Honda et Toyota quittent les USA — le Japon défie Trump avec un ultimatum inédit !
[Musique] Toyota et Honda s’aprêtent à faire l’impensable, quitter les États-Unis. Face à la nouvelle taxe de 25 % proposé par Trump, le Japon menace de retirer ses constructeurs fermentant des usines, supprimant des centaines de milliers d’emplois et emportant avec lui 170 milliards de dollars par an. Il ne s’agit pas simplement d’un conflit commercial, c’est un séisme géopolitique qui pourrait paralyser d’étroites, déstabiliser l’économie américaine et redessiner l’équilibre industriel du 21e siècle. Que se passe-t-il pour l’Amérique lorsque même ses alliés les plus fidèles font leur valises ? La proposition tarifaire a cessé d’être un simple débat rétorique entre diplomates. Elle est devenue une véritable épreuve de résistance pour l’économie réelle. Les comptes-endus des rencontres entre Washington et Tokyo depuis la fin de 2024 révèlent des tensions transcontinentales qui touchent désormais les chaînes de production au cœur même de l’Amérique. Des lignes d’assemblage au Texas, dans le Kentucky rural et dans l’intérieur de l’Alabama pourraient être directement impacté si la taxe est adoptée. La mesure s’appuie sur la section 232 code du commerce qui autorise les restrictions pour des raisons de sécurité nationale. Mais de plus en plus de doutes émergent quant à ces effets concrets. Les analystes des banques d’investissement, les dirigeants syndicaux et les experts en finances de détails s’interrogent. Et si le Japon ripostait ? Et si les constructeurs réduisaient massivement leur présence ? Combien d’emplois serait perdus ? Quelle part des recettes fiscales s’évaporeraient ? L’impact est colossal. La présence japonaise dans l’industrie automobile américaine dépasse largement la vente de véhicules. Elle représente environ 170 milliards de dollars de recettes brutes avec 47 milliards de valeurs ajoutées directes, une chaîne secondaire estimée à 1020 milliards de dollars, 93 milliards de masses salariales et un cycle économique global. carburant, pièces détachées, services dépassant 1300 milliards de dollars. C’est comme si le cœur de la fabrication industriel américaine battait grâce à un moteur nippon. De la même manière qu’une simple table à manger peut dynamiser le marché immobilier à Istanbul, la production automobile agit comme une force centrifuge pour des centaines de secteurs aux États-Unis. Des start-up logiciels de Las Vegas aux ateliers de tapisserie de l’Ohio. Des milliers d’entreprises gravitent autour de cette mécanique. Rien qu’en 2023, les données de production illustrent cette dépendance. Toyota a assemblé 1,25 million de véhicules sur le sol américain dans ses usines du Texas, du Kentucky et du Mississippi. Honda en a produit 9700 dans ses usines de l’Alabama et de l’Ohio. Nisson a totalisé 770000 véhicules entre le Tennessee et le Mississippi. Subaru a produit 221000 unités dans l’Indiana. La co-entreprise Mazda Toyota a fabriqué 150000 véhicules en Alabama. Même Mitsubishi qui a mis fin à sa production dans l’Illinois en 2016 continue de commercialiser 75000 véhicules reconditionnés. En incluant les modèles importés, les marques japonaises ont représenté 6,3 millions de véhicules vendus en 2023, soit 43,6 % du marché américain des voitures particulières et utilitaires léger. Les chiffres des deux dernières années confirment le poids des marques japonaises. En 2022, Toyota Lexus a vendu 2,1 million de véhicules. Honda Acura 1,2 million. Nissan Infinity 783000 Subaru 556000 Mazda 0 294000 Mitsubishi 102000 et Suzuki 65000 entre camping-car et moto. En 2023, la normalisation de l’approvisionnement en microprocesseur et la hausse du prix du carburant ont dopé les modèles hybrides. Toyota Lexus a atteint 2,28 million. Honda Acura 1,34 million. Nissan Infinity 813000. Subaru 159000 620 et 1000 Mazda 282000 Mitsubishi 64000 et Suzuki 70 million. Avec un prix moyen de 38650 dollars par unité, le chiffre d’affaires global des marques japonaises en 2023 frôle les 170 milliards de dollars. Sur ce montant, environ 24,8 milliards ont été reversés sous forme d’impôts fédéraux, taxes d’État, charges et cotisation. En ajoutant les taxes sur les composants locaux et les coûts liés à l’énergie et aux infrastructures, la contribution fiscale grimpe à 31,3 milliards de dollars. De quoi financer plusieurs années de santé et d’éducation dans des États comme l’Ohi ou le Kentucky. Mais la nouvelle taxe change la donne. La question stratégique devient rester ou partir. Le calcul du contenu local longtemps utilisé pour éviter les droits de douan devient insuffisant. Toyota par exemple utilise 65 % de composants nord-américains dans ses modèles Tundra Seoya, 72 % dans ses Camry et Rav 4 produits au Kentucky. Honda atteint 68 % à Marisville, Nissan 58 % à Smirna et Subaru 52 % dans l’Indiana. Le problème, c’est que la taxe de 25 % s’appliquera aussi aux composants venus du Mexique ou du Japon comme les batteries et les transmission. Cela double les coûts pour les fabricants et rend l’opération intenable. En 2024, les marges opérationnelles étaient déjà modestes. 7,1 % pour Toyota, 5,6 % pour Honda, 4,3 % pour Nissan et 8,8 % pour Subaru. La taxe pourrait faire basculer ses marques dans la zone de perte, surtout si elles doivent continuer à absorber le surcoup des moteurs hybrides. Passe à ce contexte, des scénarios de gel des investissements voire de retraits partiels du marché sont étudiés et l’impact immédiat. Les données croisées du Bureau of Economic Analysis et de l’Automotive Alliance for Innovation sont sans appel. Toyota maintient environ 35000 emplois directs et plus de 90000 indirects. Honda emploie 28000 personnes directement et 61000 indirectement. Nissan compte 18900 direct et 47600 indirect. Subaru emploie 6900 personnes en direct et 14800 en indirect. La co-entreprise Mazda Toyota emploie 4800 personnes directement et 9200 indirectement. Mitsubishi maintient 1700 emplois directs et 3200 indirects. Même Suzuki recense 900 emplois direct et 1400 indirects sur le sol américain. Au total, ce sont plus de 436000 emplois liés aux opérations japonaises dont environ 96000 coles bleus. Et un nouvel élément vient complexifier l’équation. Des sources diplomatiques européennes révèlent que l’Union européenne exerce une pression discrète sur Washington pour éviter des mesures similaires à l’encontre des constructeurs allemands comme BMW ou Mercedes invoquant le risque d’une guerre commerciale en Chîne. Cela affaiblit la position américaine face au Japon et alimente les accusations de traitement inéquitable. Cette dynamique pourrait même inciter Tokyo à renforcer ses liens commerciaux avec l’Europe, accélérant la signature d’accords bilatéraux qui excluraaient les États-Unis. Au-delà des centaines de milliers d’emplois déjà recensés, il existe un contingent supplémentaire de 17000 coles blancs employés dans des secteur stratégique du crédit à la consommation et du leasing automobile. Des entités comme Toyota Financial Services, Honda Finance, Nissan Digiland ou Subaru Capital jouent un rôle central dans l’écosystème financier qui permet la vente et la circulation des véhicules sur le marché américain. Avec ces emplois, le nombre total de postes directs et indirects liés au constructeurs japonais dépasse le seuil symbolique du demiillion. Selon les estimations du Bureau of Labor Statistics pour 2023, la masse salariale annuelle avantage compris versé à ses travailleurs à voisines les 93,1 milliards de dollars. Cette main d’œuvre est profondément enracinée dans des États où l’industrie automobile constitue l’un des principaux pourvoyeurs d’emploi. Dans au moins 8 États, la production automobile représente entre 11 % et 22 % de l’emploi industriel total. Ainsi, un retraite éventuel des fabricants japonais pourrait faire grimper le taux de chômage de 2,6 points dans le Mississippi et d’environ 1,8 points dans la ceinture industrielle de l’Alabama, des régions qui disposent d’un réservoir de main d’œuvre limité. Sur le plan fiscal, l’impact serait sévère. La commission budgétaire du Congrès estime que si la part de marché des constructeurs japonais est réduite de moitié d’ici 2027 en raison des nouvelles taxes, les recettes publiques chuteront de 18,2 milliards de dollars dès 2026 puis de 26,2 milliards en 2027. Ces pertes comprennent les droits d’importation, les impôts sur les salaires, les taxes d’État, les loyers des showrooms, les redevance des concessionnaires et les coûts logistiques. En cumulé, sur 3 ans, la perte pourrait atteindre 58,6 milliards de dollars selon des projections détaillées, intégrant également les frais ferroviaires routiers et les programmes de formation technique. Le Georgia Tech Logistics Institute ajoute un point particulièrement préoccupant. Selon son modèle de substitution, seul 40 % du vide laissé par les constructeurs japonais pourraient être comblés par des marques américaines, coréennes ou européennes. En effet, le choc tarifaire perturberait l’ensemble de la chaîne logistique, allongerait les cycles de rotation des stocks et pousserait de nombreux consommateurs à reporter leurs achats ou à se tourner vers le marché de l’occasion, affaiblissant ainsi la base productive du secteur. Un autre élément largement absent du débat public est l’effet de change. Contrairement à beaucoup de leurs concurrents, les constructeurs japonais sont aussi de grands acheteurs de bons du trésor américain. Leur objectif ? Maintenir une stabilité du taux de change autour de 150 yen pour un dollar, surtout en période d’inflation prolongée. Mais une hausse des taxes pourrait élargir l’écart de taux d’intérêt réel entre les deux économies, réduisant ainsi l’attrait des actifs en dollars pour les investisseurs japonais. Actuellement, les institutions japonaises détiennent plus de 1000 milliards de dollars de bond du trésor à 30 ans. Une liquidation de seulement 5 % de ce stock obligerait la Fed à ajuster ses émissions de coupon, ce qui pourrait provoquer une hausse des taux à 10 ans de 30 à 45 points de base, comme cela s’est produit lors du Davos spread en juin 2024. Autrement dit, les 7,8 milliards de dollars que le gouvernement espère collecter grâce à la nouvelle taxe pourrai être effacé par une simple variation du coût de l’endettement. De plus, un autre risque souvent négligé pèse sur l’avenir. Le démantellement de 30 années de coopération technico-industrielle entre les deux pays. Des méthodologies comme le Toyota Production System ou les lignes d’assemblage flexible de Honda ont transformé la performance de milliers de fournisseurs américains introduisant des concepts clés comme le Justin Time, le Kaisen, London et le Gemba. Aujourd’hui, près de 200000 travailleurs américains sont certifiés dans des procédés de fabrication inspirés du modèle japonais. Si la production est transférée au Mexique, au Canada ou au Japon, ces fournisseurs se retrouveraient sans commande du jour au lendemain. Et s’adapter aux normes techniques de constructeurs européens ou locaux exigerait de nouveaux investissements, de nouvelles homologations et surtout du temps d’enré rare. Dans un contexte de contraction économique. Les répercussions ne s’arrêteraient pas là. La disparition de ce maillage de savoir-faire technique entraînerait des vagues de choc dans tout le pays, des formations professionnelles en Alabama au centre de recherche du Kentucky jusqu’au laboratoire d’ingénierie de l’université Purdu dans l’Indiana. La productivité du secteur manufacturier qui augmentait jusqu’ici de 0,22 points par an grâce à cette innovation discrète venue des fournisseurs s’effondrerait. Ce que les économistes appellent le PIB invisible perdrait ainsi l’une de ses principales sources. Et il existe un domaine souvent négligé, le comportement du consommateur. Trois voitures hybrides sur 5 et de SUV sous compact sur trois vendues aux États-Unis sont de marque japonaise. Avec la nouvelle taxe, le prix moyen de ces modèles augmenterait de 4400 dollars. Cela s’explique par le fait que des composants clés, batteries, ondule, unités électroniques, CVT, systèmes de refroidissement sont encore majoritairement fabriqués au Japon, en Asie du Sud-Est et en Turquie. Lors des périodes de hausse du prix des carburants comme celle attendu au 3è trimestre, les consommateurs américains ont tendance à se tourner vers des solutions rationnelles. Face à l’envoler des prix, nombreux sont ceux qui envisagent d’acheter une Corolla d’occasion ou même de passer à un pickup diesel. Malgré son impact environnemental, l’idée selon laquelle les constructeurs américains pourraient récupérer le marché japonais s’effondre à la lumière des données. Ford, GM et Stellantis ont déjà orienté leurs investissements vers le tout électrique sans plan marge financière pour ouvrir de nouvelles chaînes de SUV hybride. Même Tesla, symbole de l’innovation, n’envisage pas de construire une usine de 800000 unités dans les deux prochaines années. Et même si une telle décision était prise aujourd’hui, l’obtention des autorisations et la construction prendrait plus de 20 mois. Cela signifie que le vide industriel ne commencerait à être comblé qu’à partir de 2028. D’ici là, les prix exploseraient, la confiance des consommateurs pourrait chuter de 8 points et le plan d’atterrissage en douceur de la Fed serait mis en péril. Dans ce climat d’incertitude, un nouvel acteur fait son apparition, Amazon. Bien qu’elle ne fabrique pas de voiture, la firme dépend directement de l’infrastructure logistique issue de l’industrie automobile. Ses centres de distribution, son réseau routier et même ses contrats avec les transporteurs sont liés à la disponibilité des pièces et des véhicules. Un effondrement de la chaîne d’approvisionnement japonaise affecterait donc aussi la capacité de livraison d’Amazon qui fait déjà face à des goulots d’étranglement dans le sud et le Mid-Ouest des États-Unis. En réponse, l’entreprise a entamé des discussions avec des fabricants coréens et chinois pour élargir sa flotte électrique. Une décision qui pourrait créer de nouvelles tensions géopolitiques dans le commerce numérique américain. En fin de compte, la taxe de 25 % n’est pas qu’une mesure protectionniste. C’est une attaque contre un mécanisme complexe forgé au fil des décennies grâce à l’investissement, l’innovation, l’efficacité et la coopération internationale. Démanteler cette structure pour des raisons électorales pourrait coûter bien plus cher qu’un simple déficit commercial. La véritable question n’est peut-être pas de savoir si le Japon quittera les États-Unis, mais si les États-Unis sont prêts à quitter le 21e siècle. Car en transformant des alliés industriels ennemis fiscaux, Washington risque de perdre bien plus que des voitures. Elle pourrait perdre la confiance d’un monde qui cherche déjà d’autres routes et aucun GPS ne pourra montrer le chemin du retour. Si vous avez aimé notre contenu, abonnez-vous à la chaîne pour ne rien manquer de l’actualité géopolitique.
Les géants japonais quittent les USA — Toyota, Honda, Nissan et Subaru répondent aux tarifs de Trump avec une menace historique : retirer leur production du sol américain.
Ce qui semblait impossible devient un scénario plausible. Une taxe de 25 % sur les voitures japonaises pourrait déclencher une onde de choc industrielle, économique et même géopolitique.
🧭 Dans cette vidéo de 15 minutes, vous allez comprendre :
⏱️ 00:40 – Pourquoi Trump relance la guerre tarifaire contre le Japon
⏱️ 02:40 – L’impact sur Toyota, Honda, Nissan, Subaru, Mazda et leurs chaînes de production
⏱️ 06:10 – Comment cette taxe met en péril 500 000 emplois et 170 milliards $ de chiffre d’affaires
⏱️ 09:20 – Le rôle caché de la Fed, du yen, et des obligations d’État
⏱️ 12:30 – Ce que la sortie du Japon coûterait vraiment à l’économie américaine
⏱️ 14:30 – Le jeu trouble de l’Union européenne et… d’Amazon
📉 Les États-Unis risquent une désindustrialisation éclair.
📈 L’alliance technologique américano-japonaise est sur le point de se briser.
📌 Et le modèle de production flexible qui a révolutionné l’industrie américaine pourrait disparaître.
💬 Pensez-vous que Trump va trop loin ? Ou que c’est le prix à payer pour protéger l’industrie locale ? Dites-le-nous en commentaire.
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Trump taxe les voitures japonaises : Toyota, Honda et Nissan quittent les USA ?
Honda et Toyota quittent les USA — le Japon défie Trump avec un ultimatum inédit !
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22 Comments
Merci mes amis, regardez aussi :
📌Trump Demande à la Chine d’acheter du Pétrole iranien — Le dollar en péril ? – https://youtu.be/rEuXu-Hht_0
📌Allemagne et Italie choquent Trump en retirant leur or des USA — crise économique en vue ? – https://youtu.be/hR9r2pALTcE
Trumps le debile mais y’a beaucoup de monde aux usa qui on vote pour cette merde
Trump ??? A-t’il tout son esprit ???
Je parie qu'ils vont aller au Canada 😉
Bravo a eux❤❤❤
Tres bit fait 😜 c la fin de ces malades mentaux us
👍
Stop Monopole USA ⛔❌⛔❌🤮
Je pense que le Président Trump veut relancer les marques américaines. Pour cela, il a besoin de chasser les marques étrangères comme les géants japonais en la matière. L'expérience de la Russie qui n'a pas perdu après le départ des industries européennes.
❤🎉❤🎉❤🎉❤🎉❤
Merci infiniment ArBren
Bravo ❤au Japon j'adore Trump mais la il va trop loin ,il boit trop de café
👹🇺🇲👹🇮🇱👹
Sans ces monstres sio nistes colonisateurs voleurs
☠️🇮🇱👹🇬🇧👹🇺🇲👹🇨🇵💀 notre planète vivrait en PAIX sans guerres
Les seuls qui ne sont pas soumis aux Américains et aux occidentaux sont en guerre actuellement où ont été déstabilisé comme l'Irak la Syrie l'Iran Etc…!
Il baffoue le droit International …..
Oui
Bravo je pense qu'ils vont aller en Afrique et la Russie
Trump est malade mentale.ou sa place est à hollywood mais jamais président des u s a
Soutien total de l'Afrique à Toyota et Honda vous êtes bienvenus en Afrique ❤
Le Japon a tout a perdre çi il quitte les usa
Trump joue au poker menteur l avenir nous dira çi il a gagner
Trump est un idiot il croit qu'il est est le plus intelligent or c'est le contraire, on ne gère pas un pays comme une société