Pourquoi les marchés ne réagissent pas au dérapage du déficit public français ?

[Musique] et malgré le gros dérapage du déficit public français on ne constate en tout cas pour l’instant aucune tension sur les taux souverains tricolor bonjour Pierre bonjour David pierre SAB économiste et présent du cabinet premview on ne parle dans les médias ici et ailleurs notamment économie que de

Ces 5,5 % de déficit public pour 2023 mais ça n’a aucun impact sur les marchés financiers aucun les intérêt sur la date française à 10 ans ne réagissent mais pas du tout du tout il y a une une décorrélation une déconnexion entre tout le le bruit quiil a en France là-dessus

Et la réalité en tout cas des marchés financiers qui ne s’inquièteent pas du tout c’est vrai mais est-ce finalement euh un point aberrant par rapport en fait à l’chiquier mondiale je dirais est-ce que vous connaissez le déficit public aux États-Unis en 2023 8 % du PIB

8 % du PIB est-ce que les taux longs est-ce que les taux à 10 ans sur les obligations souveraines américaines ont évolué et on réagit pardon plus proche de nous il y a une révision à la hausse du déficit public en Italie qui n’ont

Pas fait 5 % 2023 mais 7 deux points de révision ça n fait passer à côté pour des des débutants les to à 10 ans Italiens n’ont pas flambé non plus parce que c’est pas une invitation non plus à faire n’importe quoi avec alors ça va être justement le sujet c’est qu’

Aujourd’hui on est alors pourquoi déjà un pour deux éléments premier élément la question même du déficit public est pourquoi en fait on a des taux longs en fait qui n’évoluent pas c’est parce qu’en fait le niveau de taux d’intérêt c’est pas un tôx administré c’est rapport entre l’offre et la demande

D’obligation souveraines adossé en fait à un état aujourd’hui quand vous achetez une obligation souverine française en réalité les marchés internationaux donc faut se poser la question de deux choses déjà est-ce qu’il y a de l’argent aujourd’hui dans le marché susceptible de répondre aux besoins des états la première élément donc ça c’est la

Question de l’épargne l’épargne naturellement généré par nos économies aujourd’hui sont élevés vous savez aussi vous l’avez beaucoup commenté en fait sur ces plateaux que le taux d’épargne en Europe est élevé alors qu’aux États-Unis ça commence à être moins le cas en Europe pour le coup on a réagi au ralentissement actuel par une

Augmentation du taux d’ppneevé d’éparne qui doit s’investir voilà il faut que ça faut bien qu’il soit porté par quelque chose donc la demande de produits financiers dont on fait les obligations souveraines en lien avec le vieillissement d’ailleurs en passant en lien effectivement avec le vieillissement fait que bah il y a quand

Même de l’argent qui est disponible et qui explique que le taux d’intérêt é le rapport entre l’offre à la demande la demande est relativement élevée par rapport à ça ça c’est le premier élément un peu structurel alors évidemment si on a une récession cette année une

Récession plus sévère que ce ce qui est anticipé on va avoir à un moment donné une tension sur l’épargne naturellement à disposition c’est pas la prévision la prévision c’est à 1 % moins voilà on verra ça on pourra en reparler ça sera peut-être le sujet d’une autre d’une

Autre émission dans le futur mais pour l’instant on a déjà de l’argent ce qui explique en fait qu’il y ait pas en fait de d’évolution et après vous pourriez vous dire cet argent là il pour aller en fait acheter autre chose que des obligations souveraines en fait le Paris

Sous-jacent et c’est pour ça que vous évoquez tout à l’heure l’AL de moralité associé au fait qu’on a des déficits publics qui sont élevés et vient de deux choses déjà un on a un pays qui nous montre qu’avoir des déficits publics élevés pendant longtemps voire même pendant très très longtemps n’est pas

Forcément synonyme de taux d’intérêt qui augmente ce ce pays il est un peu lointain mais il est intéressant parce qu’il finalement il a vécu avant nous beaucoup beaucoup de choses que nous sommes en train de vivre c’est le Japon le Japon ça fait depuis le milieu des

Années 90 que chaque année il a entre 7 et 8 % déficit public chaque année évidemment c’est pas sans conséquence sur le stock de dette publique hein au début des années 90 au Japon on a 60 % du PIB de dette publique aujourd’hui on en a 2606 260 voilà donc forcément quand

Vous en ajoutez on va vous répondre que ce sont les Japonais qui sont détenteursou non c’est la banque centrale qui est aujourd’hui essentiellement détentrice en faitesque mais mais vous avez raison parce que le le le point d’après en fait correspond à celui-ci donc déjà un on a

Un premier élément là devant nous un laboratoire vivant c’est pas parce qu’on fait du déficit public voire même dans des proportions importantes et pendant longtemps qu’on a un impact sur les taux d’intérêt puisque le Japon paye encore en fait ses obligations souveraines avec un taux d’intérêt proche de Z0 0 entre 0

Et 1 en fonction des moments voilà donc dontact donc déjà on a cela en tête c’est la premier élément deuxième élément finalement qu’est-ce que jouent les investisseurs alors il y en a trois du coup en Europe bah quand on achète la France on achète l’Italie en fait on

Achète l’Europe au niveau en fait de l’investissement international or aujourd’hui et bien d’une manière ou d’une autre même si c’est pas vrai dans les faits et bien quand vous achetez la France vous achetez aussi un peu l’Allemagne qui elle est excédentaire en terme on achète la BCE qui est derrière

Et qui va et surtout après derrière et c’est là où on a un vrai Alen de moralité c’est qu’en fait tous les investisseurs c’est ce qui fait aussi monter les marchés financiers sont pas idiots plus on a du déficit public ça veut dire plus on a une dette publique

Qui augmente plus on a des montants importants à refinancer plus on va forcer finalement on va mettre dans un corner comme un chien qui est bloqué en fait dans le coin d’une pièce BCE le chien c’est la BCE qui va faire qui va être obligé de faire quoi soit il tue le

Chien savoir non c’est pas soit c’est l’état soit en fait il assassine l’économie en laissant des taux d’intérêt qui sont élevés et qui font que plus on a de déficit det public plus ça coû cher plus pour l’instant et donc en fait le Paris que font les

Investisseurs et ça c’est un Paris et on verra en fait au fil de l’annéeè est-ce que la Banque centrale européenne va céder à la pression comme la Réserve fédérale américaine même sujet 8 % déficit public vous allez voir l’état américain va pas pouvoir indéfiniment faire 8 % de déficit public

Avec des taux qui sont au-delà de 4 pareil pour l’État français qui sont avec des taux proches de 3 c’est dire qu’avec les stocks de dett qu’on a les charges financières associées à cette dette là vont assez vite faire effet bou de neig on pour plus faire donc la B

Sera amené à faire quoi alors et bien elle sera amené a déjà un gros stock qui a déjà je crois 20 ou 25 % du stock euh oui c’est montant ouis c’est montant on doit être entre 20 et 25 % obligation souveraines française et même de reste de l’Europe puisque en fait elle

Investit au prorata en fait de des émission de tous les pays euh mais en fait le vrai sujet le vrai Paris qui est fait c’est que la banque c’est forcé la banque centrale à travers ce type de stratégie là à baisser ces taux voire même et on peut prendre date d’ici la

Fin d’année peut-être si jamais en fait c’est nécessaire arrêter et d’ailleurs la banque centrale américaine la réduction en fait de la taille du bilan hein et à savoirà la FA la fait automatique c’est dire que quand vous regardez les intérêts payés que ça soit par les agents privés ou l’agent public et bien

Ça rend impossible la poursuite des éléments de soutien de la des économies qui sont mis en place donc d’une certaine manière le Paris fait donc le Paris implicite est fait c’est que c’est l’assureur en dernier recours la BCE la banque centr si rien ne dans ces actes

Parole ne laisse penser que ce Paris rien dans ces actes les 15 les 15 dernières années nous montrent que la Banque centrale européenne alors pas les 30 dernières années mais les 15 dernières années qu’elle a plutôt eu un billet américain à savoir qu’elle est devenue plus pragmatique que par le

Passé moins dogmatique et ce pragmatisme-là fait que bah soit euh est-ce que vous pensez vraiment que les gouverneurs de la Banque centrale seront prêts à assumer le fait que et bien d’une certaine manière euh l’état pourra plus être en soutien de l’économie donc ça génère une récession ou euh euh ça

Sera la Banque centrale européenne qui n n’autorisera plus les ménages à empruntés pour en fait se loger ou investir dans l’immobilier et cetera est-ce que vous croyez vraiment que les gouverneurs de la Banque centrale seront prêts à accepter cela j’ai des doutes en tout cas les 15 dernières années nous

Montre qu’elles ont fait preuve de pragmatisme et face en fait à l’impossibilité de faire autre chose et bien ell s’exécute alors là ça crée en fait un allé moral et sachez alors là ça était très bien terrorisé hein à l’origine de toutes les bulles il y a un

Un aléa moral c’est grosso modo quand on sait que quoi qui se passe on sera sauvé et c’est un peu en fait ce que joue aujourd’hui finalement et les gouvernants et les investisseurs à travers finalement leur posture vis-à-vis des taux des obligations souveraines c’est que de fait on estime

Que celui qui bat monnaie ne laissera pas tomber en fait le législateur ouis après la France est en capacité à bien lever les impôts il y a aussi une réaction du gouvernement qui donne le sentiment en tout cas d’avoir une prise de conscience il y a des coupes non mais

Il y a des coupes de 10 milliards d’euros cette année peut-être plus à 10 le maire dans la dépense publique 20 milliards l’année prochaine donc ça donne le sentiment que voilà que le pouir politique prend conscience du problème et donc ça rassure encore une fois je regarde le SPR j’ai le spread

Entre le les T à 10 an allemand et français on est toujours à 50 point de base donc il y a vraiment zéro inquiétude non non mais après attention pour le coup sur les engagements il y a les mots il y a les actes et là pour le

Coup la dérive des finances publiques elle n’est pas héritée en fait des législatures précédentes elle est bien le fait en fait de la législature en place qui fait qu’aujourd’hui il y a assez peu de crédit il faut quand même l’avouer au niveau international sur les mots enfin portés en fait par les

Gouvernements français oui la France n’a aucune difficulté à emprunter de l’argent aujourd’hui sur les marchés mais non mais parce que je vous l’ai dit parce que les gens ne jouent pas en fait la France et les perspectives françaises elle jouent la zone euro le fait qu’elle soit adossée sur la deuxième plus grande

Banque centrale au niveau mondial qui s’appelle la Banque centrale européenne le pouvoir de battre monnaie et en sachant que finalement nous sommes un petit peu euh même si nous sommes un peu le canard boiteux de la zone euro tout comme l’Italie hein mais d’une certaine manière en achetant l’Italie 7 % de

Déficit public sur 2023 révision je l’ai déjà dit 25%0 points de PIB en plus mais encore une fois quand vous avez en fait le pouvoir de battre monie et vous avez la alors attention cette cette conviction là peut-être battu en brèche mais la conviction que le que la machine

À imprimer des billets de banque servira naturellement à combler ces déficits là ce qui sera pas forcément le cas des agents privés à partir de là et en sachant que n’oubliez pas parce que je vous ai dit tout à l’heure que d’autres l’ont fait avant nous dans des proportions qui sont absolument

Colossales et ça dure depuis 30 ans et ça continue bien concrètement les investisses en fait après la psychologie aussi peut changer qu’est-ce qui peut faire douter les investisseurs qu’est-ce qui euh ce flegme pourrait ne pas durer ah bah on a vu on a une mi tempête à l’époque c’était au Royaume-Uni quand

Listros à l’époque Premier ministre avait annoncé un pourant en annonçant des baisses d’impôts des baisse d’impôt c’est pas euh trop trop élevé non financé ça va écrit euh une tempête sur le le 10 an euh anglais ça est fini par la démission de la Premier ministre oui alors nous ne sommes pas l’Angleterre

Nous ne sommes pas et cé m aussi répondre je vais répondre directement euh ce qui pourrait amener à une distorsion c’est deux choses un une posture de la Banque centrale européenne qui soit très clairement pour le coup antipragmatique et qui serait dogmatique non et alors là la pression des

Allemands pourrait nous amener en fait à à aller jusque là même si la faiblesse de de l’économie allemande rend aussi nécessaire la baisse des taux chez eux donc j’y crois guerre mais en fait une porsture régide de la Banque centrale o là en l’occurrence vu qu’on achète finalement la posture d’une banque

Centrale comme acheteur en dernier recours et qui fait queon est subventionné en achetant des obligations souveraines bien si ça on l’a pas évidemment ça cré du trouble mais en Europe le vrai sujet principal qui est toujours le même depuis en fait l’émergence de la zone euro c’est bah si

Jamais on a pour le coup des discours politiques qui finissent par émettre un doute quant à la solidarité des des pays au sein de la zone euro pour constituer la zone euro comme ça a toujours été le cas c’est presque le seul j’y crois pas sur la Banque centrale européenne le

Seul sujet qui pourrait réamener une tension je rappelle tout de même qu’en 201122 la tension elle a porté les taux italiens les taux espagnol à plus de 7 % les taux à disant à plus de 7 % donc on en est très loin mais j’ dirais aux mêmes cause les mêmes effets l’élément

Qui pourrait battre en brche toutous là ça sera pas un choix ça sera pas un choix de la politique monétaire c’est impossible ça serait du suicide alors même si ça crée un ALAT de moralité ça ne fait que déplacer le problème je ne crois pas qu’il soit prêt à l’assumer

Donc ça on l’aura pas ça pourrait être à nouveau en fait des doutes qui pourrait venir en fait moins de ceux qui sont les ceux qui portent les déficit public hein les doutes quant à la solidarité européenne d’un point de vue budgétaire ils viennent ils viendront évidemment

Beaucoup plus des bons élèves que des mauvais élèves parce que le bon élève peut dire à un moment donné moi prenez l’Allemagne j’ai 60 % de déficit public de dette publique 60 nous on en a le double al pas tout à fait mais quasi le

Double les les Italiens on n ont plus du double à un moment donné eux font des efforts les autres n’en font pas vous pouvez être dans la situation mais c’est quoi ce bordel c’est c’est on va continuer en fait à payer les déficits des autres et à recycler nos excédents

La déficit des autres je ne suis pas prêt à prendre ce risque là je n’y crois plus mais bon là on est vraiment sur de la sur de la finance et de l’économie fiction l’état la bonne nouvelle pour la France c’est que l’état de l’économie allemande nécessite aussi une politique

Monétaire qu’on appelle plus market friendly donc ça P il y a un alignement d’intérêt c’est vrai et donc naturellement ça veut dire que à ces tau là malgré les déficits public attention c’est pas du tout moral mais d’un point de vue strictement financier il est extrêmement probable que même les taux

D’intérêt longs soi orientés à la baisse d’ici la fin d’année plutôt qu’à la hausse en dépit du fait qu’on est du déficit public et qu’on arrivera pas le R et donc ça pousse pas ça pousse pas non plus à à réduire à marche forcée le déficit public français de 5,5 % est-ce

Qu’il faut vraiment aller vers 3 % en 2027 en tout cas rien ne pour nous y forcer tant que la France se finance tranquillement alors oui et non d’une certaine manière parce que infin le fait de financer des déficits publics par de l’impression monétaire parce que c’est

Ce vers quoi on s’oriente vous comprenez bien que ça crée une distorsion un alien moralité qui fait que quand vous émettez de la monnaie pour prêter l’état enfin pour donner à l’état gérer et qu’il le dépense quand il le dépense il le donne aux gens qui vont consommer donc il a

Quand même un côté artificiel à la richesse créée qui est pas souhaitable en fait à à l’avenir donc non le vrai sujet pour la France il est pas là c’est pas tellement le déficit en tant que tel faut pas voir les choses en silo que les

Choses sont connectées ça ne pose pas de problème d’avoir du déficit public si en face vous avez en fait une épargne nette des investissements positives et des excédent courant positif ça veut dire quoi si en gros vous exportez plus que vous n’importez ça veut dire que vous rapatriez de l’argent donc c’est les

Agents privés les entreises qui le F mais là chez nous c’est pas le cas on est déficitaire en compte courant on est positif en épargne net des investissements c’estàd que tout ce qui n’est pas consommé donc ce qui entre la différence entre ce qu’on investit versus ce qui n’a pas été consommé qui

S’appelle l’éparne si ça c’est positif ça permet de financer ces déficit par ailleurs la problématique aujourd’hui en France c’est que cette équation n’est pas équilibrée 5 % déficit public du déficit courant et le taux d’épar net des investissements n’est pas suffisant pour financer le tout ça veut dire quoi

Ça veut dire que nous sommes pas autonomes il y a deux solutions par rapport à ça soit on doit aller chercher finalement l’argent des autres pour finir notre fin de mois ce que font les Américains depuis 25 ce qu’on fait aussi ce qu’on fait aujourd’hui nous ne sommes

Pas les États-Unis soit on doit aller toquer à la porte de la Banque centrale pour qu’elle émette des et équilibrer l’équation donc à la fin des fins la vraie question c’est celle de l’autonomie l’autonomie financière euh donc vous pouvez jouer sur ce levier là un temps mais c’est comme d’habitude

Lorsque une solution qui doit rester temporaire devient structur les permanentes c’est là à terme où on finit par générer du doute et c’est le doute qui doit se traduire par une prime deou à terme à terme sera tous à terme on sera tous morts c’est pour ça que je

Vous dis que il est extrêmement peu probable au final que t en France en tout cas pas dans un horizon en fait de de de 6 9 mois on sort par là d’ici là ah c’est hyper court non non oui mais attention qu’on est dans un monde dans

Lequel en fait les stocks de les stocks de dett apporté sont importants on a quand même des primes de risque qui sont nuls à peu près partout donc on en reparlera pour ce qui se passera en fait sur les années qui suivent là pour le coup on a un horizon de projection qui

Ne peut-être que disons à fin d’année pour dans un premier temps allez merci beaucoup point de vue signé Pierre Sabatier économiste président du cabinet primeeview merci David [Musique] salut

Malgré un déficit public bien plus important que prévu, à 5,5% pour 2023, on ne constate pour le moment aucune tension sur les taux souverains tricolores. Comment expliquer cette confiance des investisseurs ? L’analyse de Pierre Sabatier, président de PrimeView. Ecorama du 27 mars 2024, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com
#boursorama #action #bourse _________________________________________________________________________________________________
→ Retrouvez la dernière interview de Pierre Sabatier, “CAC 40 à 8 200 points : la hausse peut-elle se poursuivre à ce rythme-là ?” : https://youtu.be/6NiyH9eZQ0I
→ Retrouvez l’ensemble des vidéos Ecorama, l’émission qui vous simplifie l’économie, ici : https://www.youtube.com/playlist?list=PL7nT4D7dQjA6_y65SEA3oXM0Orgj3iahi
→ Découvrez “le Debrief Bourse”, le point sur l’actualité des marchés financiers à la clôture du CAC40, ici : https://www.boursorama.com/videos/tv/debrief-bourse
→ Pour avoir accès à l’ensemble du portail d’information économique et financière Boursorama, c’est par ici : https://www.boursorama.com/
→ Retrouvez-nous aussi sur Facebook : https://www.facebook.com/Boursorama-132746953466063/ et sur Twitter : https://twitter.com/Boursorama

25 Comments

  1. Mais ce soi disant expert économique est de plus en plus nul, comparer la dette française avec celle des Us, qui ont le dollar, nous avec notre Macron, on court à la faillite. Et ce sont les liquidités des banques centrales qui maintiennent tout, le château de carte est prêt à s écrouler. Quand aux Japon, pratiquement toute la dette est détenue par les japonais eux mêmes. Mais qu ils est bête.

  2. Il faudrait aussi que les gens comprennent que l'impression monétaire de la BCE n'est pas un bouton magique
    C'est de la dilution de valeur
    Quand la BCE imprime de l'argent elle prend la valeur dans vos économies
    Ça très peu de gens le comprennent

  3. Beaucoup de riches gagnent à la bourse il faudrait faire un impôts de solidarité de 16%sur les bénéfices comme en Allemagne, plus de 120 milliards d'euros de bénéfices ,Mr Bruno le Maire plus d'argent à récolter que de baisser encore les petites retraites ou baisser les grosses retraites pas les calculer en fonction du salaire et mettre une barrière comme en Suisse, même des cadres touchent pas de grosses retraites

  4. C'est gènial, comme vous interrompez, à nouveau, de facon incessante votre interlocuteur, votre contenu est inaudible et inintelligible en plus d'être agacant.
    Pierre Sabatier mérite d'être entendu, c'est dommage.
    Puissiez-vous regarder vos émissions à posteriori afin de corriger enfin ce point.

  5. Pourquoi les marchés ne réagissent pas au dérapage du déficit public français ?

    Il n'y a pas de marché de la dette Française, le seul acheteur c'est la BCE.