Trump FURIEUX : les tarifs de 25% sur le Japon et la Corée se retournent contre lui

Le Japon et la Corée du Sud vont chacun faire face à une taxe de 25 % décidée par le président américain. Une lettre officielle a été envoyé au président de la République de Corée et à une autre au premier ministre du Japon. Ces deux pays devront donc payer un droit de douane de 25 % sur leurs exportations vers les États-Unis. Le simple chiffre de 25 % a suffi à faire plonger la bourse. Le Dow Jones a perdu 420 points en une seule séance après l’annonce de Donald Trump. Ces nouveaux tarifs visent tous les produits venant du Japon et de la Corée du Sud. Voitures, pièces détachées, microprocesseurs. Le 7 juillet, la Maison Blanche a donné un ultimatum jusqu’au 1er août pour trouver un accord. Sinon, la taxe s’appliquera à tous leurs produits. En quelques minutes, les marchés sont passés du calme à la panique. La chaîne d’approvisionnement alimentaire du D3, la Silicone Vallée et le commerce américain ont été mis sous pression. Le premier ministre japonais Shigaru Ishiba a parlé d’un conflit d’intérêt national et a prévenu que Tokyo ne se laisserait pas faire. De son côté, Seou réclame des exceptions pour l’automobile et l’acier, sinon elle envisagea d’autres options. Mais pourquoi prendre ce risque avec des alliés et qui pourrait en profiter ? Rester attentif. Derrière ces impôts, il y a des coûts cachés, des secousses géopolitiques et la Chine pourrait bien être la grande gagnante. Le Dow Jones a chuté de 422 points en un jour, soit presque 1 %. Les actions Toyota ont perdu 4 %, Honda 3,9 % car les investisseurs anticipent une taxe de 25 % sur chaque voiture, batterie ou semi-conducteur venant du Japon et de la Corée du Sud à partir du 1er août. En tout, 145 milliards de dollars d’exportation japonaise et 127,8 milliards de dollars coréens sont concernés, notamment les voitures. Elle représente 28 % des exportations japonaises et 27 % des Coréennes. Sans accord, chaque pièce, siège, capteur, acier livré à D3 coûtera 25 % plus cher du jour au lendemain. En Corée, la bourse a plongé à son plus bas niveau depuis 17 mois. Le ministre des finances, Choy Sangmasch a annoncé un fond de sauvetage colossal pour aider les banques et les exportateurs à faire face au manque de dollars. Une délégation coréenne part cette semaine à Washington, la 5e depuis mars, pour négocier des exemptions et promettre de nouveaux investissements aux États-Unis. À Tokyo, un centre d’analyse économique prévient que cette taxe pourrait faire perdre 00,6 % de croissance au Japon cette année. Le yen a déjà chuté de 1,5 % en 5 jours, signe que les investisseurs craignent une guerre commerciale longue et compliquée. Ishiba a même que cette pression sur les exportations pourrait bloquer les négociations salariales et perturber la Banque du Japon qui voulait sortir de sa politique monétaire ultra souple. Et pendant ce temps, Pékin voit une opportunité. Le journal officiel chinois People’s Daily a qualifié ce conflit de harcèlement économique et a menacé de riposter contre toute alliance commerciale qui écarterait les entreprises chinoises. Si les usines japonaises et coréennes déplacent leur production en Chine pour éviter les taxes américaines, la stratégie américaine pourrait paradoxalement renforcer la Chine au lieu de l’isoler. Washington assure que la taxe de 25 % n’est pas un mur mais un levier de négociation. La porte-parole de la Maison Blanche, Caroline Levit précise que ce taux pourrait être augmenté ou réduit selon la façon dont Tokyo et Seou réagiront. Pourtant, 3 mois après le lancement par Donald Trump de son opération 90 accords en 90 jours, seuls trois petits accords ont été signés avec le Vietnam, le Royaume-Uni et un cadre provisoire avec la Chine. Bien loin des promesses initiales, les investisseurs commencent donc à se demander si la menace des impôts n’est pas en train de peser plus lourd que les éventuels bénéfices diplomatiques. Au lieu de finaliser les négociations, l’administration américaine envoie des lettres à la chaîne. Le 7 juillet à 1h du matin à Tokyo, 14 capitales ont reçu presque le même courrier. Elles ont jusqu’au 1er août pour trouver un accord. Sinon, elles subiront des taxes entre 25 % et 40 %. Le Japon et la Corée du Sud sont les plus visés, mais la Malaisie, le Kazakhstan, l’Afrique du Sud et d’autres pays sont logés à la même enseigne. Cela contredit l’idée que chaque négociation est personnalisée. Des analystes préviennent que cette méthode ressemble plus à une escalade généralisée qu’à une pression ciblée. La réalité économique est encore plus compliquée. En avril, une pause de 90 jours sur les tarifs devait calmer les marchés. Mais aujourd’hui, les chefs d’entreprise font face à un labyrinthe de règles, d’exception et de taux qui changent sans cesse. Déjà, les taxes moyennes sont à 23 % avant même le coût de masse prévu en août. Des marques comme Hugo Boss expliquent qu’elles ne peuvent même plus fixer le prix de la collection d’automne et BASF signale une baisse des commandes tout en détournant ses produits chimiques vers d’autres ports. Pour les petits importateurs, c’est pire. Ils signent leur contrat des mois à l’avance. Non pas les liquidités pour absorber une taxe de 25 % d’un coût, ni les avocats pour décrypter les règles qui changent du jour au lendemain. Le temps, c’est aussi de l’argent sur les marchés financiers. Dès que ces lettres sont arrivées, la courte acalmie de Wall Street a volé en éclat en un après-midi. La variante est répartie à la hausse. Les premières sur les options ont grimpé et l’argent qui aurait pu servir à construire de nouvelles usines est resté bloqué. À Séou, le ministère des finances prévoit que l’échec des discussions pourrait faire perdre 0,6 points de croissance au PIB, annulant tout le gain du boom des semi-conducteurs de l’an dernier. À Tokyo, on s’attend à un ralentissement des négociations salariales et à un nouveau recul du yen, ce qui pourrait inquiéter les marchés obligés. Pendant ce temps, Pékin se présente comme l’alternative stable. La Chine invite discrètement les fournisseurs japonais et coréens à terminer leur production sur son territoire afin d’éviter les taxes américaines. Une ironie qui n’échappe pas à Wall Street. En voulant isoler ses rivaux, Washington pousse même ses alliés dans les bras de Pékin. Et ce n’est pas tout. Le 6 juillet, lors du sommet de Rio, Donald Trump a encore renforcé le ton. Il a menacé d’ajouter une taxe supplémentaire de 10 % sur tout pays accusé de politique anti-américaine, citant l’Inde, le Brésil et l’Afrique du Sud. Cette annonce a immédiatement fait chuter les monnaies des marchés émergents avant même que les bourses de New York n’ouvrent. Le 11 juillet, les marchés ont encore plongé. Les actions sud-africaines ont perdu 7 % en milieu de séance. Les investisseurs anticipent une nouvelle taxe américaine qui pourrait faire grimper la taxe totale sur les pièces d’automobiles sud-africaines plus de 2 milliards de dollars par an jusqu’à 35 %. Le Brésil a ressent le choc presque immédiatement. En 2024, ces échanges avec les États-Unis atteignaient 92 milliards d’allars. Mais au 10 juillet, Brazilia devait déjà encaisser un nouvel ordre imposant une taxe de 50 % sur le cuivre en plus d’une future taxe de 10 % pour les pays du groupe Bricks. Résultat, les prix du café ont bondi de 1,3 % et les contrats sur le jus d’orange ont grimpé de 6 %. Car on craint que cette avalanche de taxe ne fasse exploser les prises alimentaires de Miami à Milwaukee. L’Inde, principal fournisseur des États-Unis parmi les pays en développement, 129 milliards dollars d’échange en 2024, marche elle aussi sur une corde raide. New DA subit déjà une surtaxe de 26 % si aucun accord n’est avant le 9 juillet. Et maintenant, la menace d’une taxe supplémentaire de 10 % plane pour le mois suivant. Le ministère indien des finances tente donc d’offrir de nouveaux contrats d’énergie et d’armement pour éviter ce qui pourrait coûter 9 milliards de dollars par an aux exportateurs indiens. Washington affirme que ces taxes supplémentaires ne sont qu’un outil de négociation, mais la réalité devient ingérable. une taxe de base de 25 %, une surtaxe sectorielle de 50 % et un bonus bricks de 10 % signifiant qu’un simple tube en cuivre brésilien pourrait arriver à Baltimor à presque le double de son prise initiale. Pour les alliés émergents, la vraie question n’est plus de savoir s’ils vont se rapprocher de Pékin, mais s’ils peuvent survivre à une escalade de taxe sans fin. Avec l’échéance du 1er août toujours fixée pour le Japon et la Corée du Sud, le reste du monde anticipe déjà un effet domino. Si l’outil de pression américain devient un péage à plusieurs niveaux, les pays que Washington veut éloigner de la Chine pourraient choisir Shanghaiï plutôt que Saint Pedro pour contourner le problème. La stratégie silencieuse de Pékin. Pendant ce temps, Pékin reste presque silencieux puis répond avec de l’argent. Le vice-premier ministre chinois Ding Zukyang a déclaré au forum de Davos le 21 janvier que le protectionnisme ne mène nulle part et qu’il n’y a aucun gagnant dans une guerre commerciale. Sans jamais nommer Trump, mais le message a été entendu dans toutes les capitales qui envisagent désormais des représailles tarifaires. Au lieu de riposter avec une taxe équivalente, la Chine ouvre de nouveaux canaux pour sa monnaie, le Yan. Selon des données publiées le 23 avril, l’utilisation transfrontalière du Yan a atteint un record de 724,9 milliards en mars, soit 54,3 % de toutes les transactions internationales chinoises contre à peine 1/3 il y a 2 ans. La banque centrale chinoise renforce cette progression en multipliant les lignes de swap avec d’autres banques centrales. Elles totalistent désormais 4,3 trillions de yan, le plus haut niveau jamais atteint. Cela permet aux pays amis de disposer de liquidité en Yuan et de faire du commerce sans passer par le dollar si les taxes américaine deviennent trop pénalisante. Les diplomates appellent à cela une diplomatie verte, mais concrètement c’est de l’influence économique. Le 3 juillet, les ministres des finances des Bricks ont validé un fond de garantie multilatérale soutenu par la nouvelle banque de développement. Chaque dollar de garantie devrait libérer jusqu’à 10 dollars d’investissement privés, offrant à Pékin un nouveau levier de soft power à travers les projets d’infrastructures et de climat. Pendant que Washington parle de taxe, la stratégie chinoise est tout sauf passive. Pékin répète son message, laisse les marchés digérer le choc, puis propose à ses partenaires des crédits moins chers, des lignes de swap en y et des fonds pour le climat qu’aucune taxe américaine ne peut atteindre. Si Tokyo et Seou hésitent, les banquiers de Shanghai sont prêts à terminer leur chaîne de production et à fabriquer en yan, le Canada, lui répond au conflit par le silence. Le 11 juillet, Donald Trump a menacé d’imposer une taxe de 35 % sur toutes les exportations canadiennes à partir du 1er août contre 25 % actuellement. Cette annonce a déjà fait reculer les futurs de la bourse de Toronto TSX de 0,6 %. Le premier ministre Marc Carnet n’a pas réagi par une contreoffre. Il a simplement indiqué qu’OTAwa s’exprimera après le 21 juillet, date limite qu’il s’est fixé pour un accord commercial plus large. Autrement dit, il retourne le compte à rebour de Trump contre lui. Cette stratégie repose sur la géographie et les chiffres. Plus de 90 % de l’acier et de l’aluminium canadien partent aux États-Unis et les deux pays échangent 2,5 milliards dollars de marchandise chaque jour à travers leurs 5600 km de frontière. Si Washington applique vraiment la taxe, ce sont les usines du Mid-Ouest américain qui transforment ce métal en châssis de pickup ou en canette de bière qui payeront le prix en premier, pas les électeurs au nord de Toronto. Trump se retrouve donc face à un choix délicat. Appliquer la taxe et risquer des licenciements dans des étatesc clés ou reculer et admettre que son arme tarifaire s’est retournée contre lui. Le silence de carnet laisse ce dilemme mûir sous les projecteurs, forçant la Maison Blanche à se demander si dans cette guerre commerciale, le camp le plus discret n’a pas joué la meilleure carte. Une guerre commerciale aux effets en cascade. Cette guerre a commencé par un simple titre et plan maintenant sur toutes les chaînes d’approvisionnement de la baie de Tokyo jusqu’au port de Los Angeles. Une taxe de 25 % a déjà ébranlé Wall Street inquiété des trois et poussé les alliés les plus proches des États-Unis à chercher de nouveaux partenaires. Pendant ce temps, les pays des Bricks accumulent discrètement des moyens de pression. Ligne de swap en yuan. Contrat sur le cuivre transformant les taxes de Trump en publicité pour leurs alternatives. Le Canada attend en silence. Le Japon s’active pour diversifier ses exportations et la Corée du Sud compte les jours jusqu’au 1er août avec des plans d’urgence empilés sur un bureau. Si la Maison Blanche recule, ces critiques crieront à la capitulation. Si elle persiste, les électeurs pourraient leur parler de récession auto-infligée. Mon avis, les impôts font des titres rapides, mais elle détruise la confiance encore plus vite. Et dans un marché mondial suspendu à un fil, la confiance est la vraie monnaie. Le 1er août pourrait n’être qu’une date de plus ou devenir le jour où l’Amérique découvrira qu’elle négociait seule dans une pièce qu’elle dominait autrefois. Alors, à ton avis, y aura-t-il un accord de dernière minute ou une spirale incontrôlable de nouvelles taxes ? [Musique]

Trump FURIEUX : les tarifs de 25 % contre le Japon et la Corée du Sud se retournent contre lui

Quelques heures seulement après l’annonce officielle de la Maison-Blanche sur ces tarifs, le Dow Jones a chuté de 420 points , les alliés ont vivement réagi, et une vague d’incertitude a frappé toutes les grandes chaînes d’approvisionnement américaines.

Aujourd’hui, Tokyo et Séoul menacent de représailles , et tandis que le monde entier observe les conséquences, une question résonne partout :

👉 Était-ce vraiment la bonne décision ?

Car si ces tarifs de 25 % contre le Japon et la Corée du Sud deviennent le symbole de cette guerre commerciale, ce ne sont pas seulement les alliances américaines qui sont en danger… mais toute la stabilité économique du pays.

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