Le Japon se débarrasse du dollar : 1 700 milliards envolés en 72H !
Le Japon vient encore de vendre massivement des bons du trésor américain, mais cette fois l’opération a été d’une telle ampleur qu’elle a provoqué une perte de 1700 milliards de dollars sur les marchés. Réaction immédiate de Trump, un démenti public, une panique en coulisse et surtout une agitation fébrile qui pourrait bien redessiner l’avenir financier des États-Unis. Alors, que se passe-t-il réellement ? Pourquoi un allié historique comme le Japon retire-t-il soudainement son soutien au dollar américain ? Et surtout, est-ce le début de la fin pour la monnaie la plus puissante du monde ? Une chose est sûre, le Japon n’est pas un acteur marginal. C’est la 4e puissance économique mondiale et pendant des décennies, ce pays a été l’un des partenaires financiers les plus loyaux de Washington, achetant la dette américaine avec une régularité presque automatique. En janvier 2025, le Japon a réduit ses avoirs en bon du trésor américain de 119,3 milliards de dollars. Il s’agit de la plus forte baisse trimestrielle depuis 2012 selon les données du Treasury International Capital ou TEC. Autrefois premier créancier étranger des États-Unis, le Japon a désormais cédé cette place à la Chine. Officiellement, la Banque du Japon justifie cette décision par des ajustements internes liés à la courbe des taux. Mais pour des économistes comme Frédéric Nan de chez HSBC, cette explication ne tient pas. Il s’agit en réalité d’une stratégie de couverture face à l’instabilité budgétaire américaine. Cette vente massive fait suite à plusieurs mois d’avertissement discret émis par des responsables japonais de plus en plus agacé par la politique commerciale américaine et la volatilité du dollar. Selon Bloomberg, Tokyo explore activement des systèmes de règlements régionaux libés en yenne, notamment avec les pays de l’Azéan. Le message est discret mais profondément stratégique. Le Japon ne croit plus en la suprématie financière indéfinie des États-Unis et il se prépare à une nouvelle ère. En novembre 2024, le département du commerce américain a imposé une taxe de 25 % sur les véhicules électriques japonais. Motif invoqué subvention jugée déloyal et menace sur la sécurité nationale. Tokyo a été pris de cours et la riposte diplomatique a été immédiate. D’après Rutters, le ministère japonais de l’économie a dénoncé des tarifs disproportionnés et économiquement injustifiés. Le PDG de Nissan, Makoto Uchida, a quant à lui averti que cette mesure pénalise l’innovation et perturbe les chaînes d’approvisionnement intégré. Le conflit autour des véhicules électriques s’est encore envenimé après l’annonce fracassante de Toyota. Une batterie à électrolyte solide capable d’offrir 1200 km d’autonomie pour seulement 10 minutes de charge. Une révolution technologique qui menace directement les constructeurs américains, toujours dépendant des batteries lithium ion. Mais les tarifs américains ne visaient pas seulement le commerce, c’était aussi un acte défensif au rel géopolitique. Et la repost du Japon, elle ne s’est pas faite via les voitures, mais via le marché obligataire. Cette vente massive de bons du trésor, c’était une forme de sanction déguisée sans jamais employer ce mot. Au premier trimestre 2025, le Japon déenait plus de 48 % des brevets mondiaux sur les batteries à électrolyte solide. Selon l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, Toyota et Panasonic ont d’ailleurs annoncé conjointement une nouvelle plateforme de véhicules électriques avec un lancement grand public prévu début 2026. Résultat, les précommandes affluent déjà depuis l’Europe avant même la sortie officielle. Pendant ce temps, les États-Unis accumulent les retards. Ford et General Motors font face à des goulots d’étranglement dans l’approvisionnement en batterie aggravé par les restrictions chinoises sur le graphite. Ce déséquilibre technologique donne aujourd’hui au Japon un levier qu’il n’avait jamais eu lors des précédents conflits commerciaux. Selon le Wall Street Journal, les négociateurs japonais exigent désormais des exemptions de droits de douan en échange de partenariat technologique stratégique. Un changement de stratégie, l’accès au marché contre la domination énergétique. Car la supériorité dans les véhicules électriques n’est plus simplement une question économique, c’est devenu un capital politique. Washington va devoir trancher, maintenir des tarifs isolationnistes ou risquer de céder l’avenir de la mobilité. Quand un acteur majeur comme le Japon se retire du marché des bons du trésor américain, ce n’est pas un simple trou qui se crée, c’est le plancher tout entier qui vaille. En février 2025, le taux des obligations à 10 ans a grimpé à 4,89 % son niveau le plus élevé depuis 2007. Alors que la demande étrangère s’effondrait selon Marketwatch, le bureau du budget du Congrès a tiré la sonnette d’alarme. Cette hausse pourrait alourdir les charges d’intérêt de la dette américaine de 270 milliards de dollars par an d’ici 2027. Tiffany Wilding, chef économiste chez PIMCO, l’a confié à Bloomberg. Perdre des acheteurs stables comme le Japon accroit la volatilité des bonss du trésor et affaiblit la confiance mondiale dans la trajectoire budgétaire américaine. Dans le même temps, l’indice du dollar a chuté de 2,1 % en 2 semaines alors que des banques centrales de la Corée du Sud aux Émirats arabes unis réduisaient leurs réserves en dollars. Et au-delà de la finance institutionnelle, ce sont les ménages et les entreprises américaines qui empêtent le prix avec des coûts d’emprunt en hausse et une suspicion croissante. La dette américaine est-elle toujours un refuge ? Sûr ? Le dumping de 119 milliards par le Japon n’était pas un coup de colère isolé. C’est le symptôme d’un mouvement global. Depuis 2022, la part du dollar dans les réserves mondiales est passée de 59 % à 54 % selon les données du fond monétaire international. Publié en mars 2025, les banques centrales de Malaisie, du Brésil et d’Arabie Saoudite ont toutes renforcé leurs avoir en actif non libé en dollars notamment en y et en or. Pour Zoltan Potsar, stratège chez Crédit Suisse, c’est l’architecture même du système financier mondial qui se fissure. Et le retrait du Japon n’est pas une simple faille, c’est une rupture. La version numérique du UA représente désormais 5 % des règlements transfrontaliers en Asie du Sud-Est. Pendant ce temps, la roupie indienne est utilisée pour des contrats pétroliers avec l’Iran et la Russie. La décision japonaise ne fait qu’accélérer un engrenage. Plus la confiance dans le dollar s’ffrite, plus le besoin d’alternative devient urgent. Le risque un monde monétaire fragmenté, instable, sans ancrage clair. La question n’est plus de savoir si un nouveau système est en train de naître, mais à quelle vitesse l’ancien s’effondre. Entre le 3 et le 6 février 2025, les marchés boursiers américains ont perdu 1700 milliards de dollars de capitalisation avec un SP 500 en chute de 5,4 % en seulement trois séances selon Bloomberg. Le facteur déclencheur, un cocktail explosif, vente massive de bon du trésor par le Japon, flambé des taux d’intérêt, tension commerciales croissantes et le climat s’est encore détérioré après l’annonce par l’administration Trump d’une nouvelle vague de tarifs doués. Cette fois, il visait l’électronique japonaise et les semi-conducteurs sud-coréens ravivant la crainte d’une guerre commerciale étendue à toute l’Asie. Les analystes de Black Rock l’ont résumé clairement. L’imprévisibilité politique est désormais le principal moteur du risque sur les marchés. Mouiz, de son côté a placé la note souveraine des États-Unis sous surveillance négative, évoquant des déficits incontrôlés et une instabilité géopolitique croissante. Trump est-il responsable de cette chute ? Le débat reste ouvert. Mais une chose est sûre, les marchés eux ont tranché. Trump avait qualifié l’année de plus grande performance économique de l’histoire américaine. Mais en 2025, plusieurs indicateurs racontent une toute autre histoire. Les fondations posées lors de son premier mandat semblent avoir accru les risques systémiques plutôt que renforcer la résilience à long terme. Le PIB avait culminé à 2,9 % en 2018. Mais les baisses d’impôts sur les sociétés instaurées par le Tax Cuts and Jobs Act ont fait exploser le à 984 milliards de dollars dès 2019. Et depuis, il n’a cessé d’enfler, atteignant 1900 millions pour l’exercice fiscal 2024. Selon le bureau du budget du Congrès, des économistes de la Broking Institution estiment que la dérégulation agressive combinée à l’escalade des conflits commerciaux a affaibli la position des États-Unis dans les chaînes d’approvisionnement mondial, tout en accroissant les vulnérabilités inflationnistes. Pour l’ancienne économiste de la Fed, Claudia Sam, le diagnostic est clair. Un stimulus sans réforme structurelle, c’est une montée d’adrénaline, pas de l’endurance. Ces gains artificiels ont masqué une instabilité profonde qui a commencé à éclater dès que la confiance internationale dans la gestion budgétaire américaine s’est érodé. Pendant que Washington concentre ses efforts sur la rupture avec la Chine, un autre allié historique adopte une approche plus subtile, le Canada. Discrètement, Ottawa diversifie ses dépendances économiques, s’éloignant des États-Unis, son principal partenaire commercial, pour se rapprocher de l’Europe et de l’Indo- Pacifique. Au premier trimestre 2025, le Canada a finalisé un accord d’interopérabilité des monnaies numériques avec la Banque centrale européenne et la Banque de réserve d’Australie. Objectif réduire la dépendance au réseau Swift et permettre des règlements directs en monnaie numérique selon Router. En parallèle, Ottawa a renforcé sa stratégie sur les minéraux critiques signant des contrats à long terme pour l’approvisionnement en lithium et en cobalt avec l’Australie et l’Union européenne, contournant ainsi d’éventuelles restrictions américaines à l’exportation. Les chiffres sont parlants. Les échanges entre le Canada et l’UE dans le cadre de la Corse CTA ont progressé de 16 % sur un an tandis que les exportation vers les États-Unis ont reculé de 3,4 % d’après Statistique Canada. Comme l’a déclaré la ministre canadienne des finances Christia Freeland au Globe and Maale, la résilience économique aujourd’hui c’est ne plus dépendre d’une seule économie même alliée. Le Canada ne tourne pas le dos aux États-Unis. Ils se protègent de leur instabilité. En janviert, Trump a impossents sur les vins européens. Motif invoqué des sanctions infligées par l’Union européenne à des géants américains du numérique pour non respect des règles sur la protection des données. La réaction de l’Europe a été immédiate. La France, l’Italie et l’Espagne ont déposé une plainte conjointe à l’Organisation mondiale du commerce tout en annonçant des représailles ciblés des droits de douanes sur les médicaments, dispositifs médicaux et composants aéronautiques américains. Selon la Commission européenne, l’excédent commercial des États-Unis sur les biens échangés avec l’UE a chuté de 13,6 milliards de dollars en un mois et les conséquences ne se sont pas faites attendre. Le PDG d’Airbus Guillaume Fory a tiré la sonnette d’alarme. “Si l’escalade se poursuit”, a-t-il averti, les chaînes d’approvisionnement de l’aéronautique risque tout simplement de se gripper des deux côtés de l’Atlantique. De leur côté, les exportateurs californiens ont vu leur vente de vin vers l’Europe chuter de 22 % en un seul trimestre selon le Conseil américain pour les exportations viticoles. Chez JP Morgan, les analystes parlent désormais d’un risque de guerre commerciale ouverte entre les États-Unis et leur plus grand bloc allié démocratique, ce qui n’était au départ qu’un geste symbolique sur le vin est en train de devenir un test grandeur nature. Jusqu’où Trump est-il prêt à risquer les intérêts commerciaux aux américains pour marquer des points politiques ? En février 2025, la cour d’appel du district de Columbia a ordonné à l’administration Trump de suspendre une nouvelle série de droits de douanes punitif sur les exportations sud-coréennes de semi-conducteur, le temps d’un examen judiciaire. Motif du tribunal, absence de justification valable en matière de sécurité nationale. Trump a ignoré la décision. La Maison Blanche a invoqué la section 232 Trade Expansion Act malgré la conclusion de la Cour selon laquelle aucune menace immédiate n’existait. C’est l’un des rares cas où un président américain en exercice défie ouvertement une décision judiciaire fédérale sur le commerce. Pour le professeur de droit de Yale, Bruce Hackerman, cité dans le Wall Street Journal, il ne s’agit plus d’un simple conflit commercial, c’est une confrontation constitutionnelle directe. Il rappelle que cette loi a été conçue pour les situations d’urgence, pas pour justifier un protectionnisme stratégique. Les marchés ont immédiatement réagi. Les rendements des bonds du trésor ont bondi de 29 points de base en 24 heures et les investisseurs étrangers ont retiré 21,7 milliards de dollars des ETF d’actions américaines. Selon les données de Elsage. Le signal envoyé aux alliés et au marchés est brutal. L’état de droit à Washington semble désormais négociable. Le 2 mars le président de la Cour suprême, John Roberts, a publié une déclaration publique exceptionnelle pour dénoncer les abus de pouvoir de l’exécutif dans le domaine économique. Ce communiqué faisait suite aux multiples décisions de l’administration Trump d’ignorer les contrôles judiciaires sur les mesures tarifaires. Habituellement silencieuses sur le plan politique, la cour a cette fois jugé nécessaire d’intervenir. Roberts a estimé que le mépris des décisions judiciaires sape la confiance mondiale dans les institutions américaines. Ces propos ont été prononcé alors que les États-Unis faisaient face à une hausse soudaine du nombre de briefs amicus déposés par des gouvernements étrangers inquiets de l’érosion de la prévisibilité juridique dans la politique commerciale américaine. D’après le rapport 2025 de la Banque mondiale sur la gouvernance mondiale, les États-Unis ont perdu cinq places dans le classement de l’indépendance judiciaire, désormais derrière le Canada, l’Allemagne et même Singapour. La réaction des marchés ne s’est pas faite attendre. Selon crédit de Suisse, les primes de volatilité sur les obligations américaines ont bondi et les spreads de CDS à 5 ans se sont élargis de 14 points de base en une nuit. Le message de Roberts ne s’adressait pas au parti. Il s’adressait au marché. La crédibilité des États-Unis ne repose plus uniquement sur leur économie, mais sur la capacité de leur loi à contraindre leurs dirigeants. Le dollar domine encore 54 % des réserves mondiales, mais c’est en baisse constante, 60 et 1,8 % en 2020. Selon le rapport du FMI de mars 2025, 13 banques centrales dont cell du Brésil, de l’Égypte et de l’Indonésie ont commencé à effectuer leurs échanges bilatéraux en monnaie locale ou en alternative numérique. Le système chinois de paiement interbancaire transfrontalier, le SIPS, a traité plus de 447 milliards de dollars de transaction non libé en dollars au dernier trimestre, soit une hausse de 34 % sur 1 an. Et le projet BRIXPay soutenu par la Russie, l’Inde et l’Afrique du Sud doit être lancé en juillet 2025. Objectif fournir un réseau de paiement alternatif hors de la sphère Swift. L’ancienne présidente de la Fed, Janette Yellen, l’a affirmé lors d’un discours au Council on Foreign Relations. Nous entrons dans une ère monétaire plus fragmentée. La domination du dollar ne disparaîtra pas du jour au lendemain, mais elle n’est plus incontestée. Et elle prévient, si les systèmes financiers contournent de plus en plus le dollar, les États-Unis perdront bien plus que des frais de transaction. Ils perdront leur levier. Et qu’est-ce qui remplacera ce levier ? Un monde sans centre de gravité fait de sphères d’influence concurrente où les règles économiques s’écrivent en temps réel.
En janvier 2025, le Japon a brutalement réduit ses avoirs en bons du Trésor américain, provoquant une onde de choc sur les marchés mondiaux. Plus de 1 700 milliards de dollars envolés en quelques jours, des taux en forte hausse, un dollar en chute libre, et une confiance internationale qui vacille.
Pourquoi un allié aussi stratégique que le Japon tourne-t-il le dos au dollar ? Quel rôle joue Donald Trump dans cette rupture historique ? Et surtout, sommes-nous en train d’assister à la fin de l’hégémonie monétaire américaine ?
Dans cette vidéo, nous analysons en profondeur les causes, les conséquences et les scénarios possibles d’un basculement géoéconomique majeur. Entre tensions commerciales, guerre des batteries, et effondrement de la confiance dans les institutions américaines, l’avenir du système financier mondial est plus incertain que jamais.
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📊 Cette vidéo s’appuie sur les données du FMI, de Bloomberg, de la Banque mondiale et du Trésor américain.
22 Comments
Merci beaucoup pour votre travail ⚖️ 🌟 🧠 ⚖️ et merci pour tout mon cœur d'amour ❤️ Raphaël ❤️ BESLIU ❤️ GPTV ❤️ je t'aime fort mon ange ❤️ ⚖️ 👼
Trump a fait comme Kéké rose qui voulait coucher la Russie 😂
merci Trump pour ce joli hara kiri continu comme ça et by by america….
normal c la confiance si le dollar est fiables et avec des sanctions a gauche a droit sur les pays ,la confiance est perdu
Et, Netanyahu qui est aux USA, en ce moment, pour profiter d’assister aux obsèques du dollar 💵 US 🇺🇸 🤓
Alerte ceci fait partie des podcasts qui font de la désinformation et qui cible surtout Trump, probablement payé par Soros et cie. Les informations de ce podcast ne sont jamais reprises dans l’actualité, c’est une arnaque. Eux vont montrer Trump qui tombe en montant dans un avion, mais sans que ce soit repris ailleurs. Si vous cliquez sur leur avatar, vous aurez accès à toutes leurs vidéos du même style, visant la même personne. Mettez un pouce en bas, il ne faut pas encourager la désinformation, que vous soyez pour ou contre Trump.
Mais le Japon n’a toujours pas vendu, ça demeure un levier de négociation pour l’instant
Fake News!!!!! 👎👎👎👎👎👎👎👎👎
D.TRUMP…un très GRAND Président…pour la destruction des USA..la où il vas chantage punitions se croyant DIEUX…même les EUROPÉENS sont a sa merci..longue vie pour sa présidence D.TRUMP continue…
Merci de comprendre lafoli des voleurs.
Je rêve de la chute des États-Unis ce pays voleurs et qui créé des guerre tout en parlant de paix la chute de isramerde aussi bon vent dans un volcan 🌋
L'allié historique ??,,…ouiiiii
2 bombes atomiques sur la gueule !?
Tous les chiffres de cette video sont faux youtube la poubelle des tares et des loosers influvoleurd
le fou trump ètait réélu uniquement pour piocher dans les comptes des pays riches du Moyen-Orient.le voilà il a mis le dollar à genoux sans qu'il le voulait
blackrock and compagnie vont s'effondrait? Si oui ce serait une super nouvelle la fin de ces vautours..
vos analises sont completement faux!!
Selon la sagesse ancienne :
Les empires s effondrent bientôt si leur régime est basé sur l injustice et la tyrannie
BIEN JOUÉ LE JAPON…🇯🇵👍👍👍👍👍👍👏👏👏👏👏🙏🙏🙏🙏🙏🙏
Ils vont lire l'heure, les États-Unis et l'Europe vont ramper, vive le Sud global, vive le BRICS+et vive le monde multipolaire❤❤❤
Bientôt on fêtera l'indépendance du Japon…je l'espère
Très bien, mais à qui ils ont vendu ? quels sont les pigeons ? le RU, l'UE, la FED ?
Bravo aux asiatiques unis et européens extrêmes nazis se préparent pour la chasses aux musulmans victimes des sociétés tabassées de propagandes détruit dos est licenciés de peur santé Mdph est dégradés rsa voilà morales de survie pour se nourrir comme un clochard j’ai travaillé pour mes enfants et maintenant les rasismes profitent des étrangers laïcités torturer par des influence partout dans les villes qui contrôlent par des noms trier que dieu nous aident dans les capitaux multinationaux narco cumulent des trafiquants salaires qui ont monopole de tout leurs administrations départementales extrêmes combiné dès familles qui sont placés depuis très longtemps qui se préparent dans ombres