499 000 emplois en danger : Trump vient-il de détruire l’industrie auto américaine ?
Que se passe-t-il lorsqu’un pays traite ses alliés comme des ennemis ? Les États-Unis viennent d’en faire la mère expérience. Toyota, Honda, Nissan. Ces géants japonais qui produisent près d’un tiers des voitures sur les routes américaines ont été brutalement frappés par une série de tarifs douaniers imposés par Donald Trump. Et pourtant, ces véhicules n’étaient pas fabriqués en Chine. Ils venaient d’usine situé en Amérique du Nord, en Ontario, à Badja, California ou encore à Aguascalient. Depuis des décennies, ces entreprises japonaises avaient investi massivement pour se rapprocher du marché américain, créer des emplois locaux et renforcer les chaînes d’approvisionnement. Mais en un instant, elles ont été traitées comme des adversaires. Le premier ministre japonais Shagaru Ohiba a bien tenté de négocier, mais très vite, il a compris que les objectifs de Washington avaient changé radicalement. Tokyo n’a pas crié. Tokyo ai. Discrètement mais rapidement, les constructeurs nippon ont commencé à réduire leur production aux États-Unis. Moins de véhicules destinés au marché américain, plus de ressources redirigées ailleurs. Ce n’était pas qu’un revers économique, c’était une rupture de confiance. Pour le Japon, cette décision n’était pas une erreur passagère, c’était un signal d’alarme et désormais, l’archipel se réorganise à grande vitesse pour se protéger. La vraie question est désormais la suivante. Les États-Unis comprennent-ils ce qu’ils viennent de déclencher ? Toyota, Honda, Nissan ? Ces marques japonaises ne sont pas simplement populaires aux États-Unis. Elles sont devenues vitales pour l’industrie automobile américaine. En 2024, près d’un véhicule sur trois circulants sur les routes américaines porte un badge japonais. Toyota est le numéro 1, Honda se classe 3e et Nissan occupe la 6e place. Mais voici ce que beaucoup ignorent. Ces voitures ne sont pas importées du Japon. Elles sont pour la plupart fabriquées localement sur le sol nord-américain par des ouvriers américain avec des pièces venues des quatre coins du continent. Rien qu’en 2024, ces trois constructeurs ont vendu près de 5,9 millions de véhicules aux États-Unis, soit une hausse de 6,3 % par rapport à l’année précédente. Une preuve indéniable de leur ancrage profond dans l’économie locale. Et ce n’est pas tout. En 2023, les constructeurs japonais ont produit plus de 3,2 millions de voitures aux États-Unis. Cela représente quasiment 1/3 de la production automobile nationale. Leurs usines ne sont pas des installations discrètes en périphérie. Ce sont des piliers industriels répartis sur l’ensemble du territoire. Les constructeurs japonais ne se contentent pas de produire des voitures. Ils irriguent l’économie américaine à grande échelle. Leurs installations industrielles couvrent 27 États. En tout, ces entreprises emploient plus de 400000 Américains, gèrent 29 usines de fabrication, 34 centres de recherche et développement et des centaines de centres de distribution à travers le pays. Mais leur empreinte va bien au-delà des chaînes de montage. En intégrant les fournisseurs de pièces détachées, les concessionnaires et les entreprises de services liées à l’automobile, on dépasse largement les chiffres initiaux. Plus de 2,29 millions d’emplois sont aujourd’hui liés directement ou indirectement à l’industrie automobile japonaise aux États-Unis. Selon les recherches du professeur Thomas Prussa de l’université Rutgers, ces constructeurs font partie des plus grands contributeurs du secteur privé à l’économie américaine, surtout dans les régions industrielles. Et loin de ralentir, il continue d’investir. Toyota, par exemple construit une gigantesque usine de batterie à Greensboro en Caroline du Nord, montant du projet 13,9 milliards de dollars. Objectif : produire des batteries pour véhicules hybrides et électriques. créer plus de 5000 emplois et accompagner la transition verte du pays. Honda et Nissan s’adaptent aussi nouvelles alliances technologiques, modernisation des chaînes de production et accélération de leurs offres en véhicules électriques. Dans cette course vers l’électrification et l’automatisation, leurs décisions auront un impact majeur sur l’économie, l’emploi et la technologie aux États-Unis. Aujourd’hui, l’avenir de l’automobile américaine ne s’écrit plus uniquement à D3, mais aussi à Tennessee dans l’Ohi en Alabama. est bien au-delà. Pourtant, malgré cette intégration exemplaire, une simple signature à Washington a tout bouleversé. À Washington, on a habillé la décision du drapeau américain. On a parlé de défense économique, de protection de l’emploi, de retour du Made in USA. Un discours parfait pour des slogans de campagne, mais totalement déconnecté de la réalité. Les véhicules visés par les nouveaux tarifs douaniers n’étaient pas des importations bon marché venues concurrencer d’étroit. Non, ils étaient construits par Américains, pour des Américains avec des pièces issues de toute l’Amérique du Nord. Des pickup Toyota sortant de Baja, California, des berlines Honda fabriquées en Ontario, des crossover Nissan assemblés à Aguascalientes. Toutes ces voitures étaient les fruits d’un système bâti depuis des décennies encadré par les accords commerciaux comme l’ALENA puis l’USMCA. Mais cette fois, les taxes ne ciblaient pas une concurrence déloyale. Elles punissait une coopération régionale exemplaire. Et le message envoyé aux alliés était clair. Même des décennies de loyauté ne suffisent pas à vous protéger quand les priorités politiques prennent le dessus. Le Japon, lui, n’a pas crié. Il n’a pas riposté bruyamment. Il a réagi rapidement, efficacement. À peine quelques jours après l’annonce des tarifs de 25 % sur les voitures importées, les constructeurs japonais passaient déjà à l’action. Nisson a réduit la production de son modèle phare, le ROG, très populaire aux États-Unis avec 245000 ventes en 2024, mais majoritairement produit au Japon, donc directement exposé aux nouvelles taxes. Résultat, 13000 unités en moins en 3 mois à l’usine de Kyoshu. Toyota, de son côté a activé un autre levier. Elle a augmenté la production en Thaïlande s’appuyant sur son vaste réseau international pour contourner les sanctions. Tout s’est déroulé sans heur et pour cause, ce n’était pas une réaction improvisée. D’après Stéphanie Brinley, directrice associée chez SNP Global, la production automobile au Japon pourrait chuter jusqu’à 20000 unités par jour. Mais ce n’est pas une panique, c’est l’exécution d’un plan de secours préparé depuis des années. Depuis les premières tensions commerciales en 2018, les géants japonais ont renforcé leur résilience, anticipant un monde moins stable sur le plan géopolitique. Alors, quand les tarifs sont tombés, ils n’ont pas perdu une seconde. Ils ont simplement enclenché la première phase de leur stratégie de repli. Et ce pivot pourrait bien redéfinir toute l’architecture de la production automobile mondiale. Le Japon a tranché. Il est temps de redessiner la carte. Face à une Amérique devenue imprévisible, Tokyo a commencé à repenser sa géographie industrielle et très vite, un nouveau centre de gravité s’est imposé. L’Asie du Sud-Est, la Thaïlande, le Vietnam, l’Indonésie. Ces pays ne sont plus de simples alternatives. Ils sont devenus les nouveaux piliers de la stratégie manufacturière japonaise. Ce n’est pas qu’une question de coût. Ces États offrent quelque chose de plus précieux encore. La stabilité politique est surtout une immunité relative face aux secousses commerciales venues de Washington. Les chaînes d’approvisionnement mondial, souvent rigides, ont montré à quelle vitesse elle pouvait se réorganiser sous pression. En quelques mois à peine, les investissements ont afflués. Des milliards ont été injectés dans le corridor économique de l’est de la Thaïlande. Une région en pleine transformation en passe de devenir le nouveau cœur battant de l’industrie automobile asiatique. Ma par exemple, a investi 150 millions de dollars pour y installer une ligne de production dédiée au véhicules électriques. Objectif atteindre une capacité annuelle de 100000 unités. Toyota, quant à elle ne s’est pas contentée de diversifier. Elle a accéléré. 15 modèles électriques au catalogue. Une production répartie sur cinq pays pour réduire les risques géopolitiques et surtout un paris audacieux avec Pékin. La firme japonaise a signé un accord de 2 milliards de dollars avec le gouvernement municipal de Shanghai. Objectif construire une usine 100 % Toyota dans le district de Jinchan, entièrement dédié aux véhicules électrifiés. Selon l’agence de presse étatique chinoise Xinoisa, ce projet s’inscrit dans une stratégie plus large : positionner Toyota au cœur du plus grand marché automobile de la planète grâce à sa gamme New Energy Véhicle. Ce n’est plus un simple ajustement, c’est une refonte complète de la stratégie industrielle japonaise. Face à des tarifs imprévisibles et à une pression économique venue de Washington, le Japon n’a pas attendu le prochain coup, il s’est simplement retiré de la table. Résultat, les répercussions dépassent désormais le cadre de l’industrie automobile. C’est toute la chaîne commerciale mondiale qui commence à trembler. Tokyo ne se contente plus de réagir. Le pays restructure ses alliances. Il accélère ses accords avec les nations de l’Azéane, mises sur de nouveaux partenariats et relance activement le CPTPP, un pacte commercial autrefois dirigé par les États-Unis avant que ces derniers ne s’en retirent. Mais ce n’est pas tout. Le Japon se rapproche aussi de l’Inde. Un rapprochement stratégique notamment dans les secteurs des semi-conducteurs et des logiciels pour véhicules électriques. Il ne s’agit plus simplement de signer des contrats, il s’agit de construire un nouvel ordre économique régional où la confiance envers les États-Unis s’effrite et le Japon n’est pas seul. La Corée du Sud, Taiïwan, le Vietnam, tout s’observe, tous s’interrogent car une question fondamentale s’impose. Si les États-Unis peuvent sacrifier un allié de longue date pour marquer un point politique, qui sera le prochain sur la liste ? Pendant que les États-Unis braquent leurs alliés, la Chine, elle avance ses pions calmement, stratégiquement. Alors que Washington s’isole, Pékin étend son influence, en particulier en Asie du Sud-Est. route, rail, centre de données. Les infrastructures prennent de plus en plus les couleurs de l’argent chinois. En voulant isoler ses rivaux, l’Amérique risque de s’être isolée elle-même. Ce désengagement ne provoquera pas de choc immédiat. Il ne s’agit pas d’une crise brutale, mais d’une lente érosion. Les usines ne fermeront pas du jour au lendemain, mais les investissements cesseront. Les nouveaux modèles ne seront plus confiés aux sites américains et peu à peu, les ouvriers le sentiront. Moins d’équipe, moins de production, moins de dynamisme. Ce ne sera pas un crash, ce sera une disparition progressive. Mais les dégâts eux sont déjà en cours. Et pendant que l’Amérique saigne lentement, un autre acteur s’installe. La Chine ne recule pas. Elle construit des alliances, des partenariats, des ponts et elle vise haut. Elle se rapproche du Japon et de la Corée du Sud. Deux nations historiquement prudentes vis-à-vis de Pékin. Désormais, d’anciens rivaux commencent à se tendre la main et cela à Washington, on le remarque. La stratégie de Pékin est claire. Compenser la baisse des exportations vers les États-Unis en renforçant le commerce régional. Et pour cela, elle fait des offres que ses voisins ont du mal à refuser. Réduction fiscale pour l’électronique coréenne, prêt avantageux pour les entreprises japonaises, accès privilégié au marché chinois. En échange, la Chine demande une chose, la loyauté. Son message est limpide. Les États-Unis sont devenus imprévisibles. Venez plutôt travailler avec nous. Ce n’est plus du commerce, c’est un changement de paradigme, un acte de puissance. Aujourd’hui, le Japon et la Corée du Sud sont pris entre deux géants. D’un côté, la Chine leur tend la main. De l’autre, les États-Unis brandissent l’avertissement. Regardons d’abord le Japon. Historiquement, c’est l’un des alliés les plus proches de l’Amérique. Des milliers de soldats américains sont stationnés sur son territoire. Mais les retombées économiques de la guerre commerciale ont laissé des traces. Les constructeurs japonais, autrefois solidement implantés sur le marché américain, sont aujourd’hui mis sur la touche. Pékin y voit une opportunité et elle agit. Offre commerciale, promesse d’investissement. Le Japon fragilisé et courtisé comme jamais. Pourtant le Premier ministre Fumio Kishida maintient le cap. Lors du dernier sommet du Jepp, il a affirmé que le Japon reste au côté des États-Unis. Mais combien de temps cette position tiendra-t-elle si Washington ne corrige pas rapidement le tir ? Du côté de Séou, la situation est tout aussi délicate. La Corée du Sud est une puissance technologique. Ces champions comme Samsung reçoivent des propositions alléchantes de Pékin, projet conjoint dans les semi-conducteurs, accès privilégié au marché chinois. Mais l’attrait chinois s’accompagne d’une nombre inquiétante. Les violations des droits humains, le contrôle étroit de l’information. Seou hésite comme Tokyo. La Corée du Sud tente de ménager les deux camps sans provoquer ni l’un ni l’autre. Mais cette position d’équilibriste devient de plus en plus difficile à tenir car en réalité l’approche agressive des États-Unis en matière de commerce risque de produire l’effet inverse de celui recherché. Au lieu de rassembler leurs alliés, les Américains pourraient un bien les pousser lentement mais sûrement dans les bras de la Chine. Et si cela se concrétise, ce ne sera pas seulement une défaite commerciale pour Washington. Ce sera un recul stratégique mondial. Si le Japon et la Corée du Sud se rapprochent durablement de la Chine, ce ne sera pas simplement un réalignement régional, ce sera un basculement majeur dans l’équilibre des puissances en Asie. Et bien au-delà, un tel rapprochement pourrait exclure les États-Unis des chaînes d’approvisionnement clé, affaiblir le rôle du dollar dans le commerce mondial et rendre plus difficile toute forme de leadership américain à l’avenir. Et ce n’est pas tout. D’autres pays pourraient suivre. En voyant le Japon prendre ses distances avec Washington. Certains États hésitants pourraient eux aussi choisir de tourner le dos à l’Amérique pour se rapprocher de Pékin. Aujourd’hui, chaque camp envoie le même message. Ne faites pas confiance à l’autre. Mais vu de l’extérieur, ces avertissements ressemblent de plus en plus à une bataille de peur plutôt qu’à une démonstration de leadership. Ce qui est certain, c’est que l’issue de ce bras de fer dépend plus uniquement des discours. Elle dépend des actes, des investissements, des alliance, des choix industriels concrets. Le monde observe et nous aussi car ce qui se joue ici dépasse largement l’automobile.
Les États-Unis viennent-ils de commettre une erreur stratégique irréversible ? En imposant des tarifs douaniers massifs aux constructeurs japonais Toyota, Honda et Nissan, Washington a peut-être provoqué un tournant majeur dans l’équilibre industriel mondial. Résultat : des centaines de milliers d’emplois américains sont désormais menacés, pendant que le Japon redirige ses investissements vers l’Asie du Sud-Est… et même vers la Chine.
Dans cette vidéo, nous revenons en détail sur cette fracture commerciale historique, les conséquences économiques pour les États-Unis, les opportunités stratégiques pour la Chine, et les signaux d’un basculement géopolitique global.
⚠️ Ce n’est pas qu’une affaire d’automobiles. C’est un bras de fer qui pourrait redéfinir l’avenir du commerce mondial.
#Géopolitique
#ÉconomieMondiale
#industrieautomobile
31 Comments
😂
Hope the fall of Trump is close !!
Le Canada ne voulait pas faire affaire avec la Chine car elle ne respecte pas les droits de la personne, depuis l"arrivée de Trump ces 2 pays sont maintenant rendu à égalité concernant ces droits alors j'espère que mon pays, le Canada, améliorera ses relations avec la Chine car je veux donner une leçon à Trump.
Mais il faut l'enfermer ce malade de Trump.
Si rien n'est fait très rapidement le peuple des USA va vraiment souffrir.
Qui sème le vent récolte le Tempo!!!
LA MORT D'UN GEANT
COMME UN VIRUS… ET ON A PAS DE VACCIN.
COMME LE COVID.
Bravo le Japon trump ne savais pas à qui il avais à faire il se dit grand négociateur une frais plaît cette homme désoler pour toutes ses personnes qui perdre leur travail
trump et la que 4ans le prochain fera mieux en france sa fait 15 ans et ils nous a foutue dans une merde et sa va duré longtemps meme apres
Probablement que la plupart des pièces ne sont pas fabriquées aux États-Unis, que les voitures japonaises sont tout simplement assemblées aux États-Unis, ça fait toute une différence
Cette chaîne est très simpliste et je reste poli… Je vis aux Etats Unis depuis 35 ans, j’ai travaillé pendant 20 ans pour une entreprise Japonaise (Fujitsu) et je mesure à quel point les Européens sont largués question géopolitique et compréhension de l’économie mondiale. La première erreur c’est de croire que Trump a fait une grosse connerie.
Quel homme d affaire,tin les americains,bouger,virer moi se clown vite fais bien fais lol…il vous tue a petit feux
Trump se trompe .
Tant d'adversaires .
Que d'époque .
Son pauvre cerveau ,
n'a pas le niveau .
Make america great again or Make america alone?
J ai acheté 2 Tesla. 😅😅😅
Trump fait ce qu'il peut pour rattraper les conneries du Global Socialism promu par Biden et sécrété par BlackRock and Co , Washington DC "démocrate" , Davos , l'UE et autres Open Society !
.
Un cowboys restera un cowboys, un bandit de grand chemins 😅😅
Tout ce démantèlement est parfaitement voulu dans le cadre de l’agenda …et de la réalité …
Bien faut pour les américains ! J espère que ils vont être dans la merde !!! Normal ils ont c c…de trump !
Trump va tous détruire juste pour ses intérêts… Mais son pays va s'écrouler avec ses décisions foireuses… Un idiot reste un idiot….
Ils se répètent, Ça devient insupportable
Voilà ce qui arrive quand on a une grande gueule et que l'on ne sait pas de quoi on parle. En France on connaît ça aussi avec notre trou du cul de président
Tesla. Caca. Voitures. qui. rbrules. non. Merci
À LA PERSONNE QUI A FAIT LA VIDÉO CE SONT LES USA QUI ONT VOULU QUE LES JAPONAIS VENDENT ET CONSTRUISENT CHEZ EUX S'ILS NE VOULAIT PAS JUSTEMENT SUBIR DES TAXES IMPORTANTES PARCE QU'ILS PÉNÉTRER TROP EN VOLUME SUR LE SOL AMÉRICAIN PARCE QU'ILS AVAIENT DES VOITURES DIFFÉRENTES MOINS COÛTEUSES ET QUI TOMBAIT MOINS EN PANNE IL Y AVAIT CERTAINS TYPES DE VÉHICULES QUI SE VENDENT COMME DES PETITS PAINS LE RÉSULTAT C'EST QUE LE LÉGISLATEUR AMÉRICAIN DE L'ÉPOQUE LEUR AVAIT TENU CERTAINS PROPOS SOIT IL FAISAIT FABRIQUER PAR DES USINES SUR PLACE LES PRODUITS QUI SERAIENT VENDUS AUX USA VOIR À L'EXTÉRIEUR ÉGALEMENT DES USA SOIT IL SUBIRAIT DES TAXES IMPORTANTES DONC ILS SONT SUR LE SOL AMÉRICAIN PARCE QU'ON LES A OBLIGÉ À Y VENIR !
C'EST LA CHINE QUI ÉTAIT CONTRE LE RÉGIME SUD-CORÉEN ET POUR LE RÉGIME NORD-CORÉEN ! MAIS VOUS AVIEZ POUR EXEMPLE DES PERSONNES QUI S'ÉVADAIENT DE LA CORÉE DU NORD ET QUI SE RETROUVAIT EN CHINE QUE SE PASSE-T-IL D'APRÈS VOUS ? ET BIEN C'EST SIMPLE LES CHINOIS LORSQU'IL RÉCUPÉRER CES PERSONNES LES ARRÊTER LES TRAITÉS MAL ET FAISAIT LE RETOUR À L'ENVOYEUR EN PRÉVENANT LES CORÉENS DE VENIR LES CHERCHER ( ET BIEN ENTENDU JE NE PARLE PAS DE LA CORÉE DU SUD MAIS BEL ET BIEN DE LA CORÉE DU NORD ! ). QUAND ON PRODUIT CORÉEN IL SUBISSAIT ÉNORMÉMENT DE TAXES ET NE VOUS Y TROMPEZ PAS NOUS FRANÇAIS NOUS AVONS BEAUCOUP DE CHOSES QUI SONT EXTRÊMEMENT TAXÉS ET CERTAINS AUTRES PRODUITS LE SONT ENCORE DAVANTAGE JE ME RAPPELLE DE VOITURE DE SPORT QUI ÉTAIT TAXÉ À + DE 600% DONC IL AVAIT EFFECTIVEMENT LE DROIT DE SE VENDRE EN CHINE MAIS À QUEL PRIX ! APRÈS BIEN ENTENDU C'ÉTAIT DES VÉHICULES DE LUXE QUE DÉJÀ RELATIVEMENT PEU DE PERSONNES POUVAIENT SE PRENDRE IL Y AVAIT À L'ÉPOQUE EN QUESTION DES MILLIONNAIRES TOUS LES JOURS ET JE NE PARLE PAS DE MILLIONNAIRE EN MONNAIE CHINOISE MAIS DANS LA MONNAIE CLASSIQUE UTILISÉ POUR PARLER DES CHOSES À L'INTERNATIONAL C'EST-À-DIRE LE DOLLAR AMÉRICAIN ET JE PRÉCISE BIEN AMÉRICAIN PARCE QU'IL Y A DES T'ASSS DE PAYS QUI ONT UTILISÉ LE NOM DU DOLLAR POUR FAIRE LEUR PROPRE BONNET C'EST PAR EXEMPLE LE CAS DE CERTAINS PAYS CONNU COMME L'AUSTRALIE OU LE CANADA MAIS IL Y A ÉNORMÉMENT DE PAYS QUI ONT FAIT CELA Y COMPRIS DES PETITS PAYS COMME DES PAYS AFRICAINS OÙ ARABES POUR EXEMPLE JE NE ME RAPPELLE + DU PAYS MAIS 1 PAYS D'AFRIQUE QUI AVAIT DES INFLATIONS MONSTRUEUSEMENT IMPORTANTES S'ÉTAIT RETROUVÉ AVEC DES DOLLARS DONC LE NOMBRE SUR LES BILLETS ÉTÉ DE + EN + ÉNORME ET IL Y AVAIT DES BILLETS AVEC DES TRUCS ÉCRITS DU GENRE 100.000.000 ( 💯 MILIONS ) OU MÊME 100 MILLIARDS DE DOLLARS DU PAYS EN QUESTION VERS LA FIN OR CETTE MONNAIE N'AVAIT QUASIMENT + AUCUNE VALEUR À L'ÉTRANGER CAR ELLE N'AVAIT + AUCUN SENS NI AUCUNE CERTITUDE TOUT CELA AVAIT COMMENCÉ À CAUSE D'UNE GUERRE DANS LE PAYS LUI-MÊME ENTRE CEUX QUI VOULAIT RENVERSER LE POUVOIR ET CE QUI Y ÉTAIT BREF C'ÉTAIT DES DOLLARS ET LA SEULE VALEUR APRÈS COUP SUR CETTE MONNAIE C'ÉTAIT SUR LE SOUVENIR ET LES VARIATIONS QU'IL Y AVAIT SUIVI DU NOMBRE DE COPIE DISPONIBLE ET DE LEUR ÉTAT MAIS A PRIORI ON DEVRAIT AVOIR AU MIEUX DES TRUCS DE L'ORDRE D'UN SEUL EUROS A L'HEURE ACTUELLE POUR L'ÉQUIVALENCE DE PLUSIEURS BILLETS EN TRÈS BON ÉTAT APRÈS IL N'EST PAS IMPOSSIBLE QUE PEUT-ÊTRE LES VERSIONS LES + RARE EN TRÈS BON ÉTAT SOIT À PEUT-ÊTRE 3 4 VOIR 5 EUROS POUR 1 SEUL BILLET ? MAIS C'EST VRAIMENT PAS TRÈS PROBABLE BREF LE DOLLARS AMÉRICAIN ET PAS 1 AUTRE DOLLAR !
cette guerre commerciale incluant les alliés historiques est probablement une des idées les plus stupides jamais pondue par Trump, quand tu traites tes alliés commes tes ennemis il ne faut pas s'étonner de se retrouver seul..
Redondant
La décadence continue chez mr Trump. Peut être que l'Amérique à beaucoup de réserve en épargne, mr Trump continuera jusqu'à la ligne rouge et mettra le monde à ces pieds. Ou bien, c'est un dépensier qui ne compte pas ces factures. A voir la suite.
“Si les dieux veulent détruire un peuple.. ils rendent leurs chefs fous « Paroles d’un sage Grec….
ils sont fous ces américains !
C'est barbant d'entendre plusieurs fois la même chose..!
Excellent, l'arroseur arrosé 😂
"La grande amerique", donneuse de leçons, prétentieuse et arrogante, bien fait.
En espérant que beaucoup d'autres entreprises suivent le Japon 😂