce soit pour les prix à la consommation ou tout à l’heure les prix à la production qui vont faire que le corps PC qui est la variableation qui est suivie par la Fed bah sera peut-être

Va peut-être rester où elle est pour pour le mois de février donc elle était à 2,8 % en glissement annuel en en janvier elle va peut-être y rester donc c’est quand même une petite probabilité que pour que ça passe à 27 mais voilà c’est c’est c’est pas une grande

Probabilité et donc un peu moins de progrès sur le front de de l’inflation ce qui a amené des changements d’anticipation de marché sur ce que justement la la Fed va faire donc moins de baisse de taux qui sont anticipé mais ce qui est assez frappant je dirais quand même sur les derniers jours

Peut-être sur les deux dernières semaines c’est que du côté de l’activité on a des données qui sont un peu moins bonnes que prévu c’està-dire qu’on a pu voir par ex aujourd’hui on a les les ventes au détail donc les ventes au détail qui sont sortis en dessous des

Attentes le chiffre en lui-même était pas forcément mauvais aujourd’hui donc il y avait un petit rebond en février mais il y a eu des révisions des mois précédents notamment pour le mois de janvier où là on a une très forte révision le MO le chiffre pour mois de

Janvier c’est le plus mauvais depuis un an ouais% ou P de plus de 1 % en janvier et sur les 5 derniers mois il y a quand même 4 mois de contraction des ventes au détail réel ce qui fait que la consommation commence àez mal l’année aux États-Unis donc là là les chiffres

Sont sont pas forcément très bons et puis après il y a le job report de la semaine dernière dont on peut discuterastien parce que c’est un job report qui est très compliqué à lire et à comprendre voilà c’est c’est en ce moment les statistiques de de l’emploi sont très difficiles à lire aux

États-Unis et en particulier le rapport sur l’emploi le rapport sur l’emploi il y a deux enquêtes il y a une enquête auprès des entreprises il a une enquête auprès des ménages pour schématiser pour caricaturer il y en a une qui reste à peu près bonne et l’autre qui devient

Franchement mauvaise quoi la la l’enquête auprès des ménages euh là ce qui me frappe c’est l’écart entre les deux l’écart il est extrêmement fort sur les trois derniers mois l’enquête entreprise dit que il y a eu 700000 emplois créer sur l’enquête au ménage et bien le nombre de personnes qui se

Disent employé a baissé de 900000 et un tel écart donc j’ai vérifié ça n’ arrivrivait que une fois dans l’histoire ça arrivait que en mai enfin en avril mai 2020 au per de la crise covid au moment où les statistiques ne voulaient pas dire grandchose mais sinon depuis la

Seconde Guerre mondiale un tel écart entre les deux enquêtes n’est jamais arrivé qui signal alors comme d’habitude les économistes disent c’est entre les deux mais je pense que il y a quand même des raisons de penser que c’est un peu plus vers l’enquête ménage ça ça ça se discute on pourra discuter après

Pourquoi je dis ça il y a peut-être une raison pour lesquell les créations d’emplois donc dans auprès des entreprises les créations d’emplois sont peut-être surestimé parce que il y a eu un une explosion des création d’emploi sur les deux dernières années avec bah des auto-entrepreneurs et vraiment c’est

Très significatif par rapport à toutes les années précédentes et ce que fait le BLS c’est enfin le le l’institution DEAT c’est de faire l’hypothèse que les entreprises créées cette année créeront autant d’emploi que les que sur les années précédentes alors qu’ il y a beaucoup d’ d’auto-entrepreneuriat et

Vrai semablement il y a euh ben en fait une surestimation du nombre de création d’emploi et ça euh bah je commence à écroire de plus en plus à cette histoire euh j’ai vu par exemple que cette semaine il y a pour l’État de Californie par exemple il y a eu des révisions

Massives des créations d’emploi parce que pour voilà le job report sort tous les mois mais la réalité on la connaît souvent 1 an après la planète donc on connait la réalité très très longtemps après et là ce qui vient sortir par exemple pour l’État de Californie c’était que on

Pensez jusqu’à maintenant que entre septembre 2012 et septembre 2000 septembre 2022 pardon et septembre 2023 il y av eu 325000 création d’emploi ça a été révisé à 50000 donc en gros on pensait qu’il y avait vraiment beaucoup de création d’emploi ça change un peu l’histoire effectivement l’histoire elle

Change complètement quoi donc donc en fait et cette divergence la fête va y être attentive vous dites c’est le moment où la fête peut être attentive à ce genre de signau un peu divergent j’ai j’ai je pense de plus en plus mais jusqu’à maintenant la Fed elle était un

Peu dans l’obligation de toute façon de regarder les deux et de dire voilà bah il y a si on regarde les créations d’emploi il y en a elles sont pas mauvaises he quand on regarde le chiffre en lui-même et je pense que de plus en

Plus on va devoir s enfin les membres du FOMC vont devoir s’orienter vers et bien une autre lecture peut-être du marché du travail Didier est-ce que ce que vous observez constatez de la dynamique conjoncturelle de l’économie américaine sur l’activité sur les prix est-ce que ça reste consistant avec

L’idée que la Fed pourra baisser ses taux une première fois allez dans la deuxème partie de cette année ou en fin de première partie de cette année au mois de juin oui ça me paraî même hautement probable hautement probable hautement probable et pour les raisons que Bastien vient d’évoquer c’est-à-dire

Que l’inflation au jourd d’aujourd’hui d’abord le taux il est très a-dessus du taux neutre on peut discuter du niveau du taux neutre mais je pense qu’il y a un consensus pour dire qu’on est avec des conditions monétaires qui sont objectivement restrictive si on compare à un tau ça c’est le premier élément

Deème élément l’inflation elle elle est un peu plus élevée en effet éétait dit que ce qui était prévu ceci dit la tendance elle est à la désinflation et le niveau d’inflation aujourd’hui ne nécessite pas d’avoir des taux réels aussi élevés ça c’est un premier élément et puis l’autre élément très important

C’est ces signes de tassement du côté de la consommation des ménages l’énigme c’était le second semestre de l’année dernière faut être clair personne il y a un an n’a vu venir le second semestre de l’année dernière hein le T2 y compris d’ailleurs si vous en inclut le T2 c’est

Que une croissance très au-udessus du potentiel de l’économie américaine donc le fait qu’on est enfin le ralentissement de la consommation sur le sur lequ on tablait plus tôtah ce serait assez naturel qu’on est de façon associée un marché du travail qui se porte un peu moins bien bah ce serait

Aussi de façon alors ça veut pas dire qu’il y a une récession qui arrive ça veut dire qu’il faut se préparer à une période où l’économie américaine va sans doute après une année exceptionnellement exceptionnellement forte en terme d’activité bah connaître une croissance très en de ça du potentiel cette année

Donc il a toujours l’idée d’un atterrissage parce que le débat du moment c’est plus hard ou soft Ling c’est soft lending ou no lending oui alors non mais y a il y a ce que j’appelle une querelle des narratif sur l’économie américaine personne ne sait exactement ce qu’est la croissance

Potentielle on a des estimations il y a un grand débat sur la productivité on pourra revenir dessus mais il y a un grand débat sur les raisons de l’accélération de la productivité aux États-Unis et selon les hypothèses qu’on fait sur la productivité dans les années qui viennent si elle se stabilise à un

Niveau plus élevé que sur les 20 ou 25 dernières années ou si elle retombe sur sa moyenne historique on on n’ pas du tout la même vision de ce que doit être la bonne politique monétaire de démarches de manœuvre de la Banque centrale et cetera donc je je crois

Qu’il faut raison garder sur ce sur ça il y y a il y a en effet des divergences de vue notamment sur les implications de l’intelligence artificielle dans les années qui viennent je pense que la Réserve fédérale n’a pas de doctrine dans la matière elle va être extrêmement

Attentiste et regarder ce qui se passe en terme pratique parce que s’il y a une variable qu’on sait pas prévoir je crois fat vraiment la productiv la productivité c’est la bête noire des économistes un cauchemar à calculer alors a il y a des Bill de calcul il y a

Des billet de calcul elle a jamais été prévu les phases de ralentissement et d’accélération n’ont jamais été prévu et donc il faut être modeste par rapport à cette productivité mais on observe quand même les tendances après on arrive à raconter des des des des histoires je

Vais prendre un exemple he il y a il y a sur la productivité et ça et ça reboucle complètement avec l’idée aussi de des marges de manœuvre de la politique monétaire parce que si on adhère à l’idée que la productivité va rester élevée quand il même il un ralentissement de l’activité économique

Ça veut dire qu’on peut avoir plus de désinflations à salaire qui ne pas tellement et plus de désinflation induite parce que les coûts salari unitaires seraient bien contenu bah ça veut dire peut-être plus de marge de manœuvre pour revenir à un taux neutre qui soit dit en passant et peut-être

Plus élevé que le T neut plus de potentiel que le taux neutre que les les investisseurs les agents ont en tête donc l’idée qu’il y a sur la productivité c’est qu’on est peut-être face à une courbe en J sur la produc productivité qui est renseigné par des chercheurs américains c’est que quand on

A des vagues de progrès techniques dans un premier temps on les mesurent très mal il y a on mobilise des facteur de production on n pas de production c’est c’est intangible dans un premier temps l’output et dans ces condition on dans un premier temps une chute de la

Productivité et ensuite on commence à voir les gains de productivité c’était ce qu’on a vu au début des années 90 milieu des années 90 avec le fameux paradoxe de Solo beaucoup d’investissement pas de productivité et puis la surprise des gain de productiv on a des ordinateurs partout mais on

Retrouve pas dans les chiffres agrégés de la productivité c’est un peu on peut peut-être en tout cas on peut pas exclure cette hypothèse qu’on est soit face à une courbe Angie ou dans un premier temps on a eu 2021 2022 alors il y a il y a les effets covid aussi mais

On a eu des des des efforts de restructuration dans certaines entreprises et on commence à en voir les bénéfices induits d’une adaptation à des chocs technologiques nouveaux et cetera et si tel est le cas B on peut très bien avoir une jambe qui dure alors ça on pourrait surestimer les gains de

Productivité à court terme mais on pourrait quand même avoir une jambe de de productivité qui surprennent à la hausse et qui change la donne sur dans l’équation macro entre et et du côté de la PO VO sur quelques trimestres aujourd’hui en terme de gain de productivité et uniquement aux

États-Unis Didier il y a peut-être quelque chose mais c’est un signal c’est on est tenté effectivement d’en faire un signal un peu plus qu’un signal faible où ça reste comme vous dites c’est le cauchemar des économistes la productivité et cetera de trois trimestres font pas une

Tendance il faut prêter attention à ce à ce qu’il advient cette courbangie dans les grands chocs technologiques parce que c’est un des grands chocs technologiques qu’on connaît déjà depuis plusieurs années et il for c’est de reconnaître que on peut pas complètement exclure l’hypothèse qu’on soit face à

Une courbe en avec des pertes et maintenant des des gains qui rattrapent ces pertes de productivité qu’on avait vu et ça changerait radicalement la donne mais on peut pas conclure définitivement là-dessus et c’est la raison pour laquelle on navig à vu les banques centrales navigu à vu et vont

Agir sans doute de façon très précautionneuse mais oui pour répondre à la question une baisse des taux en juin elle elle elle serait légitime cont tenu de ce qu’on a dit sur elle pourit être justifié ça veut pas dire que la fête baissera très agressivement ces tau

D’ici la fin de l’année nous on anticipe moins 100 points de base mais la Réserve fédérale se laisser des marges de manœuvre pour pour pouvoir juger au fil du temps si ces hypothèses sont sont sont bon sont satisfaites dans cette querelle des narratives j’aime bien le l’expression de de Didier c’est que que

Joue le marché aujourd’hui Alexandre effectivement dans le narratif macro qu’est-ce que vous retenez vous et qu’est-ce qui pourrait être la décision de la Fed alors peut-être pas la semaine prochaine mais effectivement au cours des prochains meeting et notamment du meeting du mois de juin qui semble être

Le le point de rendez-vous donné à tout le monde en général j’essaie de regarder les composants de l’inflation que ce soit les prix à la production les prix à la consommation là où la politique monétaire de la fê doit avoir un effet c’est sur l’immobilier et pour l’instant

On le voit cet effet le problème c’est qu’il y a une inertie qui est très très forte donc on a commencé une tendance de baisse sur les prix l’immobilier mais elle est longue à se mettre en place donc elle continue de soutenir l’inflation et on le voit sur la

Composante Shelter finalement on a une une croissance des prix qui est qui est en ralentissement mais on est passé de + 6 à + 570 donc c’est long à se mettre en place euh sur sur les prix à la production d’aujourd’hui finalement la composante qui tire les prix de la

Production vers le haut la Fed elle peut pas y faire grand-chose c’est les coûts de l’énergie donc là elle peut monter les taux autant qu’elle veut de toute façon ça ça ne bougera pas et d’ailleurs on le voit sur le le prix des matières premières le le Brand qui essaie de

Repasser les 5llars ça commence un petit peu à bouger et typiquement un risque dont on parlait beaucoup en 2022 et dont on parle un peu moi aujourd’hui c’est la Russie que je regarde toujours avec une grande attention euh ensuite sur la partie euh sur la

Partie Fed sur la décision de la Fed euh oui comme le disait très bien Didier Le le simple niveau des taux directeur à 5 et5i justifie qu’elle envoie un message de je réduis de 25 points de base parce que l’inflation a ralenti même si je ne

Suis pas encore à mon objectif je sais que j’ai un effet qui va se mettre en place dans le futur sur l’immobilier j’ai globalement un marché du travail qui a tendance à se desserrer même si c’est progressif donc elle a la voix pour le faire confiance la semaine

Prochaine Jérôme Poel que ce qu’il n’avait à l’occasion du meeting précédent de fin janvier ou son témoignage con son témoignage au Congrès je sais pas peut-être qu’il y aura une phrase de différente qui va être souligné par tous les dans la dynamique de la confiance il

Aura gagné un peu plus en confiance par rapport normalement je pense qu’il a un peu plus de place avec ces derniers indicateurs qui qui viennent de sortir maintenant ce qu’il faut voir et ceux qui ont tendance à dire il y a pas d’urgence a baisser les taux je suis

Totalement d’accord avec eux il y a pas d’urgence à le faire aujourd’hui mais je pense que la fête va vouloir le faire en partie en préventif en revanche là où ce serait une erreur c’est de rentrer pour moi dans un cycle de baisse de taux dès

Dès le mois de juin parce que c’est absolument pas nécessaire et je pense que c’est là où certains observateurs mettent le haut là en disant attention c’est trop tôt effectivement je suis d’accord il y a pas besoin le faire donc 25 points de base et une pause en

Attendant de voir si la tendance se poursuit finalement de de de faire ce qu’on dit he data dependent euh ça me paraît être le le plus logique et c’est facile d’expliquer au marché qu’on va faire une baisse de taux mais que ce sera pas un cycle de baisse de taux

Parce que le marché lui il factorise beaucoup de choses quand la Banque Centrale commence à baisser ses taux tout le monde sait qu’il y en aura d’autres que ça peut aller loin plus vite que ce qu’on imagine et ceetera j’ai entendu ça de nombreuses fois depuis qu’on discute du pivot et des

J’aimerais j’aimerais que ce soit le centre de son discours de la semaine prochaine et en fait il commence un petit pe va communiquer cette baisse de taux là on a on a si on se rappelle de ce qu’a dit Bostic la f c’est un cut et une

Pause he c’est c’est clair et Powell il dit la bonne santé de l’économie nous permet d’appréhender cette problématique de manière prudente il commence à préparer le terrain donc j’aimerais bien qu’il insiste là-dessus au prochain meeting join c’est un rendez-vous pour tout le monde pour la Fed et la BCE ça semble

Être ce que le marché nous dit aujourd’hui Bastien est-ce qu’il y a des raisons ou pour quelle raison est-ce que ce calendrier pourrait se désynchroniser se désynchroniser oui bon pour l’instant il est bien synchronisé quand même c’est ça pour quelle raison enfin c’est difficile à dire je vois pas pourquoi

Soudainement la BCE accélérit donc là ils ont quand même la semaine dernière Christine quand même bien télégraphé la date de juin le conseil de gouverneur de juin donc ça serait quand même un peu contreproductif disons quelques jours après de revenir sur cette communication et je pense pas que dans les chiffres qu’on va

Avoir il ait de quoi accélérer le calendrier de baisse de taux quoi donc là quand on regarde parce queils disent que ils regardent les salaires avant tout c’est le dernier frein avant la les baisses de taux quand on regarde le le wed tracker de inded on voit pas une

Décélération des des salaires qui soit si forte que ça quoi donc je pense pas que quand il regarde ce type d’indicateur ils se disent il faut qu’on despêche pour pour accélérer et puis de toute façon bah l’économie européenne a finalement relativement bien tenu le

Choc dans le sens où il y a pas eu de contraction d’activité très substantielle on flirte avec le le zéro en terme d’activité le marché du travail retard des programmes d’investissement retard quand même le redémarrage d’une dynamique économique privée que beaucoup d’acteurs privés aimeraient quand même pouvoir effectivement mais c’est pas

Dans le mandat forcément la BCE quoi donc là messieur voilà son mandat premier rappelons-le c’est la stabilité des prix et puis tout le reste vient ensuite quoi donc il y a d’autres choses qui peuvent rentrer dans ce mandat mais ça vient ensuite et donc là pour le moment bah il reste quand on

Est à ces indicateurs d’inflation inflation sous-jacent de salaire voire de marché du travail et quand on parle de création d’emploi par exemple et et tout ça ben ne justifie pas du tout d’accélération du calendrier de baisse de taux de de la BCE alors après on entend certains membres du Conseil des

Gouverneurs qui font des petites sorties qui évoque le meeting defin la réunion de d’avril mais enfin c’est visiblement c’est pour c’est pour mieux garantir le mois de juin quoi cé pour des mauvaises c’est pour s’assurer que ça se fera au mois de juin oua j’ai entendu que il y

Avait aussi l’argument de de la fierté de précéder la la fête ça j’ai entendu ça je me dis bon là si on en arrive là c’est vraiment qu’on sort complètement du cadre quoi ça compte pas ça ah oui c’est le même moi so un mois d’accord en décalage de de

Meeting bon je sais pas je sais pas s’il y a un commentaire à rajouter là-dessus did que il y a il y a un élément qu’on faut quand même répéter c’est c’est c’est les coûp salari unitaires en zone euro qui plaident pas pour une accélération à ce jour de la baisse des

Taux parce que c’est ça aussi il y a une curelle entre les les membres de la de la de la Banque centrale européenne certains juste titre regardent les coups salari unitaires qui sont quasiment au plus haut historiqu comme le disait Bastien il y a pas de signe très

Tangible encore de la baisse des salaires et un argument contre la baisse des la baisse des des taux d’intérêt en avril c’est qu’il va leur falloir voir au moins la statistique du Pr trimestre qui sera publié en avril pour essayer de voir si ça ralenti un peu plus nettement

Qu’ qu’au 4e trimestre il y a une amorce de baisse mais enfin c’est très timide attendons de voir le T1 et je pense que ça ça les confortera dans l’idée qu’ ils ont une marge de manœuvre pour commencer et là encore commencer à baisser les taux ça peut être aussi du weit andc

Après c’est-à-dire en fonction des données qui tombent donc si si on parle d’Europe et on parle de de de potentiel économique en Europe au-delà de la de la conjoncture où est-ce qu’on en a des réformes structurelles il y avait encore une série de groupe Écofin la semaine

Dernière on a eu à nouveau des tribunes sur l’union des marchés de capitaux je crois que ça a été Bruno le ma il y a quelques mois ou quelques semaines et cetera enfin on a senti qu’il y avait quand même une volonté ici et là de

Remettre quand même un peu sur la table certains travaux enfin j’allais dire en cours non même pas mais qui ont été stoppé suspendu depuis des années maintenant ouais non alors de ce côté-là c’est un peu déprimant parce qu’il y a énormément de bonne volonté toute l’expertise est sur la table on répète à

Noséam les nécessités d’avancer dans certaines directions et notamment dans la mobilisation l’épargne excédentaire en Europe parce qu’on a quand même une épargne qui est gigantesque sur pas manger qu’il faut d’urgence pouvoir brancher vers des projet d’investissement donc on a un vrai problème de tuyauterie en Europe il est pas nouveau il est indentifié

Maintenant depuis 10 à 15 ans et on progresse pas donc vous parler d’un produit d’épargne européen mainten oui alors ça c’est la proposition qui est très intéressante de Bruno Lemer était il y a y a quelques semaines mais là dans dans le comité de l’Eurogroupe on

En parle pas il il y a l’idée que quelques petits pays quelques pays européens pourrai se coaliser autour d’un projet bottom up où on commencerait à plusieurs pays a créé un produit d’épargne européen et puis qui même me su mais on n parle plus donc peut-être qu’il est en cours de négociation mais

On en parle plus dans le comité de de l’Eurogroup et mais c’est une urgence parce que les problématiques budgétaires sont beaucoup plus importantes que la problématique monétaire aujourd’hui en Europe comme aux États-Unis c’est le grand dossier des prochaines années parce que on a des charges d’intérêts qui commencent à gr sabilité va se

Reposer inévitablement on a un nouveau poste qui qu’on avait oublié qui ça s’appelle les charges d’intérêts moment où les taux d’intérêt reviennent pas au niveau d’avant progressivement avec la maturité de la dette on va voir le poste des charges de la dette commencer à grimper au moment où l’inflation

Ralentit donc ça veut dire que on va avoir moins degré de liberté en terme de politique budgétaire et ça c’est l’éléphant dans la pièce pour prendre l’expression anglo-saxonne bien plus que la politique monétaire et ça l’absence de marge de manœuvre en termees de politique budgétaire la nécessité de

Réduire certains postes de dépenses les besoins d’investissement gigantesques ne pourront pas être adressés par l’argent public ça il faut le marteler et donc ça veut dire qu’il faut utiliser immobiliser d’urgence l’éparne privéimagin que c’est compliqué à 3 mois d’une élection majeure en Europe de fixer ou de figer des décisions de

Frontreener des décisions sur le plan politique bien sûr mais c’est toujours compliqué on Nura pas de commission avant le mois de novembre prochain et la prochaine commission risque et la formation des nouvelles administrations et il y a pas de nouvelle commission moi j’utiliserai l’argument inverse c’est contenu de l’incertitude politique il faudrait que

Les États européens accélè très vite le calendrier pour annoncer des choses qui soient crédibles malheureusement le diagnostic est là les rapports et l’expertise sont là je veux dire tout a été écrit et réécrit et R réécrit et en dépit de cela on voit pas c’est le plan d’action qui manque le plan d’action

Crédible qui permet de se dire que les 10000 milliards d’euros qui dorment sur les comptes bancaires comme le disait Bruno LEM il y a peu de temps B soit enfin canalisé vers des projets d’investissement estce que c’est ça qui va être le ner de la guerre pour le financement financement d’intelligence

Artificielle de ce qu’on veut faire en intelligence de l’écosystème qu’on cré de l’intell cé de l’intelligence artificielle et du financement de la transition énergétique dans une dans une période la politique budgétaire va être sous je crois que c’est trop tard pour ACC accélérer le canandriel on est dans

La campagne cette fois et c’est la campagne politique et c’est plus la c’est plus le temps des éléments techniques et structurels venons-en au marché Alexandre qu’est-ce qui peut bah déjà comment vous comprenez effectivement la dynamique des des des actifs risqués des marchés action là c’est 17 record en 11 semaines

Pour le SNP 500 al évidemment quand on est au sommet chaque avancée supplémentaire est un nouveau record donc là on est sous le le le le le dans l’ambiance record mais c’est assez partagé on le voit au Japon on le voit en Europe sur les grands indices boursiers aux États-Unis également

Euh qu’est-ce qui peut éventuellement contrarier cette dynamique à ce stade si c’est la question qu’il faut se poser on le voit il y a des mauvaises nouvelles économiques peuvent contrarier clairement cette tendance après on a quand même un marché notamment aux États-Unis il faut pas l’oublier qui est

Un petit peu je vais dire même plus que jamais possédé par le retail hein par le par les investisseurs particuliers euh et les investisseurs particuliers mais comme beaucoup d’investisseurs achètent ce qui monte donc on se retrouve avec des valeurs qui ne font que monter tous les jours jusqu’au jour où ce groupe

D’investisseurs décide de prendre les profits donc ça peut être aussi simple que ça c’est un début de prise de profit qui commence à faire dérailler le marché tout simplement vous ajoutez à ça une semi mauvaise nouvelle économique comme on a pu avoir aujourd’hui et vous avez

Un marché qui baisse donc ça c’est une possibilité mais faute de nouvelles économique marché continue de progresser enfin globalement tout va bien la la croissance économique se porte bien plus aux États-Unis qu’en Europe mais on l’a très bien dit l’Europe a plutôt bien

Tenu donc il y a pas il y a pas de gros nuag à l’horizon qui ferait que on devrait sortir de de toute urgence eu ensuite il y a quand même différentes strates et c’est assez assez rigolo assez intéressant à regarder typiquement aujourd’hui dans un marché qui baisse

Les fameux Gafa euh qui sousperformaient hein depuis le début d’année on se disait enfin c’est ça y est c’est bradening on va pouvoir faire du stock piing la diffusion ça se diffuse aujourd’hui sur performe donc en fait ça devient des des valeurs défensives ce qui est quand même très très paradoxal à

Dire et donc en fait on a je pense une une tendance et des choses à aller chercher dans les différents marchés qui sont intéressantes typiquement vous avez parlé du Japon sur le Japon oui on est un nouveau record mais en terme de valorisation un on n’est pas si cher que

Ça et deux il y a quand même beaucoup de valeurs qui sont en retard et qui sont très intéressantes h euh en Europe en Europe l’eurostock on est à 14 de PE on n pas très cher par rapport à la moyenne historique on n pas très cher donc aux

États-Unis il y a quelques valeurs qui ont tiré comme ça pendant fin 2022 2023 et même début 2024 le marché mais il y a quand même d’autres d’autres mais cette diversification elle paye ou pas encore c’est ma question c’est est-ce que la hausse la participation s’élargit comme

Vous disiez est-ce que ça se est-ce que ça se diffuse est-ce qu’on est payer récompenser pour aller prendre un peu de risque en dehors effectivement de quelques top commence ça commence à se diffuser on peut prendre quelques quelques exemples typiquement je parlais des gafas depuis le début de l’année enfin

Sur les sur les magnificent 7 pardon oui vous dites encore les gafasou peu les gafas c’est parce que je prends les quatre ah oui on va peut-être revenir des 7 au qu voilà donc sur les magnificent 7 il y en a que deux qui surperformment depuis le

Début de l’année mais par contre il y a le reste des valeurs technologiques américaines qui surperformment très bien qui qui font très bonne performance typiquement une une entreprise comme sales force qui n’est pas dans ces magnificent 7 se débrouille très bien pareil au Japon alors maintenant chaque

Chaque groupe de valeur band oui bah oui les 7 samouraill Sony ça sousperforme Nintendo ça sousperforme donc il y a d’autres valeurs d’autres valeurs à aller chercher en Europe on a une diversification on pense au luxe mais il y a pas que le luxe sur la santé ça continue de fonctionner l’auto c’est

Quand même pas mal depuis le début de l’année donc on a pas mal de choses à aller chercher uniquement c’est le petit béol en large cap aujourd’hui alors c’est ça le facteur taille est encore très discriminant le facteur taille est encore très discriminant et et alors je

N’ai pas la réponse peut-être que mes camarades long à la question qu’est-ce qu’il faut pour que les Small Cap sur perform ENF ne serait qu’un petit peu ça peut être des baisses de taux dans un dans un contexte économique relativement favorable mais pour l’instant à moins de le retrouver un

Petit groupe avec un petit nom sympa oui cette samouraï C magnifique et cerer le destin avec un nouveau nom ou c’est ça oui et ben sur les Small Cap enfin ça finira par par redémarrer mais mais je crois que c’est encore difficile de de voir une sur performance des Small Cap

Tant qu’on n pas une vraie reprise de l’économie quoi donc bon personnellement j’ai les chiffres de croissance j’y crois pas du tout aux États-Unis on a déjà parlé sur ce plateau du fait que l’activité économique progresse moins vite que ce qu’indique le PIB il faut regarder le revenu intérieur brut les

ISM sont pas cohérents avec les chiffres de croissance qu’on voit enfin bref et tant qu’on a’ura pas un vrai redémarrage de l’activité économique on aura vraiment beaucoup de mal à avoir une surperformance de des Small Cap aux États-Unis quoi euh ce que je pourrais dire aussi là-dessus c’est que oui au bout d’un

Moment le le le le le fait que la fête baisse C tau ça pourra évidemment aider les les petites entreprises mais quand on regarde par exemple l’enquête nfibib qui est sortie cette semaine euh les oui est mauvais voilà les le moral des patrons PME il y a une petite question

Dedans qui est euh quel ton d’ inérêt vous payez sur vos prêts de court terme on reste sur du 8 à 9 % donc bon et et et même voilà et même si la FA baissé de 25 points de base et les charges d’intérêt ont dû monter pour ces entreprises là en

Particulier toutes les entreprises n’ont pas la même structure d’endettement ça c’est très très clair et puis le cash détenu n’est pas le même entre les larges cap dont on parlait tout à l’heure et puis les PME on dire les Small Cap quoi les petites entreprises et donc enfin dans ce contexte là c’est

Difficile d’attendre un vrai redémarrage quand même des des Small Cap quoi et puis enfin juste pour terminer après je te laisse la parole c’est pour avoir un vrai redémarrage aussi de l’activité aux États-Unis il faudrait qu’on on retrouve du crédit bancaire et là le crédit bancaire aux entreprises en général il

Fait zéro depuis plus d’un an maintenant et on voit pas du tout pourquoi parce qu’il y a pas de demande ou parce que l’offre parce que y a un peu des deux quoi parce que il y a des conditions de crédit qui ont été resserrées parce que

Et puis aussi parce que parce qu’il y a pas de demande tout simplement et donc les les deux font que et bien on a un des stocks de crédit bancaires aux entreprises aux États-Unis qui bah font zéro depuis maintenant plus d’un an et on voit vraiment pas de redémarrage de

Ça et tant qu’on a pas vrai redémarrage du cycle de de crédit Banca bah c’est difficile d’attendre que l’activité reparte vraiment et donc que les Small Cap perform quo c’est une séquence il y a une séquence à respecter pour ça viendra mais c’est peut-être encore avec peut-être une divergence États-Unis Europe parce Queaux

États-Unis je pense que les Américains ont mangé leur pain blanc ils ont mangé en grande partie leur épargne même si on a des débats sur niveau d’épargne qui reste en Europe on a toujours beaucoup d’épargne et puis le scénario qui nous paraît le plus raisonnable c’est celui

De voir un LAN redémarrage au second semestre et puis l’année prochaine vers soitdant de croissance potentielle entre 1 et donc ça c’est si ça s’accompagne de de la de la de la baisse des taux d’intérêt de la Banque centrale européenneah ça peut donner des premiers signes d’espoir sur une petite reprise

Cyclique alors rien de très de très fort mais une petite reprise cyclique et comptenu modulo les valorisations qui sont extrêmement faibles bah le risque il est de plus en plus asymétrique favorablement c’estàd qu’il y a moins de risque exactement exaement le débat aujourd’hui est-ce que est-ce qu’il est

Dangereux de se positionner de façon précoce cont tenu du fait que le pire de notre point de vue est quasiment passé sur le site européen même si on an anticipe pas un redémarrage très marqué bah en terme de valorisation je dirais simplement il y a un avantage à l’Europe

Et les Small Cap europénes peuvent retenir latention l’euro n’est pas cher les investeurs internationaux sont très sous-investis d’action européennes donc il peut y avoir un moment une fenêtre un peu plus tard alors qui soit bénéfique aux actions européennes sans il y a pas besoin pour justifier ça d’un bout en

Europe ça c’est ça parare important de dire en terme relatif si on raisonne aussi en terme de valorisation relative aintérêtage de reprise cyclique une consommation qui tient et je DIRIS un mot de la code japonaise parce qu’on a beaucoup parlé et donc je pense qu’il y a quelque chose d’important parce que

Les salaires négociés au Japon sont finalement assez élevés pour la deè année consécutive donc ça ça va être très favorable à la demande interne et jusqu’à maintenant la code japonaise a été beaucoup tirée sur la période récente par les par l’exportation par tout ce qui est lié à l’exportation et

Donc là il y a peut-être une rotation à surveiller sur le domestique japonais qui lui aussi peut bénéficier de du fait que avec des des pouvoirs d’achat qui qui est au rendez-vous on a des salaires réels qui augmentent enfin au Japon bah ça peut être un facteur de soutien qui

Fasse renémarer puisque ouur domestique puisque tout le monde découvre ou redécouvre la la code japonaise Alexandre ça m’intéresse est-ce qu’il a un tilt plus domestique peut-être pour imaginer la la poursuite de de de de la hausse du du Nicki ou des indices japonais et puis quand même il faut

Qu’on dise un mot de la Banque centrale japonaise qui est attendu là aussi la semaine prochaine avec un meeting est-ce qu’un mouvement de la Banque centrale du Japon comme on a plus vu depuis des décennies c’està-dire sortir des taux négatifs déjà et donc monter ces taux d’intérêt jusqu’à zéro est-ce

Que c’est quelque chose qui peut contrarier cette espèce de sortie de l’ornière qu’on observe au Japon ça peut créer des rotations effectivement le le point sur la rotation effectivement de revenir vers des valeurs plus domestiques c’est tout à fait ça c’est-à-dire que dans mon allocation japonaise aujourd’hui je

Reviens sur des valeurs plus domes p ça c’est le prier point sur la Banque du Japon effectivement donc il y a la les négociations salariales qui sont en cours on a déjà une petite preview dans les grands groupes type Toyota Nintendo et cetera c’est quand même des

Augmentations de salaires de 5 à 10 % en moyenne c’est vraiment pas neutre en revanche il faut bien comprendre que 70 % de la force de travail au Japon est dans les PME donc elles seront probablement moins généreuses que ces grands groupes donc en moyenne on devrait

Tomber sur 4 à 5 % ce qui risque de ne pas plaire à la Banque du Japon donc elle va effectivement annoncer quelque chose très probable j’en sais rien c’est quand même après 30 ans de déflation peut-être que ils peuvent supporter 5 % de Haus de Sala mais surtout en fait ce

Qui me ce qui m’étonne c’est que le discours depuis le début ça peut être le déclencheur qui qui permett et autorise finalement la bogge à sortir de ces t négatif jusque là on avait l’impression qui mettait en avant plutôt la croissance il surveillait la croissance

Et puis là d’un coup ils se mettent à surveiller l’inflation à avoir des discours un petit peu restrictif le risque de ça c’est qu’on voit la macro japonaise qui est un petit peu en train de se tasser donc ça plus le fait que la BoJ soit soit un peu plus

Restrictive il faut bien se rendre compte que la BoJ elle est à l’envers ahah oui de toutes les banques centrales et pourquoi le Japon a été redécouvert il y a un an et demi 2 ans maximum c’est au départ que la Chine était devenue ininvestissable or la Chine est dans la dynamique inverse

Une macro qui arrête de se dégrader et une banque centrale qui a la place de détendre sa politique monétaire donc en fait la deuxième rotation j’en ai bien peur c’est de prendre du profit je pense que le Japon aujourd’hui en parti est un bon candidat pour prendre du profit et

De remettre un petit peu sur la Chine ou un peu comme sur les Small Cap le pire a l’air d’être passéou donc plus domestique au Japon et une partie qu’on peut réallouer peut-être enfin que les les marchés peuvent réallouer en tout cas long yen que ce soit en action ou en

Devise me semble pas être un gros au risque aujourd’hui ouais bon le le l’enjeu pour la Boog est-ce que c’est dès la semaine prochaine déjà Bastien est-ce qu’il y a déjà une communication à avoir a encore eu des des fuites aujourd’hui sur le fait que sortir oui

Là ça commence à faire beaucoup mais après que celui qui ne sa’est jamais prendre à contrepied par la Banque du Japon voilà donc oui effectivement c’est c’est bien parti pour que il sorte des tau négatifs la semaine prochaine euh ce que tu disais Alexandre était intéressant sur les 5 % de salaire parce

Que enf ce que disait Ueda c’est que c’est un cycle vertueux de de prix salaire alors que nous avec 5 % de de de d’évolution de salaire en Europe on dit attention c’est un c’est un cycle vicieux quoi donc donc c’est c’est c’est marrant de voir vraiment la

L’antagonisme entre la Banque du Japon et toutes les autres banques centrales développées du monde quoi donc oui il y a de grandes chances que qui sortent des taux négatifs la semaine prochaine bon puis s’ils le font pas la semaine prochaine ça sera en avril de toute

Façon ça ça va être fait et après euh ce qu’il faut voir c’est que la Banque du Japon ne peut pas aller vraiment très loin parce que quand on a un bilan qui est chargé comme celui de la Banque du Japon il y a 100 % de PIB rien qu’avec

Les obligations souveraines et ce qu’avait dit Ueda c’était que s’il remontait les taux de 1 point de pourcentage ça faisait une des moins valu de quasiment enfin 10 points de PIB donc j’aiarrondi mais donc ça ça ferait des moinsvalu qui seraient absolument énormes donc enfin de toute façon la

Banque du Japon n’ira pas beaucoup plus loin que ça mais ce ce ce petit mouvement là et le le fait que peut-être qu’il touche au contrôle la politique de contrôle de la courbe des taux c’estàdire qu’ il relâche un petit peu il laisse un peu le 10 an le T an viv un

Voilà il vivent un peu plus sa vie bah ça ça peut amener le yen à s’apprécier un peu plus que ce qu’on a vu parce que ce qui est intéressant et pourquoi ENF j’étais tout à fait d’accord avec ce que disait Alexandre sur pourquoi le le nckel a bien progressé ce qu’il faut

Voir c’est que la diichotomie en 2022 2023 entre la Banque du Japon et toutes les autres banques centrales des pays développés ça a fait baisser le taux de change réel effectif enfin le taux de change ça fait baisser de 15 à 20 % ce qui est un choc monstrueux quoi et ça ça

A vraiment aidé l’économie japonaise énormément et c’estf c’est entre en partie ce qui a qui a fait progresser le marché action japonais ces deux dernières années et plus d’IBP venant du Japon pour le système global des marchés c’est indolor c’est ENF je veux dire c’est bien balisé tout le

Monde y est prêt non je on m’ait tellement expliqué qu’il y avait des positions de caré accumulé depuis je ne sais combien d’années sur sur le le ça va pas changer radicalement les par on parle de di Boin de base c’est bien anticipé c’est préannoncé à un moment on essaie de se

Faire peur avec l’idée que la Banque du Japon en montant les dos allait pouvoir faire mais je pense que ce qui peut être plus plus risqué pour la politique enfin en provenance de la politique de la Banque du Japon c’est pas vraiment la sortie des taux négatifs c’est beaucoup

Plus la sortie du contrôle lacord des parce que si on se retrouvait un peu faisant un peu de fiction avec un taux 10 an japonais qui aller à 1,50 dans 3 mois là ça pourrait peut-être changer un peu les dynamiques d’investissement des investisseurs institutionnel japonais là ça pourrait

Commencer à changer les choses mais le mouvement de sortie des tau négatif non rien non mais on nous expliquait que ça allait aussi permettre bah peut-être à des investisseurs japonais de pouvoir réinvestir sur du taux chez eux et peut-être moins d’exporter leur épargne pour acheter nos obligations européennes

On y est pas la séquence c’est pas celle-là et puis deuxièmement il y a deux éléments il y a l’élément qui qui a mentionné Bastien le fait que les pertes en capital pour la banque centrale mais aussi pour le secteur bancaire serait gigantesque si la banque centrale japonaise allit beaucoup plus loin donc

Il y a pas de marge de manœuvre pour aller beaucoup plus loin en terme de hausse de taux d’intérêt puis un deuxième facteur plus conjoncturel c’est que nous on s’attend à un repli de l’inflation en DESS ça de la cible de la de de la Banque centrale au second

Semestre donc la fenêtre d’opportunité TER c’est maintenant pour revenir ne serait-ce que sortir de cette fameuse politique de taux négatif mais dans tous les cas ils vont devoir maintenir une communication extraordinairement prudente cont tenu de leur cycle et cont tenu fait que ils vont avoir un ralentissement de l’inflation selon

Toute vraessemblance dans la deuxième partie de de l’année donc la prudence la prudence s’impose alors en effet en terme de cari ça change rien a priori sur les positions de caris toute chose égal par ailleurs c’est vrai que ça peut donner un peu de boost au yen enfin je

Veux dire parce que le yen est très sousévalué je crois qu’on l’a dit ch mais ça va pas changer la donne ça va pas changer la donne parce qu’on parle de 10 points de base et et ce qui compte c’est ce qui vient après et on comprend qu’ils ont pas de marge de

Manœuvre pour faire des chocs majeurs ou surprendre beaucoup les marchés donc ils vont déjà donc il peut y avoir un peu d’appréciation du yen donc ça ça légitime les positionnements sur la côe japonaise sans se couvrir sur le change que le risque est asymétrique à la

Hausse enfin ça va pas être un Game changer pour sur sur la valorisation du yen contenu du fait qu’ils ont peu de marge de manœuvre pour agir le taux de changeer l’effectif du du Japon est au plus bas depuis les années 60 ord pour dire à quel point ou c’est quel point

C’est pas cher donc mesurer pondérer des échanges commerciaux par rapport aux grands grands partenaires commerciaux donc le Japon n’a jamais été aussi compétitif du point de vue devise en tout cas exactement ce qui explique d’ailleurs les exportations he ce dit en passant grande partie de l’histoire japonaise récente elle elle est liée aux

Exportations et pas pas à la demande domestique euh est-ce que la Chine effectivement vous le disait tout à l’heure est-ce qu’on peut en dire un mot alors il y a pas d’obligation à être investi en Chine je le dis à chaque fois aujourd’hui je le rappelle mais c’est quand même un

Marché qu’on aime bien regarder parce que ça ça peut être intéressant quand même à suivre je sais pas les un indice un peu large a dû reprendre une dizaine de pour c’est ça Alexandre surtout il y a trois trois secteurs qui sont rentré en bull market

Je rappelle bull market c’est% de ha il y a la tech chinoise ouais il la tech chinoise qui a repris 20 % depuis les plus bas il y a les renouvelables et les matériaux de base d’accord donc voilà là là où la Chine se présente quand même

Comme un Act c’est assez cohérent avec le profil du modèle chinois quoi donc ça je pense que ça coïncide quand même avec un retour très prudent de certains investisseurs en dehors de Chine et donc c’est pour ça que je parlais de de rotation rotation ou

Surtout il y a un discours de de la PBoC qui nous dit que ça y est globalement le le le gouvernement chinois commence à réfléchir à relâcher un petit peu la réglementation sur les valeurs de tech donc enfin on y arrive c’est-à-dire que

On a passé un an et demi ou 2 ans à penser que le gouvernement chinois avait vraiment la volonté d’être détesté par tous les investisseurs internationaux et là quand même ils en reviennent un petit peu euh donc on est vraiment au tout début et effectivement vous l’avez bien

Dit on incite absolument pas en Chine il y a pas d’obligation mais voilà ça peut être le le le le début d’un démarrage de quelque chose la grosse différence avec ce qu’on disait je je pense il y a il y a quelques années la Chine à mon sens pour

Les problèmes structurels qu’elle a notamment de démographie ne peut plus être un investissement stratégique c’est forcément un investissement tactique o vous avez un peu le nez dans le guidon c’est du court terme donc voilà c’est c’est pour moi la différence majeure aujourd’hui sur ce marché on s’arrêtera

Là pour ce soir messieurs merci beaucoup d’avoir été les invités de planète marché Alexandre t gérant chez pom Asset Management didj borovski responsable de la recherche politique macro chez Amundi Institute et Bastien dru le responsable de la stratégie de la recherche de CPR Asset Management le dernier quart d’heure de

Smart Bour chaque soir c’est le quart d’heure thématique et nous retrouvons chaque mois Jean-Jacques Ohana consultant indépendant et membre du bord de la fintech ai for alpha pour savoir ce que nous dit justement l’intelligence artificielle de la situation des marchés avec cette question que vous vous posez ce mois-ci Jean-Jacques l’inflation

Est-elle vaincue question légitime au regard de l’appétit des marchés pour le risque comme si le sujet de l’inflation était effectivement définitivement relégué derrière nous oui bonjour Grégoire absolument en fait nous avions pour faire le fil pour suivre le fil de nos discussions nous nous discutions la dernière fois du

Riscon et des marchés qui qui qui était en tendance dans une tendance très positive cela s’est confirmé euh pour faire le point sur le le les performances des indices boursiers on est on est à 7 % hors h rendement du cash au-dessus du rendement du cash sur le SNP 500 depuis

Le depuis le sur un même pas un trimestre oui en 11 semaines voilà absolument semaines on est à 10 % sur les marchés européens et on est quasiment à 17 % sur le Japon donc des performances très flatteuses et puis et puis ce qui est intéressant c’est que on

A une diffusion du riscon euh voilà qu’ qu’ ça vous le voyez avec des outils de marché c’est la grande question que je pose à tout le monde he est-ce que ça sort un peu des des 20 grandes méga mial quoi alors déjà en fait cela se diffuse

Au marché émergent euh qu’on avait pas auparavant ou donc maintenant ils sont en territoire positif depuis le début de l’année ce qui n’était pas le cas c’est un peu tô pour en déduire une tendance mais c’est intéressant à noter euh d’autre part en fait on a toujours une sousperformance des petites

Capitalisations on y reviendra on rebouclera avec les taux tout à l’heure là-dessus mais elles sont en tendance positive et puis et puis globalement tous les secteurs tous les types de styles sur les actions sont en tendance fonctionne euh évidemment le le les valeurs de croissance et les grandes valeurs boursières domine

Euh au sein au sein des marchés boursiers il n’en il n’en est pas moins que que en fait on a euh toute une série de secteurs de valeurs qui leur emboîent le pas même le compartiment matière première semble commencer à vouloir se réveiller jean-jacqu ce qui éit

Peut-être pas le cas au moment de notre précédente discussion oui voilà alors la nouveauté c’est que en fait sur les matières premières il y a un réveil peut-être qu’on a fait un plus bas local sur les matières première euh ça cela a commencé par l’or et puis en fait on

Voit le cuivre qui qui s’est réveillé et le pétrole aussi euh en fait et cela est conforté aussi par des des indicateurs fondamentaux puisque la croissance est meilleure qu’attendue on rappelons aussi que l’OPEP a baissé ces ces quotas de de de production et dans ce cadre le marché

Peut être en déficit euh par rapport entre la production et la consommation sur l’année 2024 avec une demande qui ne cesse de progresser on le rappelle he voilà donc il y a un contexte et puis dans en toile de fond on a une très bonne performance des marchés du du

Crédit une détente des primes de risque qu’on avait constaté la dernière fois cela continue à des niveaux qui sont vraiment très importants et qui traduisent un engouement spéculatif pour l’ensemble des actifs risqués d’où cette question Jean-Jacques les banquiers centraux parlent de détendre des conditions financières tout ce qu’on

Vient de décrire c’est un vent trop puissant pour permettre à la banque centrale américaine de baisser ses taux comme le marché l’anticipe peut-être dès le mois de juin réflexion qui vient au sein même du conseil alors quiquette détente des condition financires ravive d’unee manière le vent de l’inflation alors exactement le

Revers de la médaille de cet engouement spéculatif c’est qu’on voit premièrement des matières premières qui qui ont aujourd’hui semblent avoir avoir fait un point bas et deuxièmement on voit avec la hausse par exemple des cryptoonnaaies dont il faut parler désormais puisquon a 70 % de hausse sur

Le Bitcoin et 70 % de hausse grosso modo peut-être un petit peu moins mais mais sur l’etherééum et sur l’ensemble du complexe crypto qui traduisent deux choses premièrement une recherche un appétit pour le risque pour les actifs alternatifs et notamment les devises alternatives et deuxièmement une certaine défiance il faut le dire euh

Pour les devises traditionnelles pour les et la manière dont elles sont gérées c’est-à-dire des dettes souveraines qui sont en partie hors de contrôle et des déficits qui ne sont pas sous contrôle et puis une complaisance des banques centrales par rapport à ce contexte de déficit puisque évidemment ça va

Ensemble en fait nous savons que euh l’expansion budgétaire et l’expansion monétaire ou contraire les restrictions monétaires vont de pair or aujourd’hui il semble que finalement cette expansion budgétaire hors de contrôle ne soit pas contrôlé en contrepartie par des banques centrales plus plus restrictives et c’est le constat que font non

Seulement peut-être les investisseurs sur l’or mais aussi et surtout j’allais dire les investisseurs sur les cryptoonnaaies avec un engouement spéculatif qui est qu’ est aujourd’hui qui est qui est aujourd’hui évident notamment au travers des investissements dans le TF rappelons que c’est le plus grand lancement d’un jamais réalisé d’un produit ETF dans

L’histoire on est tout confondond combien de milliards 8 milliards il me semble-t-il donc c’est considérable ça va très très vite plusieurs des ETF qui ont été lancés he absolument absolument donc finalement les banquiers centraux ne peuvent pas échapper à ce constat de l’engouement spéculatif de finalement de la recherche de

Financement aujourd’hui qui est qui qui est ample sur les marchés en fait on n pas la le le financement est fluide sur les marchés et cela va de paire aussi avec une inflation qui est persistante qui qui qui qui qui est étonnamment persistante donc par exemple on est à

3.1 en inflation cœur sur la zone euro ça fait des mois qu’on nous dit que ça va aller vers les 2 % peut-être mais ça y va très lentement et puis euh et pu pass 10 à 3 hein quand même hein oui oui oui non mais je veux dire euh mais on

Pensait y aller très rapidement il faut il faut rappeler qu’on est sur des des des glissements annuels et donc en réalité même si on passe de 10 à 3 et bien euh en fait l’inflation elle est elle est élevée aujourd’hui parce que les les taux restent restent plus élevé

Que l’objectif et l’objectif de la BCE il est à 2 % rappelons-le euh il n’y a pas de double objectif cela complexifie la tâche de la Banque centrale européenne qu’en est-il des États-Unis les États-Unis on est à 2.8 ouais donc un petit peu mieux mais mais on est

Quand même loin des 2 % et donc en réalité le gros dilemme des banques centrales c’est qu’elles ont laissé planer des doutes et on va on va dire elles ont elles ont susciter un espoir de baisse de taux oui en fin d’année dernière et notamment

Mais bien sûr du 13 décembre qui est qui maintenant cette date devient connue donc en fait 13 décembre 2023 ou il y a eu une inflexion majeure majeure de politique monétaire de la Fed et de discours de politique monétaire avec les fameux dot points et en réalité ce qu’on

Voit aujourd’hui c’est que les faits ne valident pas finalement besogne oui oui ils sont allés trop vite en besogne ce se rajoute à cela le problème de l’élection présidentielle américaine qui va venir et la nécessité pour la fit d’apparaître neutre et de ne pas être un acteur dans de cette

Élection présidentielle qui s’annonce compliquée politiquement j’entends et et donc il doiv probablement délivrer une partie de leurs promesses je pense pas qu’ils puissent complètement se dire cela serait un oui le signal envoyé a été trop fort on peut pas revenir en arrière sur l’idée qu’il y aura VO un

Premier mouvement de baisse de taux en 2024 absolument voilà c’est c’est mon pointord ou ouais cependant on était sur 170 points de base de baisse de taux anticipé sur 8 meetings ce qui fait à peu près un an on est ce qui paraît complètement ridicule encore en tout

Début d’année tout début d’annéen en tout début d’année et aujourd’hui on est à 100 points de base et on est en droit de s’interroger sur est-ce que ces 100 points de base d’attente de baisse de taux c’estàdire quatre baisses de taux pour une année glissante sont crédibles au regard de

L’environnement macro-économique et du contexte spéculatif que nous venons de décrire ce qui est fascinant c’est que plus les investisseurs ont réduit leurs anticipations de baisse de taux plus les actifs risqués ont performé d’une certaine manière alors oui c’est c’est quand même en tout cas ce repricing n’a

Pas on n pas le sentiment qu’il a eu un impact sur comme vous dites cette spéculation autour des actifs alors oui on en parlait en réalité on avait l’impression en fin d’année dernière que les actifs risqués étaient intimement liés au taux et en réalité il y a eu une

Déconnexion cette année assez clair c’est-à-dire que les taux sont remontés et pourtant les actifs risqués euh se sont très bien comportés donc ils se sont plutôt déconnectés de de de cet environnement tau à noter quand même que la déconnexion est moins forte du côté des petites capitalisations oui oui

C’est très connecté au taux toujours qui sont plus sensibles au financement donc on voit très bien que c’est ce segment-l qui a besoin des baisses de taux on voit très bien que c’est finalement l’économie réelle et les les petites capitalisations mais aussi les les entreprises de la rue j’allais dire qui

Ont besoin d’avoir plus de financement plus de crédit et donc qui ont besoin de la baisse de taux et et et bien ce qui est inquiétant c’est qu’elles ne vont peut-être pas bénéficier de ces baisses de taux autant qu’on pouvait lesescompter en début d’année alors je

Ne pense pas que la la Fed soit en position de se dédire mais je ne pense pas non plus qu’elle soit en position aujourd’hui de délivrer quatre baisses de taux d’ici la fin de l’année contenu du contexte macroéconomique du contexte macroinancier qui qui est qui qui est

Sous nos yeux euh ce serait un signal terrible en fait de de de laxisme sur la gestion de leur devise la gestion de leur dettes la gestion des déficits et et cela enverrait un message spéculatif monumental finalement aux acheteurs de crypto et et les banques centrales vont laisser filer l’inflation absolument et

Cela alimenterait des bulles spéculatives qui plus tard seront dangereuses lorsqu’ell lorsqu’elles imploseront raphaë Bosti de le patron de la fête Atlanta à cette crainte lui il veut une baisse de taux en juin et ensuite une pause et on attend de voir parce qu’il craint ce qu’il appelle l’exubérance refoulée pentup exubérance

Et donc de voir des marchés de la spéculation débridé qui repartirai tout de suite alors c’est la crainte que nous pouvons formuler et donc une baisse de taux n’est pas égale à 4 et qu’est-ce qui question qu’est-ce qui va se passer quand on va passer de quatre baisses

Anticipées à TR puis à deux puis à une passer 6 à 3 et passer de 3 à une effectivement comment ça va se faire voilà et c’est ça la question maintenant de ce deuxème trimestre merci beaucoup Jean-Jacques merci d’être avec nous régulièrement pour nous faire profiter de votre expertise sur les marchés avec

En plus les outils de l’intelligence artificielle développé par la fintech ai for alpha vous êtes membre du bord des consultants indépendants jean-jaces Oana qui éta avec nous l’invité de ce dernier quart d’heure de Smart Bour ce [Musique] soir

Jeudi 14 mars 2024, SMART BOURSE reçoit Alexandre Taieb (Gérant-analyste, Sycomore AM) , Bastien Drut (Responsable de la stratégie et de la recherche économique, CPR AM) , Didier Borowski (Responsable Recherche Politiques Macroéconomiques, Amundi Institute) et Jean-Jacques Ohana (Consultant indépendant – Membre du Board de la fintech, Ai For Alpha)