60min Éco du 21/03/2024 : “Industrie automobile”

[Musique] [Musique] mesdames messieurs bonjour bienvenue dans 60 minutes économie euh on parle automobile industrie automobile alors 38 euh agréments définitifs octroyés sur plus d’une centaine de demandes semble-t-il et la liste est encore ouverte pour le dépôt de dossier d’agrément à la construction automobile importation de véhicule neuf également

L’importation de véhicules de moins de 3 ans l’assemblage et la construction automobile plusieurs marques apparaissent déjà sur les routes en tête de liste Fiat Cherry Hundai Jacques jelli pour ne citer que cela une quarantaine de dossiers encore a été annoncé très récemment les opérateurs qui importent et qui doivent intégrer

Graduellement l’industrie automobile 10 % intégration automobile pour la première année 20 pour la 3e année et 30 pour la 5e année c’est à partir de l’intégration que ces opérateurs bénéficieront des avantages fiscaux on recens une la demande nationale en véhicules les chiffres sont très peu maîtrisés on parle de 800000 véhicules

Demandés pour le marché national beaucoup de questions autour de l’industrie automobile de l’intégration automobile de des importations mais également de cahier des charges auquel doivent obéir les opérateurs merci d’écouter 60 minutes économie nos invités au studio monsieur Mtar shahbou ancien membre de lupiam union des producteurs de l’industrie automobile

Monsieur Adel Bassi au téléphone à partir de djopérateur mécanique et président du clorster mécanique de précision et Rachid barchi de la Bourse de la sous-traitance de l’Ouest 60 minutes économie tous les jeudis de 13h à [Musique] 14h merci d’assister à 60 minutes économie merci à notre invité pour le

Déplacement fait dans les studios merci à nos invités au téléphone l’industrie automobile par quoi commencer euh il y a alors sur les chiffres on parle de 40 opérateurs économiques euh qui ont obtenu finalement au bout d’un processus d’enregistrement sur la plateforme et donc des agréments définitifs une quarantaine alors il y a

Un autre chiffre tout récent qui date d’octobre 2000 d’octobre fin fin 2023 qui est de de de 24 opérateurs alors que les chiffres sont revus à la baisse à la hausse c’est une question que je pose à Messieurs nos invités à commencer par si vous permettez Monsieur shahbou monsieur

Adil B Sassi président du cluster mécanique de précision quelles sont les informations que que que l’on doit que sur lesquel que que l’on considère comme étant des informations officielles vous qui êtes aussi quand même dans le la sphère de de l’industrie actuellement à ce qu’il y a 40 opérateurs agréés je voudrais quand

Même ouvrir une petite parenthèse nous avant sollicité le ministère de l’Industrie monsieur agoun Mokded chargé de l’intelligence industrielle et économique devait être parmi nous mais euh dernière minute donc un changement de programme du côté du ministère donc nous comptions sur sa présence pour répondre à toutes ces questions je

Raiitère donc cette question où on en est avec les agréments définitifs octroyés aux opérateurs monsieur ad Bassi écoutez bonjour à tous d’abord merci pour l’invitation et puis bon ramadan à tous nos auditeurs effectivement il y a il y a il y a une petite comment dirais-je un petit

Décalage au niveau des chiffres je je voudrais pas remplacer le représentant du ministère de l’Industrie ti insister sur un point euh qu’il y ait 24 ou 40 opérateurs activant dans le domaine de la construction automobile c’est un chiffre qui est très important c’est-à-dire que on voit l’engouement de

De de de des constructeurs automobiles non seulement pour le marché algérien mais pour la destination Algérie en tant que terre d’investissement c’est-à-dire que les entreprises qui se sont engagées à à construire les véhicules et à respecter le cahier des charges avec les taux d’intégration que vous avez bien

Cité euh sont des entreprises qui ne pourront pas uniquement se limiter au marché algérien mais qui devront aller très rapidement vers l’exportation ça veut dire que il y a un écosystème qui devra se développer je pense que plus il y aura d’opérateurs plus ça favorisera l’émergence d’une véritable sous-traitance et l’installation

Notamment des équipentiers automobiles qui nous ont fait défaut ces dernières années qui permettront justement d’atteindre ces objectifs de taux d’intégration donc c’est à mon sens très positif faut faut le prendre comme c’est c’est-à-dire que il y a très peu de pays dans le monde qui peuvent se targuer

D’avoir d’avoir plusieurs unités de de d’assemblage je reviens moi-même il y a il y a 2 semaines d’Afrique du Sud d’Afrique du Sud vous savez que c’est un grand pays industriel continental il y a actuellement quatre grandes marques automobiles dont une Américaine une Allemande une japonaise et je me

Rappelle pas la 4e mais en tout cas vous voyez que de toute façon à mon avis l’engouement est là c’est sûr que par rapport à ce pays qui se trouve de l’autre côté du continent nous avons la proximité des marchés la proximité que ce soit avec le marché continental

Africain mais aussi avec le marché européen et nous sommes reliés à toutes les autoroutes maritimes qui permettent d’aller au-delà vous considérez monsieur Adel B Sassi que alors c’est vrai que sur la question des chiffres on n’est pas très bien on est on n pas de chiffre

Officiel hein puisque il y a 24 annoncé par le ministre lui-même à la fin de de l’année 2023 plus plus précédemment toujours des informations qui émanent de de de la direction même de que que chapote monsieur mourded agoun qui parle de 40 autorisations données définitives pour l’installation de l’industrie

Automobile je je passe cette question à Monsieur Rachid barchi qui est président de la Bourse de sous-traitance au niveau de de l’Ouest monsieur bonjour bonjour madame bonjour chers auditeurs pour tous les Algériens et bonjour à mes collègues Adel et Monsieur Chab pour la question de euh statistiques bien sûr on laisse ça c’est

Pour on le laisse pour le ministère de l’Industrie le c’estàd de présenter les chiffres et je pense prochainement il y aura une conférence de presse dans ce sens euh ça afin de un petit peu euh réorganiser le le secteur et donner plus d’informations sur le secteur de l’industrie automobile bon ce qui est

Vrai maintenant çaà dire même les chiffres mois d’octobre à 24 déclarés par le ministre maintenant le Ministère les dernières déclarations de 40 euh les chiffres ils sont en progression et je pense que les derniers chiffres annoncé dans les alentours de 40 opérateurs c’est le bon chiffre ça c’est et on

Laisse après au ministre de l’Industrie de de confirmer le chiffre ex au-delà du chiffre au-delà du chiffre la question que je fait à laquelle je je pense c’est 40 industries automobiles dans un pays est-ce que c’est utile d’avoir autant d’industrie automobile sur le marché national monsieur moi je pense les 40

Les 40 agréments c’est pas uniquement pour la construction les 40 agréments c’est même des autorisations d’importation bien sû dans n C de charge exige que il passe par l’importation c’estàd toute pour réguler le marché parce qu’il y a un besoin elle est elle est suivie par AC des quas différenou

Çad uniquement justement ça ve dire cette décision de du pouvoir public c’est justement pour stabiliser le marché et revenir au prix réel de des véhicules que en Algérie on a connu ça dirait une forte une forte demande et qui a causé aussi l’augmentation des prix des véhicules en l’Algérie

Maintenant pour reenir pour restabiliser le marché l’État algérien il a c’estàd le gouvernement ils sont passés par donner des autorisations d’importation avec des engagements de production alors pour les la production je pense le le marché algérien la moyenne actuellement il y a près de 800000 demande c’est tout

À fait normal après 5 ans 800000 demandes approximatives hein il y a pas d’indication très précise c’est tout à fait normal c’est tout à fait normal c’est pas après après 5 ans de de blocage c’est tout à fait normal il y a autant de de de de demandes il y a des

Chiffres qui vont au-delà de 800000 hein il y a des pronostics qui vont jusqu’à 1 million de demandes on peut dire mais nous on doit voir la réalité de marché he c’està dire sur la réalité de marché euh sur les 6 mois autorisés pour Santis

Il a orté dans les alentours de H euh 75000 c’est les chiffres sont bons c’est ça oui oui et ça a commencé à stabiliser le marché ces chires déjà ils ont commencé à stabiliser le marché alors de selon les les dernières informations je vous laisse terminer votre phrase selon

Les informations l’année dernière 2023 c’est près de 2 milliards de dollars consenti financement accordés aux importateurs qui sont soit des industriels qui veulent investir ou pas forcément que c’est des importateurs de véhicules 2 milliards de dollars pour un total de 100000 véhicules oui de 200000 véhicules exactement 100000

100000 non même il y a plus se 100000 il y a on a dépassé 200 100000 parce que c’està dire c’est le c’est le montant à louer c’estàd après c’est le prix de la du véhicule qui qui définit la quantité c’estd c’est c’est un un calcul de tro l’essentiel de cette dans cette

Opération pour nous autant que bou de sous-traitance c’est qu’est-ce qu’elle va apporter pour l’économie nationale nous on veut que cette industrie for demande cette cette ce côté économique dire une partie de du marché économie qu’elle soit euh transformé en en valeur ajoutée pour l’économie algérien et c’est pour cela que les pouvoirs publics

Ils ont demandé que ça soit une production c’està graduelle dans le c’estàd transformer cette importation en production locale et c’est pour ça qu’ils ont exigé 10 % jusqu’à aller à 30 % à partir de 3è année même il y a d’autres constructeurs qui disent ils vont dépasser les 50 % d’intégration

Et c’est ça qu’on qu’on cherche 30 % maximum au bout de 5 années 30 % maximum au bout de 5 années mais il y a certains constructeurs qui disent qu’ils peuvent dépasser des 30 % et c’est ça qu’on cherche c’estàd c’est l’ l’effet l’effet direct sur l’économie algérienne et pour

Cela nous en tant que de sousraitance on prépare les sous-traitants c’est à faire face à cette demande parce quechant que oui sachant que bien bien sachant que l’industrie algérienne c’està-dire de le côté de industrie automobile c’estàd on reste toujours dans les premières phases de notre développement et ce qui fait il

Est très rare c’estàd difficile de trouver des srait c’est pour cela que nous avons cette tâche en collaboration avec le ministère de l’Industrie pour développer le tus industriel de sous-traitant actuellement on il y a dans alentour de 23 opérateurs c’est de sous-traitant dans le domaine et avec un vivier c’estàd présélection présélection

De plus de 250 opérateurs très bien c’est ça l’essentiel oui alors oui oui s’il vous plaît on va passer la parole à à Monsieur chahbou euh et on on discutera encore d’autres axes de de ce thème je vais essayer de remettre un peu de de l’ordre dans mon le déroulé de de

Cette émission on est peut-être un peu parti euh un peu dans tous les sens en qu commence par une première problématique il y a une industrie automobile que l’on veut installer installer instaurer 40 opérateurs définitif on leur donne une année pour commencer une année pour commencer à à à

Faire du montage au bout d’une année il y a un 10 % d’intégration qui leur est demandé au bout de 3 années c’est 20 20% au bout de 3 années c’est 20 % au bout de 5 années c’est 30 30 % voilà et c’est à ce momentl que l’intégration

Donc la soustraitance devrait se préparer en fait en collaboration avec les opérateurs économiques la question que je souhaite poser centrale c’est 40 industriels qui sont des importateurs qui doivent aussi par l’importation répondre aux besoins des consommateurs urgents et qui en même temps doivent investir et obéir au cahier des charges

Voilà la configuration globale de industrie automobile actuellement de ces 40 opérateurs il n’y a pas de production encore sur le marché national monsieur merci d’abord je souhaite ça aide comme à tous les auditeurs et je remercie la chî 3 de m’avoir invité pour m’exprimer sur un

Sujet qui me tient à cœur et que je suis d’une manière très très permanente moi je voudrais dire quand même aujourd’hui on que le secteur de l’automobile qui intègre on a toujours tendance à parler du du véhicule particulier mais intègre aussi en travers du C des charges le

Secteur du véhicule de transport de personne c’està-dire les caribus il intègre le tracteur agricole il intgre le cycle motocycle donc il est il est là c’est global un tissu c’est la filière mécanique s j’ai beauoup de ces familles pour dire aujourd’hui je considère que le secteur est encadré en travers de de

Des deux décrets qui ont été promulgués en novembre 2022 puisque n nous avons un décrit qui régit la la qui régit un peu la la catégorie des concessionnaires avec leur spécificités avec des contraintes et des obligations et il y a le décret de du 22 novembre 384 qui

Régit le secteur de la production automobile donc je suppose que dans les 40 agrément qui a été donné il y a de du concessionnaire et il y a de faut savoir aussi que le concessionnaire bénéficier d’un agrément mais qui a limite dans le temps il faut qu’il démre c’est 5 années

On donne concession pour 5 années on importe on donne l’opportunitéation ou et révisable au-delà de la 5e année et je pense que par rapport au marché l’évolution de marché ils seront soumis et c’est le marché qui va qui va être l’élément régulateur à des côant des côas qui permettront donc de mettre sur

Le marché donc des véhicules et de préparer ces concessionnaires à éventuellement se transformer aussi en producteur ça c’est c’est très important le le deuxème élément c’est maintenant le producteur les constructeurs il y a quelques constructeurs qui ont été agréés qui aujourd’hui sont en train de se préparé à lancer des productions de

Véhicules vous avez cité quelques marques celle qui est la plus sur le terrain aujourdh qu’on connaît c’est bien entendu Fiat et qui va stellanti le groupe stellantis mais au sein du groupe stellantisste pour le pour le le les concessionnaires product véicle particulier donc il y a une production

Qui démarre qui va être mis sur le marché incessamment donc là je reviens pour dire que c’est quand même bien encadré aujourd’hui le donc chaque opérateur qui va investir à un quota de production pour 500000 stellantis 100000 de ce qui a été annoncé c’est Cherry est-ce qu’on va dépasser la demande du

Marché à ce ce stade je parlais de concessionnaires qui pour être soumis à des cotas puis qu’ils sont ils sont tributaires des des autorisations minère du commerce mais pour le le producteur industriel don dans travers la maturation de son dossier il a annoncé des chiffres qu’il doit respecter donc

Il y a des côass qui sont définis et oui oui allez-y donc qui sont définis et je crois savoir que c’est des tranches de de de de de de production qui sont définies qui sont de l’ordre de 50 90 jusqu’à 150000 oui donc on n’est pas prêt de satisfaire le besoin national en

Travers des productions qui sont lancées parce que le processus de production est quand même un processus capitalistique qui est long mais le fait que aujourd’hui les choses sont claires on assiste à un engouement de certains constructeurs à venir s’implanter en Algérie et commencer à produire des véhicules de marché temp vierge moi je

L’estimerai en travers information qu’on a eu qu’est-ce qui les attire à venir d’abord il y a environ environ le minimum ça compressible 350000 véhicules sur à mettre sur le marché euh deuxièmement quand on commence à produire on accède au crédit à la consommation c’est qui est très

Important d’avoir donc pour pour pour le le constructeur et pour le le le le le client pour le consommateur ça c’est des éléments quand même importants plus tous les avantages qui sont repris dans les travers des C des chat différents testes et qui donnent des avantages puisque

Parisco une question que je j’adresse à Monsieur Adel B Sassi également sur ce que vous venez de mentionner c’est vous avez dit monsieuri c’estit rare donc les pays qui ont autant ouvert le le le le champ de l’industrie mécanique à autant d’opérateurs alors qu’est-ce qui attirit qu’est-ce qui attire les ces opérateurs

En Algérie importation montage euh construction écoutez il y a plusieurs facteurs d’ fut l’exation c’est quoi exactement écoutez d’abord il y a un marché certes marché intéressant vous avez parlé tout à l’heure de de certains chiffres qui étaient fluctuants moi je tiens à reprendre un un élément qui qui sert de

Repère c’està-dire qu’on a exp on a importé jusqu’à 600000 véhicules par an tout tout véhicule confondu comme disait monsieur chabob il y a le lourd il y a l’agricole il y a les engins il y a les véhicules de tourisme et cetera 600000 véhicules tout confondus c’est quand

Même très important mais pour autant euh c’est-à-dire que bon l’attrait du marché est là il y a un cahier des charges qui oriente donc les concessionn plutôt les marques à venir s’implanter et produire ici en Algérie donc il y a les avantages comparatifs qui ont été octroyés il y a

Aussi les avantages naturels de l’Algérie à savoir sa géographie sa position géographique il y a aussi les coûts de production qui sont très faibles qui sont compétitifs je dirais faible est un est un mauvais terme je préfère parler de compétitivité c’est-à-dire la disponibilité de la de l’énergie une main- d’œuvre qui est qui

Est qualifiée qui peut être formée qui peut être perfctible et et et et une logistique pour un accès au marché européen et africain qui est là donc je pense que ça ça ça pousse ça encourage tous tous ces élémentsl F que effectivement le le les les constructeurs vont venir mais je pense

Que il il ne restera pas il ne restera pas autant de autant de de marques au bout de de peut-être quelques années d’exploitation parce que il y aura une sélection naturelle qui va se faire effectivement euh c’est ça a été justement dit le marché va va écrémer ça

C’est sûr et les aventuriers aussi ne ne ne resteront peuvent disparaître s’ils n’obéissent pas justement au cahier des charges absolument parce qu’il va y avoir une surveillance mais mais je tiens à dire que le modèle qui appliqué de CAH des charges et par rapport au taux d’intégration atteindre a déjà été

Appliqué à un are secteur qui est celui du secteur pharmaceutique et on a vu que il y a eu quand même euh euh euh de de belles succès storyies dans ce secteurlà et que donc euh c’est quelque chose qui peut-être duplicable pour peu que il y ait euh euh euh un véritable consensus

Avec euh euh ces constructeurs là le consensus il se fait avec les espaces intermédiaires vous avez euh la bourse de sous-traitance euh avec euh monsieur Berch notamment qui a fait un très bon travail avec les constructeurs pour pouvoir euh identifier quels étaient les éléments qui pouvaient

Être rapidement intégrés euh il y a un travail de mutualisation faut savoir qu’il y a un certain nombre de véhicules qui parfois même sous différentes marques peuvent être euh peuvent avoir des éléments communs je pense notamment à des plateformes ce qu’on appelle les châssis les boîtes à vitesse les

Éléments d’entraînement les moteurs et cetera qui sont communs pourquoi je parle de de de de de ça parce que sans mutualisation on peut pas atteindre les volumes nécessaires pour faire des économies d’échal et atteindre des des des taux de rentabilité parce que à la fin chaque entreprise est là pour faire

Du profit et il faut pas oublier pourquoi on parle de ce taux d’intégration parce que le taux d’intégration est aussi intéressant par rapport aux constructeurs c’est-à-dire que l’État quand elle parle de taux d’intégration elle parle de valeur ajoutée pour l’économie algérienne certes mais tout constructeur qui s’implante en Algérie a tout intérêt à

Avoir tout l’écosystème autour de lui avec avec les nécessaire à l’assemblage des véhicules parce que l’importation coûte cher s’il y a des coûts de logistiqu inérents qui sont importants justement parmi les conditions des du CAH charge pour vous parler donc de l’intégration on a eu cette expérience fâcheuse des dernières années où la

Sous-traitance n’était pas présente maîtrise pas tout ce qui a trait à la l’industrie mécanique il n’y a pas on va dire de composants qui pouvaent répondre aux exigences des cons naire des constructeurs d’avant qu’est-ce qui à votre avis la question elle va être tournante aujourd’hui est-ce que quelles sont les conditions

Pour les sous-traitants ou pour les constructeurs de se faire accompagner par les équipementstiers pour ré aider justement ce partenariat avec la sous-traitance locale et la développé parce qu’elle reste quand même inexistante et absente question tour de table encore à vous la parole sur la question monsieur barchi monsieur

Mtar allez-y allez-y monsieur ad ah pardon excusez-moi oui oui effectivement je pense que les choses ont changé parce que il y a une véritable prise de conscience on n’est pas là pour faire du gonflage de pneus le président de la République en a parlé il y a eu un

Véritable travail de d’attractivité qui a été fait avec avec notamment le groupe stellantis et d’autres marques qui son en train réellement de faire un travail de projection en mettant en exerg les différentes étapes on passe de de 20000 à 50000 à 70000 à 150000 véhicules par

An avec un plan de développement un plan à l’exportation c’està-dire une véritable intégration aux chaînes de valeur internationale et c’est ça qui fait la différence par rapport au projet initiaux qui était uniquement je dirais au-delà des intentions monsieur Bassi au-delà de l’intention et de l’intention qui est donnée qu’est-ce qui est quelles

Sont les prémisses de cette sous-traitance je vous et bien il y a un je vais je vais laisser la le le la réponse aux gens de terrain à Monsieur un véritable travail qui a été fait et et je tiens en être témoin puisqu’on a été personnellement aller voir ces constructeurs pour négocier

Avec eux le le les homologations des des des des des sous-traitants et des industriels locaux la l’expérience de de de la Bourse de l’Ouest monsieur barchi Rachid quelle est l’expérience qu quel est le début du partenariat est-ce qu’il y a réellement des sous-traitants est-ce qu’il vous pensez qu’il y a des

Opérateurs qui créent qui qui qui répondent aux exigences des des des constructeurs pour des intégrer des pièces dans l’urani Comment se profile chez vous cette sous-traitance ce que je peux dire c’estàd toujours on a des entreprises championnes on a de l’industrie c’estàd capable de répondre aux besoins des constructeurs mais

L’environnement il a changé actuellement parce que vous avvez dit tout à l’heure que il y avait une absence de la sous-traitance auparavant non il y avait pas la volonté de sous-traiter il y a une différence parce que c’était plus facile pour les les unités de montage je pe dire même pas des constructeurs

C’était des unités de montage c’était plus facile pour eux de faire faire le montage des pièces et de les ramener prêt et le marché il était preneur parce que il il acheté c’estàd le véhicule T qui tel qu’il coûte mais maintenant ça ça a changé c’estàd les donné ils ont

Changé qu’est-ce qui a changé déjà en première des choses ça il y avait ce blocage alors même il y avait du blocage nous on n’ pas arrêté de chercher même avec des des instructions du ministère de l’Industrie on a continué notre travail de trouver les sous-traitants et de de chercher

Toujours à développer ce secteur malgré qu’il était en blocage même dans cette période on a euh les sous-traitants qui existaient on a on a pu un petit peu les accompagner certains TR ils ont exporté leurs produits c’estàd leurs produits afin de c’estàd assurer la survie en même temps on nous avons fini des

Conventions avec des constructeurs existants à l’époque il y avait descpa il y avait les Renault et vol votre on a signi des conventions dans le cadre de recherche de recherche de sous-traitants et l’accompagnement de ce sous-traitants comment se prépare actuellement ce tissu chez vous il y a combien de sous-traitants quels sont les

Savoir-faire quels sont les capacités de production quelles sont les certifications qu’il doivent auquell ils doivent obéir pour être en partenariat avec des constructeurs c’est c’est simple l’exigence c’est deux termes alors dans le premier terme c’est la qualité dans la qualité qualité qualité et prix alors quand on parle de qualité c’est là où

C’est V alors question qualité il faut qu’on organiser elle doit avoir même la capacité de production les capacités technologiques et industrielles plus après toute une organisation euh le respect des normes le la certification if bon elle vient c’estàd par le temps mais elle est exigée c’estàd après certain moment çad après

Une année il existe la certification iatf parce que pour cela pour le constructur ça concerne des vies c’estàd c’est des personnes qui vont conduire des véhicules va transporter des personnes ça a toujours un risque sécuritaire c’est pour ça c’estd c question des normes et de qualité ils sont très éidents et même

Nous en tant que c’estàd institution même en collaboration avec le ministère on est compréensible dans ce point parce que en même temps si une entreprise elle va se se développer est-ce que vous avez identifié le nombre de sous-traitants dans l’orani par ex tout à l’heure tout

À pas dans le Rani on travaille au réseau national tout à l’heure déclaré il y a actuellement 23 soustraitants qui sont présélectionnés c’està-d ils sont en phase de travail c’estàd 11 déjà confirmé c’estd ils ont fini déjà des protocoles d’entente avec il queles sont les pièces les les pièces et les

Capacités par exemple de de répondre en quantité je peux pas dire les capacités parce que chacun chacun c’est il y a des ça d’un construc d’un Sant à l’autre et d’un constructeur à l’autre mais parlant de modèle deord il y a des sièges euh depuisut des sièges auto des pièces

Plastiques automobiles les Pau électrique il y a d’autres hein il y a les batteries actuellement ils sont en phase de d’homologation ils sont en phase d’homologation et d’autres j’en parle c’estd y il y a les liquides de freinage et de rroadissement tout ça ça existe et en phase en phase d’homologation c’est son

En phase final c’est les d’échappement et d’autres j’en passe pour ne pas commencer à citer un petit peuou le des sous-traitants oui je la question à Monsieur chbou est-ce que vous là vous est-ce qu’on a une vraie organisation de la filière mécanique est-ce qu’elle existe elle est chapautée par qui est-ce

Que c’est le marché est-ce que c’est libre partenariat et le choix du concessionnaire ou du constructeur à lui de rechercher ses sous-traitants de les mettre à niveau de de de de dresser des des des normes comment comment est-ce qu’elle est organiser cette sraitance à échelle nation d’ord il y a des entités

Qui existent et qu’il faudrait maintenant rebooster d’une manière il a l’organisme que que préside monsieur Ben qui est le cluster de mécanique de précision qui est un parfait exemple de soustraitance de de haut niveau il y a lupiam qu’il faut réactiver qu’il faut essayer de aussi à qui il faut donner un

Peu plus de de de de pas de moyens mais bien sûr c’est les opérateurs qui donnent les moyens à uneupion mais il faudrait encadrer cetteion pour pouvoir aller vers cette pour le moment n’est pas encadré je pense que c’est dans une deuxème étape puis qu’on parle beaucoup de sousraitance on parle beaucoup ne

L’oublions pas et le président pas on a parlé à vraiment pris initiative extraordinaire les fameux start-up qui aujourd’hui investit dans le monde de l’électronique dans le monde et dans l’automobile l’électronique maintenant commence à prédominer donc c’est c’est très important donc euh maintenant l’état des lieux moi je

Vous dis qu’il y a une base une base sérieuse pour véritablement démarrer à très belleance cette sous-raitance nous avions fait une évaluation pour les besoins des contrats qui ont été lancé par l’État ce de Mercedes et de Renault et sur 256 sous-traitants qui gravit au cours du secteur de la mécanique et de

L’industrie il en a été sélectionné 66 agréé qui ont été qui ont eu leur certification et qui qui pouvaient très rapidement moyennement le la solution de certains petits problèmes plus liés à au côté financier s’investir dans dans dans dans la soutraitance avec les grands constructeurs automobiles les grands secteurs qui sont

Donc les grandes familles de de de de de produits je vous don quelques chiffres hein pour vous dire que ça a été bien bien réfléchi vous savez que dans le domaine un peu de d’une automobile euh la tole aujourd’hui on a quand même des opérateurs qui investisent dans la tole

Des gros et des privés il y a il y a d’autres 14 % de la constitution de véhicules est constitué de toll donc elle peut être grand eff à la première année la tendance c’est que dans les les les à partir de ces décrit il va y avoir une intégration progressive et assez

Rapide dans les plastiques 2 à 3 % de de la valeur du véhicule est dans les plastiques dans le le Coutou 6 % de la valeur de du véhicule et dans le les métiers du caoutsou et les 5 % dans leslastomètre dans les la logistique 12

% mais la logistique ne rentre très peu dans le calcul de taux d’intégration donc je dis par rapport à ce qui a été fait nous avons identifié donc 66 soutraitants qui pouvaient à priori dès le départ s’impliquer dans le le processus de d’intégration et de fabrication de de

Véhicules maintenant la relation avec le partenaire c’est ça qui est avec le constructeur just c’est la quantité et c’est l’énorme le constructeur il faut relever quand même ce que dans le dernier décret il a été quand même rapporté que le constructeur doit ramener des doit amener des équipement

Et les mettre en association avec des opérateurs nationaux pour produire je pense qu’on a la base qu’on a la base che Adel pourra en parler il est en très près de du sujet donc on a la base et on aur la technologie qui normalement ce doit devenir de ces constructeurs qui

Sont en train de s’implanter Fiat a déjà manifesté sa sa volonté à intégrer avec ses ses ses ses équipement ses équipestiers à lui un peui et le le le le vis-à-vis ça ne sera que le sous-traitant euh qui est implanté localement ou qui ceux qui veulent investir dans la

Sous-traitance dans ces domaines on a les cout on a les pneumatiques pneumatiques je crois qu’on a un opérateur maintenant qu’ est de plus en plus performant bien sûr dans la sellerie nous avons aussi des opérateurs qui produit de la sellerie automobile SII dans les vers il y a TR C opérateurs

Qui aujourd’hui produisent des parberis plus et qui exportent en plus donc moi j’ai mets un a priori très favorable mais d’une manière globale je pense que la décomptation par rapport des comptations se fera dans les trois prochaines années on a pu on a donné peut-être 42 agréments il y a des

Concessionnaires qui vont importer distribuer sur bas de cota ou autre mais ce qui est plus intéressant c’est de s’intéresser au producteurs par c’est cela parce que dans les grands groupes internationaux particulièrement dans le groupe stantis aujourd’hui il faut savoir que l’intégration ne se fait pas verticalement fait horizontalement le

Taux d’intégration entreprise il ne dépasse pas les 20 % donc il faut aller chercher 80 % les autres composants auprès de la sous-traitance et c’est la sous-traitance algérienne peut devenir très pe moyennant un encadrement et un suivi de la part et je souhaiterais que le ministère de l’Industrie prenne en char

C’est ce dossier et suivent ses soustraitant les encadr les réunis les boost les met en relation avec partenaires moi je suis convaincu dans les trois prochaines années les gens IR ront les choses IR ront très très rapidement en tant que président du cluster mécanique vous avez écouté

Monsieur MT Chabou pour voilà qui qui dit un peu son opinion sur une organisation comment elle doit être de la sous-traitance et elle elle est horizontale est-ce qu’elle est organisée aujourd’hui cette sous-traitance il nous a donné les exemples de des produits qui sont commercialisés fabriqués aux normes

Certifiés qui sont exportés et qui sont déjà prê intégré dans le le secteur automobile quel est quelle est l’organisation qui est qui prévaut aujourd’hui avec les partenaires et est-ce qu’il y a des les équipesentiers sent euh devrai venir en être en partenariat avec les les les éventuels futurs sous-traitants bien effectivement

Euh le le le problème des équipemtiers ou la la chaîne de valeur a été posée déjà il y a une dizaine d’années quand les premiers projets automobiles ont été implantés c’était de c’était de dire parce que au début les gens disaient oui il y a pas il y a pas d’industrie

Mécanique enin que to il y a pas de sousst-raitance en Algérie or que c’est faux or que ça fait 30 ans que que depuis depuis euh le le la mise en place d’une économie de marché l’ouverture de de de l’investissement libre et cetera que que il y a quand même beaucoup de

Sous-traitants qui ont gravité autour des grands complexes industriels d’État et donc il y a eu le développement de la sous-traitance maintenant pour l’automobile on parle d’équipement pourquoi parce que ce sont euh des des des des des sous-ensembles qui vont être montés sur le véhicule directement il y

A pas une décomposition pièce par pièce unité par unité il s’agit notamment par exemple on parlerit de la boîte à vitesse on parlait d’ensemble de freinage on peut parler de de de de beaucoup de sous-ensemble de climatisation monsieur Chabou a parler très justement de de la partie

Électronique qui prend de plus en plus de place dans la valeur du véhicule faut savoir pour certains véhicules la partie électronique arrive à à à une valeur de de 30 % du véhicule je parle de tout ce qui est Dall et cetera effectivement que là il y a de la place pour l’innovation

Pour lesoui oui oui par contre pour revenir à à la partie à la partie mécanique il y a il y a il y a un travail de proactivité qui doit être fait c’est-à-dire qu’on n’est pas là pour jeter le prob sur les uns par rapport aux autres nous avons été vers

Les constructeurs automobiles pour les sensibiliser par rapport à cette question parce qu’il y a un intérêt commun l’intérêt vous l’avez fait de même manière en initiative libre initiative oui oui absolument avec avec en coopération avec la bourse de sous-traitance que Monsieur ce dont Monsieur BCH parle c’est un travail

Véritable travail de fond quel est le vis-à-vis des opérateurs économiques c’est c’est qui dans la sous-traitance c’est des individus c’est des sous-traitants eux-mêmes c’est c’est la bourse c’est l’industrie c’estord justement dans l’écosystème il y a plusieurs acteurs on parle il y a la Bourse de sous-traitance il y a le

Cluster mécanique de précision le ministère de l’Industrie il y a la partie aussi financement les partenaires financiers doivent être là pour accompagner le développement des entreprises mais les vis-à-vis des constructeurs ce sont les espaces intermédiaires chaque constructeur ne veut pas discuter avec un ensemble de PME ou de ou de groupes algériens il

S’agit d’avoir un vis-àis qui va mutualiser l’ensemble de de de ses capacités pour dire voilà quelles sont vos attentes où est-ce que vous voulez aller comment on peut vous accompager et qui est-il celui-là ce vis-à-vis des part de et bien écoutez naturellement actellement actuellement la bourse de sous-traitance a fait un travail majeur

Et nous en tant que cluster mécanique nous les accompagnons pour mettre en valeur ou en exerg les capacités production et la technicité de nos soustraitants donc on considère qu’il y a deux vis-à-vis des constructeurs c’est la bourse de la sous-traitance et le cluster lui-même qui est censé apporter l’information et recueillir

L’information des sous-traitants et cetera de leur capacité a tout à fait tout à fait puisque notre notre métier premier c’est la mutualisation donc donc donc on essaie de de de de regrouper de regrouper ces besoins là et de et de mettre en exer comme vous disiez les ité

Nationale pour autant les choses ne se voient pas parce que ça se fait pas du jour au lendemain effectivement monsieur Chabou a parlit d’une chose le ferrage c’est-à-dire que la fabrication de de du châssis en Algérie est un est un véritablement va être un changement si je peux revenir si vous permettez à

Votre question tout à l’heure qu’est-ce qui a changé du moment qu’on va fabriquer les parties de T et entre autre le châssis en Algérie ça c’est c’est ça change complètement la donne parce que c’est véritable ement la base sur laquelle vont être posé l’ensemble des pièces mécanique électronique

Caoutchou polymère et cetera si on n’arrive pas à faire le ferrage et à faire l’emboutissage ici en Algérie on risque de rester effectivement sur notre fin comme ça a été le cas précédemment mais vu qu’il y a un investissement qui a été fait en amont non seulement minier

Au niveau deage bet pour le mineret de fer mais aussi à travers des des des des des sidérurgistes qui vont fabriquer les produits plats qui répondent aux exigences de l’automobile parce que une tole ordinaire n’est pas la tole qui est utilisée notamment pour pour le châssis va complètement est en train de

Complètement changer le paysage et et et c’est pour ça qu’on a on a pleine confiance en ça maintenant il faut faire attention et là je passe un message à tous nos partenaires constructeurs c’est maintenant qu’il faut agir parce que si le coupprê tombe au bout de 3 ans ou de

5 ans en disant vous n’avez pas atteint les taux d’intégration ça risque d’être problématique donc c’est quelque chose qu’il faut anticiper et nous sommes là pour pouvoir atteindre ces obje qu’il faut pas retomber dans les mêmes dans les mêmes travers absolument absolument et encore une fois l’intérêt il est

Double pour nous bien sûr c’est la valeur ajoutée pour le constructeur c’est aussi une valeur ajoutée d’avoir tout un ensemble d’équipement entiers de sous-traitants locaux vous avez une une idée de de de ce qui a été identifié par la la le cluster mécanique vous êtes à combien par exemple de sous-traitant

Euh je vais vous dire euh la mécanique de précision est un est une industrie primaire donc c’est une industrie de soutien nous sommes là pour accompagner l’ensemble des équipemstiers qui voudront s’installer pour leur fournir la fabrication des moules la fabrication des outillages de presse la fabrication des éléments des machines qui vont

Servir à la fabrication des équipements et en plus de ça bien sûr la maintenance industrielle donc nous en tant que mécanicien on intervient en rang 2 dans tout ce qui servira à l’intégration de de de de du secteur automobile et j’en tiens pour preuve tous les secteurs qui

Ont été cité notamment le verre le caoutchou et cetera sont nos clients c’est-à-dire que nous intervenons déjà dans la fabrication des filières dans la fabrication des couteaux pour la coulée du verre dans la fabrication de moules et cetera et cetera donc voilà notre positionnement pour nous il est très

Clair et et et c’est c’est c’est c’est sans ça ce serait impossible d’avoir euh une le développement du d’une industrie de production en Algérie merci Monsieur Rachid barchi la question identique un peu à celle posée à Monsieur Adel B Sassi en tant que Inter en tant que

Vis-à-vis en tant que partenaire en tant que conseiller on va dire des opérateurs investisseurs dans l’industrie automobile quels sont les les rapports aujourd’hui que vous avez vous les avez approchés vous en approché quels ce que vous leur proposez notre notre relation elle est directe et elle est constante c’est dire

Elle est on continue c’estàd queles sont qu quelles sont leurs demandes quelles sont leurs demandes quelles sont leurs attentes eux de de de la sous-traitance nationale c’estd vous parlez des des constructeurs bien sûr il y a une série d’exigen exigence il y a des des items à

Par phase parle de phase une c’estàd leur choix c’estàd selon le marché local qu’est-ce qu’ existe en marché local et aussi par rapport au fond d’homologation des produits c’est-à-dire en phase une on va commencer avec les pièces les plus simples ceux qui existent déjà sur le marché local tel tel que le pneumatique

Tel que le câblage tel que euh le vitrage ça c’est en phase une c’està-dire on a on les a sélectionn ensemble pour dire le c’està dire le rôle de la Bousse de sousraéance on était c’estàd direct et on est rentré même dans le vif du sujet même sur le

Choix des sous-traitants avec lesquels on commencer parce que même il y a certains items euh item qui étai écartés nous nous avons demandé qu’il soit qu’il soit mis c’estàd en phase une tel que les batteries avec 14 euh usines de fabrication de batteries on voit mal pourquoi en Algérie on ne sélectionne

Pas les batteries c’estàd en phase une et c’est pour cela le choix il a été approuvé et maintenant les batteries sont sélectionnés en PHAs euh alors l’un des problématiques c’estàd même si on choisit les les sous-traitants c’estàd maintenant c’est des accompagn et c’est le temps d’accompagnement qui c’estàd qui pose

Problème il y a certaines sous-traitants qui sont très rapide dynamique et leur mise à niveau c’està-dire si on peut on peut parler dans ce contexte c’està-dire la leur préparation c’estàdire au exigences et répondre aux exigences réglementaires et même exigences managériales ça ça prend du temps d’un sous-traitant à l’utre la deuxème

Problématique le problème qui existe il y a la Fédération c’estàd les sous-traitants il n’adèent pas au aux organisations ou bien au aux bourses de s-traitant et c’est ça que Monsieur ch il a parlé tout à l’heure c’est c’est l’organisation un petit peu il faut fédérer il faut fédérer il faut que les

Sous-traitants ou bien associations qui sont connu reconnu afin qu’on puisse mutualiser nos efforts parce que certains sous-traitants même on les a cherché sur les réseaux sociaux c’estàd on a trouvé certains euh sous-traitant sur les réseaux sociaux on les a appelé pour les demander à fédérer et faire le

Recensement de leur capacités et en plus de ça c’està dire on n’arrête pas de sonner tout le territoire national à chaque fois c’est une région à clemsin à gigel à la il y a 15 jours avec on est parti à Lou on est parti à gigel on est

Parti à Constantine on aoné tout le territoire national pour trouver les sousraitant et visiter leur unité de fabrication parce que c’est pas uniquement de trouver il faut voir la des capacité VOD que c’est aujourd’hui aujourd’hui c’est l’opérateur lui-même qui doit aller faire superviser regarder sur le marché ce qui se fait visiter

Visionner voir la faisabilité du partenariat ce qu’on demande à l’opérateur c’est qu’il adhère au organisation au B sprance ou bien en chambre de commerce le plus près pour les opérateurs c’estàd pour les constructeurs s’il veut être en direct avec le consultcteur je vois mal s’il

N’adhère pas à la au cluster ou bien à la bourse de sous-traitance et après il dit que ah je suis pas consulté parce que vous êtes pas identifié la première des choses oui on laisse la parole à Monsieur Mtar chebou moi pour un peu très volontariste et je tiens compte

Un peu de l’existance sous-traitant ur TR dernière les trois derniers salons spécialisés dans le domaine de la mécanique la sous-traitance que j’aité j’ai été étonné par l’évolution un peu du nombre de de participants de la qualité de ces participants n’oublions pas parce qu’il faut en parler aujourd’hui une grosse entité qui s’éige

En donneur d’ord et en preneur d’autre c’est la fabrication militaire qui aussi travaill en relation directe avec ses opérateurs qui autant vous allez dans les les FO qui sontgan ils sont présent en ils proposent leurs services et ils demandent de la sous-traitance c’est ça qui va booster cette sous-traitance

Deuxè élément très important et là je souhaiterais qu’il en dise un mot si ça Ben Sassi ADLE c’est un peu l’avènement des centres de technologie industrielle le premier a été créé à Constantine le deuxè normalement il est presque près d’ ils sont été ils ont été créés sous lesg du ministère de

L’Industrie c’est pour le départ mais les les les ctimes c’est normalement les opérateurs qui se fédèrent pour créer C ces team c’est mettre en commun des moyens d’études de logistique de de contrôle d’essai destructif non destructif pour répondre aux besoins spécifiques parce qu’ils sont très honéreux ils devrai investir dans donc c

Team c’est un élément les les les les sous-traitants aujourd’hui qui sont sur le marché mais qui sont peut-être mconnus encore parce pas d’industrie automobile on commence à peindre démar et tout donc ils vont progressivement le machin agricole qui est très demandeur et aujourd’hui machine agricole est en pleine expansion l’agriculture qui se

Développe il y a énormément de choses qui se font donc je pense moi j’ mets vraiment à priori très très positif par rapport à ça je voudrais quand même dire quelques mots à propos de l’industrie automobile vous savez aujourd’hui je la défini en trois phases pour savoir

Comment on produit un véhicule je vous le dis en 5 minutes il y a trois phases essentielles la phase montage la phase serrage qu’on appelle serage constituant de la BO la coque et tout et à la phase emboutissage la phase la plus capitalistique et quie énormément et qui

Imp beaucoup les prix de revient c’est l’emboutissage très très cher c’est les presses pour produire les pièces les fores des pièces sa à chaque évolution au-delà de la to la to c’est un input matière première quand on veut changer la forme d’une a d’un Po pour changer

Les outils et les outils je vous donne un chiffre global qui peut être vérifié 200 millions de dinars par véhicule pour inv acheter les matrices avec une changer juste le design il faut limité puisque ces constructeurs ont des gammes qui évoluent très vite tous les ans il faut faire jouer faire faire évoluer

Donc l’emboutissage est un élément de grand constructeur a abandonné le secteur de l’emboutissage au profit d’une sous-traitance qui agit pour l’ensemble beaucoup d’autres constructeurs là l’activité la plus intéressante c’est ce qu’elle part du ferrage c’estàdire on assemble ces pièces primaires pour en faire déjà une première coque et c’est

Là qu’on donne la carte d’identité du véhicule et qu’on peut dire que ce véhicule est produit localement mine algé c’est au niveau du ferrage il y a une opération très précise on met on appose l’immatriculation grav pour dire c’est bien ça c’est le numéro de châssis absolument numéro ch donc ferage montage

Et fait appel à la sous-traitance et les constructeurs on tout intér c’està-dire sur les trois viilles de de la la construction automobile le fait le plus capitalistique c’est l’ c’est l’emboutissage l’emboutissage mais aujourd’hui les constructeurs qui viennent ici l’emboutissage il la trait parce que eux même sont en train de son

Il faut aller sur le ferrage la peinture la peinture maintenant on a des normes et des qualitativement on demandeant des vous voyez maintenant des constructeurs qui vous qui vous garantissent un véhicule pour 10 années c’est quand même un élément au niveau commercial une ligne de peinture traitement de surpass

Et peinture c’est 200 millions de dollars ouais et le montage qui est un élément accessoire c’est-à-dire que maintenant pour avoir une une un véhicule o l’on appelle made in Algeria il faut intervenir sur la première la première monte ou la deuxième monte sur la les trois phases intervenir sur ce que

J’appelle le ferage et la peinture et le montageage avec avec en intégrant onut et ça ça va booster les sous-traitants parce qu’ on est dans l’obligation de proposer au sous-traitants la production d’input c’est des milliers de pièces qui sont proposées à la truitante pour pouvoir les monter constituer la coque

Du véhicule la peinture c’est un procès c’est pas un problème les nappes fait des bon peinture ils ont même commencé à intégrer les peintures spécifiques pour la cataporège donc il y a pas de souci sur ce plan-là quand à maintenant le le l’emboutis à mon avis à mon avis c’est

Un avis que je donne et je m’adresse peut-être à l’industrie pour donner cet avis c’est peut-être amener les équipes Monti si on veut vraiment faire deambouissage à accepter le principe d’un échange produit je produit une pièce une aile pour moi et pour eux oui et n’est-ce pas ADLE c’est du gagnant

Gagnant c’est la mutualisation c’est la mutualisation il doit mutualiser ça avec ses usines ce qui amènerait même si à connaître nos straitants et commencit un peu à tirer profitun peu des avantages comparatifs qu’on donne qu’on propose au constructeur donc il faut une politique ad Ben Sassi ce sera la dernière

Question pour terminer cette émission euh euh il faut c’est-à-dire que du côté algérien il faut partir avec un rapport de force qui doit être du côté algérien pour dire que oui il y a de la sous-traitance oui il y a une possibilité de produire toute la chaîne absolument de toute la chaîne automobile

Sur les trois sur les trois les trois phases aussi bien l’emboutissage avec euh le le le le le la condition de d’offrir également ces produits à à d’autres au constructeurs sur d’autres marchés on peut intervenir sur les trois ves de la du véhicule monsieur busassi avec ce que nous avons

Aujourd’hui comme savoir-faire et produit production oui oui oui tout à fait pourquoi je parlais de l’ qu condition a écoutez y a des conditions encore une fois c’est c’est les volumes c’est-à-dire que si les constructeurs installés ne se satisf font pas uniquement du marché local mais vont

Vers l’exportation c’est à mon sens le le le l’unique levier qui servira au développement d’une industrie local et permettra les investissements lourds dont parlait monsieur Chabou les systèmes de presse d’emboutissage les outillages qui coû il faut combien de milliers de voiture pour permettre une industrie dequ seul modèle alors pour un

Seul modèle on parle de 250000 à 350000 véhicules par an pour atteindre le le le breaking point c’est-à-dire le point d’équilibre d’accord par rapport au retours sur investissement mais c’est largement faisable et c’est pour ça que je vous disais que le marché local n’est pas suffisant et il faudra euh euh aller

Toutite vers le régional absolument et euh comme vous disiez l’infrastructure qualité c’est-à-dire la partie tierce notamment on parler du centre technique des industries mécaniquesoui c’est ça la formation moi j’allais aborder la question de la formation professionnelle mais finalement il y a des il y a des formations plus de PR précise très

Spécifique exactement la formation prof profnel est un élément clé mais il n’est pas suffisant l’infrastructure qualité c’est-à-dire et les normes et leôleinpction l’ingéering exactement et les parties tierces moi si je qui qui peut déclarer une conformité est-ce que ça va être le constructeur le sous-traitant et dans le cas de conflit

Qui va qui va être à même de de de de trancher et là c’est c’est très important parce que eux interviennent aussi bien en amont pour la formation que en aval pour l’inspection euh que ce soit en ligne ou ou l’expertise après fabrication oui la question sur les équipemstiers

Aujourd’hui est-ce que vous avez connaissance ou entendu dire qu’il y a ou alors vous-même un peu poser cette problématique de de de ramener ramener des équipements enfin ramener de se mettre en partenariat avec des équip complèement complètement et c’est au constructeur de faciliter les choses nous nous sommes là en tant que que

Partie prenante pour le développement de l’industrie automobile puisque nous avons tout intérêt à développer la fabrication tousazin mais il n’y a pas une volonté des équipementiers de de de pardon des constructeurs de ramener leurs équipementiers parce que c’est eux qui donneront le là c’est à eux de leur

Dire nous voulons nous implanter ils sont censés les ramener à quelle période à quel moment une année après exactement après passer la première année il faut ABS ah oui oui oui c’est une exigence en tout cas dans le cahier des charges s’ils veulent atteindre les niveaux de

De d’intégration voulu par le cas si les opérateurs ne C descharge je vous donne la parole pour clore cette émission qu’en pensez-vous est-ce qu’il est assez complet moi j’ai commencer par dire que c’est un élément qui encrade très bien maintenant le processus puis qu’il permet les constructeurs spinés de la r

4950 ils sont maintenant la Procé faire on leur donne la possibilité dans un délai relativement correct d’intégrer cette C taux d’intégration en travers la sraitance nationale on leur dit qu’il faut ramener vos équipements c’est noir sur blanc c’est pas c’est dit dans le casad du non respect

Qu’est-ce qui va pas se passer bah non respect il faut qu’il est il est défini comment donc au niveau de ministère de l’Industrie on allait interpeller ces constructeurs pour les amener à voilà ils ont un agrément retrer de l’agrément départ et puis voilà merci beaucoup monsieur Mtar chebou ex membre de l’upam Monsieur

Rachid barchi de la Bourse de la soutraitance de la bourse de la sous-traitance Algérie monsieur ADLE Beni président du cluster mécanique merci [Musique] beaucoup

Les intervenants de “60min Éco” de ce jeudi 21/03/2024 consacrée au thème de l’Industrie automobile en Algérie :
• M. Mokhtar Chahboub, Expert en industrie à la retraite, ancien PDG de la Société Nationale des Véhicules Industriels (SNVI) et ancien membre de l’Union Professionnelle de l’Industrie Automobile et Mécanique (UPIAM).
• M. Rachid Bakhechi, Président de la Bourse de Sous-traitance et de Partenariat de l’Ouest (BSTPO).
• M. Adel Bensaci, Chef d’entreprise spécialisé dans la mécanique de précision et président du Cluster mécanique de précision Algérie.

Conçue et animée par Hakima Kamel
Tous les jeudis de 13h00 à 14h00
Sur Alger Chaîne III
#algerie #economie #automobile #radio #streaming

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