Japon : la bombe à retardement que les marchés ignorent – La Finance Décomplexée

Depuis des décennies, le Japon, c’est l’élève bizarre au fond de la classe, celui euh qu’on comprend pas mais qu’on arrive pas non plus à détester quand même. C’est celui qui parle pas vraiment ou qui parle tout bas, qui ont toujours ses devoirs à temps et on a et qui vit sous perfusion de dette, mais que les profs adorent quand même. Va savoir pourquoi. Cet élève qu’on a tous connu une fois à l’école, c’est le Japon. Le Japon qui est à 260 % de dette publique par rapport au PIB. Il a vécu 20 ans avec des taux négatifs et sa banque centrale imprime du yen comme si c’était du riz local et biosubventionné. Et pendant plus de deux décennies, personne n’a dit un mot comme si on voulait pas fâcher le pays parce qu’il devait forcément être ceinture noire de quelque chose. Pas un cri, pas une alarme, pas même os en morse peut-être parce que c’est plus difficile de parler en morse en japonais. À croire que tout le monde s’était mis d’accord pour fermer les yeux ou alors les quelques lucides qui ont crié au feu l’ont fait en chichotant comme s’il ne fallait pas déranger. Sauf que là, ça commence un tout petit peu à sentir sérieusement le brûl et ça attache méchantment au fond de la casserole. Ces dernières semaines, le marché obligataire japonais, c’est plus un frémissement, c’est une tout sèche, un signe précurseur qu’on a pas envie de passer au scanner, un truc qui sent le tsunami force au neuf. Parce que si ça pète au Japon, et il faut dire que ça commence quand même à se fissurer, ça ne sera pas juste un problème pour Tokyo. Non, ce sont les fondations même du temple monétaire mondial qui risque de vaciller. Ce que l’on croyait être une anomalie stable pourrait être soudainement dévastatrice, même pour les buildings antitremblementaires qui rendent les Japonais si fiers. Bienvenue dans cette nouvelle vidéo de la finance des complexés. Je suis Tomas Veillet et vous êtes sur zone bourse. Flashback début des années 90 pendant que Nirvana hurle dans les radios et qu’urgence révolutionne la série médicale. Le Japon, lui se prend un mur. explosion de la bille immobilière, un crash boursier, dépression économique en slow motion. Bienvenue dans la décennie perdue qui va d’ailleurs durer 30 ans. À ce niveau-là, c’est plus une décennie d’ailleurs, c’est un bouquin d’histoire. Et pour éviter que le système parte complètement en vie, la Banque du Japon sort le bazooka avant tout le monde. Pas la peine de l’inventer, taux zéro, puis taux négatif, puis Q1, jusqu’à la nausée, jusqu’à plus soif. La recette magique qui sera d’ailleurs copiée plus tard par la Fed et la BCE. Mais la version nipon, c’est un plat servi froid avec des baguettes trempées dans le désespoir monétaire. Pendant ce temps-là, le Japon s’endette plus vite qu’un joueur de poker accro aux cartes pourries. Mais attention, c’est le même joueur de poker qui tient la banque. Il imprime sa propre monnaie, achète ses propres obligations et arrose le système à coup de yen comme si c’était aussi facile à printer que le dernier manga à la mode. Un vrai festival d’autofinancement. Le but c’était de garder un yen faible, stimuler les exportations et éviter la récession terminale. Et à votre avis, les marchés, ils ont fait quoi ? Bah, ils ont regardé ça de loin. L’air un peu interloqué mais ils ont fini par hausser les épaules en pensant à haute voix et en disant “Bah, c’est le Japon, ils peuvent se permettre.” Oui, ils peuvent se le permettre parce que le Japon c’est sérieux, c’est discipliné. Le Japon c’est Gold Rack qui bosse en collaboration avec Capitaine Flamme. Personne ne croit vraiment que ça peut craquer. Mais voici que 2022 débarque comme un éléphant dans un magasin de porcelet. L’inflation mondiale flambe. Tout le monde relève les taux à la hache franchement sauf une banque centrale la BioJe la Banque of Japan. Et là les marchés commencent à se crisper. les tolons sur les GGBS les obligations d’état japonaise et qui était censé rester sage sous le laisse du fameux YCC le yell curve control sur le rebif on a parti le Yel Curve Control YCC le YCC c’est une technique utilisée par une banque centrale notamment la Banque du Japon pour fixer artificiellement le niveau de certains taux d’intérêt surtout les taux longs en achetant ou en vendant massivement des obligations d’état les assureurs japonais qui dormaient pépère avec cette sécurité sous le cou depuis 20 ans commence à vendre et qui ramasse la patate chaude quand on vend massivement et bien la Banque du Japon bien sûr coincé embourbé dans sa propre stratégie elle devient le seul acheteur sur un marché où tout le monde veut se barrer. Une situation qui commence à ressembler à un sketch de fin de soirée mais sans les rires et sans les panneaux à la fin. Nous sommes en juillet 2025. Il fait chaud, très chaud et pas seulement. Sur les plages de Kamakura, le rendement du 10 japonais vient de passer les 1,6 %. Un niveau plus vu depuis la crise desprès. Autant dire un dinosaure. Mais attendez, c’est pas tout. C’est pas tout. Il y a beaucoup mieux. Beaucoup mieux. Le 30 ans, le 30 ans, il explose littéralement le plafond à 3,2 %. À ce niveau-là, même les économistes quinka ne se souviennent pas d’avoir vu des niveaux pareils. On n’est plus dans le calme nipon, on est dans un karaoké spécial ici d’ici. Et le tournant de tout ça, c’est mars 2025 il y a quelques mois en arrière. La bioj fidèle à son style “On va tenter un truc sans trop y croire”, décide quand même de lâcher un peu de l’est. Fini, contrôle absolu sur toute la courbe des taux, elle assouplit le YCC. Traduction, elle arrête de tricher. L’idée c’est de faire croire qu’on revient vers un fonctionnement de marché naturel. un marché qui vit et qui évolue par lui-même mais avec un bonus, celui de ne pas faire paniquer tout le monde. Enfin d’essayer de ne pas faire paniquer tout le monde. Autant dire qu’il leur faudrait un etan haw de mission impossible au top de sa forme pour y arriver parce qu’un marché ça sent la peur un marché comme un malinois qui sent les explosifs à l’aéroport et surtout ça sent quand le filet de sécurité commence à se barrer et que l’avion vibre de façon anormale. Alors là pas de pitié. Les investisseurs testent alors la BOJ. Il balance des diges longues comme si ça ne coûtait rien. Le couvercle saute et la réalité du monstre qui est tapis dans les sous-sols de la bioj et nous frappe en plein visage. C’est Godzia version économique de PQI depuis 30 ans. Et alors il est pas content mais il est pas content du tout. Et là, les visages commencent h à se crisper un peu, pas seulement à cause de la dette hein, 260 % du PIB, on le rappelle, mais parce qu’il y a plus de cap très clair. Le gouvernement navigue et avec des élections à l’horizon, on commence à entendre des promesses fiscales dignes d’un Premier ministre français au bord de la censure. Plus de dépenses, moins d’impôts et aucune idée de comment on va financer tout ça. Et pendant ce temps-là, le yen s’écroule, il plonge comme un kamikaz sur un portalon US durant l’attaque de Peur Harbor. Et là tout de suite, le monde se souvient que le Japon est le plus gros créditeur de la planète, que ces obligations sont dans tous les portefeuilles des retraites américaine aux banques central africaines et que si les GGBS deviennent radioactifs, c’est tout le financement lowcost mondial qui commence à trembler. Le Japon n’est plus un cas à part, c’est devenu un risque systémique. Et ce coup-ci, il y aura peut-être pas de happy end façon manga ou façon Capitaine Flamme ou façon Goldorak. Parce que quand le cœur du système commence à battre de travers, c’est le monde entier qui risque l’arrêt cardiaque. Fermez les yeux et imaginez. Le doute devient peur, la peur devient panique et d’un coup tout s’emballe. Les investisseurs étrangers fuient les giges comme des touristes qui viennent d’apprendre que le volcan local est actif. Les assureurs japonais, déjà à moitié rincés par les pertes latentes, raccourcissent leur duration comme s’ils venaient de voir un tsunami arriver sur le radar. Et la Banque du Japon, déjà bien chargée en obligation, plus de 50 % du marché est sous son contrôle direct, rappelons-le quand même, se retrouve à devoir tout absorber encore, encore et toujours jusqu’à la nausée, jusqu’à écurement, jusqu’à saturation. Mais à force de boire la tasse, même un sumo finit par couler. Le yen continue sa glissade 170 puis 180 puis 200 face au dollars. Et là c’est plus un effondrement, c’est un plongeon olympique sans remonter avec la piscine vide en bas et les factures d’énergie explosent. L’inflation qu’on croyait maîtrisé revient en mode boomerang incendiaire et la population vieillissante, épargnante, traumatisée par 30 ans de déflation, ben elle panique. Elle panique parce qu’elle n’a jamais connu ça. Et le gouvernement se retrouve face à l’impasse parfaite. Soit tu laisses les taux monter et tu exploses ta dette publique, soit tu remets le doigt sur la planche à billet et tu achèes ta monnaie définitivement. Vous choisissez quoi ? La dette ou le yen ? Le crash obligataire ou l’hyperinflation sournoise ? Et bien bienvenue dans le truth Moment version sushi et la version japonaise de la panique obligataire d’un pays qui était censé être solide, sérieux, intouchable. Un pays de l’OCDE qui part en torche. Un scénario que tout le monde refusait de regarder en face jusqu’à qui vous pète à la figure. Alors petit rappel pour ceux qui dormaient en 2022. La bonne Liz Truth fraîchement débarquée au 10 Starling Street balance un mini budget façon feu d’artifice fiscal. Baisse d’impôts massive non financé. Résultat, les marchés paniquent. Les Toyuk s’envolent de plus de 100 BP en quelques jours. La livre s’écrase, les fonds de pension crient à l’aide, appelle au secours et la Banque d’Angleterre doit intervenir en mode urgence vitale. Maintenant, imaginez la même chose mais au Japon. Avec une dette deux fois plus grosse qu’au monnaie déjà au tapis et une banque centrale déjà jusqu’au coup dans le marché. Et ben c’est ça le risque auquel on s’oppose. Pas juste pour Tokyo hein, mais aussi pour tout le système financier mondial qui s’appuie depuis 30 ans sur le Japon comme un pilier mais silencieux et généreux du crédit global. Mais la finance comme toujours a une punchline préférée. Rien n’est jamais trop gros pour finir par exploser. Bon maintenant imaginons l’improbable, la sortie de crise, le truc qui là tout de suite paraît juste totalement impossible. pas un miracle, juste une tentative de sauvetage. Une vraie tentative de sauvetage, un vrai effort, un retour à la rigueur monétaire brutale, tardive et surtout politiquement suicidaire mais nécessaire et surtout encore possible si quelqu’un a le courage d’appuyer sur le bouton. Dans ce scénario, la Banque du Japon devrait se réveiller. Elle devrait remonter les taux pour de bon et pas un quart de point en mode symbolique. Non, une vraie claque style son BP pour commencer. Elle cesse progressivement ses achats d’obligation et accepte enfin que le marché redevienne lui-même soit un marché plus ou moins indépendant. En parallèle, le gouvernement sort de sa torpeur électoraliste et balance un plan de consolidation budgétaire crédible, genre crédible crédible, pas un powerpoint théorique pour se faire réil. découpe de la réforme fiscale, une remise à plat des dépenses sociales et surtout surtout un gel immédiat des dépenses militaires qui flambe gentiment depuis 2023 comme si on avait les moyens de faire la guerre quand on a un pays qui est surendetté, qui est pas capable de se nourrir et de faire tourner son économie. Ça me rappelle quelqu’un. Mais voilà, c’est la solution. Pour que ce scénario tienne debout, il faut donc trois ingrédients. Une volonté politique en titane, une population prête à encaisser et un timing chirurgical. Mais ça veut aussi dire que le parti politique qui aura le courage de porter cette révolution commettra instantanément un suicide politique et se grillera irrémédiablement pour les prochaines élections mais peut-être même celle d’après d’ailleurs. Sauf que le Japon maintenant là tout de suite bah ils ont plus le luxe d’avoir du temps. Chaque semaine qui passe chaque petit haussement de sourcil sur les marchés chaque plus 10 BP sur le 30 ans. Et ben, c’est une goutte de nitroglycérine dans un baril qui est déjà en train de fuir. À toi à vous qui cherchez le prochain cataclysme mondial. À toi à vous qui surveillez fébrilement le NASDAQ, le Bitcoin ou la bulle de l’intelligence artificielle. Jetez un œil ailleurs, regardez les taux japonais. Parce que si ce pays-là avec sa dette stratosphérique, sa démographie en chute libre et son rôle de pilier discret du carry trade mondial commence à perdre pied, c’est tout l’édifice mondial à taux zéro qui peut s’effondrer d’un seul coup. Les edgefund le savent, les stratégistes flippent déjà. Les banques centrales font semblant de ne rien voir. Comme d’hab, face, mais un matin, le marché va se réveiller. Et s’il décide que Japon n’est plus crédible, alors le prochain Big Shot ne viendra pas d’un banquier verreux en Floride ou d’une start-up bizarre bidon à la WeWork. Non, il viendra tout simplement d’une île élégante peuplée de gens pelis avec des cerisi en fleurs, des animés cultes, une dette XXL et qui adorent se saluer en se penchant en avant et surtout surtout qui ont un système budgétairement condamné depuis 30 ans et qu’il est peut-être temps d’arracher le sparadra d’un coup sac. Et quand ça arrivera, personne ne pourra dire qu’on avait pas été prévenu. Et cette fois, cette fois et ben les cerisiers ne fleuriront pas à la fin du générique. Voilà, c’était le risque systémique du moment made in Japan. Alors maintenant, si vous voulez continuer à voir la bourse autrement que comme une pub du Crédit Agricole et si vous voulez comprendre ce qu’on ne dit pas dans les JT et si vous voulez savoir ou regarder pendant que tout le monde fixe le bocal du poisson rouge, abonnez-vous à zone Bourse, activez la cloche et préparez-vous parce que la finance des complexés, c’est pas fini. C’est même peut-être là que ça commence à devenir vraiment intéressant. Salut à tous.

Depuis 30 ans, le Japon défie les lois de la gravité financière.

260 % de dette publique.
Des taux négatifs pendant deux décennies.
Une Banque centrale qui imprime du yen comme si c’était du papier recyclé.
Et un marché qui… regarde ailleurs. Toujours.

Sauf que là, ça craque. Discrètement. Mais sûrement.
Le marché obligataire japonais tousse, le yen s’effondre, les taux longs explosent, et la Banque du Japon ne sait plus où donner de la tête.

➡️ Et si le prochain krach obligataire ne venait pas d’un pays émergent ou d’une start-up foireuse,
mais d’un pays de l’OCDE, ultra-équipé, organisé, robotisé… et totalement surendetté ?

Dans cette vidéo, je te raconte le scénario japonais,
comme personne n’ose le faire dans les médias classiques.
Avec une bonne dose d’ironie, de pédagogie, et un soupçon de panique bien dosée.

Ce que tu vas apprendre dans cette vidéo :

• Pourquoi la politique monétaire japonaise est un OVNI depuis 30 ans
• Ce qu’est vraiment le Yield Curve Control (YCC) et pourquoi ça craque
• Le rôle central du Japon dans le système financier mondial
• Le scénario du “Liz Truss Moment” version Tokyo Drift
• Pourquoi le Japon pourrait déclencher la prochaine crise systémique mondiale

Cette vidéo fait partie de la série “La Finance Décomplexée” sur Zonebourse.

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0:00 Intro
1:49 Chapitre 1 : Japon : champion du monde du on verra plus tard
2;55 Un festival d’auto-financement
4:29 Chapitre 2 – “Godzilla est de retour… et il s’appelle taux longs”
5:50 Le test
6:59 Le risque systémique
7:17 Chapitre 3 : Obligations : Mission Impossible – Tokyo Drift
8:40 Le Liz Truss moment
9:50 Sortie de crise, mode d’emploi
11:41 Conclusion

Thomas Veillet est un chroniqueur financier suisse, connu pour sa capacité à décrypter l’actualité économique et les marchés avec humour, clarté et un sens affûté de la vulgarisation. Ancien trader professionnel à Genève, il a géré l’argent de plusieurs banques et fonds d’investissement. En 2006, il crée une chronique matinale quotidienne sur les marchés financiers, connue pour son ton direct, souvent sarcastique, et sa capacité à rendre la finance aussi accessible qu’un bon polar. Cette chronique est aujourd’hui publiée sur Investir.ch, média financier suisse qu’il a cofondé, et est suivie par des milliers de lecteurs chaque matin. En 2020, Thomas transpose son style unique à l’univers vidéo avec la chaîne Swissquote (FR) sur YouTube, où il commente l’actualité boursière avec une liberté de ton rare dans la finance traditionnelle. Résultat : plus de 55’000 abonnés à ce jour et une communauté en pleine croissance.

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32 Comments

  1. Je me suis toujours demander si le japon etait pas un test grandeur nature du qe en recession + demographie en berne.
    Double utilitee, cela permet de faire pression sur la chine, lempechant de reevaluer sa monnaie a la hausse

  2. …ou le yen se déprécie gentiment d'année en année avec l'alourdissement de la dette publique, permettant un carry trade ultra profitable, et tout le monde est content.

  3. Un peu compliqué à suivre avec toutes les métaphores et jeux de mots, mais je suis fatigué aussi, c'est peut être moi .

    J'avais adoré ta vidéo sur les indices de strip tease

  4. Comme d'habitude un sujet de fond intéressant mais un style tellement racoleur qu'on ne se sent pas respecté. 😅 Il a tout fait : mangas, cerisiers, kamikaze… Un peu c'est bien mais trop c'est trop. 😂 La vidéo pourrait durer 30% moins longtemps sans tout ça. Il y a un peu arnaque sur la marchandise !

  5. Perso je me fiche du Japon et de son économie. Car tous les scientifiques savent qu'avec la tectonique des plaques le Japon est condamné à disparaître. C'est une certitude juste une question de temps…1 an. 5 ans..peut-être 10 ans… donc adieu Japon… et comme les japonais même conscients ne veulent pas quitter le pays, il n'y aura même pas de problème d'exode….
    Les japonais depuis 10 ans savent qu'ils vont disparaître c'est pourquoi leur dette monumentale ils s'en fichent…

  6. Perso je me fiche du Japon et de son économie. Car tous les scientifiques savent qu'avec la tectonique des plaques le Japon est condamné à disparaître. C'est une certitude juste une question de temps…1 an. 5 ans..peut-être 10 ans… donc adieu Japon… et comme les japonais même conscients ne veulent pas quitter le pays, il n'y aura même pas de problème d'exode….
    Les japonais depuis 10 ans savent qu'ils vont disparaître c'est pourquoi leur dette monumentale ils s'en fichent…

  7. Mais alors pourquoi Warren Buffet a récemment avant sa retraite investi des milliards dans des actifs japonais ? Il est pourtant lucide et informé..
    Même avis côté Charles Gave …
    Sur YouTube on a autant d'explications positives que négatives sur de nombreux sujets.. ca voudrait dire simplement que personne n'y comprend rien…

  8. Thomas pourriez vous refaire cette video catastrophe en duo avec le célèbre Marc Touati ? Pour un match France / Japon…😅

  9. Merci pour cette excellente vidéo. Je dis toujours qu'en tant que traders, nous devons absolument tirer profit de chaque marché sur lequel nous évoluons. Et croyez-moi, le day trading sur Bitcoin est actuellement à son apogée. Bravo à John Preston pour ses prévisions précises sur le day trading sur Bitcoin. J'ai réalisé un profit remarquable de 5,8 BTC en un mois. C'est vraiment le meilleur. ✊

  10. Merci pour cet épisode très intéressant ! Bravo Thomas tu présentes vraiment bien le sujet. Cet humour mélangé à ces faits réel est un vrai plaisir à écouter.

  11. La chute est un peu seche, du coup on fait quoi ? On achète un flingue, des boites de conserves et un lingot d'or, oubien on s'endète à mort pour trouver du BTC ?

  12. Le livret A, ldd, lep n'ont pas de fiscalité donc ça se calcule en net pas le reste. Ensuite ça concerne l'épargne de précaution et pas de l'investissement.
    MAIS oui le taux de l'inflation est largement au-dessus de ça, l'inflation devrait être calculé sur la bouffe et non lissée sur des choses qui n'augmentent pas ou peu. Le café, le chocolat, le beurre etc ont pris 20% minimum

  13. Ok les taux arrachent mais le 10 est toujours a 1.51%, le 30 ans en revanche a 3.08%! Si on compare avec les usa, le 10 ans est a 4.38%, le 30 ans a 4.95%…donc rien a voir avec le japon ou le 30 ans est le double du 10 ans….1.51% sur le 10 ans au japon c'est pas non plus la fin du monde….ca reste raisonnable!

  14. Quoi qu'il en soit comme dans pas mal d'autres pays , reculer pour avoir plus d'élan pour la chute finale , c'est catastrophique.
    Enfin c'est comme ça.

  15. Top vidéos Thomas 👍 juste les inserts vidéo dont le son est un peu fort par rapport au reste . Pour le.sujet, génial 👍👍

  16. Il y a qlq chose qui me chatouille, comment se fait-il qu’il y ait une déflation alors que
    – la banque centrale achète massivement des obligations (inflationniste)
    – les prêts institutionnels soient à taux négatifs (inflationniste)

    La seule explication viendrait du fait que pour les prêts à taux positifs des particuliers et entreprises, il y a davantage de remboursement que de nouveaux prêts et donc la masse monétaire circulante diminue par la diminution du nb de prêts octroyés, ou bien il y a nuance ?

  17. J'ai l'impression d'avoir toujours entendu cette musique comme quoi l'économie japonaise allait imploser… mais peut-être que c'est maintenant.
    La Chine doit y être pour quelque chose, ils font tout mieux ou aussi bien, 2 x fois moins cher !!!