SMART BOURSE – Bourse : Japon et Zone Euro, en tête au T1 !
Trois invités avec nous chaque soir pour décrypter les mouvements de la planète marché Benoît Vesco est avec nous le président de Delubac àette management bonsoir Benoît bonsoir Grégoire merci d’être là merci à Christophe barreau d’être à nos côté également bonsoir Christophe bonsoir vous êtes chef économiste de market securities et
Directeur général de market securities Monaco et Gilles gubou nous accompagne également bonsoir Gill bonsoir vous retrouvez vous êtes responsable des actions européennes chez AXA IM parlons des actions européennes Gill je le disais sous forme de plaisanterie on va décerner le bulletin de notes des marchés action à l’issue de ce premier
Trimestre je redonne quelques quelques références les actions mondiales sont à + 8 si on prend le MSI World Nasdaq le SNP sur un sont sur un petit + 10 l’eurostock 50 pour la zone euro est à + 12 et il faut donc prendre acte et c’est pas forcément intuitif
Hein quand on ob oberve la tonide de l’activité économique en zone euro depuis plus d’un an maintenant sur ce premier trimestre l’eurozone boursièrement parlant surperforme le monde alors si je regarde la progression qu’on a eu depuis le début de l’année en terme de de progression je suis pas tellement je
Suis pas tellement étonné puisque plutôt dans l’année quand on avait j’étais sur ce plateau et on avait donné nos perspective pour l’année on s’attendait à une progression effectivement on entrevoyait la possibilité d’avoir une progression de plus + 10 + 11 sur l’ensemble de l’année bon on l’a faite sur un
Trimestre un des moteurs pour cette performance c’était en partie qu’on partait d’un niveau de valorisation qui était plus bas en Europe que sur les autres marchés que parmi les composante du marché européen on avait quand même la composante bancaire qui était très fortement sousvalorisée et continue d’ enregistrer des bons résultats et que
C’est un des secteurs leaders et c’est un des secteurs leaders faut le dire et et donc on on entrevoyait bien la possibilité d’avoir une progression de 10 % sur l’année le point c’est qu’effectivement on l’a fait au bout d’un trimestre donc au bout d’un trimestre ce qu’on constate c’est que le
Gap de valorisation qu’on observait par rapport au moyen historique il est peu ou pro comblé et que du coup on se dit bah finalement qu’est-ce qui va rester comme motif de poursuite de la hausse à partir de maintenant alors on peut en trouver plusieurs du point de vue macro c’est
Dire bah finalement si on a une macro qui s’améliore on pourrait avoir une révision à la hausse des des des résultats d’entreprise alors c’est pas forcément évident aujourd’hui quand on voit une situation relativement incertaine sans doute pour la partie américaine où on voit qu’effectivement on a déjà une révision à la hausse des
Perspectives de croissance pour le PIB c’est quand même pas neutre pour les actions européennes hein c’est c’est peu ouprou 25 à 30 % du chiffre d’affaires des sociétés européennes en agrégé c’est plus pour certains secteurs euh donc ça ça peut être un moteur euh on a on a
Toujours les dividendes qui vont être payées qui sont qui vont être importants les rachats d’action ce qu’on a vu au moment de la au moment de la publication des résultat annuel c’est qu’on avait fortement on avait quand même nombreux de nombreuses annonces de rachat d’action et ça c’est quand même un
Soutien et enfin il y a le multiple le multiple il va être dépendant de la politique monétaire si effectivement on envisage une baisse de taux qui pourrait démarrer alors moi je suis pas économiste d’ici la fin du printempsici printemps on pourrait peut-être justifier d’avoir une petite expansion
De multiple mais c’est vrai que quand on commence à jouer sur les expansions de multiples ça devient quand même un peu plus compliqué quand on regarde maintenant l’économie on a fait plusieurs meetings de société ces derniers jours on a quand même la sensation que oui on a vu une améoration au au premier
Trimestre la difficulté c’est de comprendre la nature de cette amélioration ce matin j’étais avec une société de chimie donc qui disait oui effectivement on a l’impression qu’on arrive à la fin du déstockage donc on comprend bien pourquoi il y a une amélioration c’estàdire que au cours de l’année dernière et du premier trimestre
On a fait du déstockage pour pour pour servir des les ventes donc maintenant les stocks sont vides donc il faut réaligner la production avec avec avec les ventes et donc qu’elle peut rien que ça ça ça provoque une remontée de c’est de la production bien sûr c’est c’est de la
Production la question c’est est-ce que derrière il y a réellement un redémarrage de la demande qui pourrait justifier d’avoir une accélération et c’est là où euh la réponse elle est moins claire c’est dire pour l’instant on r ligne est-ce que derrière il y a vraiment un redémarrage de la demande
Finale et je pense que ça al ça c’est peut-être que l’économiste pourra nous le dire mais mais mais c’est là où on se dit bon on verra un peu au au Q2 et et plus plus certainement au H2 voir véritablement s’il y a cette reprise on
Voit quand même qu’il y a des secteurs je pense notamment au secteur des semionducteurs où on voit que la reprise elle ne cesse d’être poussée donc il y a un peu un pie de se dire la reprise elle arrive au H2 et puis tout va bien pour
L’instant moi ce que nous disent les entreprises c’est que voilà elle manque encore de signaux que la reprise elle est vraiment là ouais comment vous résumez ce premier trimestre qu’est-ce qui vous a intéressé dans ce premier trimestre boursier notamment Benoît enfin l’ensemble du spectre des des marchés je regardais encore une fois ce
Qui a fait la hausse en Europe alors bon il y a la tech mais la tech elle est leader un peu partout dans le monde aujourd’hui mais derrière comme le disait Gill c’est finance enfin c’est banque assurance auto industrie médiia ça c’est les secteurs qui surperformment
En Europe depuis le le début de l’année contre des secteurs alors plutôt très défensifs qui sont en retard ou très en retard comme les télécoms la santé l’alimentaire et les boissons ou encore les services aux collectivités intéressant parce qu’on a encore une fois je le disais intuitivement avec la
Tonie de la croissance économique qu’on a en zone euro c’est pas évident de se dire tiens c’est les banques et l’industrie qui ont tiré les marchés européens non clairement c’était pas évident euh mais bon c’est évidemment des des trimestres très sympathiques on on voit bien que ce rythme là il va être
Forcément très difficile à à tenir on peut pas le prolonger hein sur les trimestres à venir euh il y a eu des anticipations sur les marchés de soutien de la croissance et de redémarrage on a vu on disait tout à l’heure le cette espèce de faux départ sur les petit
Capitalisation en fin d’année euh et cette idée de de redémarrage cyclique avec une B au directeur qui qui n’arrive pas aussi vite mais qui n’a pas inquiété outre mesure les marchés puisqu’en fait je pense qu’il y a aussi l’idée dans les dans les marchés de se dire mais de
Toute façon s’il y a un ralentissement un tout petit peu trop fort on aura toujours les banques central contenu des niveaux de taux directeur qui seront là donc il y a aussi ça quià jouer et qui fait qu’en fait ce ce premier trimestre s’est bien passé après on va rentrer
Dans cette phase probablement un peu plus compliquée mais on vient de le on vient de l’énoncer où il faut du il faut dur alors ça ve pas dire que les les résultats étaient pas dant il é ils étaient bon hein c’est plutôt cette ha elle est pas elle est pas c’est pas une
Anomalie hein mais il faut continuer à délivrer ça va devenir de plus en plus compliqué hein donc là on va rentrer probablement dans une phase un tout petit peu plus d’incertitude euh où on peut pas on peut pas tirer euh tirer cette progression de la même manière euh
D’autant plus que les banques centrales on on l’a dit vont délivrer cour en juin mais ils vont délivrer à mon sens à minima ouais hein euh pas pour relancer elles vont délivrer pour probablement rassurer temporiser un peu euh aux États-Unis hein il vous aura pas échapper que c’est une année électorale
Ça fausse probablement un tout petit peu le débat prendre le risque d’un ralentissement plus fort aux États-Unis parce qu’on maintient les taux directeur c’est probablement pas quelque chose que une responsabilité que la Réserve fédérale a envie de porter pour le moment donc on va un peu délivrer ça
Donnera ça permettra de gagner un peu de temps ça donnera pas forcément suffisamment de de de force pour poursuivre la la tendance mais ça permettra de temporiser sur les marchés actions probablement ouais quelques baisses de taux suffisent pas à à lancer ou à redynamiser notamment en zone euro
Une croissance à tone depuis un an et plus maintenant oui alors en zone euro quand même ce qui est intéressant alors un vous l’avez signalé on a quand même surperformé c’est quand même c’est quand même important et même si on prend depuis les points bas d’octobre euh l’Europe est parfaitement en ligne avec
Le pleuton he enfin je veux dire c’est entre + 25 et + 30 et l’Europe se situe parfaitement dans cette zone elle est pas décrochée par rapport au Nasdaq sur cette séquence là non non on a on a on a aussi nos champions c’est c’est bon de
Le le voir et puis c’est vrai que quand on regarde les indicateurs en zone euro on a quand même quelques retournements positifs sur les PMI et cetera qui donnent plutôt une petite avance de phase alors on était aussi en cycle économique un peu en avance sur le ralentissement bon c’est c’est c’est
Souvent le cas hein on a souvent tendance à être un peu plus en en ralentissement fort que les États-Unis mais il y a il y a quelques signes qui sont positifs qui permettent de dire qu’on peut encore bien se comporter en comparaison avec le le le marché américain Christophe comment vous
Regardez alors cette situation de marché par rapport aux attentes qu’on peut avoir sur les banques centrales désormais et est-ce que pour le les performances du du 2e trimestre est-ce que oui ce qui va compter c’est d’avoir des banques centrales qui délivrent et qu’est-ce qu’elles sont prêtes à délivrer aujourd’hui on sort d’une
Séquence de communication lourde chargée intense avec les meetings du du mois de mars est-ce qu’il y a un biais d’oviche un peu global qui émerge et qu’est-ce qu’on attend et qu’est-ce qu’il faut attendre des baisses de taux qui sont signalées toujours par les principales banques centrales alors sur le le côté
Marché je pense que le le reflet par rapport à la macro c’est surtout d’écarter les risques de récession récession aux États-Unis d’une bar qui est complètement balayée et sur la zone euro on pouvait se poser aussi la question d’une récession technique ou même voir un peu plus et la vision
Aujourd’hui c’est plus celle d’une stabilisation déjà par rapport à ces deux zoneslà et même le le gros changement j’ai envie de dire par rapport il a 2 3 mois c’est la perspective de croissance mondiale puisque les marchés reflètent essentiellement euh l’activité globale et nous on est plutôt à se dire qu’on va
Finalement faire 3 % l’année dernière c’était 3,1 donc le ralentissement est extrêmement limité alors qu’on on sera pas sous les 2 % quoi non mais à un moment c’était ça fait 2 ans que le le on chasse le signal de de récession et cetera à un moment on se demandait si la
Croissance mondiale passerait pas sous les 2 et demi sous les deux ce sera pas le cas ce sera pas le cas puce qu’on voit très bien que les États-Unis feront plus de 2 % alors que à la fin du TK tout le monde se disait s’il font et
Demi c’est un miracle ouais on a des zones finalement qui peuvent aussi surperformer on voit les premières données statistiques sur la Chine janvier février ben on voit une accélération essentiellement par une politique fiscale expansionniste donc c’est un petit peu la surprise donc encore une surprise positive il y a des
Zones qui performment très bien comme par exemple l’Inde aussi donc on a eu tout un tas d’un point de vue déjà économique tout un tas de surprises plutôt positives de révision à la hausse et donc une idée que finalement la croissance sous-jacente ok la thématique reste le ralentissement mais c’est pas
Aussi pire que certains pouvait le dire aujourd’hui donc c’est plus une balance de risque reflète le marché je pense maintenant sur les taux d’intérêts dans cet environnement là il y a aussi un repricing c’est-à-dire qu’on s’attendait à peut-être 4 C baisse de taux d’intérêt aux États-Unis bah finalement ce sera peut-être trois voir
Que deux côté européen c’est différent parce que bah la tendance en fait le momentum macro est différent sur l’année dernière si on regarde en séquentiel l’urope fait quasiment zéro tous les trimestre donc on a une tendance chou chon plus faible on a une inflation qui a baissé beaucoup plus vite qu’X
États-Unis qui pourrait être à 2 % en a et même sous les 2 % en fait si on regarde les forward septembre ou octobre donc déjà une marge de manœuvre pour délivrer qui est oui bien plus large que la f aujourd’hui la fê la question c’est
Plus se dire est-ce qu’on fait 2 et demi au T3 avant que ça reparte au T4 donc côté première baisse de taux on peut se dire oui aux États-Unis il vont le faire en joint mais à mon avis plus pour des raisons électorale que macro continuer sur ce tempo c’est possible
Parce que le faire trop proche de l’élection c’est c’est quelque chose qu’ils ne veulent pas je pense qu’il y a ce côté-là aussi un risque de trouble qu’ils ne veulent pas mettre dans le je pense que ça rentre en ligne de compte et l’idée c’est de se garantir un H2 où
La croissance économique finalement reste plus ou moins stable au moment des élections donc je rejoins tout à fait euh votre opinion là-dessus maintenant euh côté BCE c’est beaucoup plus facile puisque croissance jaacente faible inflation faible salair qui ont semblablement fait un pic donc ils ont un boulevard pour en faire une en joint
Et peut-être trois ou à minima on va dire deux supplémentaires sur la deuxème partie 2024 la BCE est programmé pour faire plus de baisse de taux que la faite cette année techniquement parlant si on regarde les données macroéconomiques oui maintenant c’est la BCE est plus en caractère voilà de réaction que d’anticipation s’ils
Étaient en anticipation le fer probablement en avril mais ce qui semble pas être le le consensus aujourd’hui maintenant pour les marchés ce qui va être intéressant à partir de je pense de cet été c’est plus ce qui se passe en 2024 c’est qu’est-ce qui va se passer en
2025 et la balance des risques sur l’inflation elle est quand même en train de se réorienter vers un redémarrage du aux États-Unis à partir du T4 d’accord donc c’est là où on peut rester encore dans une phase plutôt positive au T2 mais je pense qu’à partir sur du T3
C’est là où on commence à regarder 2025 comprend c’est là où on va se poser des questions et en plus la la seule vraie question qu’il faut se poser je pense cette année c’est qu’est-ce qui se passe le 5 novembre jour des élections américaines parcei beaucoup peut changer
Effectivement à partir du 5 novembre et vous dites à ce stade il y a quand même un risque de résurgence de l’inflation américaine du moins aux États-Unis notamment du moins aux États-Unis j’entends effectivementon que on n pas forcément en Europe d’cord d’accord donc le problème c’est pas de savoir si la fête
Va baisser ses taux cette année une fois deux fois à partir du du mois de juin c’est plutôt les trois baisses de taux qui sont encore pricé pour 2025 voilà je pense que le vrai problème cet été quand on va se projeter c’est bon bah finalement en 2025 qu’est-ce qu’ils vont
Faire après il y a une condition aussi sous-jacante c’est le bilan de la Fed qui sont censés la vitesse de réduction du bilan est censée aussi changer donc ce qui peut être un choc accommodant et on se dit s’il font trois baisses de taux cette année qui potentiellement
Arrêtent de réduire euh bah la la taille du bilan sur la partie trésure h quelle est la marge de manœuvre pour 2025 dans un monde où bah les prix immobiliers sont déjà au plus ha historique ouais erreur qu’ils ont fait en 2021 est-ce qu’ils vont la reproduire 2025 donc il y
A un petit risque de jouer avec le feu là pour 2025 pour 2025 cl ouais euh comment vous imaginer le la réaction de marché s’il y a des baisses de taux notamment en eurozone Gill euh peut-être plus d’ailleurs en zone euro que qu’aux États-Unis techniquement parlant c’est
Possible nous dit Christoph c’est un bon signal pour le marché ça permet une expansion de multiple oou est-ce que ça amène je sais pas des questionnements différents je pense que ça euh je pense qu’ il va falloir être sélectif suivant les secteurs je pense qu’il y a des secteurs où très
Clairement ça pourrait permettre un redémarrage je pense au pire secteur depuis le début de l’année qu le service collectivitéens je pensais éventuellement éventuellement sur l’immobilier également mais mais sur les services de collectivité ça serait clairement un signal positif parce qu’on voit bien que donc ça peut entraîner une
Rotation quand même pour des secteurs très sensibles à ces variations de taux d’intérêt ration alors le secteur il a aussi souffert des des prix bas de l’électricité mais mais qui sont sans doute pas durables je veux dire on peut pas vouloir on peut pas avoir des prix
Bas de l’électricité quand on a un tel besoin d’investissement il y a quelque chose qui va pas ou alors on est en train d’accumuler un retard dans les installations qui fait qu’à moment donné il y aura un rattrapage donc euh donc je pense qu’il peut y avoir une rotation
Qui pourrait s’opérer euh je pense qu’il peut y avoir aussi une rotation qui pourrait s’opérer au sein des secteurs euh typiquement quand on regarde depuis euh depuis 2 ans les banques françaises ont accumulé euh énormément de retard de performance parce que elles ont un elles
Ont des bilans qui qui sont on va dire un peu plus à Toau fix bah beaucoup de Toau fix oui par rapport aux Italiennes d’autres et C ou bien sûr c’est pas du tout les mêmes performances he et donc effectivement on pourra avoir une rotation au sein du secteur euh donc au
Détriment des des des des banques plus à taux variable en faveur des des banques des tau pourrait favoriser plus le secteur des banques françaises que d’autres B tout permettppage et les banques italiennes qui ont largement bénéficié en fait de cette de ce maintien et cette poursuite des tlons
Alors pas pour ça qu’elle devrait fortement baisser mais en tout cas pourrait arrêter de progresser parce que on est encore sur des progressions depuis le début de l’année qui vont de 20 à 45 % sur les banques italiennes donc c’est c’est quand même assez assez
Massif là où on a un BNP qui fait royal zé donc ça pourrait rééquilibrer un petit peu euh et et après il faut voir si on baisse les taux en réaction dire simplement à une normalisation de l’inflation et en reconnaissance de l’inflation ou c’est parce que en réalité on a une macro qui
Se dégrade si on baisse les taux parce qu’on a une macro qui se dégrade en réalité ça veut dire que les earnings les résultats d’entreprise vont pas tenir et et donc là effectivement ça c’est un peu négatif marché et pour pourquoi les les résultats d’entreprise pourraient ne pas tenir euh bah parce
Que en fait il y a une chose dont on n pas parlé qui est quand même à peu près je parle sous votre contrôle 20 à 25 % du PIB mondial c’est la Chine et la Chine elle a quand même du mal à redémarrer et c’est quand même une composante important elle surprend
Plutôt positivement depuis un ou deux mois les commentaires des entreprises les profits des entreprises chinoises sont même en train de remonter comment les commentaires de Sim les commentaires de simens la semaine dernière c’est un prof warning quand même à cause de la Chine et il semblerait que le message qui est
Fait passer Schneider cet après-midi c’est pour ça qu’elle baissit même ordre c’était un peu du même ordre donc il y a une on attend un redémarrage en Chine mais qui qui qui se fait attendre donc ça ça pourrait aussi avoir un impact ça pourrait aussi avoir un impact
Légèrement négatif donc c’est pour ça qu’après il peut y avoir un peu de discrimination euh maintenant très clairement la baisse des taux après serait favorable sur les les titres de croissance même s’ils sont déjà bien valorisés parce que là pour le coup on pourrait justifier d’avoir des des multiples plus élevés quand on
Reprend encore une fois les tendances du et et surtout pardon pour les Small Cap 4 ça parce que ça des coû de financement donc je pense que le le le retard à l’umage dans les baisses de taux la première classe sous classe d’actif qu’on a qu’on a qu’on a été qui a été
Pénalisé ça a été la partie Small Cap est-ce que comment vous imaginez le marché après les baisses de taux enfin pendant les baisses de taux par rapport à ce qu’on a observé comme tendance sur le le premier trimestre Benoît est-ce qu’il y a effectivement est-ce qu’il y a
Quand même l’idée une rotation qui qui puisse se mettre se mettre en place ou oui c’est dire que ce cycle de de de baisse de Tau directeur à un moment donné il va permettre d’élargir un peu les choix d’investissement ça seraez intéressant parce que pour le moment on
Est quand même un peu coincé sur sur quelques thèmes et ce qui permettrait peut-être de revenir sur des cyclique de qualité mais il faudra que ce cycle il soit bien engagé pour le moment ce qu’on voit c’est ça reste encore timide on disait tout à l’heure la zone euro elle
Aurait besoin techniquement de baisse de Tau directeur jusqu’à maintenant la BCE a toujours été inquiète de l’inflation orté et donc à toujours c’est toujours collé à ce que faisait la Fed sans vouloir vraiment s’en dissocier ce qui est un peu dommage pour pour la zone et c’est probblement une raison tragique on
Vit dans l’ombre de la Fed oui c’est il manque peut-être un une petite impulsion côté BCE sur ce sujet là et ensuite donc vous avez deux phases un cycle de baisse de taux on peut réanticiper à ce moment-là un nouveau cycle de croissance qui s’annonce on revient sur des des
Valeurs de qualité plus sensibl à la croissance et puis ensuite dans un deuxième temps on peut aller enfin aller voir les les les petites des moyens de capitalisation qui pour le moment était vraiment les les grandes perdantes de de ces dernières années donc là il y aura
Il y aura de la valeur mais c’est beaucoup trop tôt encore hein c’est plutôt dans notre à notre à notre idée c’est plutôt fin d’année début d’année prochaine qu’on va enfin pouvoir avoir ce ce vrai faux démarrage qui l’absence d’un faux démarrage qu’on avait vécu en
En fin d’année dernière et qui bon qui était un peu frustrant il faudra plus qu’une baisse de taux pour réattirer des flux et des flux conséquences sur ces thème que vous décrivez y compris sur les Small Cap ouais tout à fait là on l’a pas encore voilà et ça veut dire que
Les les investisseurs auront intérêt à rester peut-être sur des positions de de taux court ou de monétaire pendant quelques temps encore malgré le fait que la rémunération courte va va baisser le sens de l’histoire ou c’est vrai que sur la partie obligataire il va falloir pour
Le moment jouer la qualité on est dans une phase de fragilité économique pas dramatique mais fragilité économique donc on se méfie des émetteurs au rendement les plus risqués hein et on voit bien que là les spread sont énormémenterrés pour des pour des raisons de de flux de liquidité qui qui
Font que ce marché là est maintenant trop cher et d’ailleurs on voit il y a quand même quelques dossiers qui défraent la chronique maintenant de manière régulière sur des défauts de de montant important donc le aid il faut l’éviter revenir sur la qualité c’est de l’État et l’inestment grade de manière
Classique et le monétaire c’est quand même le placement sans volatilité même après deux trois baisses de taux directeur en zone euro on restera sur des taux qui sont au final pas inintéressant et donc ça restera pour des clients que vous pouvez recommander enfin ça peut rester une cente clairement oua pour plusieurs mois
Encore ah on a encore quelques trimestres devant nous visiblement ou ouis s’il faut parler du risque Trump vous nous disz le 5 novembre tout peut changer comment vous y réfléchissez aujourd’hui Christophe alors sur la base des éléments qu’on a bah oui mais non mais qui change toutes les deain faut
Pas me parler du 5 novembre sin non mais je reprends ce que disait le directeur du CBO là hier dans le Financial Times i cite pas Trump il évoque la question des déficits la question de l’endettement américain donc Congressional budget office c’est l’organisme bipartite au sein du Congrès qui est un peu
L’autorité budgétaire indépendante aux États-Unis je sais pas d’ailleurs à quoi on pourrait le comparer chez nous en France je crois pas qu’on est d’organisme de cette manière il y a du contrôle il y a des autorités il y a le le le Conseil constitutionnel et cetera
Mais lui il dit bon évidemment 6 % de déficit pour les 10 prochaines années ce sera à peu près le régime un niveau d’endettement qui va battre des record à horizon 2029 et le risque euh d’un d’un coup d’arrêt à la trus il reprend l’exemple de l’IST trus octobre 2022 qui
Fait des annonces sur ce qu’on appelait à l’époque le mini budget des des actions de de de politique publique de politique budgétaire en l’occurrence c’était quand même baisser les impôts et pas financé en face et et ça il dit que sur un marché américain que aux États-Unis c’est un risque qui peut arriver
Aujourd’hui rien n’est d’impossible aujourd’hui enfin si on prend le le cas plutôt Trump parce que Biden connaît à peu près son son programme son budget la difficulté avec Donald Trump c’est que le programme change toutes les de 3 semaines à peu près à la base c’était quelqu’un qui voulait refaire une
Réduction des taxes pour les entreprises il a très bien compris qu’au sein de son parti beaucoup de gens allaient le lâcher donc il y a quand même les budgets haut qui sont là maintenant pour le 5 novembre la difficulté c’est pas tend de savoir aussi si c’est Trump ou
Pas c’est si c’est Trump combien il aura de sénateurs avec ah oui quel pouvoir il a conè manœuvre sera là donc en terme et je parle uniquement de politique fiscale parce que sa politique fiscale aujourd’hui c’est bon ben je continue à dépenser sur certains secteurs même si
J’arrête de donner des aides à l’Ukraine et cetera mais il y a quand même cette politique de crédit d’impôt qui marche très bien économiquement mais qui entraîne un déficit de 6 % il y a pas de repas gratuit elle est financée par des droits de douane donc AB 100 % sur les véhicules
Chinois qui sont construit au Mexique 60 % sur la Chine donc techniquement dans l’application et la réalisation compliqué à mettre en place si toutes les recettes fiscales sont basées là-dessus à l’exécution ce sera pas 6 % de déficit mais bien plus donc il fa valoir une clarté là-dessus et
Aujourd’hui je pense que le marché sur la partie fiscale américaine c’était est-ce qu’on a shutdown un arrêt du gouvernement ou pas maintenant c’est mis de côté donc je pense les gens vont pas forcément trop regarder cette partie là jusqu’au moment où ils vont avoir le programme définitif de Trump donc ça ce
Sera très intéressant maintenant sur l’élection américaines donc il y a la partie fiscal certes mais a surtout qu’est-ce qu’il va faire d’un point de vue commercial et géopolitique et la réalité c’est que personne ne sait pe imaginer tout ce qu’on veut on a l’effet d’annonce arrêter la guerre en Ukraine
En 24 heures pourquoi pas si admettons qu’il y arrive c’est quand même des chocs multiples sur toute la planète qui sont difficiles à quantifier et sur le commercial s’il applique vraiment une politique restrictive sur la Chine on parle pas de l’Europe mais il faut quand
Même garder en tête qu’en 4 ans il nous a un peu raté je pense que là il nous ratera pas ou l’Inde qui est aussi une puissance qui prend de plus en plus de place j’ai pas j’ai pas creusé encore le sujet des échanges commerciaux ÉtatsUnis
Mais je crois que ça a été un moment cité effectivement il y a aussi département du Trésor avait failli classer le Vietnam en manipulateur de monnaie enf beaucoup de pays qui sont potentiellement à risque et donc les conséquences éventuellement en terme d’inflation apporté aux États-Unis enfin ça fait énormément de questions et ce
Qui fait que aujourd’hui c’est impossible de faire une prévision pour 2025 à tous les niveaux en inflation en croissance tout ce qu’on veut en déficit donc il y a clairement à un moment il va y avoir une bascule et beaucoup de questions beaucoup de scénarios ce sera intéressant de voir la dispersion du
Consensus on va dire à fin octobre 2025 parce que ce sera très très large de de manière générale comment vous expliquer aujourd’hui que le le marché alors est attentif mais ne sanctionne pas tant que ça l’ampleur des déficits alors on parle du sujet américain parce que c’est
L’éléphant dans la pièce mais personne n personne a raté la journée d’hier sur l’annonce du déficit français par exemple non mais je veux dire depuis octobre et je crois que c’était la dégradation dégradation de Fitch le spread a pas bougé voire c’est même plutôt un peu resseré pourquoi le marché
Est aussi bienveillant si je puis dire par rapport à cette situation aujourd’hu alors sur le côté américain c’est très simple ça revient à ce qu’on a dit c’est que la fête sera toujours là et c’est que si elle ralentis aussi sur la partie donc bilan sa réduction sur les
Trésuriies il y aura un effet flux manifeste et on peut aussi se dire que si un effet écart il peut y avoir intervention le trésor peut racheter aussi des obligations puisqu’il a le droit de le faire en 2024 pour la première fois depuis 10 ans donc aux États-Unis jusqu’aux élections je pense
Que personne se pose vraiment de question dit bon il y a quelqu’un qui va toujours intervenir ou voilà pas trop de problème sur la zone euro bon la question voilà il y a certains pays Italie France qui ont un peu dérapé en 2023 après il faut regarder la courbe
Depuis le départ ça c’est autre chose euh je vais pas leur donner d’excuses non plus mais voilà il faut souvenir aussi ce qu’ils ont fait auparavant qui était ah non mais bien sûr non mais les marchés l’oublient pas ça non non mais bien sû que ça je pense queussi derrière
Donc le déficit ils l’ont vu arriver non mais il y a un écart entre le niveau de panique qu’on ressent maisous les Ch un peuial aussi de la la presse française donc c’est tout amplifié négativement et cetera alors que vous prenez un investisseur étranger d’un point de vue extérieur ça pose pas
Plus de problèm que d’habitudeo même ressenti et c’est de se dire bon d’accord est-ce qu’il y a des mesures qui peuvent être mises en place en fait on a devancé on a annoncé les mesures maintenant la question c’est est-ce que finalement sur les montant annoncé combien on va seront réalisés c’est 70 %
80 % mais oui tout le monde a en tête que ce sera pas forcément 100% et maintenant et je terminerai là-dessus vous prenez le déficit budgétaire de la zone euro en agrégé attendu bah c’est 3 % et pas 6 comme aux États-Unis ou ouis ouais c’est l’ampleur des déficits le
Marché reste bienveillant aujourd’hui sur ces questions là oui en France je dirais que la grande chance de la France c’est d’être en zone euro ce qui lui permet on l’a dit de placer sa dette sans aucun problème et puis elle est plutôt très efficace à placer sa dette
La France donc ça c’est plutôt insatisfait site c’est aussi une mal chance par que ça lui a permis aussi de de pas faire d’efforts et de patienter et d’attendre euh ce qui est bon ce qui malheureusement fait que maintenant elle est quand même moins vertueuse l’une des
Moins vertueuses dans dans la zone quand on regarde le spread il y a pas de panique mais il y a quand même une lente de dégradation depuis l’aprèscovid c’est lent euh c’est un mouvement euh qui se fait tranquillement mais qui se fait quand même euh et je pense que de toute
Façon pour revenir à un peu plus de rigueur budgétaire parce qu’il en faut quand même à un moment donné euh ça ne passera que par les marchés c’estd que c’est ça sera bien lesffetau qui qui obligera et qui est en train d’IG c’est moment trust quoi sans forcément reprendre l’amplitude et la
Magnitude de de de de de cet épisode britannique mais oui parce que le bah parce qu’ encore une fois il y a la zone euro on l’a dit hein globalement la zone euro c’est une zone investissable hein donc il y a pas d’inquiétude euh mais le simple phénomène d’avoir des taux plus
Élevés et plus à zéro mais ça oblige à regarder le budget et à voir que le poste de la dette il devient de plus en plus élevé et qu’il faut essayer de réquilibrer tout ça donc ça ça amène à faire des efforts tant mieux si ça se passe comme ça c’estd que
Tant que ça pousse à faire des efforts par par les marchés c’est une bonne chose le jour où les marchés forcent ça devient grave hein donc voilà tant qu’on est dans ce dans ce phénomène là je dirais que il y a pas de pas de tension
Du bras de faer qui compte pas le bras de fer en tant que tel moi je me suis toujours dit le le si l’ est vu comme un super boun de la part des investisseurs globaux du point de vue du rendement tant que l’Allemagne y met pas de dette
On est tranquille quoi le jour où l’Allemagne se met à redonner du papier sans risque au marché plus que ce qu’elle n’a fait jusqu’à présent peut-être que là il y a il y a un vrai arbitrage pour des investisseurs globaux je sais pas ce que vous en pensez que ce
Jourl on aura avancé dans l’intégration europé et bah oui très bien euh si je reprends un peu l’idée des des de de la rotation des des marchés qu’est-ce qui tient pour vous là au premier trimestre les banques par exemple vous avez toujours été positif banque vous l’êtes encore aujourd’hui je
Pense que sur je pense que sur les banques ce ce qu’il faut bien comprendre c’est que on avait eu une détérioration très importante de la rentabilité des banques qui fait qu’elle ne couvrait plus le coût du capital lié à la réglementation à la régulation d’une part et à la baisse des taux qui
Fait que bah il y avait plus d’escence dans le moteur je veux dire les taux d’intérêt c’est l’essence c’est la matière première des banques pour pour pour vivre donc on a eu la réglementation elle est derrière nous les bilans sont renforcés ils ont jamais été aussi importants et aujourd’hui on a des taux
Qui sont qui sont plus élevés et ce qui est intéressant c’est que en discutant avec je discutais avec bancesa il n disit aujourd’hui quand on regarde banc in TESA les marges d’intérêt qu’on génère reste inférieur aurs à ce qu’on pouvait générer en 2006 dans un environnement de taux d’intérêt qui
Était équivalentord et en réalité on voit bien que les taux et c’est bien pour ça qu’il prévoi une amélioration continue malgré une potentielle baisse des taux de la Banque centrale cette année pour 2024 et 2025 parce qu’ils avaient des couvertures en place qui fait qu’en fait on on va continuer à
Avoir une progression sur un sur la marge d’intérêt et donc le point c’est quoi c’est que oui la baisse des taux est pas est pas bonne pour les banques dans l’absolu mais on va pas retourner dans la situation qui prévalait de taux zéro et donc on a retrouvé une
Rentabilité structurelle des banques les banques sont sont des animaux systémiques peut-être même qu’on retrouve un peu de pente aussi ouais et donc elles sont des animaux systémiques il faut qu’ell couv le cou du capital ou alors faut inventer un autre modèle faut inventer quoi faut inventter un autre
Modèle il existe ça s’appelle le modèle allemand c’està dire qu’en fait les banques allemand les ban les banques allemandes quoi c’est c’est un truc concepttu c’est pas un po c’est pas un point fort de l’Allemagne les banques c’est-à-dire qu’en fait effectivement c’est porté par la collectivité oui et
Donc mais à partir m on veut des banques côté il faut accepter qu’à couvre le coût du capital donc ce qui pourrait peser sur les sur sur les banques c’est si on avait une une dégradation rapide de l’économie qui feraitonter le coût du risque or de ce point de
Vue-l c’est pas ce c’est pas ce qu’on prévoit et donc elles sont tout à fait en mesure d’absorber une remontée légère du coup du risque d’autant qu’en fait elles ont toutes les toutes les provisions qu’elles avaient pu générer pendant la période covid en réalité elles les ont pas complètement relâché
Donc elles peuvent même l’absorber donc on a on a des animaux qui sont qui restent cycliqu qui restent systémiqu et donc qui méritent beaucoup de prudence he parce que c’est de l’effet de levier sur l’économie mais qui à court terme néanmoins ont la capacité à payer des
Dividendes de l’ordre de 10 % et de racheter des titres ouais donc ça fait des rendements dans un environnement où on s’attend quand même à des des rendements des marchés actions quand même relativement limités ou plus contenus ça reste intéressant et on a toujours des des valorisations qui
Reflètent pas des rentabilités qui cou ouis il reste encore un de Mar j’avais en tête le chiffre un peu global 2024 du du retour qui sera fait aux actionnaires soit à travers les dividendes soit à travers les les rachats d’action c’est 120 milliards d’euros hein pour les
Banques de l’eurozone donc et c’est un montant agrégé qui est supérieur à ce qui était retourné bah au pic 2006 2007 donc donc voilà donc voilà il reste encore un peu de place ouais les les secteurs un peu à la traain comment vous les regardz aujourd’hui euh Benoît alors
Je citais bon les Télécom la santé c’est quand même des grosses secteur food and beverage c’est l’alimentaire c’est les biens de consommation quotidien c’est vrai que c’est des secteurs qui font pas grand chose aujourd’hui et qui sont en plus qualifiés de secteurs plutôt défensifs oui oui c’est c’est là qu’on
On attend un peu ce ce fameux changement de cycle qui va arriver hein de toute façon nobstant toutes les toutes les les inquiétudes qu’on peut avoir on va l’avoir à un moment donné et qui va permettre de vraiment avoir cette rotation dans les portefeuilles euh et cette diversification dont on a besoin
Quand même un moment donné hein parce qu’on a on a bien les champions américains les les SEP magnifiques les 7 ou 5 d’ailleurs maintenant on a aussi en Europe les granolas avec quelques belles valeurs alors pas exactement les mêmes mais il y a un peu de techno il y a un
Peu de santé c’est plus diversifié en Europe quoi c’est plus diversifié mais mais ça mériterait quand même à un moment donné de d’être un peu plus large et là il faut vraiment un changement de cycle là on est un peu en phase de fin de cycle transition quo il faut qu’on
Passe à autre chose et après il y aura vraiment des des thématiques de croissance qui vontevenir parce qu’on va embrayer un nouveau cycle qui sera un cycle porté par l’investissement et qui aura vraiment de la valeur pour les investisseurs et là là là ça sera assez intéressant sur les marchés taux et
Crédit alors on parle beaucoup de de de la tech du thème de l’IA du risque de surchauffe voilà Nvidia reste quand même la star de ce premier trimestre évidemment sur les marchés de taux et crédit est-ce qu’il y a des poches de surchauffe est-ce qu’il y a des la
Complaisance qui a pu s’installer ici et là à certains endroits ben il y a eu il y a eu un effet liquidité et recherche de rendement sur la partie euh avec maintenant des spreads qui sont probablement un peu trop serrés ça c’est clair euh et donc et donc il faut quand
Même revenir sur des choses un peu plus un peu plus sûres on on bénéficie quand même maintenant on revient maintenant dans un environnement de taux normalisé et donc revenir sur de la qualité alors ça fait 10 ans qu’on le faisait plus mais revenir sur de la qualité ça a de
La valeur parce que ça abaisse la volatilité des portefeuille et ça donne som tout des rendements hein dans une inflation notamment en zone euro qui a quand même baissé ça donne des rendement positif en réel donc ça ça ça a vraiment de l’intérêt et ça permet de compléter
Son portefeuille par rapport à une poche action qu’on peut qu’on peut avoir en parallèle un mod devise si on peut Christophe enfin Chine et Japon euh comment on explique alors la la boogge sort des taux négatifs mais le yen baisse encore plus et côté chinois
Il y a un malaise parce que j’ai quand même l’impression que le le Yan justement est peut-être pas assez faible aujourd’hui pour la Chine face notamment un yen très faible dans la région et en même temps en restant un peu accroché au dollar la fermeté du dollar empêche de
Complètement relâcher les choses quoi sur sur la Chine la réalité c’est que ils sont dans une phase quand même de politique monétaire accommodante et ils vont le rester parce que ils ont clairement pas d’inflation même si on a eu un léger rebond c’était plus d’ effet
De base par rapport au nouvel an chinois mais globalement leur inflation Corp est sous les 2 % depuis maintenant plus de 2 ans oui donc c’est extrêmement contrôlé sur l’ensemble de l’année c’est attendu à moins de 1 % pour l’inflation globale alors que l’objectif officiel c’est 3 %
Donc si on veut raccorder les deux bah il faut une politique monétaire à un moment qui soit un peu plus accommodante je pense à très court terme ça passe par des injections de liquidité et pas par une baisse de taux essentiellement parce que la FA met du temps
Aussi je pense que le le PEG quand même par rapport à l’ très important pour eu bah donc c’est ce qui les empêche d’y aller encore plus fort maintenant ils cible les mouvements ils baissent les taux sur les euh emprunts hypothécaires on peut avoir un relâchement des réserves obligatoires des banques mais
On sent très clairement que d’un point de vue monétaire et dans cette logique aussi d’avoir cette croissance de 5 % et faudra faire quand même des efforts au-delà du fiscal ils sont dans une phase accommodante qui va être encore plus donc très clairement c’est bah c’est une cible dans la zone
Donc ça c’était déjà clairement identifié c’est un mouvement continu là où il aurait pu avoir une surprise c’est sur le yen mais dans les fait le relèvement taux d’intérêt il était quand même peut-être pas pricé par la majorité des économistes mais bien par attendu oui donc la question c’était pas est-ce
Qu’il relève les taux de toute manière si c’était pas en mars ça aurait été en avril cétait don de maintenant la question c’est plus qu’est-ce qu’ils font après et ce qui a surpris réellement c’était de pas donné de guidance tout le monde s’attendait à avoir une ébauche ou quelque chose on
L’a pas eu et le discours c’est ok on arrête les achat de TF mais ils avaient déjà ridé puis était intervenu deux fois en 12 mois ou quelque chose comme ça euh mais il continueent de racheter des bondes ils ont donné des guidances très claires sur les rachat de bondes et ils
Ont fait même des opérations là-dessus donc on a l’impression que c’est bon on a relevé tout d’ une fois mais tout change mais rien change quoi derrière ben maintenant aujourd’hui le consensus on fait rien juste jusqu’à octobre ouais ais donc ça a pas été un énorme game changer plus dans les anticipations pour
La suite le marché avait déjà jouer à peu de chos près un mois après cette hausse de taux donc il y a pas de vision claire et aujourd’hui tout repose entre guillemets sur la USD donc sur la Fed et la Fed le momentum c’était si baisses de
Taux 5 baisses de taux qu baisses ou oui bien sûr ça a décalé les calendriers de tout le monde quoi donc c’est ce qui fait que bah le dollar finalement se tient relativement bien par rapport à toutes les autres monnaaies qui en plus tout le monde se cale sur la f ouais
Donc tant que on reste dans cette dynamique là on risque d’avoir une tendance qui se poursuit bon ben voilà le monde vit dans l’ombre de la Fed à ce stade à l’issue de ce premier trimestre merci beaucoup messieurs d’avoir été les invités de Planète marché ce soir Gill
Gubou AX benoî Vesco de l’ubac Casset management et Christophe Barau market securities
Mercredi 27 mars 2024, SMART BOURSE reçoit Benoit Vesco (Président, Delubac Asset Management) , Christophe Barraud (Directeur Général de Market Securities Monaco et Chef Economiste et Stratégiste de Market Securities Group, Market Securities) et Gilles Guibout (Responsable des actions européennes, AXA IM)