Le Japon lâche les États-Unis et se range du côté de la Chine. Trump humilié ?
Les choses changent bien plus vite que ce que quiconque aurait pu imaginer. Et voilà qu’une nouvelle vient secouer l’ordre établi, un nouveau coup de maître pour la Chine alors que les alliances mondiales se redessinent à grande vitesse face à la guerre commerciale lancée par Donald Trump. Dans un tournant totalement inattendu, le Japon vient de prendre ses distances avec les États-Unis. Tokyo refuse désormais de se laisser entraîner dans une coalition économique anti-chine menée par Washington. Le Japon veut préserver ses relations commerciales avec Pékin, son plus grand partenaire commercial et surtout une source cruciale de matière première et de biens manufacturés. Même si les États-Unis n’ont encore rien exigé de concret à ce sujet, Tokyo a clairement fait savoir qu’en cas de pression, ses propres intérêts primeront. Et ce n’est pas un signal faible. À plusieurs reprises, le Japon a averti la Chine qu’il ne suivrait pas complètement la ligne américaine sur les restrictions liées aux semi-conducteurs et aux exportations technologiques. Autrement dit, Tokyo prend ses distances avec Washington et dans les faits, il défend la Chine, un véritable séisme diplomatique. Rappelons que le Japon a toujours été un allié stratégique des États-Unis. Le pays accueille aujourd’hui plus de 120 bases militaires américaines, un record mondial hors du territoire US. Mais Trump semble oublier une vérité simple. Dans toute guerre commerciale, chaque pays agit selon son propre intérêt et aucun intérêt rationnel ne pousse aujourd’hui à couper les ponts avec la Chine qui, faut-il le rappeler, est le premier partenaire commercial de plus de 120 pays à travers le monde. Et c’est ici que les choses deviennent franchement explosives car le Japon, profondément ébranlé par le traitement reçu de l’administration Trump, brise aujourd’hui l’un de ses tabous culturels les plus ancrés, celui du silence diplomatique. Des responsables japonais prennent désormais la parole ouvertement pour dénoncer l’absurdité des négociations menées par Washington. Leur message est limpide. Ce que les États-Unis exige est tout simplement déraisonnable. leur logique incohérente, leur position instable, changeante, presque improvisée et le Japon n’y va pas par quatre chemin. Selon un haut responsable, négocier avec Trump sait ni plus ni moins que se faire extorquer. Donner l’impression d’un compromis, c’est selon lui instaurer un dangereux précédent. Car lorsqu’on cède à un maître chanteur, on l’encourage simplement à recommencer. Oui, vous avez bien entendu, l’un des alliés les plus fidèles des États-Unis accuse l’administration américaine de comportement mafieux du jamais vu. Et ce n’est pas fini. Plus d’une semaine après la rencontre entre Tokyo et Trump, aucun accord n’a été signé. Pourquoi ? Parce que même du côté japonais, on ne comprend pas ce que veut réellement Washington. L’impasse est total. Même les journalistes conservateurs commencent à lâcher prise. Charles Gasparino de Fox News n’y va pas de main morte. Selon lui, le vrai problème c’est que les États-Unis changent constamment de demande sans jamais définir clairement leurs objectifs. Résultat, l’absence d’accord pèse lourdement sur le dollar et fait bondir les rendements obligataires. Mais le plus hallucinant reste à venir. Le gouvernement japonais ne se contente pas de critiquer les méthodes de négociation de Trump. Il dénonce désormais l’incompétence flagrante de son équipe. Selon Tokyo, l’administration américaine ne sait même pas faire des calculs de base. Oui, vous avez bien entendu. Les équations qu’elle utilise pour justifier les tarifs douaniers sont, je cite, complètement absurdes. Même un élève en difficulté obtiendrait un zéro avec ce genre de calcul. Et ce n’est pas une simple pique, c’est une accusation fondée car Trump n’écoute pas les arguments logiques et face à un adversaire irrationnel selon les Japonais, il ne faut surtout pas faire preuve de compassion car cela enverrait un très mauvais signal. Alors revenons un instant à un moment clé, le 2 avril, que Trump a baptisé sa journée de libération tarifaire. Ce jour-là, il se pavane sur la pelouse de la Maison Blanche, exhibant un panneau annonçant une nouvelle vague de tarif contre le monde entier. Mais selon le journaliste James Sotovi, ses soi-disants tarifs reposent sur une méthode de calcul grottesque. Trump aurait tout simplement pris le déficit commercial américain avec un pays et l’aurait divisé par le montant total des exportations de ce pays vers les États-Unis. Prenons l’exemple de l’Indonésie, un déficit de 17,9 milliards de dollars face à 28 milliards d’exportation vers les USA. Résultat, Trump affirme que l’Indonésie impose un tarif de 64 % aux États-Unis. Une pure fiction. En réalité, pour calculer un tarif effectif, il faut prendre le montant total des droits de douanes perçus sur les importations d’un pays et le diviser par la valeur totale de ces importations. Si par exemple les États-Unis importent 28 milliards de dollars de biens depuis l’Indonésie et qu’ils perçoivent 560 millions en droits de douane, alors le vrai taux de tarif est de 2 %. 2 % et pas 64 %. Ce que Trump prétend est totalement faux. Il confond déficit commercial et fiscalité douanière. Et c’est précisément cette méconnaissance qui bloque toute avancée avec le Japon. Car à la Maison Blanche, ceux qui dirigent les négociations ne comprennent même pas les bases de l’économie. Mais cette confusion généralisée ne se limite pas aux relations internationales. Elle commence à exploser en plein cœur des États-Unis. Selon un tout nouveau sondage ABC, près des 2/ tiers des Américains désapprouvent désormais les tarifs douaniers imposés par Trump. Pire encore, plus de 60 et 11 % pensent que ces mesures vont alimenter l’inflation et faire flamber les prix pour le consommateur moyen. Petit à petit, le vernis craque. L’image d’un Trump maître de l’économie s’effondre. La preuve, il vient de battre un triste record, celui de la pire côte de popularité après 100 jours de présidence depuis 80 ans. Mais ce qui inquiète le plus son entourage, c’est la perception grandissante d’un effondrement économique à venir. Selon la même enquête, 62 % des Américains affirment que les prix des biens de consommation sont en forte hausse et 72 % estiment que les politiques économiques de Trump mèneront droit à une récession. Une majorité de la population ne croit plus en sa promesse de redresser l’économie. Et sur le terrain, cette désillusion commence à se faire ressentir dans tous les foyers américains. Et c’est là que la situation devient encore plus absurde pour les États-Unis. Car pendant que Trump essaie de freiner la Chine, il ne fait en réalité que l’avantager. La Chine est aujourd’hui le premier fournisseur mondial de matières premières, de pièces détachées et de composants essentiels à la fabrication de produits finis. Même si un produit n’est pas assemblé en Chine, il y a de fortes chances qu’il contiennent des éléments venus de Chine. Partout dans le monde, en Europe, en Asie du Sud-Est, en Amérique latine, les usines achètent ses composants au prix du marché. Mais les usines américaines, elles à cause des tarifs de Trump, doivent payer ces mêmes matériaux avec une surtaxe de 145 %. Résultat, ces droits de douane ne pénalisent pas la Chine, ils étranglent les entreprises américaines. Pendant que le reste du monde produit à bas coup, les usines américaines, elles voient leur coûts exploser, leur marges s’effondrent et les emplois manufacturiers continuent de partir à l’étranger. Ces tarifs sont devenus une blessure auto-infligée à l’industrie américaine. Et si vous cherchez un indicateur pour mesurer l’ampleur du désastre, regardez du côté de l’indice manufacturier de la réserve fédérale de Philadelphie. En avril, il s’est effondré à – 26,4 contre + 12,5 le mois précédent alors que les analystes attendaiit un modeste + 2,2. Un véritable crash, l’un des pires chiffres jamais enregistrés. Pourquoi ? Parce qu’on ne peut pas relancer l’industrie sans matière première. Et selon la National Association of Manufacturers, 56 % des importations américaines sont des intrans industriels. Autrement dit, si vous taxez ces intrans ou si vous les rendez plus difficiles à obtenir, vous ne relancez pas l’industrie, vous l’étouffez. Et c’est ici que l’ironie atteint son comble. Car si l’on regarde les chiffres officiels du Bureau of Labor Statistics des États-Unis, c’est Joe Biden et non Donald Trump qui détient le record du plus grand nombre d’emplois manufacturiers créés par un président américain au cours des 50 dernières années. Soyons clair, les politiques de Trump ne ramèneront pas les emplois industriels en Amérique. Et cette réalité est aujourd’hui soulignée par certaines des voies les plus influentes du pays. a commencé par Ken Griffin, le milliardaire et fondateur du fond d’investissement Citadelle. Selon lui, la stratégie tarifaire de Trump met carrément en péril l’image des États-Unis dans le monde. Griffin salue les intentions de Trump, redonner de la dignité aux travailleurs américains, mais il est formel. Ce rêve ne se réalisera pas. Ses emplois ne reviendront pas en Amérique. Et il marque un point. Avec un taux de chômage à 4 %, les États-Unis ont déjà tourné la page. L’économie américaine évolue, elle ne revient pas en arrière. Mais pendant que les États-Unis s’isolent, d’autres pays attirent les investisseurs. Et aujourd’hui, le Canada se positionne en première ligne. Sous la direction du nouveau Premier ministre Marc Carnet, le pays affiche une vision claire, pas de tarif punitif, un accès fluide aux matières premières et un environnement propice à l’implantation industrielle. En clair, pendant que Trump dresse des murs, le Canada ouvre des portes. Vous l’aurez compris, dans cette nouvelle guerre commerciale, les cartes sont totalement rebattu. Le Japon prend ses distances avec Washington. Les erreurs de Trump isolent les États-Unis et la Chine plus que jamais renforce sa position stratégique. Breaking news, un coup de tonner géopolitique que personne n’avait vraiment vu venir. La Chine vient tout juste de bloquer l’accès des États-Unis à des médicaments essentiels. Dans un geste aussi brutal qu’inattendu, Pékin a suspendu l’exportation vers les États-Unis de matière premières et de médicaments finis cruciaux. Résultat, le système de santé américain, déjà fragile, bascule en mode crise totale pendant des années. L’opinion publique américaine s’est bercé de l’illusion d’une autosuffisance sanitaire. Mais dans l’ombre entre Washington et les géants de la pharma, une dépendance massive envers la Chine s’est installée. Une erreur stratégique monumentale, aujourd’hui payée au prix fort. Les États-Unis dépendent massivement de la Chine pour leurs médicaments essentiels, leurs antibiotiques et même certains composants vitaux. Et cette dépendance stratégique longtemps ignorée est aujourd’hui en train de se retourner contre eux. Dans cette vidéo, je vais vous expliquer ce qu’il s’est passé, pourquoi la Chine a pris cette décision, comment on en est arrivé là et surtout ce que cela signifie réellement pour l’avenir du système de santé américain. Spoiler, on parle d’un effondrement pur et simple de toute la chaîne d’approvisionnement médical. Et le pire dans tout ça, c’était parfaitement évitable. Pendant des décennies, les laboratoires américains ont tranquillement délocalisé leur production pharmaceutique vers la Chine. Pourquoi ? Main d’œuvre bon marché, normes environnementales plus souples et profit explosifs à la clé. Tout le monde fermait les yeux. Les PDG encaissaiient leur bonus. Les politiciens récoltaient leur contribution de campagne. Dès le milieu des années 2000, la Chine avait déjà pris le contrôle de la production mondiale d’Apay. ces fameux ingrédients actifs indispensables à la fabrication des médicaments. Sans ces API, peu importe le niveau des laboratoires américains, même les traitements les plus basiques deviennent impossibles à produire. Les chiffres donnent le vertige. La Chine contrôle près de 80 % de l’offre mondiale pour certains ingrédients clés utilisés dans les antibiotiques, les médicaments contre l’hypertension ou même des vitamines de base. Et pourtant, à Washington, presque personne ne s’en est soucié. Pendant des années, on a supposé que le commerce mondial resterait pacifique et fluide comme si cette situation allait durer éternellement. Avant la crise actuelle, la relation entre les laboratoires américains et la Chine était loin d’être conflictuelle. Elle était mutuellement avantageuse. Dans les années 1990 et 2000, les lobby pharmaceutiques américains ont tout fait pour accéder plus largement au marché chinois. Avec ses plus d’un milliard d’habitants, ses revenus en hausse et une demande croissante de soins modernes, la Chine apparaissait comme l’Eldorado du secteur. Des géants comme Pfizer, Merk ou Johnson et Johnson se sont rués sur cette opportunité. Ils ont noué des partenariats, installé des laboratoires de recherche et lancé des co-entreprises avec des sociétés chinoises. Les laboratoires américains fournissaient les médicaments de marque à prise élevée pendant que les entreprises chinoises fabriquaient les génériques et les ingrédients de base. Sur le papier, c’était un partenariat gagnant gagnant. En apparence seulement en réalité, pendant que les entreprises américaines se concentraient sur la vente de médicaments haut de gamme dans les grandes villes chinois, elles ont totalement ignoré le risque à long terme, celui de devenir dépendante. Avec le temps, les laboratoires chinois ont non seulement perfectionné la production d’API, ces ingrédients pharmaceutiques actifs, mais ils ont aussi pris le contrôle de la chaîne d’approvisionnement mondial. Et pour le consommateur américain moyen, cette dépendance est restée invisible. Pourquoi ? Parce que les médicaments portaient toujours des noms de marques bien connues aux États-Unis, même si leurs composants venaient de l’autre bout du monde. Et comme les profits exploses sphères n’avait intérêt à remettre ce modèle en question. Mais aujourd’hui, avec la décision de la Chine de bloquer ses exportations pharmaceutiques, cette confiance aveugle est devenue une faute stratégique majeure. Ce qui paraissait être une manœuvre commerciale brillante menace désormais les fondations mêmes du système de santé américain. Car derrière les discours et les miracles de la médecine moderne, il y a une vérité crue. Le moteur réel de Big Pharma, ce sont quelques produits vedettes qui génèrent des profits colossaux. Ce sont des traitements contre le cancer, des médicaments pour le cholestérol, de l’insuline, des antibiotiques, des vaccins. Ces produits seuls rapportent des dizaines de milliards de dollars chaque année aux géants de la pharma. Mais voici le secret que personne ne veut entendre. Une grande partie de la chaîne d’approvisionnement de ces médicaments ultra rentables dépend directement de la Chine. Prenons les traitements contre le cancer. De nombreuses chimiothérapies de pointe reposent sur des ingrédients actifs quasiment tous produits dans des usines chinoises. Sans ces matières premières, les entreprises américaines sont tout simplement incapables de répondre à la demande, même si elles continuent à faire payer des sommes astronomiques aux patients et aux assurances. Autre exemple, l’insuline, un traitement vieux de plus d’un siècle. Pourtant, des sociétés comme Elililiili ou Novo Nordisk en tirent toujours d’immenses profits en contrôlant étroitement sa distribution. Mais là encore, une part importante de la production repose sur des intermédiaires chimiques fabriqués en Chine, ce qui permet aux industriels de réduire leur coût sans jamais faire baisser les prix pour les patients américains. Et que dire des antibiotiques ? Probablement les médicaments les plus cruciaux de tous. Aujourd’hui, la quasi-ttalité des pilules utilisées contre les infections aux États-Unis comporte au moins un maillon chinois dans sa fabrication. Le dernier site de production de pénicilline aux États-Unis a fermé depuis des années, incapable de rivaliser avec les prix chinois. Même les vaccins, souvent produits localement pour des raisons de sécurité, dépendent encore massivement de la Chine pour certains composants clés comme les adjuvant ou les conservateurs. Au lieu d’investir dans une chaîne d’approvisionnement robuste aux États-Unis, les laboratoires ont préféré maximiser les profits en s’appuyant sur la Chine, tout en maintenant des prix exorbitants sur le marché américain. Une stratégie qui a enrichire et dirigeants, mais qui laisse aujourd’hui tout le système à la mercie d’un seul fournisseur étranger. Et maintenant, le château de carte s’effondre. Sous la pression des sanctions, des tarifs douaniers et d’une hostilité politique grandissante, en grande partie exacerbée sous la présidence de Donald Trump, la Chine a décidé d’utiliser l’une de ses armes économiques les plus puissantes, sa domination pharmaceutique. Grâce à une série de nouvelles réglementations et de contrôles d’exportation, Pékin a réussi à geler les livraisons de matière première destinée aux États-Unis. Les usines, autrefois dédiées à approvisionner les laboratoires américains, se concentrent désormais sur les besoins nationaux où redirigent leurs produits vers les pays du Brick et d’autres partenaires jugés plus fiables. Plutôt que d’annoncer une interdiction brutale, la Chine a opté pour une stratégie beaucoup plus fine. Elle multiplie les inspections, ralentit les procédures douanières jusqu’à paralyser complètement les expéditions. Un coup de maître légal sur le papier, défendable diplomatiquement et dévastateur dans les faits. Les conséquences sont déjà palpables. Les antibiotiques manquent cruellement, notamment les plus courants comme l’amoxicine ou laitromicine. Les hôpitaux commencent à rationner les traitements anticancéreux, certains médicaments devenant tout simplement inaccessibles. Même l’insuline, essentielle pour des millions de diabétiques américains devient de plus en plus difficile à obtenir et quand elle est disponible, son prix s’envole. La pénurie touche toutes les catégories de médicaments, des antidouleurs au traitement contre l’hypertension en passant par les antidépresseurs. Le maillon faible de chaque chaîne d’approvisionnement mène invariablement à la Chine. Les premiers à en souffrir, les hôpitaux ruraux, déjà exang incapables d’absorber l’explosion des coûts. Les pharmacies alertent leurs patients sur des risques de rupture de stock. Les urgences se préparent à une vague de complications liées à des infections ou des maladies chroniques non traitées. Le système de santé américain, déjà fragilisé par les pénuries de personnel et la flambée des coûts, fait désormais face à un cauchemar absolu, des pénuries de médicaments à tous les niveaux. Les médecins devront bientôt prendre des décisions impossibles, qui recevra un traitement et qui n’en aura pas. Et pour des millions d’Américains qui vivent au jour le jour, manquer quelques doses de médicaments essentiels peut être une question de vie ou de mort. Soyons clairs, les Américains ne sont pas responsables de cette crise. Les vrais coupables, ce sont les politiciens, les lobby et les élites économiques qui ont privilégié les profits à court terme au détriment de la sécurité nationale. Les guerres commerciales lancées par Donald Trump, censé rapatrier les emplois aux États-Unis, n’ont jamais permis de reconstruire les industries critiques. Au contraire, elles ont poussé la Chine à renforcer ses propres chaînes d’approvisionnement et à se tourner vers ses partenaires du Bricks. Pendant ce temps, aucun plan sérieux n’a été mis en place pour relancer la production pharmaceutique aux États-Unis. Aucune stratégie nationale pour garantir l’indépendance en matière de médicaments. Des discours encore et toujours, mais aucune action concrète et aujourd’hui, c’est le citoyen ordinaire qui empe le prix fort. Au lieu de bâtir une résilience, les États-Unis ont choisi la confrontation. Au lieu de diversifier leurs sources d’approvisionnement, ils ont misé sur la chance et l’aveuglement. Ce qui rend la manœuvre de la Chine encore plus redoutable, c’est le timing. Pekan a attendu patiemment, observé, préparé et elle a frappé au moment où les États-Unis sont le plus vulnérables, tiraillé par des divisions politiques internes et des crises multiples. Alors que Washington s’agitait dans des conflits commerciaux, la Chine jouait la montre, diversifier ses marchés, renforcer sa demande intérieure et se préparer à utiliser son levier pharmaceutique, non pas pour détruire l’Amérique, mais pour défendre ses propres intérêts stratégiques. Pendant ce temps, les pays du Brick avancent leur pion sur l’échiquier mondial avec un objectif très clair : remodellerer l’ordre pharmaceutique international. Là où les États-Unis vacillent, les bricks eux accélèrent. L’Inde augmente massivement sa capacité de production de médicaments. Le Brésil injecte des milliards dans la biotechnologie. La Russie développe de nouvelles technologies vaccinales et l’Afrique du Sud renforce ses pôles de recherche médicale. Ensemble, ces pays construisent un système de santé parallèle indépendant des circuits occidentaux. Un réseau global hors de portée des géants pharmaceutiques traditionnels. Dans ce nouveau paysage, les États-Unis pourraient bien se retrouver à négocier l’accès à certains médicaments vitaux, mais cette fois en position de faiblesse. Fini le temps où Washington dictait les règles du jeu. Aujourd’hui, ce sont les bricks qui avancent leurs propres normes, leurs propres priorités. Et le plus inquiétant pour Big Pharma, c’est que cette alternative mondiale n’est plus un simple projet, elle est déjà en construction. L’Inde, souvent surnommé la pharmacie du monde, renforce encore sa production de médicaments génériques et de vaccins. Maintenant, avec l’appui des chaînes d’approvisionnement chinois, la Russie investit lourdement dans la biotechnologie et la recherche vaccinale en développant de nouveaux traitements en dehors des systèmes de brevets occidentaux. Le Brésil mise sur des laboratoires publics pour fournir des médicaments abordables à toute l’Amérique latine et l’Afrique du Sud s’impose comme un acteur clé de la production vaccinale sur le continent africain. Les Bricks ne se contentent pas d’exister en parallèle. Ils bâtissent une chaîne pharmaceutique complète de la matière première jusqu’à la distribution sans jamais dépendre des multinationales occidental. Ce bouleversement mondial, c’est le pire scénario possible pour des géants comme Pfizer, Johnson et Johnson ou Merk. Pendant des décennies, ces entreprises ont dominé la santé mondiale en contrôlant les brevets, les prix et l’accès au marché. Elles dictaient leurs conditions au gouvernement, verrouillaient la concurrence et maintenaient leur hégémonie intacte. Mais aujourd’hui, la montée en puissance des bricks totalement les règles du jeu. Les pays en développement disposent désormais d’alternatives crédibles. Au lieu de payer des fortunes pour des médicaments made in USA, ils peuvent se tourner vers des traitements produits par les bricks à moindre coût. fini les contraintes liées aux brevets occidentaux, les nouvelles plateformes de recherche des bricks misent sur l’accessibilité, l’open source et la coopération technologique. Le modèle classique de Big Pharma, des prix exorbitants, un accès limité, des profits maximaux, est aujourd’hui mise en échec. Et dans un monde multipolaire où les États-Unis perdent de l’influence sur les institutions du commerce et les chaînes logistiques mondiales, Washington a de moins en moins de moyens pour reprendre la main. Il ne s’agit pas d’un simple coup dur temporaire, c’est une transformation profonde du paysage pharmaceutique mondial. Big Pharma, habitué à l’impunité, doit maintenant faire face à une réalité géopolitique qui ne joue plus en sa faveur. Mais la crise ne s’arrêtera pas aux portes des hôpitaux. Elle va se propager à toute l’économie américaine. Les primes d’assurance santé vont flamber à mesure que les coûts des traitements explosent. Les employeurs déjà sous pression devront assumer des charges supplémentaires. Quant aux petites entreprises, beaucoup risquent de ne plus pouvoir offrir de couverture médicale du tout. Dans une économie déjà secouée par l’inflation et l’instabilité, cette pénurie de médicaments pourrait bien devenir le déclencheur d’une récession bien plus profonde. Pendant que les États-Unis passaient des décennies à externaliser, déréguler et courir après les profits rapides, la Chine elle investissait dans la production, dans la recherche, dans la résilience de ses chaînes logistiques. Aujourd’hui, la Chine n’est plus seulement l’usine du monde. Elle devient lentement mais sûrement la pharmacie du monde et elle y parvient non pas par la menace mais par l’investissement. Non pas en isolant mais en tissant des alliances. Non pas en réagissant à court terme mais en pensant à long terme bien au-delà des cycles électoraux. Si l’Amérique veut s’en relever, il va falloir changer radicalement de cap. Il faudra des dirigeants capables de penser en terme de résilience nationale, pas seulement de rendement financier, des bâtisseurs, pas des destructeur. Car au fond, la sécurité d’un pays ne se résume pas à son arsenal militaire. Elle dépend aussi d’une réalité bien plus simple. Est-ce qu’une mère peut obtenir des antibiotiques pour son enfant malade ? Est-ce qu’un patient peut recevoir sa chimiothérapie à temps ? Est-ce qu’un peuple peut vivre en bonne santé dignement ? Pendant que les États-Unis externalisaient leur industrie, déréglementaient à Touva et poursuivait des profits immédiats, la Chine, elle construisait méthodiquement des usines, des capacités de recherche, une chaîne d’approvisionnement robuste. Aujourd’hui, la réalité est inversée. La Chine n’est plus seulement l’atelier du monde. Elle devient la pharmacie de la planète et elle y parvient grâce à une stratégie fondée sur l’alliance et la prévoyance, pas sur l’intimidation ou la domination. Elle investit dans les nouvelles technologies au lieu de s’en remettre aux vieilles recettes de sanctions et de pression diplomatique. Elle pense à l’échelle d’une génération quand les États-Unis semblent coincés dans une logique électorale à court terme. Si l’Amérique veut espérer se relever, elle devra changer d’approche, adopter une vision stratégique et surtout prioriser la souveraineté sanitaire plutôt que les dividendes des actionnaires. Car au bout du compte, la sécurité nationale ne se joue pas seulement sur un champ de bataille, elle se joue dans une pharmacie. dans un hôpital, dans la capacité d’un pays à soigner les siens. Voilà où nous en sommes. La Chine a coupé l’accès aux médicaments et les conséquences se répandent déjà à travers tout le système de santé américain. Ce n’est plus un simple avertissement, c’est une réalité brutale et ce n’est que le début. Si tu as trouvé cette analyse utile, reste bien attentif. D’autres décryptages arrivent bientôt sur la montée en puissance des bricks et sur ce que l’avenir nous réserve dans un monde post-occidental. Merci d’avoir pris le temps de regarder. Reste curieux, reste lucide et surtout reste prêt pour ce qui vient.
Le Japon vient de choquer le monde entier : dans un revirement historique, Tokyo prend ses distances avec les États-Unis et refuse de suivre la ligne dure de Donald Trump contre la Chine. Ce retournement diplomatique bouleverse les équilibres mondiaux… et pourrait bien marquer un tournant décisif dans la guerre commerciale en cours.
Pourquoi le Japon défend-il désormais ses liens avec Pékin ? Comment Trump a-t-il provoqué cette rupture ? Quelles sont les conséquences pour l’économie américaine… et les opportunités pour la Chine et le Canada ?
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42 Comments
Il faut les États-Unis d,Asie.
Quelles sont vos sources ?
Le Japon n’a pas le choix, parce que le Japon a beaucoup de la Chine premier partenaire commercial ( gros client). Les USA est le deuxième pays commercial. Le Japon n’a pas les terres rares
Donner du pouvoir a un fou totalement inculte c est effrayant !!
L'être humain dans sa splendeur plus humanité argent 💰 argent 💰 💰 💰 💰 😢 bientôt l heures des compte 😊
Beaucoup de répétitions … dites de façons différentes mais répetitives. Merci pour cette vidéo qui résument la stratégie ignorée car aveuglée par le "profit first" qui maintenant s essouffle. C est encore les petits qui vont payer après l aveuglement des gros profiteurs
🙏🙏🙏🤝🤝🤝🤝
Le Japon des valets des us depuis 1945 completement endormie cette bande de va nu pieds
C'est moi où cette voix est une IA ? Ça sonne robotique et certaines tournures sont bizarres et les liaisons ne sont pas faites. Parfois l'intonation parait plus humaine…
Désolé, mais le Japon n’a JAMAIS été un allié des Us… ils ont été vaincu et dominé de façon spectaculaire.
Si ils avaient vraiment le choix… il n’y aurait pas de base militaire étrangère chez eux. Et la seule raison pour lesquelles les US restent, c’est pour pouvoir attaquer la Chine rapidement en cas de conflit…
Ils vont vivre un tout petit bout de ce vivent les Palestiniens à Gaza
Extrêmement intéressant et juste 👏
Merci beaucoup.
A cause des USA le Japon a reçu le grand coup qu' il n'oubliera jamais à 1997.
Les USA n'ont pas d'ami car leurs politiques sont inhumaines
pour info le japon est le 3eme pays plus endette au monde
Les usa doivent faire attention honnêtement sur ce jeux😢
Les Japonais sont esclaves des USA, les bons chevaux des USA. Les Japonais n'ont pas d'éthique. Comme Taiwan il se sont développés avec les recherches fait aux USA, ils ont profité de toutes les avancées pour leur bonne conduite envers les USA. C'est pareil pour la Corée du sud.
Humilié, les grands mots de suite. Vous devriez savoir qu'en Asie (En Chine, Corée et Japon), tout se fait dans la nuance. Il subit un revers, Trump n'a pas de dignité ni de sens de la nuance. Le Japon n'a plus de raison de rester dans l'ombre des Usa, et pour poursuivre son parcours, l'avenir est en Asie.
le president Americain ne pas de vision le preisident chinois a gagne moi je vote a cote de chine
Le Japon se range derrière la Chine et lache les États-Unis. Il n’y a pas si longtemps je lisais que si la Chine attaquée Taïwan, le japon rentrerai en guerre contre la Chine. C’est ne plus rien comprendre dans ce monde de fous.
Fake
La narration par ia n’est pas encore tout à fait prête…
L'IA c'est puissant 😅
Après le Japon vient de saluer les discussions qu’il vienne d’avoir avec les américains donc vos propos reste très nuancés
Le risque est que les usa entre encore dans divers guerres
L'occasion propice pour le japon de faire payer aux américains le génocide subit par les 2 bombes atomique lâcher sur leurs peuples en 1945 . La vengeance est un plat qui se mange froid….
Le Japon est un ennemi mortel et éternel de la Chine…
Les crimes atroces commis par les japonais sur la population chinoise tout au long de l'histoire et que certains assimilent à un véritable holocauste resteront pour toujours douloureusement gravés dans la mémoire des chinois…
Le Japon est un pays perfide et criminel…
N importe quoi ce documentaire est à chier
je n'écoute pas la vidéo, le titre me plaît ! A bas les états-unis !
Très bon sujet mais manque d’objectivité
Le Japon Libéré ! Libéré vos Pays de c'est complexe militaraux industriel .
Les occidentaux mettent souvent des embargo sur les médicaments en Afrique quand le president ne leur plait pas cest leur tour bien fait
La Stupidité est le pire fléau de l'humanité…
Voilà encore un site qui fait de géopolitique propagande de bas étages le but de Trump est de récupérer les milliards de dollars détenus dans le monde par toutes ces grosses sociétés comme blacks rock et des milliers d'autres comme eux c'est pas facile ils vont souffrir mais c'est là seule solution. Quand aux médicaments faits par des gens qui fabriquaient en Afrique de faux médicaments et ce- les mêmes ?????il faut que chaque pays fabrique leur propres médicaments et surtout pas pour tout les bandits qui ont assassiner avec le covid des millions de personnes dans le monde.
Dans une foutaise cme Celle ci c est toujours Macon le Champions
Le Mec a detruit la France financiellement , Mme Moralement et il se balade sans Problem
Trump contre tous.
Si les américains sont responsables car ils ont élu un homme immature, grossier et mythomane. Ils sont d'autant plus responsables que TRUMP n'est pas un nouveau venu à qui on pourrait accorder un bénéfice du doute malgré ses frasques passés. Il a de multiples condamnations à son casier.
Et alors L, Europe va t,elle continuer a aboyer derriere les fous , et se faire entrainer TOUT AU FOND DE L, ABÎME En sachant que les COWBOYS. Vont les BALANCER a la première OCCASION pour. Sauver leur peau ,
Non de bisons , car ils ont genocidès les AMÉRINDIENS , mais de CAÏMANS tendance Sioniste
Ce qui serait le PIRE DES SCÉNARIOS POUR UNE EUROPE A L,AGONIE, vendue au boucher de Jérusalem , et empêtrée dans son Ukraine que le bouledogue a laisser tomber ,
BREF
Un SUICIDE , et je pese mes mots ,
Car la récréation est terminée, et le mur de la HONTE se dresse devant nous ,
Nous qui voulons avec notre fou faire la guerre a LA GRANDE RUSSIE , a L, ALGÉRIE ,
au YEMEN ,
a L, IRAN
ECT
Il faut se mettre a table et virer tout les RACISTES,
Les ISLAMOPHOBE
les VAUTOURS , et les SENGSUES , MILLIARDAIRES pompes a frics ,
et se mettre au boulot car il y a du encore du pain sur la planche , et refaire notre pays ,
Avec des gens enfin RESPONSABLES
Jamais Condamnés
Car des autres, on en veut plus ,
NOUS CITOYENNES
CITOYENS
VOULONS VIVRE DANS UN MONDE pas en haut d,un volcan , ou terrés comme des rats ,
dans UNE SERVITUDE – INVOLONTAIRE ,
ENCHAÎNÉS a nos Maîtres
vidéo fake off et fait par IA 🙂 c trop nul on s'en fout
vidéo à nuancer, le Japon à trop d'implications avec les US pour croire tout ce qui est bit ici, à commencer par les F35 , ils basent tout dessus et même pour les porte aéronefs, on les loin d'une rupture, qui serait loin de les avantager.
Je ne vois rien d'alarmant dans cette situation. Au contraire cela nous ouvre les yeux sur la dépendance pharmaceutique américaine et tout simplement un défi aux américains de sortir de cette dépendance pour fabriquer soi-même ses médicaments. Donc, c'est une bonne nouvelle pour l'industrie pharmaceutique américaine. C'est un combat gagnant à long terme et il faudrait avoir le courage de tenir bon. C'est la même situation que l'Afrique qui dépendait de l'occident et qui prends désormais son destin en main. Donc le Président Donald Trump obtient ainsi le résultat du mal et la dépendance américaine pour redéfinir un nouveau plan économique Dieu est le Maître des temps et des circonstances et celui des miracles aussi. Ainsi, le Président Donald Trump dépend de Dieu et non des analystes économiques ou scientifiques, et le Seigneur peut guérir tous ces malades par la prière sans avoir besoin des médicaments chinois. C'est ça la vérité que le monde ignore. Le Président Donald Trump est venu changer le monde et non pour suivre les analyses de ce monde. Il est venu miraculeusement à la Maison Blanche et il réussira tout par miracle. Amen !
Il essaie quelque chose de nouveau par rapport à baiden ça va être compliqué au début il y aura une récession mais avoir par la suite laisser le faire le critiquer dès le premier jour dès la première semaine dès le premier mois
Je ne suis pas certain que le Japon soit favorable à la Chine, il me semble plutôt qu'il renforce sa défense contre le colosse chinois.