🧨 USA–JAPON : quand les marchés applaudissent une EXTORSION déguisée !
550 milliards de dollars d’investissement volontaire du Japon vers les États-Unis, des tarifs douaniers qui passent de 3 % à 15 % et les bourses qui explosent de joie. Vraiment, quand les marchés financiers célèbrent une extorsion déguisée en accord historique, il est temps de se poser les bonnes questions. Cette négociation ressemble-t-elle à un partenariat équilibré ou à la plus sophistiquée des rançons économiques de l’histoire moderne ? La croyance dominante aujourd’hui, c’est qu’on a évité le pire. Donald Trump aurait conclu un accord commercial historique avec le Japon mettant fin à des mois de tension. Au lieu des tarifs douigners de 25 % qui brandissaient comme une épée de Damoclès, ce sera finalement 15 %. Ouf ! Soupire de soulagement dans les milieux d’affaires, on parle d’un moindre mal après la crainte d’une guerre commerciale totale. Résultat immédiat : le Nike à Tokyo s’envole de près de 3 %, l’action Mazda gramme de 17 % et les autres constructeurs japonais prennent entre 8 et 12 %. Wall Street apprécie également. Les commentateurs économiques parlent d’un compromis gagnant gagnant. Tout est bien, qui finit bien, non ? Et bien, pas si vite. Cette vision angélique mérite d’être sérieusement nuancée car derrière le récit rassurant d’une négociation équilibrée se cache une réalité bien plus trouble. “Si vous ne lisez pas le journal, vous n’êtes pas informé. Si vous le lisez, vous êtes mal informé, disait Mark Twain. Cette citation n’a jamais été aussi vraie qu’aujourd’hui face à un accord présenté comme une victoire alors qu’il pourrait bien être le prototype d’une nouvelle forme de domination économique. En réalité, cet accord s’apparente moins à une négociation équilibrée qu’à une capitulation économique soigneusement déguisée. Voici pourquoi cette perspective change tout. Le Japon a dû accepter des conditions proprement inédites pour échapper à pire. On parle de 550 milliards de dollars que Tokyo va investir aux États-Unis, une somme colossale. Investir est un euphémisme. C’est quasiment un tribu versé à l’oncle Sam en échange de la paix commerciale et ces fameux 15 % de tarifs douigners présentés comme un compromis raisonnable. Rappelons qu’avant cette crise, les droits de douanes moyens tournaient autour de 2 à 3 % seulement. Même 15 %, c’est énorme mais on en vient à s’en réjouir par contraste avec 25 %. Un économiste américain résume parfaitement la situation. C’est le signe des temps que les marchés se réjouissent d’un tarif de 15 %. Il y a 1 an, un tel niveau aurait été choquant. Aujourd’hui, on pousse un soupire de soulagement. Autrement dit, on a déplacé la fenêtre de ce qui est acceptable. Trump applique ici une technique de négociation classique. Posz d’abord une demande excessive pour que la demande réelle paraisse raisonnable. Effrayant non. Donald Trump lui ne cache même pas sa satisfaction sur son réseau social. Il ffaron. Accord massif, peut-être le plus grand jamais conclu. Le Japon va investir 550 milliards de dollars aux États-Unis qui en recevront 90 % des profits. Vous avez bien lu, 90 % les profits pour l’Amérique. On est très loin d’un partenariat équilibré. Au Japon, le Premier ministre Shigeru Ishiba tente de sauver la face. Il affirme que cet accord est dans l’intérêt national et soulligne qu’avec 15 % le Japon a obtenu le tarif le plus bas parmi les pays qui ont un excédent commercial avec les États-Unis. Traduction en français courant, on s’en tiir moins mal que si on avait dit non. Ce qui est fascinant, c’est que le Japon n’est pas un cas isolé. C’est juste le dernier en date à céder. Depuis quelques semaines, Washington multiplie les offres musclées. Royaume-Uni, Indonésie, Vietnam, Philippines. Tous ont dû accepter le principe d’un tarif de base sur leurs exportations vers les USA et promettent d’acheter davantage de produits américains. Le schéma est toujours le même. On impose d’abord un tarif général. Trump a décrété en avril un 10 % de droits de douane sur toutes les importations du jamais vu depuis les années 1930. Puis on dit à chaque pays, “Si tu veux échapper à la punition maximale, accepte mon tarif de base et en échange, engage-toi à m’ouvrir ton marché et investir chez moi.” C’est du donnant donnant version rapport de force brut. Et devinez qui est la prochaine cible potentielle ? L’Europe. Oui, nous. Washington a fixé un ultimatum au 1er août pour conclure un accord avec l’Union européenne. Faute de quoi Trump menace d’appliquer 30 % de taxe sur tous les produits en provenance de l’UE. 30 % une arme de dissuasion massive qui ferait très mal à nos exportateurs européens. Bruxelles, de son côté prépare déjà une repost. Plus de 100 milliards de dollars de représailles sur des biens américains dès le 7 août, d’après des futes dans la presse. On n’avait pas vu une telle escalade depuis des décennies. Pourtant, malgré la fermeté affichée, l’Europe pourrait bien finir par plier elle aussi. Des diplomates européens murmurent qu’ils seraient prêts à avaler la pilule d’un tarif de 15 % pour éviter le cataclysme. En clair, aligné lieu sur le modèle de l’accord Japon USA et qui dit accord sur le modèle japonais dit probablement là encore un très gros chèque à la clé. Concrètement, qu’est-ce que tout cela changerait pour nous en France et en Europe ? Prenons un exemple simple et parlant. Vous dirigez une entreprise française qui exporte disons des machines outils ou du vin aux États-Unis. Du jour au lendemain, vos produits se voit infliger une taxe de 15 % à l’entrée du marché américain. Conséquence, vos machines ou vos bouteilles deviennent d’un coût 15 % plus cher pour vos clients américains. Que faire ? Soit vous réduisez drastiquement vos marges pour compenser et rester compétitif au risque de mettre en péril votre rentabilité, soit vous envisager de délocaliser une partie de votre production aux États-Unis pour contourner la taxe. Dans les deux cas, l’entreprise française perd soit en profit, soit en emplois locaux. Ce chantage au tarif vise justement à forcer la main des entreprises étrangères pour qu’elles investissent ou produisent sur le sol américain. Et ça marche. Difficile de blâmer les industriels qui d’eau au mur font le calcul de ce qui leur coûte le moins cher. Et nous consommateurs, des deux côtés de l’Atlantique, on trincrète aussi un tarif de 15 % sur une voiture allemande ou sur un vin français. Ça veut dire que le client américain payera son Audi ou sa bouteille de Bordeaux plus cher qu’avant. À l’inverse, si l’Europe reposte avec ses propres tarifs, les produits américains deviendront plus onéreux chez nous. En clair, cette guerre douce des tarifs, même contenu à 15 %, c’est plus d’inflation pour tout le monde. Les experts avertissent qu’un tarif de 15 % généralisé provoquerait un choc inflationniste non négligeable. Les coûts plus élevés se propageraient le long des chaînes d’approvisionnement et finiraient dans l’étiquette du prix final. Moins de pouvoir d’achat, moins d’investissement, un ralentissement de l’économie, pas exactement un scénario gagnant gagnant. Contrastons un instant l’approche conventionnelle et ce qui se profile ici. Traditionnellement, un accord commercial, ça sert à abaisser les barrières dennières, à faciliter les échanges. Ici, c’est l’inverse. On officialise des barrières plus hautes qu’avant et on appelle ça un progrès. On marche un peu sur la tête. C’est comme si on disait avant on avait 0 % de taxe, on a failli avoir 25 %, finalement ce sera 15 %. Champagne, célébrons cette victoire. En réalité, on célèbre juste que fait d’avoir évité un désastre absolu tout en entérinant une situation nettement pire qu’avant. Contrairement à ce qu’on pense, tout le monde ne sent pas gagnant de ces accords là, loin de là. Pour mieux illustrer cette réalité, reprenons le métaphore simple. Imaginez qu’un kit de quartier vienne voir tous les commerçants et leur disent “Belle boutique, ce serait dommage qu’il lui arrive malheur, mais si vous payez, je vous protège.” Effrayé, les commerçants préfèrent payer une grosse somme régulièrement plutôt que de risquer la casse. Ici, c’est pareil. La menace, ce sont des tarifs dévastateurs, 25 % 30 % qui feraient mal à nos économies. Et la protection, c’est de signer un accord en acceptant des conditions très dures pour éviter pire. Au final, on paye pour ne pas être frappé plus fort. Une rançon économique, ni plus ni moins. Évidemment, on pourrait objecter que chaque pays cherche simplement à défendre ses intérêts. Les États-Unis estiment dépendre trop des importations et veulent relocaliser des usines. De l’autre côté, Japonais européens veulent préserver l’accès à un marché américain crucial pour leurs entreprises. Ces objectifs en soi peuvent s’entendre. mais la manière de s’y prendre en poussant ses alliés à genou en exposant les règles du commerce multilatéral établi depuis l’après-gerre. Ça c’est nouveau et lourd de conséquence. On n’est plus dans la négociation classique, on est dans le rapport de force brut et qui dit rapport de force brute dit aussi risque politique, ressentiment des pays soumis, perte de confiance, monté des tensions géopolitiques. Ce ne sont pas que des chiffres et des dollars en jeu, mais aussi des alliances et un équilibre mondial. Pour nous français attachés à notre souveraineté économique et à nos traditions, c’est un signal d’alarme majeur. En fin de compte, on assiste peut-être à une nouvelle ère des relations économiques internationales. Une ère où les accords commerciaux ressemblent à des contrats de soumission, où le plus fort dicte ses conditions sous la menace et où le plus faible s’exécute en limitant la casse. Alors, triomphe ou tromperie, soulagement temporaire ou perte de souveraineté durable ? La question mérite d’être posée. Pour nous, français et européens qui tenons à notre indépendance économique, c’est un sérieux signal d’alarme. Jusqu’où accepterons-nous de payer le prix littéralement pour éviter une confrontation ? Derrière les sourires de façade et les marchés euphoriques, posez-vous la question : qui gagne vraiment et à quel prix ? Ce que peu de gens savent, c’est que ce type d’accord pourrait bien redessiner les équilibres mondiaux à notre détriment si on n’y prend pas garde. Si cette perspective contreintuitive vous a éclairé, envoyez cette vidéo à un ami qui a besoin de savoir ça. Partagez ces informations que beaucoup ignorent encore. Défendre nos intérêts, c’est d’abord ouvrir les yeux sur ce qui se trame réellement.
👉 Prenez rendez-vous avec un expert pour optimiser votre patrimoine actuel (et futur) : https://bit.ly/audit-fat-cat-finance
💼 Rejoindre un club d’investissement (audit patrimonial de 350€ offert) : https://www.investissement-placid.com/
🏠 Propriétaire ? Confiez votre logement à une agence PLACID : https://www.agences-placid.com/
📱Telegram : https://t.me/+XRS9ldbXeZA4OTM0
*Toutes ces opportunités proviennent de notre partenaire officiel : PLACID
——————————————
Dans cette vidéo, nous analysons en profondeur le nouvel accord commercial entre les États-Unis et le Japon : 15 % de tarifs douaniers en échange de 550 milliards de dollars d’investissements “volontaires” vers l’Amérique. Un compromis ? Pas vraiment.
➡️ Que cache réellement cet accord présenté comme « historique » ?
➡️ Pourquoi les marchés financiers ont-ils réagi avec autant d’enthousiasme ?
➡️ L’Europe – et la France – seront-elles les prochaines victimes d’une stratégie d’extorsion économique camouflée ?
Nous vous dévoilons ce que peu de gens osent dire : cet accord est peut-être le modèle d’une nouvelle forme de soumission commerciale, où l’investissement devient un outil de domination.
📈 Avec des chiffres concrets, une analyse géopolitique rigoureuse et un ton accessible mais sans langue de bois, cette vidéo est essentielle pour comprendre ce qui se joue avant le 1er août, date fixée par Washington pour conclure un accord avec l’Union européenne.
(P.s. : Ne pas s’abonner signifie que vous risquez de manquer de nouvelles vidéos)
8 Comments
A mon humble avis, l'Europe divisée ne tiendra pas face aux US
Malheureux mais triste réalité
Avec nos amis belge, allemand et polonais préfèrent acheter des armements américains que français/européen
Boycott produits américains 😡
Il y aurait bien une alternative :
Négocier l'abandon des sanctions anti-russe ( stupides et irrationnelles) contre l'ouverture du commerce de l'Europe avec les BRICS ! Et la mise au placard de nos échanges économiques avec les USA ! Bref une " dédollarisation européenne ! … très bon pour nos économies productives et pour l'emploi en Europe … mais alors plus de spéculation de nos banques sur le marché américain !!!
Que vas alors choisir la bourgeoisie élitaire ? Entre l'avenir économique du pays et son enrichissement spéculatif ?
Je vous laisse envisager la réponse !
… Hélas !
Curieusement : c'est une hypothèse qui n'est jamais envisagée dans nos médias ??!
Ne raconte pas de conneries !! Elles sont dues à quoi les " Trente Glorieuses " ??? À un protectionnisme qui de nos jours ferait pâlir d'envie M. Trump lui-même !! M. Trump défend les USA c'est incontestable alors que l'Europe avec des crétins comme Ursula et Macron se laisse dépouiller de tout ses atouts comme ce guignol de Macron qui assassine les entreprises françaises avec les tarifs de l'électricité voulus par Von Der Leyen !!
Aujourd'hui, c'est la lois du plus fort. Il faut s'en souvenir!
Le peuple americain n.est pas pret de boire du champagne ni du pinard , faudra tout livrer a maralago…
Les ricains perdent rien pour attendre et ils vont essayer de changé les règles avec leurs stabecoin …
He said the same about the European deal/framework aswell with the claim of 600 billion dollars in investment to the USA, but Europe/the eu can’t control how it’s 27 member states used the money to invest.