USA en Iran, Inflation Japon, prudence des banques centrales : par Louis-Antoine Michelet
bonjour bonjour et bienvenue donc dans ce tour de l’actualité le conflit meurtrier entre Israël et l’Iran sans lisent tandis que les États-Unis menacent de frappes imminentes alors que la diplomatie internationale tente de désamorcer une crise nucléaire aux lourdes conséquences géopolitiques et économiques parallèlement les banques centrales mondiales du Japon à l’Europe en passant par la Chine naviguent prudemment dans un contexte d’inflation persistante et de marché financiers sous tension entre ralentissement économique et ajustement monétaire stratégique le conflit entre Israël et l’Iran qui durent désormais depuis plus de semaines ne montent qui depuis plus quasiment près de 2 semaines ne montre aucun signe de désescalade le président américain Donald Trump a annoncé qu’il prendrait une décision concernant d’éventuelles frappes militaires contre l’Iran et ce dans un délai de 2 semaines cette annonce qui survient alors que les États-Unis ont déjà renforcé leur présence militaire au Moyen-Orient avec l’envoi je le rappelle de navires de guerre et de groupes aéronaval dans la région sur le terrain les affrontements continuent de faire rage israël affirme avoir ciblé plus de 100 cit en Iran notamment des inst Arak et Nathan qui l’accuse de contribuer au développement d’armes atomiques henry post l’Iran a lancé plusieurs missiles certains ayant atteinté la vive et causé des démages collatéraux dont une frappe sur un hôpital israélien le bilan humain est lourd plus de 639 morts en Iran et 24 en Israël selon des sources locales dans ce contexte tendu la communauté internationale appelle à la retenue les ministres des affaires étrangères européennes doivent se rencontrer vendredi prochain à Genève et ils ils rencontreront des représentants iraniens dans le but de négocier une désescalade le Royaume-Uni par la voix de son ministre des affaires étrangères et l’Allemagne dont le chancelier Fredrich Schmerz a personnellement demandé à Israël de modérer ses actions insiste sur l’importance d’une solution diplomatique par ailleurs la Russie met en garde contre toute tentative de changement de régime en Iran qualifiant cette éventualité d’inimaginable la question nucléaire reste donc au cœur de la crise israël justifie ses frappes en affirmant que l’Iran est proche de se doter de la bombe atomique un point que Teran réfute avec fermeté insistant sur le caractère pacifique de son programme par ailleurs les attaques israéliennes ont visé le corps des gardiens de la révolution islamique l’élite militaire iranienne ce qui pourrait renforcer son pouvoir politique et exacerber la radicalisation enfin le coût économique du conflit pèse lourdement sur Israël les experts estiment que la guerre lui coûte plusieurs centaines de millions de dollars par jour notamment à cause des intercepteurs antimissiles et des dégâts matériel cette situation financière ajoute une pression supplémentaire pour trouver une issue rapide au conflit le compte à rebour est donc lancé dans 2 semaines le monde saura si la diplomatie l’emportera ou si le conflit s’en venimera davantage au Japon en mai l’inflation a accéléré à 3,7 % en glissement annuel hors produit frais dépassant les attentes et atteignant sont plus haut niveau depuis janvier 2023 cette hausse est tirée par l’envolé des prises alimentaires notamment du riz et une inflation de l’énergie encore élevée mesurée à 8,1 % malgré cette pression la Banque du Japon maintient son taux directeur à 0,5 % adoptant une posture prudente en raison des incertitudes liées au négociation commercial avec les États-Unis et au risques économiques baissiers le gouverneur de la Banque du Japon souligne que son institution attend d’évaluer l’impact des tarifs doués de l’évolution des salaires avant d’envisager une hausse des taux sur le plan budgétaire le gouvernement japonais ajuste son programme obligataire en réduisant d’environ 10 % les émissions d’obligations souveraines à très long terme c’est-à-dire 20 30 et 40 ans et ce afin de calmer la forte volatilité sur ces maturités où les rendements ont récemment explosé cette baisse d’environ 2300 milliards de yennes sera compensée par une hausse des émissions à court terme et d’obligation pour les ménages une stratégie visant à limiter les tensions sur la courbe des taux tout en maîtrisant les coûts de refinancement ces mesures combinées reflètent la complexité pour Tokyo de naviguer entre une inflation croissante une normalisation monétaire prudente et une gestion budgétaire adaptée à un environnement mondial de taux en haut sous l’œil vigilant des marchés financiers puisque du point de vue des marchés financiers cette réduction des émissions longues peut être interprétée comme une tentative d’apaisement visant à contenir la pantification excessive de la courbe des taux et à préserver la stabilité financière elle pourrait temporairement soulager la pressure vendeuse sur les obligations souveraines nipon à maturité longue très sensible aux anticipations de politique monétaire globale mais cette politique mais cette bascule pardon vers le court terme comporte un risque structurel une exposition accrue à la volatilité des taux et une rotation plus fréquente de la dette publique rendant la soutenabilité budgétaire plus vulnérable à moyen terme dans un pays où je vous rappelle la dette publique dépasse les 260 % du PIB enfin cette décision met en lumière les tensions actuelles sur les marchés obligataires mondiaux où le Japon longtemps longtemps d’exception monétaire commence à affronter les réalités d’un environnement de taux durablement plus élevé toujours au chapitre monétaire face à une inflation qui reflue lentement et une croissance mondiale fragile les grandes banques centrale avancent désormais à pas compter le cycle de resserrement monétaire amorcé pour contenir la flambée des prix post Covid touche à sa fin mais les trajectoires divergent les incertitudes persistent et les marges de manœuvre s’amenuisent en Europe la BCE a procédé à une 8e baisse de taux depuis mi-2024 christine Lagarde sa présidente affirme que l’objectif des 2 % d’inflation est désormais en ligne de mire mais dans les faits la banque centrale reste en position d’attente trop de baisse risquerait d’alimenter de nouvelles pressions sur les prix pas assez pourrait étouffer la reprise même prudence à la fête la réserve fédérale américaine Jérôme Powell a en effet maintenu les taux inchangés et invite à ne pas surinterpréter les projections l’économie américaine montre des signes d’essoufflement mais la politique commerciale de l’administration Trump avec ses nouveaux tarifs doués brouille les perspectives en coulisse le débat monte faudra-t-il relancer faudra-t-il relancer par les taux ou bien patienter ailleurs certaines banques centrales ont surpris la Norvège a abaissé ses taux pour la première fois depuis 2020 la Suède et l’Australie poursuivent leur détente monétaire tandis que la Banque d’Angleterre reste hésitante entre inflation persistance et ralentissement du marché du travail dans ce paysage incertain la Chine elle affiche une stratégie monétaire singulière la Banque Populaire de Chine en effet maintenu ses taux préférentiels inchangés ce vendredi à 3 % pour 1 an et 3,5 % pour 5 ans pékin avait déjà abaissé ses taux en même mais semble désormais privilégier la stabilité le UAN affaibli par les tensions avec Washington s’est raffermi après l’accord commercial trouvé en juin de quoi offrir un répi à la Banque Populaire de Chine les autorités chinoises donnent donc un signal fort les outils monétaires ne seront plus l’instrument unique de la croissance moins d’urgence plus de sélectivité et une ambition affirmée faire du Yuhan numérique notamment une monnaie d’envergure mondiale le virage est discret mais profond dans un monde fragmenté les banques centrales ne dictent plus la cadence elles négocient avec l’incertitude l’air de la toute puuissance monétaire s’estompe et celle de la navigation à vue commence attardons-nous désormais un instant sur ce que les investisseurs vont suivre de près aujourd’hui et c’est principalement en Europe qu’il faudra se tourner puisqu’ils seront ils scrutons de très près l’indice des prix à la production en Allemagne pour le mois de mai les données sur les ventes de détail au Royaume-Uni pour le mois de mai et le bulletin économique de la Banque centrale européenne côté euh Amérique côté États-Unis pardon et bien c’est le Philif l’indice manufacturier de la réserve fédérale de Philadelphie qui sera à regarder de très près regardons maintenant ce qu’il s’est passé sur les principales places financières de la planète hier et en Europe les principales places financières sont restées sous forte tension alimenté par les spéculations sur un possible soutien actif de Washington à Telvive dans le conflit avec Terran cette incertitude géopolitique conjuguée aux craintes inflationnistes aux États-Unis après les déclarations de Jérôme Pouel président de la Fed lors de sa conférence de presse post décision monétaire la veille au soir a pesé sur les indices européens à Paris le CAC 40 a reculé de 1,32 % à 7555 points à Londres le FOs a cédé 0,58 % à 8791 points le DAX a lui abandonné 1,12 % à 23057 points aux États-Unis les principaux indices boursiers ont terminé en ordre dispersé le SNP 500 et le DO jaune sont reculés respectivement de 0,03 et de 0,1 % quant au NASDA qu’il a lui fini la journée en hausse de 0,13 % en Asie cette nuit les principaux marchés boursi ont majoritairement progressé après que la Chine comme on l’a vu a maintenu ses taux de directeur stable tandis que les investisseurs surveillent toujours de très près l’escalade des tensions entre Israël et l’Iran le Hangseng de Hong Kong a gagné 1,15 % tandis que l’indice CSI 300 de la Chine continentale a gagné 0,24 % l’indice de référence japonais le NIK 225 a pardon a lui pardon progressé de 0,12 % en Corée du Sud le COSPI a pris 1,19 % et a franchi la barre des 3000 pains une première depuis plus de 42 mois tandis que le CostaDAC l’indice sud-coréen dédié aux petites capitalisation a lui grimper de 1,01 % quant au marchés pétroliers hier ils ont été portés par les tensions géopolitiques croissantes entre l’Iran et Israël les déclarations ambigues du président américain Donald Trump sur une possible intervention militaire contre le programme nucléaire iranien ont accentué l’incertitude sur les marchés par ailleurs la baisse inattendue des stocks commerciaux de pétrole brut aux États-Unis avec une chute de 11,5 millions de barils la semaine dernière selon l’Agence américaine sur l’énergie a renforcé la tendance haussière ce recul important des réserves en effet surpris les analystes qui attendaient eux une baisse plus modérée toutefois la volatilité reste élevée les marché ossillant au gré des propos souvent contradictoires de Donald Trump rendant la trajectoire des prix difficile à prévoir à court terme les investisseurs restent donc attentifs à l’évolution de la situation géopolitique et aux prochains indicateurs économiques dans ce contexte le prix du baril de Brent pour livraison août a gagné près de 3 % à 78,85 le baril quant à son équivalent américain le baril de WTI pour livraison août il a lui fini sur une hausse plus modérée de 0,44 % à cette à 73,82 l’unité nous allons marquer une toute première pause dans cette édition du 20 juin 2025 du live de TV Finance c’est dans un instant nous allons retrouver le chronocar d’Antoine Kessada qui va nous dire dans quelle mesure cette semaine particulièrement mouvementée de nature à revoir les points d’entrée les points de sortie sur l’undoir parisien tout de suite sur TF yeah
– Intervention américaine en Iran, le compte à rebours est lancé
– Japon, inflation en hausse et stratégie budgétaire pour calmer la volatilité
– Banques centrales, entre prudence monétaire et incertitudes économiques
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